Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 14271 à 14280.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/07/2008 10:02:37)

Création d'une Haute autorité pour l'archivage

Attendues depuis longtemps, les lois sur les archives viennent enfin d'être publiées au Journal Officiel. Concernant essentiellement le secteur public, les textes comprennent des dispositions impactant aussi le secteur privé. Trois textes très attendus sont parus au Journal Officiel du 16 juillet : la loi sur les archives, la loi organique sur les archives du Conseil Constitutionnel (la nécessité de recourir à une loi organique a justifié ce texte séparé) et l'avis du Conseil Constitutionnel sur la loi organique. Très techniques, ces textes concernent avant tout l'ensemble des DSI du secteur public (administrations centrales, déconcentrées, collectivités locales...) ainsi que les fournisseurs de solutions d'archivages (physiques ou numériques) s'adressant au secteur public. Des dispositions secondaires concernent aussi le secteur privé. L'externalisation du stockage des archives devient licite Une 'haute autorité' de plus (le Conseil supérieur des archives) est créée. Elle fixera les règles en matière d'archivage et, également, de destruction des archives. L'accroissement des volumes de données le long de kilomètres de rayons ou remplissant des bibliothèques de bandes magnétiques demeurait un cauchemar de nombreux dirigeants d'organisations. A noter aussi, le nouvel article L212-4-II du Code du Patrimoine, institué par l'article 5 de la nouvelle loi, ouvre la porte à l'externalisation du stockage des archives (y compris dématérialisées), chose qui était illicite jusqu'à présent. Les articles 14 et 15 concernent le secteur privé en donnant notamment un droit de préemption à l'Etat en cas de volonté de céder des archives. Enfin, l'article 17 organise la communication des archives, notamment en matière d'anonymisation des données. (...)

(17/07/2008 09:29:31)

Sun et IBM annoncent des bandes pour 1 To

Sun et IBM annoncent l'arrivée imminente de lecteurs de bandes capables de stocker 1 To de données. Avec le T1000B (LTO-4) qui sera commercialisé sous la marque StorageTek, Sun affirme avoir doublé la capacité de son prédécesseur, le T1000, qui serait utilisé par un millier de clients. Le taux de transfert du T1000B atteint 120 Mo/s. Il sera disponible dès le mois prochain au prix de 37 000$ avec une interface FC. Les bandes sont fournies par Imation. Sun n'a pu clamer son avance sur IBM que quelques heures. Big Blue s'est empressé de promettre le TS1130, lui aussi d'une capacité de 1To mais qui serait capable d'atteindre un taux de transfert de 160 Mo/s. Ce successeur du TS1120 (700 Go) est promis pour septembre au prix de 39 000$. Une mise à jour du parc installé revient à 20 000$. Les deux constructeurs agrémentent leurs annonces de modèles qui intègrent l'écriture sur des disques Worm, médias qui répondent mieux aux contraintes réglementaires de traçabilité. Ces deux annonces interviennent au moment où le stockage sur bande revient à la mode. Jugé il y a encore peu de temps dépassé par rapport à l'archivage sur disques, il retrouve de l'intérêt grâce son moindre besoin d'énergie. Le stockage sur bandes est par ailleurs crédité d'un coût d'exploitation sept fois inférieur à celui sur disques. L'avenir se dessine avec le format LTO-5 qui devrait permettre de stocker 1,6 To. (...)

(16/07/2008 18:40:04)

