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(06/01/2012 10:04:25)
Keyrus cède son activité hébergement à ITS Integra
Keyrus hosting services (KHS), la filiale hébergement de l'intégrateur va disparaître. Elle est vendue à ITS Group qui va l'intégrer dans sa filiale ITS Intégra et fera disparaître le nom ce mois-ci. Ainsi se solde le développement de Keyrus dans l'hébergement, entamé en 2009. Ce dernier a proposé ainsi du Saas pour ses différentes offres : e-business, BI, ERP-CRM. Mais le métier d'hébergeur trop consommateur en capitaux et autres ressources mobilisait trop la société qui a préféré s'en défaire, ITS Integra devenant son partenaire hébergeur pour les offres en SaaS. C'est l'explication donnée par Keyrus.
Pour ITS Group c'est un renforcement de ses capacités d'hébergement, logées dans la filiale ITS Integra. KHS représente un chiffre d'affaires de 1,6 million d'euros.
La maîtrise d'ouvrage reste encore immature selon une Etude PAC/FEG
Or ces deux fonctions, selon cette étude, sont appuyées dans 80% des cas par des consultants extérieurs, pourtant normalement moins au fait des métiers de l'entreprise que des collaborateurs internes. Dans presque la moitié des cas, ces consultants sont rattachés à la DSI, dans un tiers au métier concerné et dans le solde à d'autres directions transverses (stratégie, organisation...). Il convient d'être prudent sur les chiffres exacts, l'échantillon étant de très petite taille.
Les consultants externes les plus utilisées sont liés au métier : consultants spécialistes de métier en premier lieu, SSII spécialisées ensuite. La troisième marche du podium est réservée aux grandes SSII qui disposent toutes de départements par métier.

Le périmètre de ce qui est confié à la MOA est assez variable selon (...)
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Le périmètre de ce qui est confié à la MOA est assez variable selon les cas. Assez curieusement, la formation n'est que peu confiée à la MOA, au contraire de la gestion du changement, alors que les deux sont normalement deux versants d'un même problème. On note que dans la quasi-totalité des cas, le choix des solutions technique est partagé entre la MOA et les autres fonctions de l'entreprise, ce qui est signe, au contraire, d'une certaine maturité. Alors qu'il existe des systèmes d'information dans les entreprises depuis un demi-siècle, l'étude montre que « la fonction MOA émerge dans les entreprises sans qu'un modèle organisationnel ne prédomine ».

Assez logiquement, deux conséquences de cet état de fait sont tirées. La première est que « la qualité du bilan économique, le niveau d'utilisation du SI et le professionnalisme de la conduite de projet sont les 3 domaines de progression prioritaires ». La seconde, très proche des conclusions déjà apportées par Daylight dans son baromètre, est que « le renforcement méthodologique est le principal levier pour accroître la performance de la fonction MOA ».
Gaëtan Gorce nommé à la Cnil en remplacement d'Alex Türk
Gaëtan Gorce a derrière lui une carrière de haut fonctionnaire en tant qu'administrateur civil, ainsi qu'une expérience politique autant locale (maire de La Charité-sur-Loire) que nationale (député puis sénateur). Alex Türk était quant à lui professeur de droit public à l'université Lille II et est sénateur depuis 1992.
En tout, la Cnil compte trois sénateurs. Les deux autres sont le socialiste Claude Domeizel (membre depuis 2008) et le centriste Jean-Paul Amoudry (membre depuis février 2009, vice-président depuis le 6 octobre 2011).
Les dépenses IT se contracteront en 2012 selon le Gartner
Après avoir progressé de 6,9% à 3700 milliards de dollars en 2011, les dépenses IT mondiales devraient atteindre 3,8 trillions de dollars cette année et enregistrer ainsi une hausse annuelle de 3,7%. Ce chiffre constitue une révision notable des projections précédemment faites par le Gartner qui tablait jusqu'ici sur une progression de 4,6%. « Le déclin global de l'économie, la crise de l'Eurozone et les conséquences des inondations en Thaïlande sur le marché des disques durs sont autant de facteurs qui contribuent à la révision des prévisions », explique Richard Gordon, vice-président en charge de la recherche chez Gartner.
Ces facteurs ont un impact négatif sur l'ensemble des secteurs qui composent le marché de l'IT : logiciels pour entreprise, services informatiques, services télécoms, équipements télécoms et matériels informatiques. Cette année, ce dernier devrait connaître une hausse de 5,1% à 424 Md$. Les logiciels pour entreprise devraient dégager quant à eux un chiffre d'affaires de 285 Md$, soit 6,4% de mieux qu'en 2011. La croissance du marché des services se limitera de son côté à 3,1% pour 874 Md$ de revenus. Attendu comme le marché le plus dynamique en 2012, celui des équipements télécoms devrait enregistrer une progression de 6,9% débouchant sur 475 Md$ pour les équipementiers. Enfin, le marché des services télécoms devrait atteindre 1,7 trillion de dollars grâce à une progression de 2,3% par rapport à 2011.
A défaut de ressembler à ceux de l'année 2011, les chiffres prévus par Gartner pour cette année ne sont dont pas catastrophiques. Du moins, cela dépend de la région du monde où l'on se trouve. En Europe de l'Ouest, le cabinet d'études s'attend en effet à une baisse de 0,7% des dépenses IT.
iTravail, un iTunes spécial voyage en préparation
Apple travaillerait actuellement au développement d'iTravel, un équivalent d'iTunes dédié à l'univers du voyage, selon des croquis publiés par le site internet Australian Business Traveller. A en croire ces schémas, l'outil développé par le géant américain permettrait, entre autres, de réserver une prestation touristique depuis son iPhone ou son iPad.
De l'avion, à l'hôtel, en passant par le train, le taxi ou encore le restaurant, iTravel offrirait la possibilité d'effectuer tous types de réservations. Le service autoriserait aussi l'enregistrement des bagages.
L'outil pourrait ensuite être développé pour proposer un service de conciergerie, la réservation de billets pour des rencontres sportives ou des spectacles. Apple envisagerait d'ouvrir son iTravel à la domotique, la technologie permettant de contrôler à distance les appareils dans les chambres d'hôtels notamment. Sans être dans la chambre réservée, les touristes pourraient ainsi contrôler l'air conditionné ou l'éclairage.
Enfin, en se servant des technologies sans contact (NFC et RFID), et en développant ses appareils mobiles pour les rendre compatbiles avec ces avancées, Apple devrait permettre, via son nouvel outil, de s'enregistrer à l'aéroport ou à l'hôtel, rapidement et facilement.
Dossier : Gestion des applications, la chasse au gaspillage
Il y a trop d'applications obsolètes ou non utilisées dans les entreprises, c'est le constat que nous avons relevé en réalisant notre enquête. Un constat confirmé par une étude réalisée par la SSII Capgemini. Ce phénomène est d'autant plus inquiétant que le service informatique n'a pas les moyens de contrôler son portefeuille applicatif faute d'outils déployés. Il fait aussi face à un manque de communication de la part des métiers en entreprise qui installe des applications sans en informer le service. Cette dérive coute cher dans le budget IT car les services maintiennent malgré tout ces applications qui sont souvent associées à des données et qu'il est difficile de récupérer après l'obsolescence de l'application. Pour endiguer ce phénomène, les fournisseurs et leurs partenaires SSII proposent des solutions logicielles pour cartographier et urbaniser le parc applicatif. D'autres vont plus loin et recommandent une refonte du système d'information en intégrant des outils de plus en plus prisés dans l'entreprise autour de la mobilité et le cloud computing. (...)
(05/01/2012 17:08:58)22 outils gratuits pour visualiser et analyser les données (2ème partie)
Pour faire parler des données, rien ne vaut une panoplie d'outils de visualisation graphique. Pour ceux dont le budget est limité, il existe de nombreux outils gratuitement accessibles pour visualiser les données et faire apparaître des modèles ou des tendances. Au printemps dernier, Sharon Machlis, de Computerworld, en a listé plus de vingt, qu'elle a répartis en neuf catégories : nettoyage de données, analyse statistique, outils et services de visualisation (1ère partie publiée le 3 janvier), outils de développement, SIG, analyse de données temporelles, nuages de mots, visualisation de données relationnelles (2e partie). Les bibliothèques JavaScript et les interfaces de programmation (API) s'adressent aux développeurs.
