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(29/09/2008 18:04:07)
Yahoo ouvre un centre de R&D à Grenoble
L'agglomération grenobloise confirme son statut de terre d'accueil des entreprises technologiques. Yahoo vient ainsi d'inaugurer un centre de R&D à Grenoble, en présence de Christine Lagarde, la ministre de l'Economie et de l'Industrie. Egalement présent, John Linwood, le directeur de l'ingénierie internationale du portail, a justifié le choix de cette implantation par l'affluence d'ingénieurs dans la région, qu'il a qualifiée de future « Silicon Valley de l'Europe ». Un centre qui stimulera l'innovation européenne Le centre R&D grenoblois aura pour mission de « stimuler l'innovation technologique de Yahoo dans toute l'Europe », à travers notamment la mise au point d'outils de recherche sémantique et le développement de Yahoo Answers (outil de questions-réponses entre internautes). Le site devrait compter plus de 200 salariés, ce qui en fait le plus grand centre de recherche de Yahoo en Europe. Le portail était déjà présent en Isère avant cette implantation à travers son rachat de Kelkoo en 2004. Le comparateur de prix est installé à Echirolles, une commune jouxtant Grenoble. (...)
(29/09/2008 17:14:41)L'accord Orange-SFR sur la fibre optique déclenche la colère de Free
Le marché du raccordement des Français à la fibre optique suscite bien des convoitises et vient de subir une forte montée en température. L'accord entre Orange et SFR, révélé le 25 septembre par notre confrère La Tribune, semblait à première vue être un progrès pour les particuliers, puisqu'il répondait à des questions qui préoccupent le régulateur Arcep depuis des mois. Cet accord prévoit en effet que le syndic d'immeuble choisira un opérateur unique pour câbler la dorsale optique des bâtiments, et que cet opérateur louera ensuite l'infrastructure aux autres acteurs. Le raccordement depuis le palier jusqu'à l'appartement restera réalisé par l'opérateur retenu par le particulier. SFR et Orange veulent un point de mutualisation au plus près des logements [[page]]Autre élément stratégique : le choix du point de « mutualisation ». Il s'agit du point du réseau où s'interconnectent les réseaux des opérateurs concurrents avant de desservir l'immeuble. Selon l'accord, SFR et Orange veulent que cela soit réalisé au plus près des logements, voire à l'intérieur des immeubles. Ce qui a déclenché la colère de Free, qui estime que cela va à l'encontre des travaux de standardisation réalisés actuellement. De plus, l'opérateur craint d'être marginalisé et de se voir imposer des solutions technologiques. Il est temps que le régulateur édicte un cadre mettant en place les règles du jeu permettant une véritable concurrence. (...)
(29/09/2008 16:01:25)Serena ajoute OpenProj à sa gestion de portefeuille de projets
Serena Software annonce le rachat de Projity, éditeur du logiciel de gestion de projets en Open Source OpenProj et de l'application en ligne Project-ON-Demand. Ces deux solutions destinées à des gestionnaires de projets individuels constituent un point d'entrée pour Serena Mariner, l'offre de PPM (Project and portfolio management, gestion de portefeuille de projets) constituée par Serena à la suite de l'acquisition de Pacific Edge, en 2006. Compatible avec Microsoft Project OpenProj se pose clairement en concurrent de Microsoft Project dont il accepte les fichiers. Il s'installe sur Windows, Linux ou Mac OS et s'utilise avec les suites bureautiques Open Source déclinée d'OpenOffice, en particulier IBM Symphony. Quant à l'offre Project-ON-Demand, elle vise la collaboration autour d'un projet, notamment en PME. Dans les plus grandes entreprises, elle vient en complément d'une utilisation individuelle d'OpenProj en apportant des fonctions pour collaborer et pour suivre des projets multiples et pour collaborer. (...)
(29/09/2008 15:53:40)Gartner tire à boulets rouges sur les éditeurs d'antivirus
« Pourquoi payer davantage chaque année pour des antivirus qui en donnent moins ? » Vice-président de Gartner, Neil MacDonald a fait part de ses réflexions sur le marché des antivirus lors de la conférence IT Security Summit organisée par le cabinet à Londres. Et son constat est rude pour les éditeurs. Neil MacDonald s'interroge en effet sur « l'immunité du marché de la sécurité à la tendance qui affecte le reste de l'industrie » : en règle générale, qu'il s'agisse de logiciel ou de matériel, explique l'analyste, les prix baissent d'année en année alors que les produits s'améliorent. Dans le domaine de la sécurité, les logiciels perdent souvent de leur efficacité alors qu'apparaissent de nouvelles menaces tandis que les prix restent élevés. Neil MacDonald donne donc un premier conseil aux entreprises : montrer à son fournisseur qu'on est prêt à changer de logiciel. « Je sais que c'est dur de changer, dit-il, mais il faut vraiment entrer en négociations, et faire savoir à l'éditeur que vous n'avez pas peur de changer. » La sécurité adaptative : l'idéal d'un système immunitaire pour l'informatique L'analyste, qui a passé les 18 derniers mois à étudier le domaine de la « sécurité adaptative », aimerait amener les éditeurs d'outils de sécurité à revoir l'architecture de leurs produits. Il estime en effet que les logiciels sont trop souvent destinés à effectuer une tâche unique, comme empêcher les intrusions ou protéger un point d'accès. Du coup, cela conduit les utilisateurs à multiplier les outils, et cela complique également leur travail. Pour lui, au contraire, les logiciels devraient envisager les menaces dans leur contexte, et apporter une réponse globale, chaque module coopérant avec les autres, comme un véritable système immunitaire. « Les éditeurs ne nous permettent pas de donner vie à cette vision, regrette Neil MacDonald. Ils proposent trop de produits ponctuels, induisant trop de complexité. » (...)
(29/09/2008 14:17:33)Steria recherche 800 collaborateurs d'ici la fin de l'année
La SSII française Steria (19 000 collaborateurs dans 16 pays, dont plus de 6 000 en France) continue sur sa lancée en matière de nouvelles embauches. Depuis janvier 2008, le groupe a déjà réalisé 1 000 recrutements en France, et table sur 800 nouveaux collaborateurs (dont 30% de jeunes diplômés) dans l'Hexagone, d'ici la fin de l'année (même si dans les faits, on le sait, les embauches dans les SSII atteignent rarement le niveau annoncé). La liste des postes à pourvoir est vaste, et concerne des ingénieurs d'études (nouvelles technologies), des ingénieurs Unix (CRM, BI), des architectes et des urbanistes (sécurité, si), des consultants ( ERP, AMOA, SI , Banque, Finance) et des commerciaux, notamment. Les recrutements se poursuivront sur l'année 2009 avec des objectifs tout aussi ambitieux pour la SSII qui vient d'ailleurs de renforcer son dispositif de recrutement : un nouvel espace « carrières » propose la liste des postes à pourvoir sur le site de l'entreprise. Et pour attirer un maximum de candidats potentiels, Steria vient également d'annoncer sa participation au « Monster Virtual Job Fair ». premier salon virtuel dédié aux métiers de l'IT organisé du 13 au 22 octobre 2008, par le site d'emploi Monter. Parallèlement à ces embauches annoncées sur l'Hexagone, rappelons que Steria souhaite renforcer son assise dans l'offshore, avec 27 % de son personnel employé actuellement en Inde et la volonté de passer à 40 % de ses effectifs en offshore, d'ici à 2010. (...)
(29/09/2008 14:15:31)Larry Ellison conspue le battage autour du Cloud computing
Fidèle à sa réputation de polémiste, Larry Ellison, PDG d'Oracle, n'a pas mâché ses mots pour conspuer le Cloud Computing. En marge de sa conférence annuelle OpenWorld, devant un parterre d'analystes financiers pliés de rire, ce qui doit être rare ces temps-ci, il a utilisé des termes comme idiotie, charabia, stupidité, folie et m... pour décrire la frénésie actuelle autour de Cloud computing.
Bien sûr, la vindicte du patron d'Oracle s'adresse à tous ceux qui "découvrent" le Cloud computing et qui y mettent tout à sa sauce. En substance, il a déclaré, "ils utilisent ce terme pour y inclure tout ce que nous (Oracle) faisons déjà". Oracle sur le cloud d'Amazon D'ailleurs, pendant que Larry Ellison disait pis que pendre du Cloud Computing, sa société annonçait un mode de facturation à l'utilisation de son SGBD 11g et Secure Backup Cloud Module , déclinaison d'Oracle Secure Backup. Des offres à exploiter sur la plateforme Amazon EC2 (Elastic compute cloud) dans un premier temps. Et sur d'autres plateformes dans un proche avenir.
(...)(29/09/2008 12:52:49)Red Hat aborde en bonne santé l'ère de la virtualisation
Red Hat annonce de bons résultats pour son deuxième trimestre, clos fin août. Même si le CA directement lié à la vente des produits représente encore 82% de son activité et qu'il est en croissance de 24% à 135,7 M$, il convient de souligner la progression de 58% à 28,7 M$ des revenus liés à la formation et aux services. A l'occasion de la publication de ses résultats, la direction de Red Hat a rencontré les analystes qui l'ont interrogé sur différents aspects de sa stratégie. Sans surprise, la plupart des questions ont cependant concerné ses projets dans le domaine de la virtualisation. La stratégie de l'éditeur en la matière n'apparaît en effet pas très claire. Si son offre actuelle est celle de Citrix, Xen, il met au point son propre hyperviseur Ovirt. Et pour couronner le tout, il vient de racheter un troisième outil, KVM de Qumranet. Ovit en remplacement de Xen sur serveurs et KVM sur les postes de travail Jim Whitehurst, Pdg de Red Hat, a ainsi précisé que sa société se positionnait désormais sur l'ensemble du spectre, de la virtualisation des serveurs à celle des postes clients. Afin, a-t-il déclaré, que "nos clients puissent déployer n'importe quelle application n'importe où et n'importe quand." Il a réaffirmé que Xen restait pour l'instant l'hyperviseur de référence de Red Hat Enterprise Linux (RHEL) jusqu'à ce que OVirt, l'hyperviseur maison annoncé en juin dernier soit prêt à prendre le relais. [[page]]La mise au point était d'autant plus nécessaire qu'Ovirt utilise la technologie KVM (Kernel-based Virtual Machine) dont Red Hat vient juste de prendre le contrôle en achetant son éditeur Qumranet, pour 107 M$. Une opération à rapprocher de celle réalisée par Citrix avec le rachat de Xen l'an dernier. Jim Whitehurst a également précisé que l'acquisition de Qumranet concernait en priorité la virtualisation du poste client avec le VDI (Virtual desktop infrastructure) SolidICE. Enfin, pour enfoncer le clou, il a déclaré considérer que les hyperviseurs deviendraient bientôt des éléments directement intégrés aux OS, comme le sont désormais les piles TCP/IP. JBoss ne cesse de grignoter des parts de marché à BEA Sur le front Oracle, Jim Whitehurst affirme que son activité de support de RHEL ne se ressent pas de la concurrence de l'Oracle Enterprise Linux . Quant à JBoss, le middleware maison, il ne cesserait de grignoter des parts de marché à BEA, acheté par Oracle début 2008. Enfin, le Pdg de Red Hat a réaffirmé que la distribution Linux Fedora Project resterait gratuite et sans support. Ce type de prestation est réservé à RHEL qui tire ses évolutions du Fedora Project. (...)
(29/09/2008 12:32:16)L'Hadopi compte sur les finances publiques... et les FAI
Le ministère de la Culture vient de détailler les chiffres clés de son budget pour 2009, qui s'attarde notamment sur les modalités de mise en oeuvre de la future loi Internet et Création. Destiné à faire respecter les droits des acteurs de l'industrie culturelle, le texte s'appuiera sur un financement public de 6,7 M€. Rappelons que la loi Création et Internet prévoit des mesures destinées à lutter contre le téléchargement illégal de contenus soumis au droit d'auteur. Les internautes s'adonnant à une telle pratique pourront voir, après plusieurs avertissements, leur abonnement à un FAI suspendu ou résilié. Un mécanisme plus connu sous le nom de riposte graduée, contre lequel se sont exprimés récemment les députés européens. Une autorité administrative, l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet), sera chargée d'orchestrer l'ensemble du dispositif. Ayants droit et FAI appelés à mettre la main à la poche A cette fin, le budget 2009 prévoit une enveloppe de 6,7 M€ pour le fonctionnement de l'instance. L'outil de lutte contre « le pillage des oeuvres musicales, cinématographiques et audiovisuelles sur les réseaux numériques » reposera donc sur les finances publiques. Ce qui n'exclut pas une participation d'acteurs privés. Le budget compte ainsi sur les ayants droit pour mettre la main à la poche afin de repérer et signaler les actes de piratage. Logique, quand on considère qu'ils seront les premiers bénéficiaires de la lutte contre le téléchargement illégal. Ce qui coule moins de source, en revanche, est le volet concernant les fournisseurs d'accès. La rue de Valois envisage en effet de leur faire supporter le coût d'identification des internautes indélicats, sans faire mention d'une éventuelle indemnisation ultérieure. Il est peu probable que les FAI apprécient d'être sollicités de la sorte. On se souvient, qu'en juillet dernier, ils avaient déjà fait part de leurs doutes en s'inquiétant de ce que « le projet reste muet quant à la prise en charge financière des frais supportés par les opérateurs ». (...)
(29/09/2008 11:49:18)La SNIA soutient le stockage SSD
Afin de promouvoir l'usage des disques SSD, en entreprise comme dans le grand public, la SNIA (Storage Networking Industry Association) a décidé de lancer une initiative spécifiquement consacrée à cette technologie. La SSSI (Solid-state storage initiative) coordonnera toutes les activités de la SNIA autour du SSD - éducation, développements techniques, développement du marché, marketing. Pour ce faire, la SSSI va s'appuyer sur les travaux déjà réalisés au sein d'autres groupes de travail de la SNIA. « Il y a des liens entre le stockage SSD et nos travaux sur le stockage écologique ou l'administration du stockage, » insiste Vincent Franscheni, président de la SNIA. La SSSI réunit 29 des 400 entreprises membres de cette dernière. Mais curieusement, ni Toshiba, ni Samsung, ni Micron n'en font partie alors que ce sont les trois principaux fabricants de ces types de disques et des mémoires Nand qu'ils utilisent. Pour Phil Mills, secrétaire du bureau d'administration de la SNIA, « Les SSD vont changer le paysage du stockage, en raison de leur performance comparée à celle des disques durs que nous utilisons aujourd'hui. » Et avec l'explosion du marché des ultraportables et autres netbooks, les disques SSD viennent enfin de découvrir leur « killer application ». Sur ce segment, les ventes de disques SSD pourraient atteindre 33 millions d'unités d'ici à 2012. (...)
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