Tous les clients SAP paieront la maintenance au prix fort

Tous les clients de SAP passeront d'ici au 1er janvier 2009 à la nouvelle formule de support de l'éditeur, inaugurée au début de l'année. Une formule plus complète, accessible 24h/24 et 7j/7, avec des engagements sur les temps de réponse. Voilà pour la bonne nouvelle. Du côté des mauvaises nouvelles, cela signifie aussi que tous les clients, y compris ceux qui avaient signé pour un contrat de support standard à 17% du prix de la licence, passeront au tarif premium, soit 22% du prix de la licence. Jusque fin 2007, SAP proposait deux formules, la Premium à 22% et une Basic à 17%. Depuis début 2008, tous les nouveaux clients bénéficient automatiquement de la formule tout compris à 22%. En mars dernier, Forrester et le CXP dénonçaient cette hausse des tarifs, vue par SAP comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. L'éditeur se défendait toutefois, à l'époque, de vouloir l'appliquer à tous ses clients existants. Aujourd'hui, SAP argue que le marché a bien adopté cette mesure, puisque, dit l'éditeur, 350 clients auraient souscrit à cette offre unique (aux Etats-Unis, cette hausse des tarifs a commencé à susciter des vocations : Rimini Street propose un support de SAP R/3 à moitié prix). Fort du soutien de deux clubs utilisateurs, le germanophone DSAG et l'Américain ASUG, SAP a donc dévoilé une feuille de route pour faire migrer tous ses clients. Une hausse des tarifs incrémentale d'ici à 2012 [[page]] « Ce n'est pas une augmentation en tant que telle, puisque cela se traduit par une nouvelle offre », justifie Lionel Schwirtz, responsable du support de SAP en France. Qui précise que, à l'occasion de cette annonce, SAP a décidé de prolonger d'un an le support des versions 4.6c et 4.7 de R/3. Une consolation : si tout le monde passe au nouveau mode de maintenance, la migration des tarifs sera, elle, progressive, « avec un maximum de 8% d'augmentation par an », précise Lionel Schwirtz. SAP évoque donc une hausse « incrémentale » d'ici à 2012, où tout le monde sera à 22% du prix de la maintenance. « Par exemple, indique SAP, un client typique payant une maintenance à 17% pour un support Standard en 2008 paiera une maintenance à 18,3% pour un support Entreprise en 2009. » Le tarif maximum atteint en 2020 pour la moitié des clients français En France, la hausse des tarifs sera même plus lente, prédit Lionel Schwirtz, qui explique qu'environ la moitié des contrats sont indexés sur l'indice Syntec. « En se basant sur une augmentation moyenne de 2,3% par an sur les dix ou douze dernières années, cela veut dire qu'on n'arrivera probablement qu'en 2020 au tarif de 22%. » Du côté de l'USF, le club utilisateurs francophone de SAP, c'est l'effervescence. SAP dit l'avoir prévenu la semaine dernière. Toutefois, à l'heure où nous écrivons ces lignes, aucune position officielle n'a été arrêtée. (...)

(16/07/2008 17:46:17)

Citrix anticipe la portabilité des machines virtuelles

Le projet Kensho de Citrix comprend un ensemble d'outils destinés à porter des machines virtuelles d'un hyperviseur vers un autre. En réalité, il ne s'agit de rien de plus que d'une des évolutions logiques liées à l'adoption du standard Open virtual machine format. L'OVF est sous l'égide de l'association DMTF (Distributed Management Task Force) annoncé en septembre dernier. A l'époque, les sociétés qui ont adhéré à ce format XML qui permet le portage de machines virtuelles, étaient Dell, HP, IBM, Microsoft, VMWare et enfin XenSource, acheté depuis par Citrix. Les hyperviseurs concernés par OVF sont ESX Server de VMWare, XenServer de Citrix et Hyper-V de Microsoft. On notera l'absence de ceux de Red Hat, Oracle et Sun. La maturation du standard avançant, Citrix est le premier à pré-annoncer des outils qui exploitent ces spécifications. L'éditeur compte en profiter pour intégrer le support de son XenServer par System Center Virtual Machine, l'outil d'administration de Microsoft, son allié objectif. En position de challenger, Citrix se voit bien utiliser son outil pour prendre des parts de marché à VMWare, actuel leader. Ce dernier doit certainement trouver beaucoup moins d'intérêt que Citrix à faciliter la migration depuis son environnement vers d'autres hyperviseurs. Le portage ne se fera que vers les VM de Citrix et de Microsoft Ainsi, la première pré-version de Kensho, attendue pour septembre, permettra d'exporter les machines virtuelles créées pour les trois hyperviseurs cibles, mais ne permettra leur portage que sur ceux de Citrix et de Microsoft. Le premier se refuse à préciser quand le portage sur l'hyperviseur de VMWare sera à l'ordre du jour. Kensho ne sera certainement pas le seul outil à exploiter OVF. D'autant que la portabilité qu'il permet entre hyperviseurs de fournisseurs différents est vitale pour des grands comptes qui veulent gérer un parc virtuel hétérogène. Du côté de VMWare, on notera qu'OVF est supporté par VMWare Infrastructure 3.5 et que l'éditeur a recruté l'actuel président du DMTF, Winston Bumpus, au poste de directeur des Architectures standard. D'ici à ce que Kensho devienne un produit, dans un an environ si l'on en croît Citrix, VMWare aura eu tout le temps de faire ses propres pré-annonces. (...)