Pour relire la 1ère partie, «22 outils gratuits pour visualiser et analyser les données»
- Assistants, bibliothèques et API
Il faut quelquefois écrire du code pour produire certaines visualisations, en particulier quand le type d'affichage que l'on veut obtenir ne peut être réalisé qu'en recourant à une application desktop ou web existante. Cela ne signifie pas que l'on doive partir de rien, plusieurs bibliothèques et API fournissant déjà divers éléments.
10 - Choosel : pour enrichir les applications Google Web Toolkit
Ce framework Open Source disponible en mode web est destiné à la réalisation de graphiques sectoriels, de nuages, d'histogrammes, de diagrammes chronologiques et de cartographies. Il s'adresse davantage aux développeurs qu'aux utilisateurs. On peut néanmoins consulter une démo interactive qui explique comment importer des données en utilisant des fichiers CSV. Disponible sous licence Apache 2.0, il a trois champs d'applications principaux : l'exploration visuelle de données, les infographies interactives, la visualisation de données dans les applications GWT (le framework de développement Java Google Web Toolkit), peut-on lire sur code.google.com.
Comme avec Tableau Public, plusieurs visualisations peuvent s'afficher sur une page en étant reliées, de telle sorte que l'on peut, par exemple, mettre en valeur certaines données sur une carte en passant la souris sur un graphique associé.
Choosel (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences requis : Expert.
Fonctionne à partir de Chrome, Safari et Firefox.
En savoir plus : http://code.google.com/p/choosel/
11 - Exhibit : une bibliothèque JavaScript
Issu du projet Simile conduit par le MIT, le logiciel Open Source Exhibit, sous licence BSD, permet de « créer facilement des pages web comportant des fonctionnalités de recherche et de filtrage, des cartographies interactives, des échelles chronologiques et autres visualisations », décrit le site Simile-widgets.org/exhibit. Présenté comme un framework de publication, cette bibliothèque JavaScript permet d'ajouter facilement des filtres et des recherches. Sharon Machlis, de Computerworld, fait néanmoins remarquer que ce qui est jugé « facile » par les professionnels du MIT ayant créé Exhibit peut ne pas l'être autant pour un utilisateur qui connaît surtout Excel. Comme la plupart des bibliothèques JavaScript, Exhibit requiert d'écrire davantage de lignes de code que des services tels que Many Eyes et Google Fusion Tables. Cela dit, il propose une documentation claire pour les débutants, même pour ceux qui n'ont pas d'expérience JavaScript.
Si l'écriture de code ne vous pose pas de problèmes, vous avez des chances de vous approcher au plus près des présentations que vous voulez réaliser. Et vos données restent stockées localement, sauf si vous souhaitez les publier. Pour les novices, il faudra un peu de temps pour se familiariser avec l'écriture de code et la syntaxe de la bibliothèque.
Exhibit (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences requis : Expert.
En savoir plus : http://www.simile-widgets.org/exhibit/
12 - Google Chart Tools : des graphiques statiques et interactifs
Contrairement à Google Fusion Tables qui est comme une application à part entière pour stocker des données en ligner et générer graphiques et cartes, Chart Tools est conçu pour visualiser des données résidant ailleurs, par exemple sur un site web ou au sein de Google Docs. Il offre à la fois les API Chart utilisant une simple requête URL vers un serveur de graphiques Google pour créer une image statique, et l'API Visualization qui accède à une bibliothèque JavaScript pour bâtir des graphiques interactifs. Avec celle-ci, on n'échappe pas à l'écriture de code. Google donne des informations (taille des données, compétences requises...) pour déterminer quelle option retenir.
Pour les graphiques statiques les plus simples, un assistant fournit quelques exemples. Il va jusqu'à aider à saisir les données ligne par ligne, quoi qu'à partir d'une certaine taille, il est plus logique de formater celles-ci dans un fichier texte.
Google Chart Tools (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant avancé et expert.
Fonctionne sur tout navigateur.
En savoir plus : http://code.google.com/apis/chart/image/docs/making_charts.html
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13 - JavaScript InfoVis Toolkit : de superbes graphiques
InfoVis ne compte sans doute pas parmi les bibliothèques de visualisation JavaScript les mieux connues, mais elle vaut vraiment la peine d'y jeter un oeil si vous voulez permettre la consultation de données interactive sur le web. Elle a été utilisée par la Maison Blanche pour créer le graphique présentant le budget de l'administration Obama.
Ce qui différencie cet outil des autres est l'apparence très léchée des graphiques qu'il réalise avec des exemples simples de code. Visiblement, le créateur d'InfoVis, Nicolas Garcia Belmonte, développeur senior chez Sencha Inc, s'intéresse autant à l'esthétique du dessin qu'à celle du code et ça se voit.
Les échantillons présentés sont superbes. On peut télécharger uniquement le code pour les types de visualisations que l'on veut utiliser pour réduire la taille des pages web. Attention, comme il ne s'agit pas d'une application mais d'une bibliothèque de code, il faut savoir développer pour l'utiliser. Par conséquent, cela peut ne pas convenir à des utilisateurs en entreprise qui analysent les données mais ne savent pas programmer. Par ailleurs, le choix du type de visualisation est limité. Enfin, les données doivent être au format JSON.
InfoVis Toolkit (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : expert.
Fonctionne sur les navigateurs compatibles JavaScript.
En savoir plus : démos avec code source (http://thejit.org/demos/)
14 - Protovis : une bibliothèque bien documentée
Présenté comme un toolkit graphique pour la visualisation, ce projet de l'Université de Stanford est l'une des bibliothèques JavaScript les plus populaires pour transformer les données en visuels. Une des choses les plus intéressantes à propos de cet outil est sa documentation. Celle-ci comporte de nombreux exemples des types de visualisation disponibles, incluant des cartes et quelques analyses statistiques. C'est un bon outil, permettant de construire des représentations telles qu'une carte associée à une échelle chronologique.
De la même façon qu'avec les autres bibliothèques JavaScript, il faut connaître ce langage (ou tout au moins être familier d'un autre langage). Même s'il est possible de copier, coller et modifier du code sans vraiment comprendre ce que l'on fait, il est difficile de recommander cette approche à des non-techniciens.
Protovis (cliquer ici pour l'image)
Niveau de compétences : expert.
Fonctionne sur les navigateurs compatibles JavaScript.
En savoir plus : comment démarrer avec Protovis
- Les systèmes d'information géographique sur poste de travail
Il existe de nombreuses applications pour les SIG (systèmes d'information géographique), allant de l'affichage des sites d'extraction pétrolier au choix de nouvelles implantations pour des magasins. Comme le Miami Herald l'a fait (le magazine a obtenu le prix Pulitzer pour sa couverture de l'ouragan Andrew), il est possible de comparer les vitesses maximum des bourrasques avec les dégâts constatés (pour s'apercevoir, par exemple, que les dommages les plus importants n'ont pas été subis dans les zones où le vent a été le plus fort, mais dans des endroits nouvellement construits où les constructions n'étaient pas de bonne qualité).
15 - Quantum GIS (QGIS) : une alternative à ArcView
C'est un SIG à part entière, conçu pour créer des cartes et qui permet des analyses de données détaillées et avancées par zones géographiques. L'application SIG desktop la plus connue est sans doute ArcView, d'Esri, qui coûte un certain prix, mais s'accompagne d'un solide support professionnel. L'alternative Open Source est QGIS, comme OpenOffice peut l'être pour Microsoft Office. A noter qu'Esri a récemment lancé une offre découverte de son SIG pour un usage privé. Les passionnés d'ArcView considèrent qu'Esri offre deux ans d'avance sur ses alternatives Open Source, que son interface est meilleure et qu'il est mieux adapté pour les impressions. De leur côté, les utilisateurs de QGIS soulignent l'excellence du produit Open Source et pointent ses performances lorsqu'il est question de générer des cartes pour le web, grâce à un plug-in spécialisé dans la génération d'images de cartes en HTML.
Quoi qu'il en soit, avec tout SIG avancé, apprendre le maniement du logiciel demande un sérieux engagement. Cela prend du temps. Certaines choses sont plus faciles à faire avec la version commerciale ArcView, a noté pour sa part Sharon Machlis, de Computerworld, qui a pris en main ArcView et QCIS. Elle explique qu'ArcView dispose d'une fonction normalisée pour calculer, par exemple, le pourcentage de personnes de 65 ans et plus au sein d'une population dans une table comportant les deux colonnes. Dans QGIS, il lui fallait appeler un champ calcul et créer une nouvelle colonne avec la formule pour l'obtenir.
Quantum GIS (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : Intermédiaire et expert.
Fonctionne sur Linux, Unix, Mac OS X et Windows. L'installation sur OS X nécessite la mise en place de plusieurs compléments.
En savoir plus : http://www.plantsciences.ucdavis.edu/plant/qgislabs.htm
On trouve d'autres solutions SIG en Open Source sur Spatialanalysisonline.com. A regarder aussi, un outil comme Post-GIS qui permet d'ajouter des objets géographiques à la base de données relationnelle PostgreSQL.
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- Les solutions de cartographie en ligne
Certains outils de cartographie en ligne sont devenus très populaires. Celui de Google, bien sûr, qui dispose en outre de plusieurs compléments tels que Map A List, un add-on qui ajoute à une carte Google Map des données provenant d'un tableur. Il y a aussi Yahoo Maps Web Services, et Bing Maps, de Microsoft qui comportent également des API. Il en existe beaucoup d'autres venant de petites sociétés ou de contributeurs Open Source individuels : des outils, entièrement développés en partant de zéro, pour afficher des données sur des cartes géographiques.
16 - OpenHeatMap : des cartes en couleurs très faciles à créer
Ce site web convivial génère des cartes dont les couleurs se modifient en fonction des informations sous-jacentes : l'évolution d'une population ou d'un revenu moyen, par exemple. On peut aussi placer sur une carte des marqueurs dont la taille varie en fonction des données qui figurent dans la table associée.
En plus de fournir ce service sur le web, son auteur Pete Warden (qui fut un temps développeur chez Apple, notamment sur Final Cut Studio) a également packagé OpenHeatMap sous la forme d'un plug-in JQuery pour ceux qui ne veulent pas dépendre de l'hébergement de OpenHeatMap.com. Toutefois, tous les formats de données ne fonctionnent pas correctement lorsqu'ils sont stockés localement. Pete Warden conseille d'intégrer les cartes depuis le site.
Selon Sharon Machlis, de ComputerWorld (qui a dressé cette liste il y a quelques mois), il est très facile de créer rapidement une carte en couleurs à partir de nombreuses sources de données de localisation, même des adresses IP. « Cela m'a pris environ 60 secondes pour créer une carte présentant les séismes de magnitude 7 et plus dans le monde depuis janvier 2000 », indique-t-elle dans son article (cf image ci-dessous). Les tailles, les couleurs et la transparence des marqueurs se personnalisent aisément.
Inconvénient signalés : les données ne peuvent pas être supprimées une fois mises en ligne.
OpenHeatMap (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant.
Fonctionne sur les navigateurs web compatibles Flash ou HTML 5 Canvas.
En savoir plus : http://www.openheatmap.com/gallery.html
17 - OpenLayers : insérer des cartes dans des pages web
Cette bibliothèque JavaScript pour intégrer des cartes d'informations dynamiques dans des pages web. Elle fonctionne avec OpenStreetMap et d'autres services comme Google Street View. Il est destiné à apporter des fonctionnalités similaires à celles de ces bibliothèques, mais en Open Source. D'autres projets s'en servent pour ajouter des fonctionnalités ou une facilité d'utilisation. C'est le cas de GeoExt qui l'utilise pour apporter des fonctions SIG. OpenLayers peut intéresser les utilisateurs qui connaissent JavaScript et préfèrent se tourner vers une option non commerciale (plutôt que recourir à Google ou Bing).
Niveau de compétences : expert
Fonctionne sur tout navigateur web.
En savoir plus : http://openlayers.org/
Il y a d'autres bibliothèques JavaScript pour incruster des informations sur les cartes, telles que Polymaps. Il existe également d'autres plateformes de cartographies : Google Maps et ses nombreuses API, Yahoo Maps Web Services, Bing Maps et GeoCommons.
18 - OpenStreetMap : une cartographie communautaire
C'est un peu le Wikipedia de la cartographie, doté de fonctions de routes ou d'immeubles auxquelles ont contribué différents utilisateurs dans le monde. L'intérêt principal, c'est son caractère communautaire qui a débouché sur des utilisations intéressantes. Il est par exemple compatible avec la plateforme mobile Ushahidi http://www.ushahidi.com/
utilisée pour récupérer des informations après les tremblements de terre en Haïti et au Japon (alors que Ushahidi peut utiliser plusieurs fournisseurs pour les couches cartographiques, en incluant Google et Yahoo, certains créateurs de projets se sentent plus à l'aise avec des solutions en Open Source).
Inconvénients : Comme pour tout projet acceptant les contributions publiques, il peut y avoir des problèmes d'exactitude certaines fois sur les informations fournies (sur le positionnement de certains services sur les cartes, par exemple). Quoi que ce genre de choses peut arriver avec Google Maps. Par ailleurs, l'apparence des cartes est moins bonne que celles des produits commerciaux concurrents.
OpenStreetMap.org (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant avancé et intermédiaire
Fonctionne sur tout navigateur web.
En savoir plus : http://www.openstreetmap.org/
http://openstreetmap.fr/
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- Analyse de données temporelles
19 - TimeFlow : les concepteurs du projet ont rejoint Google
Ce logiciel pour poste de travail a été développé pour analyser des données ayant une composante temporelle. Ses créateurs, Fernanda Viégas et Martin Wattenberg (tous deux se trouvant derrière le projet Many Eyes d'IBM) ont créé la société Flowing Media, un studio de visualisation spécialisé sur les groupes médias et les projets grand public http://hint.fm/about/. Ils ont rejoint Google en 2010 pour diriger son groupe de visualisation de données Big Picture.
TimeFlow (cliquer ici pour agrandir l'image)
En savoir plus : https://github.com/FlowingMedia/TimeFlow/wiki
- Les nuages de mots et de textes
Certaines spécialistes de la visualisation de données n'aiment guère ces nuages qui affichent les mots d'un fichier texte en faisant varier leur taille en fonction du nombre de fois où ils figurent dans le fichier. Ils ne les trouvent pas sérieux ou jugent qu'ils ont été trop utilisés. Ceux qui veulent néanmoins y recourir peuvent se tourner vers trois outils.
20 - IBM Word Cloud Generator : dans Many Eyes
Plusieurs des outils déjà cités dans la liste établie par Computerworld permettent de créer des nuages de mots. C'est le cas de l'API Visualization de Google et de Many Eyes où l'on trouve Word-Cloud Generator. On peut aussi le faire avec Wordle http://www.wordle.net/ (un outil pratique pour créer ces nuages à partir de sites web plutôt que de fichiers texte).
Word Cloud Generator dans Many Eyes (cliquer ici pour agrandir l'image)
- Outils d'analyse de réseaux sociaux
Ces outils se réfèrent à la définition SNA (social network analysis) pré-Facebook/Twitter. Ils servent à rechercher des liens entre des individus en s'appuyant sur différents jeux de données. Il est nécessaire d'avoir des notions de statistiques pour les utiliser.
21 - Gephi : pour établir des relations dans un réseau complexe
Présenté comme un Photoshop pour les données. Ce projet Open Source est conçu pour visualiser des informations statistiques, incluant des relations au sein de réseaux de type graphe comptant jusqu'à 50 000 noeuds et un demi-million de connexions, de même que l'analyse de facteurs tels que l'intermédiarité, la proximité auxquels s'ajoute un coefficient d'agglomération.
Gephi (cliquer ici pour agrandir l'image)
Fonctionne sur Windows, Linux, Mac OS X avec Java 1.6
En savoir plus : http://gephi.org/
22 - NodeXL : plug-in pour Excel pour explorer Twitter et Flickr
Ce plug-in pour Excel affiche des graphes de réseaux à partir d'une liste de connexions, afin d'aider à dégager des modèles et des liens entre les données. NodeXL combine l'ancienne et l'actuelle définition de SNA. Il est optimisé pour analyser les médias sociaux en ligne. Il intègre notamment des connexions pour appeler les API de Twitter, Flickr et YouTube, ce qui permet de dessiner des réseaux d'utilisateurs et leurs activités, explique Peter Aldhous, responsable du bureau de San Francisco du magazine New Scientist.
NodeXL (cliquer ici pour agrandir l'image)
Fonctionne sur Excel 2007 et 2010 sur Windows.
En savoir plus : http://nodexl.codeplex.com/
CES 2012 : des puces Intel Atom attendues dans des smartphones Android
La semaine prochaine, LG Electronics et Samsung devraient dévoiler des smartphones sous Android équipés des dernières puces Intel Atom Medfield, selon les analystes. L'arrivée de ces appareils, si elle se confirme, pourrait annoncer la fin de la suprématie des puces à base de processeur ARM, qui équipent 95% des smartphones présents sur le marché.
Selon Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates, « la présentation possible de smartphones à base de puces Atom au CES de Las Vegas (10-13 janvier 2012) pourrait rapprocher Google et Intel. » Google étant sur le point d'acquérir Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars, « on peut penser que certains smartphones de Motorola tourneront bientôt aussi avec des puces Atom, » ajoute l'analyste.
Associer McAfee à Android pour renforcer la sécurité
Un effort conjoint d'Intel et de Google pour concevoir ensemble des smartphones, pourrait aussi permettre à Intel, propriétaire de McAfee, d'intégrer son logiciel de sécurité sur mobile. « Au passage, cela permettrait à Google de profiter de la sécurité McAfee pour Android, qui n'a pas la réputation d'être une plateforme très sûre, » a ajouté Jack Gold. Par ailleurs, « Intel a passé beaucoup de temps avec Google pour optimiser Android pour ses puces. »
Pour l'instant LG, Samsung et Google n'ont pas pu être joints pour commenter leurs annonces de smartphones au CES. Mais de l'avis de plusieurs analystes, LG et Samsung devraient montrer des terminaux à base de puces Atom pendant le salon. LG a programmé une conférence de presse dès lundi matin, et Samsung en a programmé une autre lundi après-midi. Vraisemblablement, les nouveaux téléphones Android tournant sous Atom seront équipés du dernier système d'exploitation Android 4.0 Ice Cream Sandwich, mais ce n'est pas certain.
Un premier prototype Atom Medfield/Android
Intel a publié la photo d'un smartphone générique intégrant la puce Atom Medfield, que la revue Technology Review du Massachusetts Institute of Technolgy (MIT) a récemment mise en ligne. D'après le journal du MIT, Stephen Smith vice-président de l'architecture chez Intel, a déclaré que des produits basés sur Medfield seraient annoncés au cours de la première moitié de l'année 2012. Cette information concorde avec la promesse faite par Intel lors de l'Intel Developer Forum 2011 en septembre dernier à SF. La revue technologique indique aussi que le prototype de téléphone tournant sous Medfield ressemblait à un iPhone 4 d'Apple, même s'il semblait moins lourd. Intel n'a pas voulu faire de commentaire au sujet des annonces de mobiles Atom au prochain CES.
Bien que le prototype montré par Intel tournait sous Android 2.3, Jack Gold a estimé qu'Intel et les constructeurs seraient obligés de proposer des appareils tournant sous Android 4.0 pour rester compétitifs. « Un processeur Atom pourrait avoir du succès si les mobiles sont bien conçus, et LG devrait être le premier constructeur à faire une offre compétitive, » a déclaré l'analyste. « Mais Intel a du retard sur ses concurrents Qualcomm et Nvidia en matière de puces pour smartphone. Medfield permet à Intel d'entrer dans l'arène. Cela fait un certain temps que le fondeur essaye de mettre un pied dans ce secteur. »
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Pour sa part, Rob Enderle, du Enderle Group, s'attend aussi à ce que Samsung et LG dévoilent des smartphones sous Android tournant sur un processeur Atom au CES. Mais, de son point de vue, les téléphones à base de puces ARM vont être « très difficile à déloger. » Pour l'analyste, les nouveaux mobiles Atom devraient être au moins 20% plus performants, ou meilleur marché, ou offrir des fonctions de sécurité nettement supérieures, pour faire significativement la différence. « Des améliorations dans le domaine de la sécurité pourraient donner un avantage aux smartphones sous Atom, dans la mesure où ces processeurs sont intrinsèquement plus sûrs. Mais la sécurité n'est pas toujours le principal argument de vente, » a estimé Rob Enderle. « Je doute quand même que les téléphones Atom aient ce qu'il faut pour réussir. D'autant que les constructeurs de smartphones sous ARM ne sont pas restés inactifs. »
Alors que les analystes s'attendent à ce qu'Intel fasse au CES de grandes annonces concernant les puces pour ultrabooks, ils pensent aussi que le fondeur n'a pas renoncé à s'introduire dans un marché du smartphone qui reste solide. La plupart des analystes sont aussi d'accord pour dire que les utilisateurs possédant déjà une tablette, un ordinateur portable ou un ultrabook auront toujours envie d'avoir en plus un smartphone.
Le retour d'Intel sur le marché des smartphones
Intel a quitté le marché des puces pour smartphone quand le fondeur a vendu sa division Xscale Strongarm à Marvell en 2006. Il lui aura fallu des années pour concevoir la puce Atom et aboutir à la version Medfield. « A l'époque, cette cession était une bonne décision, » a déclaré Jack Gold. Jusqu'à cette version Medfield, les puces Atom étaient très gourmandes en énergie, parce qu'elles devaient répartir leurs calculs sur plusieurs puces de silicium. « Medfield travaille vraiment sur une seule puce, ce qui la rend plus efficace et plus compétitive avec la conception ARM, » estiment les analystes. Jack Gold a été impressionné quand il a vu Medfield en action, mais il n'a pas été en mesure de faire la comparaison avec des téléphones à base d'ARM.
Reste que, dans le cas où les smartphones sous Medfield ne rencontreraient pas de succès, le processeur pourrait très bien se retrouver dans des tablettes au moment de la sortie du système d'exploitation Windows 8, plus tard cette année. Une première version bêta de « Eight » est prévue pour le mois de février. Microsoft pourrait également s'appuyer sur des systèmes Atom pour équiper des appareils tournant sous Windows Phone 7.5 ou 8. « La puce Atom pour tablette aura probablement plus de chance de réussir, » a déclaré Rob Enderle.
(...)(05/01/2012 15:45:57)Le piratage devient une religion en Suède
Depuis 2010, le groupe Suédois pro-piratage nommé Kopimi tente de se faire reconnaître officiellement en tant que religion. Après plusieurs tentatives répétées et vaines, l'Eglise missionnaire du Kopimism est maintenant officiellement enregistrée en tant qu'organisation religieuse en Suède. Les adeptes du Kopimism (un dérivé suédois de « copy me ») militent pour que la copie soit un sacrement, les touches CTRL + C et CTRL + V sont leurs symboles et leur credo est « l'information est sacrée ». L'église a été fondée par Gerson Isak, un étudiant en philosophie et revendique 3000 membres. Avec cette reconnaissance, les kopimistes espèrent échapper aux poursuites judiciaires en cas de partage et d'échanges de fichiers.
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