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(15/01/2009 17:54:09)
Oracle, SAP et IBM en tête des suites de gestion de la performance, selon Gartner
Le marché des suites de gestion de la performance d'entreprise (CPM, corporate performance management) a été considérablement modifié au cours des deux dernières années par les rachats successifs qui ont été opérés dans le secteur du décisionnel (Business Intelligence). Toutefois, sans surprise, Gartner place les offres d'Oracle (avec Hyperion), de SAP (avec Business Objects) et d'IBM (avec Cognos) dans la catégorie des leaders sur le carré magique de sa dernière étude sur le sujet, publiée en décembre 2008 par Neil Chandler, Nigel Rayner et John Van Decker. Pour le cabinet d'études, ces trois poids lourds de l'édition de logiciels sont assez largement en tête par rapport aux solutions concurrentes, en raison de la vision globale que ces éditeurs portent sur ce marché et de leur capacité à mettre en oeuvre leur suite de CPM. Gestion de budget, prévisions, consolidation financière Les suites de CPM regroupent des outils permettant de formuler la stratégie d'entreprise et d'établir les budgets et les prévisions, des outils de consolidation et de reporting financiers, ainsi que des applications analytiques permettant de mettre en place des indicateurs de performance pour évaluer si les objectifs stratégiques et opérationnels ont été atteints. Ces suites ciblent les groupes et les entreprises du mid-market ayant de multiples entités, ainsi que les administrations. Parmi les acteurs du CPM, certains ne proposent qu'une partie de ces outils. Toutefois, dans son étude, Gartner a retenu uniquement des éditeurs dont les suites de CPM comportent au moins trois applications de cette nature. Il a restreint également son analyse aux fournisseurs ayant réalisé au moins 5 M$ de chiffre d'affaires sur ces produits au cours de la dernière année fiscale, disposant, au moins, de vingt clients actifs utilisant deux applications de CPM ou plus du même éditeur, et opérant au moins sur deux régions différentes (Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe/Moyen-Orient/Afrique, Asie/Pacifique ou Japon). Infor en challenger et parmi les visionnaires, SAS, Microsoft et Exact Au-delà de ces trois leaders, Gartner distingue un challenger doté de capacités d'exécution presque équivalentes, mais d'une vision marché moins large. Il s'agit d'Infor (également distingué l'an dernier par Ventana Research) qui a absorbé l'offre d'Extensity en 2006. A l'inverse, la catégorie des visionnaires est créditée par le cabinet d'études d'une vision plus large mais de capacités d'exécution légèrement moins étendues. Gartner y place quatre acteurs : SAS (dont la solution a par ailleurs été évaluée et distinguée par le cabinet français Yphise), Clarity Systems, Microsoft et le Néerlandais Exact Software qui a acquis en octobre 2007 la solution de CPM de Longview. Enfin, dans les acteurs de niche, les analystes listent Tagetik, qui vient de s'installer en France, Lawson et Board International (également représenté en France). (...)
(15/01/2009 17:36:05)Motorola annonce de nouvelles réductions d'effectifs
Motorola a décidé de prendre de nouvelles mesures pour tenter de résister à la chute de ses ventes. Le constructeur a annoncé mercredi soir qu'il allait supprimer 4 000 emplois supplémentaires, dont 3 000 dans sa division téléphonie mobile, après les 3 000 déjà annoncés fin octobre. Avec ce nouveau plan, Motorola espère économiser 700 millions de dollars en plus des 800 M$ visés par le plan précédent. Ce qui porterait la diminution des coûts à 1,5 Md$ en 2009. Le fabricant a également précisé qu'il s'attendait à de nouvelles pertes, au quatrième trimestre. (...)
(15/01/2009 17:31:07)L'UE donne le feu vert aux passeports biométriques
Les députés européens donnent leur feu vert à la mise en circulation des passeports biométriques. Hier, les élus du Parlement européen ont approuvé à une large majorité une réglementation autorisant l'inclusion d'un support de stockage numérique dans les passeports des ressortissants des 27 Etats membres. Une photographie et deux empreintes digitales y figureront. L'idée de créer des passeports biométriques s'est imposée après les attentats du 11 septembre 2001. Les partisans de l'apposition des empreintes digitales arguent que celles-ci contribueront à renforcer la sécurité aux frontières, en compliquant la tâche des personnes malintentionnées désireuses de voyager avec un titre falsifié ou volé. Mais cette nouvelle génération de passeports suscite également les craintes des tenants des libertés individuelles. Ils redoutent en premier lieu la création d'un fichier qui recenserait les empreintes digitales de toute la population. Ils s'effraient ensuite de ce que le recours à la biométrie ne produise les effets inverses de ce pour quoi il est pensé. « Il existe un risque que les policiers aux frontières se reposent trop sur la technologie aux dépens des techniques traditionnelles d'identification », explique ainsi le chercheur en sécurité Richard Clayton, de l'Université de Cambridge. Une inviolabilité qui reste à prouver « Avec les passeports actuels, les agents des frontières examinent attentivement les visages des voyageurs. Si, avec un passeport biométrique, la correspondance est établie entre les empreintes digitales stockées sur le document et celles de celui qui s'en prétend le titulaire, il existe alors un risque de voir les éléments 'humains' laissés de côté, comme le comportement des individus : semblent-ils agités, nerveux... », poursuit l'universitaire. Par ailleurs, ajoute-t-il, les empreintes digitales ne constituent pas un élément d'identification infaillible, et risquent donc de poser de sérieux problèmes en cas de faux positif. En 2004, après les attentats de Madrid, un juriste américain, Brandon Mayfield, avait fait les frais de ces erreurs potentielles : ses empreintes correspondaient à celles d'un terroriste suspecté. Il aura fallu attendre que la malheureuse coïncidence soit attestée pour que l'homme soit libéré de prison. En outre, les éléments numériques des passeports stockant des données biométriques ne semblent pas si infaillibles que leurs défenseurs l'affirment. Il n'est qu'à se pencher sur l'exemple des passeports britanniques : cet été, le quotidien The Times a démontré combien il était simple de modifier le contenu de la puce via un système conçu par un expert néerlandais. En ce qui concerne les enfants, les députés européens ont repoussé une proposition de la Commission. Les bambins de moins de douze ans n'auront donc pas l'obligation d'apposer leurs empreintes dactyloscopiques sur leur passeport. Ils ne pourront cependant plus figurer sur le document de leurs parents. Enfin, les personnes dépourvues de mains - et donc d'empreintes - ne seront pas tenues de posséder un passeport biométrique. Elles devront être munies de passeports provisoires, renouvelables tous les ans, si elles souhaitent voyager au-delà de l'espace Schengen. (...)
(15/01/2009 16:34:58)Le projet d'astrophysique Planck s'offre un supercalculateur de plus de 12 Tflops
L'Institut d'Astrophysique de Paris (IAP) s'est doté d'un tout nouveau centre de calcul pour le projet Planck. Le satellite, qui a pris le nom du célèbre physicien, a pour vocation d'observer la lumière émise par l'univers tel qu'il était il y a plus de 13 milliards d'années, soit 380 000 ans après sa naissance. C'est la masse de données issue de ces observations (500 milliards de données brutes) qui devra être stockée et traitée par le biais des serveurs de l'IAP. HP, SGI et Sun ont répondu à l'appel d'offre, mais c'est IBM et son partenaire Serviware qui l'ont emporté. Si en termes techniques, les configurations se sont révélées assez proches les unes des autres, l'IAP, qui pilote pour le projet pour le compte de l'Agence spatiale européenne, a opté pour la prestation de service de Big Blue. Sur des pièces vitales comme le commutateur Voltaire (qui assure l'interconnexion des noeuds du cluster), Serviware s'engage à résoudre le problème dans la journée. Sur des éléments moins cruciaux, il intervient au pire le lendemain (J+1). Il faut dire que la moindre panne sur la machine revient à gâcher le temps de fonctionnement d'un satellite dernier cri... Les chercheurs voulaient un système économe, intégré et avec un système de fichiers fiable Pour la troisième mouture de leur centre de calcul, les chercheurs ont listé trois exigences principales. Pour commencer, il fallait un système clé en main sur lequel les chercheurs n'auraient pas à intervenir avec le niveau de service idoine. Ensuite, la configuration choisie devait entrer dans une enveloppe thermique et énergétique finie, puisque la salle machine de l'Institut n'est en aucun cas extensible. Selon Philippe Parnaudeau, le système IBM installé devrait dépenser 50 kW à plein régime sachant qu'il fonctionnera plutôt entre 60 et 70% de ses capacités. Enfin, dernière exigence, le système de fichiers devait être capable de gérer les masses de données issues du satellite de la façon la plus fiable possible. Le précédent calculateur s'appuyait sur le système Open Source Lustre. Mais Philippe Parnaudeau, chargé du cahier des charges et de l'infrastructure, précise que ce dernier « n'était pas assez mature lorsque [nous] l'avons testé ». Pour ces raisons, l'institut lui a donc préféré GPFS, le système de fichiers parallèle d'IBM. Un cluster de 132 noeuds, avec 128 To de stockage rapide Le système est un cluster iDataplex de 132 noeuds à base de quadri-coeurs Xeon E5472 à 3 GHz d'Intel (12Gflops par coeur, un cache de niveau 2 de 12 Mo, moins de 80W par processeur). Cette offre d'IBM, qui promet une puissance de plus de 12 Tflops, est destinée en particulier à réduire la consommation électrique et la dissipation de chaleur. C'est un commutateur Infiniband qui assure à la fois le passage de messages dans le cluster (MPI) et les échanges de données. Il assure une bande passante de 11,52 Tbps avec une latence de 420 ns. Le système de stockage rapide DCS 9900 d'IBM compte 160 disques pour une capacité utile de 128 To. Une configuration de stockage lente NFS lui ajoute 220 To. (...)
(15/01/2009 16:11:10)Plus de la moitié des développeurs prévoient de travailler sur des projets Saas
Signe, s'il en était encore besoin, que le logiciel 'on demand' a le vent en poupe : plus de la moitié des développeurs (52%) prévoient de travailler sur des projets d'applications Saas (software as a service) en 2009. C'est la principale conclusion d'une étude réalisée par Evans Data auprès de 1300 développeurs dans le monde entier. Pour l'institut d'études, ce constat est la preuve que les entreprises prennent conscience des avantages du Saas, notamment son coût réduit et son déploiement plus simple que pour le modèle traditionnel. Actuellement, c'est en Amérique du Nord qu'on compte la plus grande proportion de développeurs travaillant sur des projets Saas (30%). Ils sont moins nombreux dans la zone EMEA mais Evans Data estime que 53% d'entre eux franchiront le pas cette année. Un taux qui devrait être encore supérieur en Asie. Par ailleurs, Evans Data note que les projets 'cloud' restent moins nombreux que ceux consacrés au Saas, avec moins de 10% des développeurs travaillant sur ce sujet. Ce nombre devrait toutefois progresser en 2009 : plus du quart des personnes interrogées prévoient des développements 'cloud' cette année et près de la moitié des développeurs asiatiques envisagent de travailler autour de ce thème. (...)
(15/01/2009 16:07:09)Google supprime une centaine de postes de sa division recrutement
Google a décidé de lever une partie du voile sur le nombre de sous-traitants qu'il compte remercier. Le géant des moteurs de recherche vient en effet d'indiquer qu'il allait mettre fin à la majorité des contrats passés avec ses fournisseurs de services de recrutement. Selon le billet posté sur le blog officiel de Google, Laszlo Bock, vice-président de l'activité "People Operations" de la firme de Moutain View précisait : « Google continue de recruter, mais à un rythme moins soutenu, compte tenu du climat économique actuel. Ce ralentissement des embauches nous a conduit à réduire la quasi totalité des contrats passés avec les prestataires qui nous fournissaient des services liés au recrutement ». L'entreprise a décidé d'aller plus loin en réduisant la taille de sa division recrutement, décision qui se soldera par la suppression d'une centaine de postes aux RH. Dans son billet, le vice-président de Google reconnaît que ce soudain changement d'orientation sera très difficile pour les personnes concernées, et il espère qu'elles pourront se reclasser au sein de l'entreprise : « Les salariés qui travaillent aux recrutements ont aidé à bâtir cette entreprise, grâce à l'embauche de nouveaux collaborateurs, et nous leur sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce qu'ils ont fait ». Pas sûr que la centaine de salariés concernés par ces suppressions de postes soient sensibles à un tel gage de reconnaissance. (...)
(15/01/2009 15:20:49)Le marché mondial des PC en récession au quatrième trimestre 2008
Selon IDC, les 77,3 millions de PC vendus au quatrième trimestre 2008 constituent une baisse de 0,4% par rapport aux livraisons de la période correspondante de l'année précédente. Pour le Gartner Group, dont les méthodes de calcul diffèrent, elles n'ont progressé que de 1,1% à 78,1 millions d'unités. Toutefois, au regard de leurs estimations respectives, les deux cabinets s'accordent à constater qu'il s'agit du trimestre le plus mauvais depuis 2002. L'effondrement eût été encore plus marqué sans le dynamisme des netbooks. IDC indique que la moitié des 10 millions livrés en 2008 le fut au quatrième trimestre. Malgré ces netbooks, l'ensemble des livraisons de portable n'a progressé que de 20% contre 40% au cours des neuf premiers mois. Quant aux machines de bureau, dont les livraisons déclinaient doucement depuis le début de l'année, elles ont brutalement chuté de 16% au cours de trois derniers mois. Aucun des deux cabinets ne communique pour l'instant d'informations précises sur l'état du marché en valeur, laquelle doit être encore plus déprimante. Le Gartner indique cependant "une baisse record" du CA sous l'effet conjugué de fortes baisses du prix de vente moyen (ASP - Average Sale Price) et de l'importance prise par les modèles les moins chers. Selon le Gartner, l'ampleur de la déprime du marché américain (-10% à 15,6 millions d'unités) fut telle qu'elle a impacté le marché mondial. Dans le même temps, les marchés européens ont fait bonne figure avec une croissance de 4,9% à 30 millions d'unités. Grâce aux croissances engrangées au cours des trois premiers trimestres, le marché progresse sur l'année de 10,9% à 302,2 millions d'unités, selon le Gartner, et de 10,5% à 297,2 millions d'unités, selon IDC. Selon le Gartner, que l'on regarde les chiffres annuels ou trimestriels, le classement des constructeurs reste stable. HP demeure numéro un avec, sur les deux périodes, le troisième taux de croissance. Acer, qui démontre ainsi la réussite des absorptions de Packard-Bell et de Gateway, décroche la plus forte croissance et s'installe à la troisième place mondiale. Entre HP et Acer, Dell peine à retrouver son souffle. Sur l'année, il perd du terrain par rapport à HP et, au quatrième trimestre, il enregistre une baisse de près de 6% de ses livraisons alors que ses deux concurrents les plus proches progressent plus vite que le marché. En quatrième position, Lenovo est à la peine alors que Toshiba, cinquième, affiche un taux de croissance supérieur à 20%, même au quatrième trimestre. (...)
(15/01/2009 13:24:38)Nathalie Kosciusko-Morizet succède à Eric Besson contre toute attente
Nombreuses étaient les rumeurs sur le nom du successeur d'Eric Besson au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique. Finalement, Nicolas Sarkozy joue la carte de la surprise en nommant Nathalie Kosciusko-Morizet, que personne n'avait pressentie à ce poste. Jusqu'à présent secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, maire de Longjumeau et secrétaire générale adjointe de l'UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet ne s'est jamais fait remarquer par ses prises de position sur quelque sujet concernant l'IT. De fait, son engagement politique s'est invariablement concentré sur les questions environnementales, auxquelles elle affirme s'être intéressée très tôt. Après être passée par Polytechnique, elle intègre en 1999 la direction des relations économiques extérieures, pour travailler sur l'environnement. Le même thème lui permettra de rejoindre le cabinet du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin en 2002, au poste de conseillère technique, puis d'intégrer le secrétariat national de l'UMP l'année suivante, et enfin de seconder Jean-Louis Borloo au ministère de l'Ecologie en 2007. En choisissant de placer NKM au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, le chef de l'Etat pourrait logiquement vouloir diriger l'action de ce maroquin vers davantage de Green IT. La soeur de Pierre Kosciusko-Morizet, patron de Priceminister, devra néanmoins se pencher sur les dossiers laissés ouverts par son prédécesseur, Eric Besson. A commencer par la traduction en actions concrètes des mesures contenues dans le plan France numérique 2012. (...)
(15/01/2009 12:43:30)Google va distribuer sa suite Google Apps en mode indirect
La suite bureautique en ligne Google Apps, que Google destine aux entreprises, pourra désormais être commercialisée par les partenaires qu'il aura agréé. Les revendeurs, VAR et intégrateurs percevront chaque année 20% de l'abonnement payé par le client, soit 8 euros sur 40. « 3 000 entreprises adoptent chaque jour notre suite Google Apps Premium et nous ne souhaitons pas assurer nous-même la formation et le suivi des clients, explique Peter Lorant, directeur du Réseau Partenaires Europe de Google Enterprise. Il est donc essentiel pour nous de nous appuyer sur des partenaires à valeur ajoutée, comme les intégrateurs, les VAR ou les spécialistes du Web 2.0. ». La suite de Google intègre un traitement de texte, un tableur, un outil de présentation, un agenda, un outil de création de site, un système d'échanges de vidéos, une messagerie, des utilitaires de sécurité et une assistance technique accessible 7/7 jours et 24/24 heures. Des critères souples Dans un premier temps, Google n'exigera pas de certification pour agréer ses partenaires. Pour entrer dans ce nouveau réseau, les candidats devront simplement avoir eu un premier projet portant sur au moins 25 utilisateurs. « Les revendeurs que nous avons interrogé souhaitent tout particulièrement rester maîtres de la relation avec leurs clients et de la facturation, explique Laurent Lasserre, directeur commercial France Google Enterprise. Nous souhaitons réaliser la totalité de nos ventes en indirect, même si le client final conserve le choix d'acheter comme il l'entend. Les services générés par la vente d'une suite Google Apps représentent une réelle opportunité ». (...)
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