(16/07/2008 15:58:48)

Microsoft conteste l'accord Google/Yahoo devant le Sénat américain

Deux semaines avant l'assemblée générale qui devrait décider du sort de Yahoo, tous les prétextes sont bons pour déstabiliser l'adversaire et faire pencher la balance de son côté. Il y a quelques jours, c'est Yahoo qui refusait une offre formulée par Microsoft avec l'association de Carl Icahn, n'hésitant pas à la qualifier de grotesque. Aujourd'hui c'est au tour du géant de Redmond de dégainer ses derniers arguments. Brad Smith, avocat général du groupe, a descendu le partenariat liant Yahoo à Google devant le Sénat américain. Dès son annonce, Microsoft avait condamné cette alliance, la jugeant anti concurrentielle sur le marché de la publicité en ligne. Brad Smith est monté hier au créneau devant les sénateurs, arguant que Google détenait déjà 60% du marché de la recherche sur Internet. L'adossement de Yahoo lui permettrait de contrôler 90% du secteur, écrasant au passage toute concurrence, dont Microsoft et son petit 3%. Ce partenariat entraînerait en outre une hausse inéluctable des tarifs publicitaires, toujours selon Microsoft. La justice américaine planche déjà sur le dossier Yahoo/Google. Elle rendra probablement ses conclusions bien après l'assemblée générale de Yahoo. Mais Microsoft n'en a cure, dans cette bataille de nerfs tous les coups sont permis pour semer le doute dans l'esprit des actionnaires, et renverser le conseil d'administration de Yahoo. (...)

(16/07/2008 15:42:10)

Antitrust : Bruxelles s'apprête à poursuivre de nouveau Intel

Les ennuis d'Intel avec la justice européenne continuent alors que le groupe américain vient de publier d'excellents résultats pour son deuxième trimestre. Selon nos confrères du Wall Street Journal, Bruxelles serait sur le point de lancer de nouvelles poursuites contre le fondeur afin de sanctionner ses pratiques anti-concurrentielles. L'information n'est certes pas une surprise : l'épée de Damoclès plane sur Intel depuis plusieurs années, depuis que la Commission européenne a indiqué avoir relevé les irrégularités dont le groupe américain s'est rendu coupable pour accroître sa domination sur le marché des processeurs. L'édition du Wall Street Journal de ce 16 juillet rapporte que Bruxelles devrait lester le dossier Intel de nouvelles charges, cette fois liées aux « incitations » auxquelles le mis en cause aurait recouru pour convaincre les grands constructeurs européens de ne pas équiper leurs machines de puces AMD. Rien de bien nouveau donc, si ce n'est que ces accusations rejoignent la liste, déjà longue, des récriminations formulées par l'UE. En juillet 2007, la Commission reprochait à Intel d'avoir accordé des remises à des fabricants lorsqu'ils se fournissaient uniquement en puces Intel. Le fondeur était également accusé d'avoir soudoyé des constructeurs afin qu'ils retardent, voire annulent, le lancement de produits intégrant la technologie AMD. Enfin, Bruxelles pointait du doigt la vente de produits Intel à des prix inférieurs aux coûts de revient. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >