Flux RSS

108538 documents trouvés, affichage des résultats 14261 à 14270.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/07/2008 18:17:15)
SAP se dit hors de cause dans les problèmes de la Mairie de Paris
Hier, 17 juillet, la Ville de Paris a connu des problèmes de facturation envers certains de ses prestataires. La faute en serait revenue à SAP, à l'origine de la nouvelle solution de finances généralisée en février au sein de la ville. SAP a moyennement apprécié cette mise en cause à peine voilée par son client. « Le système a toujours fonctionné, et continue de bien fonctionner, » assène Bruno Gonzales, responsable du secteur public pour SAP France. Et de rappeler que la Ville de Paris avait mis en route il y a trois ans un chantier important de refonte de ses systèmes financiers. Un projet métier, et non un projet technique, sous l'égide de Véronique Bédague-Hamilius, alors directrice des finances, devenue depuis secrétaire générale. Les dysfonctionnements existaient avant la mise en place du système, plaide SAP « Nous avons remporté l'appel d'offre en 2006 et Accenture a fait la mise en place, continue Bruno Gonzales. Un nouveau système comme celui-là nécessite toujours une adaptation et la ville a bien travaillé son accompagnement du changement avec Accenture. » Mais pour lui, des dysfonctionnements dans le pilotage de la ville préexistaient à la mise en production du nouveau système. Paris exploitait un grand nombre d'applications, dont trois rien que pour la gestion comptable. « Paris a toujours eu beaucoup de problèmes dans le paiement de ses fournisseurs, ajoute-t-il. Le problème du traitement des factures n'est pas nouveau. Notre outil n'est pas un outil miracle pour résoudre ce genre de problème. Mais surtout, le nouveau système basé sur nos outils demande de la rigueur. Certains traitements qui se faisaient rapidement, avec un certain niveau de tolérance, ne sont plus acceptés. » Bruno Gonzales ajoute que, par ailleurs, les chantiers sur lesquels il y a des problèmes de paiement de factures, comme celui de l'église Saint-Sulpice, avaient commencé avant la mise en place du système. « Aujourd'hui, la ville doit concilier les positions comptables actuelles avec celles du passé. Cela impose que ces dernières, gérées dans l'ancien système, soient fiables... » (...)
(18/07/2008 15:59:19)IBM fait mieux que prévu au deuxième trimestre
Les résultats d'IBM pour son deuxième trimestre ont surpris les boursiers de façon positive. La société affiche un CA en hausse de 13% à 26,8 Md$, assorti d'un résultat net en hausse de 22%. IBM profite pleinement de la faiblesse du dollar. A taux de change constant, la hausse du CA n'est plus que de 6%. IBM, qui se réjouit d'une croissance bien équilibrée sur l'ensemble du globe, a relevé ses prévisions de profit pour l'ensemble de l'exercice. Le CA aux Amériques s'élève à 10,9 Md$ (+8%), en Europe à 9,8 Md$ (+20%, mais seulement +6% en monnaie locale) et en Asie-Pacifique à 5,3 Md$ (+16%, mais seulement +6% en monnaie locale). Une activité serveurs globalement en baisse L'activité Systems and Technology Group, dont font partie les serveurs, atteint un CA de 5,2 Md$ (+2%, mais -3% à taux constant). Les grands systèmes réalisent un bon trimestre (+32%), mais IBM, qui semble avoir tiré un trait sur les System i (AS/400) annonce une baisse de 47% de leur CA. Celui des System p (Unix) progresse de 29%. Sur le créneau des serveurs X64 enfin, les System x font pâle figure avec une baisse de 5% du CA. La forte hausse des ventes de serveurs x64 haut de gamme (+32%) et des serveurs lames (+14%) ne suffit pas à compenser la perte de terrain sur les autres modèles. Le stockage génère un CA en hausse de 12%. Dans l'ensemble, le Systems and Technology Group atteint une marge brute de 38,6%. Le logiciel en hausse de 17% De son côté, le Software Group affiche un CA de 5,6 Md$ en hausse de 17%. L'activité est tirée par les lignes Websphere (+9%), DB2 (+30%), Tivoli (+9%), Lotus (+21%) et Rational (+37%) qui représentent 55% du CA total de la division. Notons que les autres middlewares qu'IBM vend principalement sur ses mainframes z et ses AS/400 ne représentent que 1,2 Md$ de CA. Dans l'ensemble, le Software Group atteint une marge brute de 84,6%. Des services qui représentent 58% du CA L'activité Global Services, en hausse de 16%, dépasse les 15 Md$ de CA, soit plus de 58% du CA d'IBM. Elle se décompose en deux entités : Global Technology Services -GTS (externalisation, intégration de systèmes, maintenance et "business technology optimization") et Global Business Services - GBS (prestations intellectuelles, conseil). GTS atteint un CA de 10,1 Md$ (+15%) et GBS 5,1 Md$ (+18%). La marge brute de GTS atteint 31,6% et celle de GBS 25,8%. (...)
(18/07/2008 15:26:01)Reportage vidéo : au coeur de la filière des DEEE
Retrouvez notre reportage vidéo sur la filière DEEE. Depuis 2005, les conditions de collecte et de valorisation des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) font l'objet d'une directive européenne. Parmi ces déchets, on trouve entre autres l'informatique (UC, écrans, imprimantes, téléphones, etc.) Transposée en France fin 2006, la directive conduit les entreprises à s'organiser pour que leurs appareils électriques et électroniques hors d'usage soient recyclés ou réhabilités. Le grand public, lui, s'acquitte d'une écotaxe chaque fois qu'il achète un appareil. Celle-ci finance en partie la récolte et l'acheminement des déchets vers le retraitement. Ce sont les producteurs des déchets, rassemblés au sein de quatre éco-organismes en France agréés par l'Etat, qui s'occupent de la filière. C'est avec l'un de ces éco-organismes, Eco-Systèmes, que nous avons pu suivre avec notre caméra les diverses étapes suivies par ces déchets et ce, dans l'agglomération d'Angers. Cette dernière accueille en effet sur son territoire huit déchetteries, une usine de retraitement des DEEE, mais aussi un centre Emmaüs et l'entreprise Envie49 qui récupèrent les appareils pour les trier et les recycler. (...)
(18/07/2008 12:31:48)Trimestriels Google : le moteur n'a pas de raté mais déçoit les analystes
On peut être une entreprise largement première sur son secteur, réaliser plus d'un milliard de dollars de bénéfice en trois mois, voir ses revenus croître de plus de 30% depuis de nombreux trimestres, et décevoir les analystes. C'est le cas de Google qui, comme chaque trimestre, présente des résultats en nette progression, mais voit le cours de son action reculer. Le chiffre d'affaires de l'hégémonique géant du Web atteint 5,37 Md$ pour son deuxième trimestre clos au 30 juin, et bondit de 39% sur un an. Le bénéfice net progresse, quant à lui, de 35% pour atteindre 1,25 Md$. Des chiffres conformes aux attentes de Wall Street. Paradoxalement, c'est là que le bât blesse : alors que Google a habitué les observateurs à dépasser le consensus, il se contente, pour ce deuxième trimestre, de s'aligner sur les prévisions. Déception également en ce qui concerne le bénéfice par action : à 4,63 $, il est inférieur aux 4,74 $ attendus par les observateurs. Le résultat est immédiat : le cours du titre Google a reculé d'environ 10%. La situation économique américaine n'affecte pas la croissance Google confirme que son activité est désormais plus importante à l'international que sur le seul territoire américain : la part des revenus réalisés à l'étranger s'élève à 52%, soit un point de plus qu'au trimestre précédent. [[page]]La petite moitié du chiffre d'affaires enregistré aux Etats-Unis se semble pas être affectée par le ralentissement économique observé outre-Atlantique : Google indique que sa croissance n'est pas menacée car « plus les temps deviennent difficiles, plus les gens font attention à leur argent et se tournent vers le commerce en ligne ». Ce qui implique une augmentation de la fréquentation des services Google. Illustration avec l'immobilier, les voitures et les voyages : si ces secteurs pâtissent de la situation économique américaine moribonde, ils continuent de croître en tant que mots-clés tapés sur le moteur de recherche. Les investisseurs, inquiétés par un hypothétique ralentissement de l'activité de Google, semblent ne pas avoir prêté attention au fait que, si le bénéfice du groupe ne progresse « que » de 35%, c'est en partie pour des raisons sans véritable rapport avec la situation économique globale. Ainsi, après déboursé 3,2 Md$ pour s'offrir DoubleClick en mars, les réserves de liquidités de Google ont fondu et produisent, logiquement, des intérêts moins importants qu'au trimestre précédent. Les observateurs ont pu être également effrayés par le peu de détails livrés par le groupe sur l'avancement de ses projets. Ainsi, rien ou presque sur l'intégration de DoubleClick qui doit s'achever « dans les prochains mois ». De même, peu d'informations sur le chantier Android, la plateforme mobile de Google. « Nous continuons de prévoir des téléphones [tournant sur Android, NDLR] pour la fin de l'année », s'est contenté d'indiquer Sergey Brin, le cofondateur du groupe. (...)
(18/07/2008 12:32:39)Hewlett-Packard et Sony livreront du DAT 320 l'an prochain
L'association de Hewlett Packard et de Sony sur les DAT/DDS (Digital Audio Tape/Digital Data Storage) donnera naissance l'an prochain au DAT 320. La septième génération du DAT/DDS depuis 1989, naissance de la variante stockage sous l'appellation DDS, devrait être deux fois plus rapide et engranger deux fois plus de données que la génération actuelle, le DAT 160. Les lecteurs DAT s'adressent en priorité au marché des serveurs pour PME. Dotés d'interfaces USB, SCSI et SAS, ils sont proposés en format 3,5 pouces à des prix avoisinant 500 € pour le DAT 160. Le DAT 320 supportera un taux de transfert de 86 Go par heure (une unité de mesure originale qui doit correspondre à moins de 30 Mo/s) avec un taux de compression de 2:1. Une cassette DAT 320 stockera 160 Go sans compression. Les lecteurs DAT 320 pourront lire les cassettes DAT 160 malgré le fait que les médias DAT 320 se caractérisent par un nouveau substrat et des pistes plus étroites. HP et Sony commercialiseront chacun leurs lignes de produits DAT 320 au cours du premier semestre de l'an prochain. Les deux sociétés sont prêtes à licencier la technologie DAT 320. Le message doit probablement s'adresser à Quantum, le seul autre fabricant de lecteurs DAT 160... Selon IDC, le DAT s'est arrogé plus de 76% du marché d'entrée de gamme du stockage sur bandes. Le reste se répartit entre quatre autres technologies. L'annonce du DAT 320 intervient quelques jours après celle par IBM et Sun qui annoncent, chacun de leur côté, la prochaine génération de leur technologie de bandes. Les deux sociétés se préparent à livrer des bandes de 1 To qui s'adressent en priorité aux datacenters des grandes entreprises. (...)
(18/07/2008 11:38:21)Annuels Microsoft : les services en ligne perdent 1,23 Md$
A première vue, les résultats annuels de Microsoft ont tout pour plaire. L'éditeur affiche pour son quatrième trimestre fiscal un chiffre d'affaires de 15,84 Md$, un peu au-delà de ce que prévoyaient les analystes, tandis que le gain par action se situe juste à la lisière de ce que le marché attendait (46 cents par action, contre 47 cents). Pour l'année, le CA dépasse les 60 milliards, soit une hausse de 18% par rapport à l'année fiscale 2007. Et alors que les analystes attendaient 60,24 Md$, Microsoft affiche 60,42 Md$. Ce qui vient gâcher la fête, c'est la rentabilité de la division des services en ligne (OSB, Online services business) : son CA a certes monté cette année de presque 32% à 3,2 Md$, mais la perte opérationnelle a elle doublé, pour s'établir à 1,23 Md$ ! Etant donné la bonne santé des autres divisions de Microsoft, cette contre-performance pourrait passer pour un aléa normal. La division Client (les systèmes d'exploitation pour PC, autrement dit Vista) affiche ainsi un résultat d'exploitation de 13 Md$ pour un chiffre d'affaires de 16,8 Md$ - soit une marge brute de 77,4%... Microsoft Business Division, qui chapeaute les progiciels Dynamics et la suite bureautique Office, enregistre un gain opérationnel de 12,3 Md$ pour un CA de 18,9 Md$, soit une marge brute de 65% Après Yahoo, Microsoft courtise la part de marché d'AOL [[page]] Mais le fait est que Microsoft mise énormément sur OSB. Steve Ballmer l'avait admis dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr : le business en ligne est devenu - dans l'esprit du patron de Microsoft sinon dans les faits - le second pilier de l'éditeur. Comme le prouvent la stratégie S+S (Software plus services) et le long feuilleton du rachat impossible de Yahoo. Responsable des relations avec les investisseurs, Colleen Healy explique cette contre-performance d'OSB par les restrictions budgétaires chez les annonceurs et la pression sur les prix exercée par la concurrence sur ce marché. Elle a ajouté que le nombre d'annonceurs avait tout de même augmenté de 28% au cours de l'exercice fiscal. De fait, comme l'a constaté IDC, le marché de la publicité en ligne est promis à un bel avenir : le cabinet d'études le voit doubler de taille rien qu'aux Etats-Unis d'ici à 2012, pour passer à 51,1 Md$. Depuis son rachat de la régie publicitaire aQuantive, Microsoft n'a qu'une idée en tête : améliorer sa part de marché dans le domaine des moteurs de recherche, pour mieux concurrencer Google ; d'après Comscore, Yahoo a deux fois sa part de marché, Google six fois. L'éditeur a ainsi racheté Fast, puis plus récemment le moteur de recherche sémantique Powerset, et, éconduit par Yahoo, est en négociations avec AOL. (...)
(18/07/2008 14:22:00)Au coeur de la filière des DEEE
Propos recueillis par Emmanuelle Delsol (...)
(17/07/2008 18:19:22)Certains paiements de la Ville de Paris à ses prestataires retardés par un projet SAP
Dans un communiqué daté du 17 juillet, la Ville de Paris a confirmé que « certains retards de paiement se sont produits à la suite de l'installation de son nouveau système Alizé dans l'ensemble des services de la Ville. Depuis 2006, Paris travaille à la mise en place de cette nouvelle gestion de l'ensemble de ses finances avec SAP. Le projet est en production depuis mai 2007 pour le département (près de 2 Mds € de dépenses annuelles) et depuis février 2008 pour l'ensemble de la collectivité parisienne qui regroupe la ville et le département. Pour pallier ses problèmes, la Mairie explique avoir « mis en place une équipe de 25 personnes spécialisées pour absorber le stock de factures des directions de la ville concernées, un traitement individuel des entreprises les plus fragiles, une remise d'attestations administratives pour toute entreprise en ayant fait la demande. » Le traitement et le paiement des factures sont redevenus normaux Le communiqué précise que « courant juillet, le traitement et le paiement des factures sont redevenus normaux à la Ville de Paris. » Cette dernière évoque un des chantiers emblématiques touchés par le problème, celui de l'église St Sulpice. « L'édifice est classé à l'inventaire des Monuments Historiques. Les travaux en cours sont effectués par plusieurs entreprises simultanément et ont fait l'objet d'un marché public complexe tout à fait particulier, ce qui explique les retards de paiement qui ont pu se produire. Les entreprises seront payées d'ici quelques jours, la ville ayant procédé à toutes les démarches de mise en paiement. Les intérêts moratoires consécutifs à ce retard seront payés par la Ville afin de dédommager les entreprises victimes de ces difficultés de règlement. » A l'heure où nous écrivons, ni la ville ni SAP n'ont fait davantage de commentaires. (...)
(17/07/2008 16:16:57)Microsoft retarde Virtual Machine Manager jusqu'à fin 2008
Contrairement à ce qu'avait annoncé Microsoft, Virtual Machine Manager 2008 (VMM), l'outil d'administration de son hyperviseur Hyper-V, ne sera pas disponible avant la fin de l'année. Après de nombreux reports, System Center VMM 2008 était pourtant promis pour le mois prochain. L'outil est véritablement la pierre angulaire de la stratégie de Microsoft sur la virtualisation. Il permettra non seulement de gérer les machines virtuelles sous Hyper-V mais aussi celles sous VMWare ESX. Le support de XenServer est aussi annoncé. L'administration est l'enjeu majeur de la virtualisation. Il est acquis désormais que l'hyperviseur reste bien cantonné aux couches basses des serveurs qu'il anime. De plus, bientôt défini, le format OVF (Open Virtual Machine Format) permettra de migrer l'intégralité d'une machine virtuelle entre les hyperviseurs de VMWare, de Microsoft et de Citrix. Ce dernier a d'ailleurs pré-annoncé hier la pré-bêta de Kensho, outil de portage de machines virtuelles. VMM 2008 sera vendu indépendamment du reste de System Center C'est donc une brique essentielle qu'il va falloir attendre encore plusieurs mois. Cela n'empêche pas Microsoft de commencer à détailler la façon dont sera commercialisé VMM 2008. Il sera en effet vendu seul, indépendamment des autres éléments de System Center. Un signe évident de l'importance qu'il y aura à diffuser le plus largement possible VMM 2008. VMM 2007, qui ne fonctionne qu'avec Virtual Server pour Windows Server 2005, est exclusivement commercialisé dans l'ensemble System Center Server Management. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |