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(22/04/2009 17:05:37)

Les investissements IT en France ne reprendront pas avant 2011

Au mois d'août 2008, IDC France prévoyait 1,5% de croissance des budgets informatiques des entreprises françaises pour 2009. Un chiffre révisé au mois de novembre suivant. En plein déclenchement de la crise, la prévision tombait de 1,5 à 0,2% de croissance. Cette fois, le cabinet annonce -0,05%. La tendance est passée dans le rouge. « Plus de 50% des entreprises interrogées ne voient pas de sortie de crise avant fin 2010, nous explique Stéphane Krawczyk, consultant senior auteur de l'étude. Jusqu'alors on espérait que cette échéance serait plus rapprochée ». Elément fort de l'étude, l'informatique est le deuxième poste de dépense affecté dans les entreprises. Quand on sabre dans les budgets, à 50% c'est dans les frais généraux, mais derrière, dans 35% des cas, la hache tombe sur l'informatique. A égalité avec les transports et les déplacements. Manifestement, certains budgets informatiques sont faciles à remettre en cause, essentiellement les renouvellements de matériels. Mais ce n'est qu'une solution à court terme, rapidement les parcs à renouveler devront l'être sous peine de toucher au système d'information lui-même. Une hypothèse à vérifier dans les prochains baromètres. Actuellement, les entreprises ont deux armes principales pour réduire leurs budgets informatiques : repousser des projets ou des renouvellements de contrats ou de parcs, ou bien entamer la renégociation à la baisse des contrats. L'étude montre également une répartition des entreprises en trois catégories d'inégale importance. 45% des entreprises déclarent ne pas modifier leurs budgets informatiques 2009 par rapport à ceux de 2008. 35% envisagent une baisse comprise entre 5 et 10% (39% de ces 35% prévoyant une baisse de plus de 10% de leurs budgets). 22% conservent un relatif optimisme et envisagent des budgets en hausse (39% de ces 22% envisagent même une croissance de plus de 10%). Les projets d'investissements phares de 2009 seraient : les applications métiers, les logiciels de sécurité, la refonte des architectures télécoms. Les plus touchées sont également les applications métiers et les architectures télécoms, mais aussi la BI et les applications collaboratives. Comment les fournisseurs vont-ils recevoir ces chiffres ? On peut noter qu'au 1er trimestre, tous se sont efforcés de souligner que les reports de budgets, fréquents, ne signifiaient pas des annulations. La tendance montrée par IDC pourrait les inciter à relativiser leur optimisme. Chaque trimestre, le baromètre d'IDC France permettra en tout cas de mesurer le moral des DSI et de donner une idée de celui de leurs prestataires. (*) C'est le « baromètre entreprise France », basé sur l'interview de 400 entreprises, réalisée pour cette édition en février et mars. Des entreprises de trois tailles : 100 à 200 salariés, 200 à 500, 500 et +. (...)

(22/04/2009 16:49:22)

MySQL 5.4 disponible au téléchargement

Ironie des agendas : c'est au moment où Oracle met la main sur Sun, propriétaire de l'entité commerciale de MySQL que se tient la MySQL Conference & Expo à Santa Clara en Californie. A cette occasion, la version 5.4 du SGBD open source arrive sur le marché et sa mouture cluster 7.0 est annoncée. Les deux environnements débarquent en pleine période de doute sur l'avenir du SGBD libre racheté par son concurrent le plus implacable. Successeur de la version 5.1, MySQL 5.4, profite d'une version d'InnoDB, son principal moteur de stockage, qui bénéficie d'améliorations apportées par Google, fervent adepte de MySQL. Les promoteurs de ce dernier mettent en avant une nette amélioration dans les environnements multiprocesseurs : doublement du nombre de coeurs supportés : 16 X64, soit quatre processeurs quadricoeurs, et 64 coeurs pour les autres processeurs (Sparc Tx de Sun, Power d'IBM...) MySQL 5.4 donne aussi tout son potentiel lorsqu'il est installé en environnement multi-disques. Il optimise par ailleurs des "sous-requêtes" et de nouveaux algorithmes de requêtes. Sans optimisation, le passage à cette version devrait permettre d'améliorer de 40% la performance des applications actuelles. Une pré-version est déjà téléchargeable pour Linux 64 bits et Solaris 10. Les autres moutures destinées à Windows, MacOS, HP-UX, IBM -AIX devraient suivre. Quant à MySQL cluster 7.0, destiné aux gros opérateurs telco qui ont besoin d'un SGBD temps réel haute disponibilité, elle sera disponible d'ici trois mois. L'histoire montre qu'Oracle considère MySQL comme une menace. Après avoir acheté en octobre 2005 l'éditeur libre Innobase d'InnoDB, moteur de stockage transactionnel de prédilection de MySQL, l'éditeur a tenté d'acheter la structure commerciale de MySQL en 2007 pour 850 M$. En janvier 2008, MySQL s'offrait à Sun pour 1 Md$. Dans la déclaration officielle de l'achat de Sun, Oracle met autant l'emphase sur Java qu'il observe un silence pesant sur MySQL et son avenir. En particulier sur MySQL 6.0 actuellement en phase alpha. (...)

(22/04/2009 15:31:39)

Yahoo supprime 700 postes pour pallier la dégringolade de ses résultats

Les résultats financiers du premier trimestre 2009 de Yahoo ne sont guère plus reluisants que ceux publiés fin 2008 : le bénéfice net du portail perd 78% (118 M$ contre 537 M$ au premier trimestre 2008) et le chiffre d'affaires passe de 1,89 Md$ à 1,58 Md$ (-13%), légèrement au-dessus des attentes des analystes interrogés par Reuters, qui tablaient sur un CA de 1,2 Md$. Pour redresser la barre, Carol Bartz, PDG de Yahoo depuis janvier dernier, a décidé de tailler dans les effectifs. Comme prévu, après avoir réorganisé l'équipe dirigeante pour en simplifier le fonctionnement, elle allège la masse salariale. Elle a ainsi annoncé la suppression de 5% des postes (Yahoo emploie 13 600 personnes), soit près de 700 salariés qui rejoindront les 2600 personnes déjà remerciées au courant de l'année 2008. « Il s'agit du prolongement naturel des efforts que nous faisons pour simplifier notre structure et éliminer les redondances », a justifié Carol Bartz. L'argent économisé sera réinvesti dans des services qu'elle qualifie de prioritaires : innovation dans la publicité en ligne et amélioration des pages comme celle d'accueil, le sport, les actualités, la finance, les divertissements, la high-tech et la mobilité. Microsoft-Yahoo : no comment sur l'avancée des discussions Carol Bartz explique la médiocrité de résultats de Yahoo par divers facteurs, comme la revente de Kelkoo pour un montant quatre fois inférieur à celui d'achat (soit 475 M€), le ralentissement du marché de la publicité en ligne ainsi que l'introduction en bourse d'Alibaba, un site chinois détenu par Yahoo à hauteur de 40%. Carol Bartz s'est en revanche gardée de faire allusion à la gestion désastreuse de Yahoo par son prédécesseur, Jerry Yang, ainsi qu'à l'échec de l'OPA de Microsoft. Même mutisme sur l'avancée des pourparlers avec Steve Ballmer au sujet d'un éventuel partenariat autour de la recherche en ligne. (...)

(22/04/2009 15:30:34)

Nouveau coup de semonce européen contre la riposte graduée

L'amendement 138 - voté par les députés européens avant que d'être retiré par le Conseil de l'UE, alors sous présidence française - revient sur le devant de la scène et pourrait empoisonner la riposte graduée voulue par Paris. Hier, la commission Itre du Parlement européen (Industrie, recherche et énergie) a ainsi adopté un amendement, numéroté 46, dans le cadre du pré-examen du Paquet Télécom, une vaste batterie de mesures destinées à réguler le secteur des télécommunications en Europe. En réalité, l'amendement 46 reprend les dispositions de son prédécesseur, le fameux 138. Celui-ci dispose qu'« aucune restriction aux droits et libertés fondamentales des utilisateurs finaux ne doit être prise sans décision préalable de l'autorité judiciaire ». En ligne de mire : l'Hadopi. La haute autorité sera en effet chargée de suspendre la connexion à Internet des citoyens téléchargeurs sans en référer à une autorité judiciaire. En clair, le projet de loi français dote la justice administrative de prérogatives que les députés européens entendent voir réservées à la justice judiciaire. Le vote d'hier ne permet cependant pas de préjuger de l'avenir de la riposte graduée. Pour que l'amendement 46 revête une portée juridique et contraignante, il faudra auparavant qu'il soit voté, dans le cadre du Paquet Télécom, par le Parlement et le Conseil. La séance, programmée le 5 mai, s'annonce comme une gageure : si les députés sont majoritairement favorables à l'amendement, le Conseil, au sein duquel la France est influente, y reste opposé. La solution pourrait alors passer par un compromis entre les deux institutions. Pour cela, les eurodéputés ont mandaté Catherine Trautman, qui mène donc des négociations avec les représentants des 27 depuis plusieurs semaines. L'ancienne ministre française de la Culture a d'ores et déjà indiqué qu'elle ne cèderait pas aux pressions du Conseil et qu'elle défendrait bec et ongles la position du Parlement. Si c'était le cas, et si le Conseil se montrait lui aussi inflexible, aucun compromis ne serait trouvé : une procédure de conciliation serait alors mise en place à l'issue de la session plénière du 5 mai - qui aura inévitablement abouti à un échec -, qui bloquera l'adoption de l'ensemble du Paquet Télécom. D'autant que cette procédure pourrait n'intervenir qu'après la tenue des prochaines élections européennes et la prise de fonction des nouveaux députés. Soit, au mieux, en juillet, voire au début de l'automne. En attendant, toute l'Europe des télécoms se retrouverait bloquée, suspendue à des réformes pendantes. (...)

(22/04/2009 12:55:14)

Oracle-Sun : le président de l'AUFO appelle les utilisateurs Sun à rejoindre son club

Si Oracle est désormais bien rodé pour ses procédures d'absorption de sociétés, il en va de même, forcément, pour l'AUFO, l'Association française des utilisateurs francophones d'Oracle. Dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, Jean-Jacques Camps, DSI d'Air Liquide Ingénierie et président du club utilisateurs, explique en effet qu'après les utilisateurs de Siebel ou d'Hyperion, il accueillerait bien volontiers ceux de Sun. Ce qui serait d'ailleurs l'occasion de donner une coloration plus technologique à l'association, qui réunit surtout, aujourd'hui, des utilisateurs intéressés par les aspects applicatifs. En ce qui concerne les perspectives elles-mêmes du rachat, Jean-Jacques Camps estime qu'elles s'inscrivent correctement dans la stratégie d'Oracle, qu'il s'agisse de Java, pour renforcer l'offre middleware, ou des serveurs, dans la mesure où Oracle avait déjà commencé à investir ce terrain avec sa Database Machine Exadata, conçue avec HP. Entretien intégral à lire ici.

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(22/04/2009 12:52:02)

Sun-Oracle : les technologies convoitées, les abandons possibles

Java et Solaris sont les deux principales raisons pour lesquelles Oracle a racheté Sun, de l'aveu même de son PDG Larry Ellison. Dans ces conditions, on peut s'interroger sur le devenir des processeurs Sparc, des serveurs, du stockage ou de la gestion des identités. On peut aussi se demander comment OpenSolaris et Java mobile évolueront. Et quid de la cohabitation entre les SGBD Oracle et MySQL ? Solaris et OpenSolaris Oracle supporte Solaris depuis de nombreuses années. Pour Larry Ellison, ce système d'exploitation est « de loin la meilleure technologie Unix du marché ». Et même si l'offre matérielle de Sun n'a pas le poids de celle d'IBM, Oracle va pouvoir constituer un modèle matériel/logiciel qui se rapproche de celui de Big Blue, son concurrent sur le marché des bases de données. « Nous allons intégrer étroitement Oracle Database avec les fonctions haut de gamme spécifiques à Solaris », a promis Larry Ellison qui parle de livrer des solutions complètes, « de la base de données jusqu'aux disques ». Une méthode en vogue si l'on observe les annonces récentes de datacenters intégrés de Cisco et HP. Oracle est un fervent partisan de Linux et les analystes se demandent s'il n'envisage pas une harmonisation avec OpenSolaris, la version libre et gratuite de Solaris. Il y a deux semaines, Edward Screven, architecte en chef et spécialiste de Linux chez Oracle, déclarait qu'Oracle aimerait que Linux devienne l'OS par défaut des datacenters, pour que la question ne se pose plus. Pour David Mitchell, analyste chez Ovum, il est pourtant tout à fait improbable, qu'Oracle lâche la version commerciale de Solaris pour Linux, en raison notamment des revenus de maintenance et de services qu'elle génère. « C'est une activité extrêmement profitable, précise-t-il ». Il prédit qu'Oracle continuera à faire évoluer Solaris, plus adapté aux applications critiques, notamment dans le secteur des télécommunications. Toutefois, selon David Mitchell, l'apport de certaines fonctions d'OpenSolaris à Linux est une option sur laquelle les développeurs ont déjà travaillé. Pour l'instant, les licences des deux OS restent incompatibles, comme le note Stephen O'Grady, analyste chez RedMonk (CDDL pour l'un, GPL pour l'autre), mais Oracle pourrait modifier celle d'OpenSolaris pour permettre un transfert de fonctions entre les deux. Java mobile Parlant de Java, le patron d'Oracle considère qu'il s'agit de « l'actif le plus important » jamais racheté par sa société. Ni plus, ni moins. Il a déclaré que, désormais, l'activité Oracle Fusion middleware basée sur Java, déjà renforcée par l'acquisition de Bea, est sur les rails pour devenir aussi importante pour Oracle que son activité base de données. Mais c'est l'utilisation de Java en entreprise qui l'intéresse le plus. A l'inverse, la plateforme Java mobile ne sera sans doute pas une priorité, comme le subodore l'analyste Jack Gold, de J.Gold Associates, en ajoutant qu'elle ne l'était déjà pas pour Sun. Le rôle de Java dans les téléphones portables pourrait décliner à mesure que baisseront les prix des Smartphones qui les remplaceront, même si cela prend plusieurs années. La vague suivante arrivera avec la prochaine plateforme Java FX conçue pour les smartphones. Sparc Autre interrogation lourde, à la suite du rachat de Sun, le support de serveurs à base des processeurs Sparc du constructeur. Solaris étant disponible à la fois pour ces systèmes et ceux à base de x86. Jim McGregor, analyste chez In-Stat, rappelle que les parts de marché des systèmes Sparc se sont réduites au profit des serveurs sous Unix de HP et IBM. Le nouveau propriétaire de ces architectures pourraient ainsi arrêter le développement autour de ces processeurs spécifiques ou vendre l'activité. « Un certain nombre de ce type d'offres Unix se sont concentrées sur des marchés de plus en plus petits, tels que l'informatique haute performance, et cela n'a pas beaucoup de sens que trop d'acteurs s'investissent encore longtemps sur ces architectures », juge Jim McGregor. Et de citer Silicon Graphics et Cray qui sont passés sur des technologies x86, Intel ou AMD. Larry Ellison a d'ailleurs sous-entendu lundi que l'offre Solaris était plus importante que le Sparc. MySQL [[page]] MySQL Conséquence de taille de l'opération Oracle/Sun, la base de données Open Source la plus populaire du marché, MySQL, cohabitera avec Oracle Database, la base relationnelle qui génère le plus de revenus dans le monde. Cette dernière a rapporté 22 Md$ à son éditeur entre 2005 et 2007, soit plus du double des ventes de base de données DB2 du principal rival, IBM. De son côté, MySQL a été téléchargé plus de 100 millions de fois, selon Sun. Le constructeur avance 70 000 téléchargements quotidiens et 12 millions de bases en production, notamment chez Google, YouTube, Yahoo... Cette juxtaposition entraîne-t-elle une situation anti-concurrentielle ? Certes pas. Si Oracle Database joue bien un rôle de locomotive, « elle est loin de constituer un monopole », rappelle Curt Monash, de Monash Research Today. En 2007, Oracle s'octroyait 44,3% du marché des bases de données, mais IBM en détenait 21% et Microsoft 18,5%. Quant aux 38 M$ de revenus générés par MySQL en 2007, ils plaçaient l'acteur au 19e rang selon IDC, derrière des vendeurs comme Siemens, Unisys, Hitachi et même Apple avec Filemaker. Le risque d'un monopole aurait été autrement plus important, si IBM avait racheté Sun, sur le marché des serveurs sous Unix, leurs ventes combinées dans ce domaine atteignant 11,2 Md$. Kenneth Chin, analyste chez Gartner, rappelle que ce sont d'abord les revenus financiers que les autorités de régulation surveillent de près : « l'Open Source apparaît moins dans leur radar ». A propos de MySQL, Kenneth Chin pense que les clients les plus prompts à réagir pourraient donner de la voix si Oracle vient à hausser les tarifs de support. Mais il note aussi qu'Oracle ne s'est pas mêlé des processus de vente/marketing autour des bases Open Source qu'il a déjà rachetées, BerkeleyDB et InnoDB. Si Sun fonctionne comme une entité séparée, MySQL pourrait rester suffisamment loin d'Oracle pour ne pas être touché par d'éventuelles augmentations. Stockage Depuis septembre 2008, Oracle propose en collaboration avec HP la Database Machine, une solution matérielle conçue pour les applications de datawarehouse qui embarque des serveurs de stockage Exadata. Avec l'absorption de Sun, le voilà à même de réaliser d'autres systèmes de ce type. « La plateforme Open Storage de Sun est très similaire à la plateforme Exadata », a déclaré le président d'Oracle, Charles Phillips. Toutes deux utilisent des serveurs standards, des disques et des connexions InfiniBand ». Jim McGregor, du cabinet In-Stat, estime qu'Oracle a suffisamment d'envergure pour se permettre de débarquer ainsi sur le segment du matériel. Mais il reconnaît aussi que « ce n'est probablement pas la meilleure opportunité » pour la société de Larry Ellison. Gestion des identités Sun et Oracle font partie du Top 5 des solutions de gestion des identités avec IBM, CA et Novell. Ils ont tous deux procédé à des rachats qui entrainent aujourd'hui des recouvrements. Thor, Bridgesteam, Phaos, OctetString pour Oracle, Waveset et Vaau pour Sun, notamment. Ils ont aussi tous deux développé des produits dans le domaine (Sun Access Manager, Federation Manager, Role Manager...) « Oracle va devoir faire des choix délicats », entrevoit Jamie Lewis, président du Burton Group. Selon lui, le chevauchement le plus évident se situe sur les produits de gestion des accès et de réservation des ressources (provisioning). Andre Duran, PDG de l'éditeur Ping Identity, ne se prive pas d'un pronostic : « Déterminer ce qui doit rester [dans les deux catalogues], ce qui doit être abandonné et intégrer les éléments conservées va constituer une tâche énorme qui va immanquablement entraîner des conséquences pour les bases installées ». Pour compliquer les choses, sur les solutions d'annuaire Sun s'est résolument impliqué dans l'Open Source, lâchant du lest sur son offre Directory Enterprise Edition en faveur de la plateforme OpenDS. « Les produits se concurrencent, ils ne pourront pas tout garder, affirme sur ce point Don Bowen, qui a quitté Sun il y a à peine un an pour participer au lancement de UnboundID, une solution basée sur OpenDS. Cela dit, les produits de gestion des identités sont loin d'être stratégiques dans le rachat de Sun. (...)

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