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(18/04/2008 09:41:30)

Tibco Spotfire s'ouvre un peu plus aux applications composites

Un an après son rachat par Tibco, Spotfire livre une mise à jour de sa solution d'analyse de données, désormais dénommée Tibco Spotfire 2.1 et dotée de nouvelles interfaces de programmation (API) pour étendre les capacités d'applications composites (mash-up). Comme prévu, l'éditeur est resté autonome vis-à-vis de son acquéreur, tant au niveau de l'organisation que du développement et cette version ne comporte encore aucune intégration avec les outils de gestion des processus métiers de Tibco. Rappelons que ce dernier avait motivé son rachat de Spotfire par son intention d'ajouter des capacités d'analyse de données au sein des processus métiers. Chargement des données en mémoire Placé par le Gartner parmi les éditeurs visionnaires du marché du décisionnel, Spotfire met en avant ses capacités de visualisation interactive et de manipulation rapide des données, ces dernières étant rapatriées en mémoire sur le poste client. Une démarche qui rapproche son offre de celle d'un éditeur comme le Suédois Qlikview, dont le logiciel fait depuis quelques mois une percée sur le marché. L'application de Spotfire peut être prise en main par l'utilisateur non informaticien, qu'il soit spécialiste ou non de l'analyse de données. Originellement proposée en mode client/serveur, elle permet maintenant de consulter les rapports sur le Web ou de les adresser par courriel aux équipes nomades qui les explorent en mode déconnecté. Pour illustrer les nouvelles capacités d'applications composites, Olivier Nuzzo, responsable des ventes chez Spotfire, cite en exemple un service commercial qui pourrait associer une liste de clients à une application permettant de les localiser sur une carte afin d'optimiser le plan de visite. « La volonté technologique de Spotfire est d'être très ouvert afin de laisser nos clients intégrer les applications qui leur semblent les plus pertinentes », explique-t-il. (...)

(18/04/2008 09:41:03)

20 000 offres pour l'édition d'avril des Jeudis

Le salon de l'emploi high-tech Les Jeudis, qui s'est déroulé le 17 avril 2008, a une nouvelle fois donné rendez-vous aux informaticiens et ingénieurs IT, au Palais des Congrès de la Porte Maillot, à Paris. L'occasion pour les candidats de postuler à quelque 20 000 offres d'emploi émanant de plus de quatre-vingt exposants, SSII, éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices, réunis à cette occasion. Un volume d'embauches qui devrait permettre d'attirer entre 3 000 et 5 000 visiteurs, surtout des candidats en poste, principale cible de cette édition d'avril 2008. Les postes à pourvoir - ouverts aux jeunes diplômés Bac+4/5, aux expérimentés, en poste ou disponibles immédiatement - sont variés. il s'agit notamment d'administrateurs, d'architectes, de chefs de projet, de consultants, d'ingénieurs études et développement, d'ingénieurs systèmes, de techniciens, et d'ingénieurs commerciaux, recherchés le plus souvent en région parisienne : « Près de 80% des offres dans l'informatique concernent l'Ile-de-France, signale Guillaume Faux, commissaire général. Cette année, ces offres émanent des incontournables SSII et éditeurs de logiciels, mais aussi d'entreprises de la banque/finance, comme la Société générale, le Crédit Agricole, ou le Crédit du Nord, du secteur public (EDF, La Poste), d'opérateurs (Orange, Bouygues Télécom) etc pour la première fois, de l'industrie du cosmétique, comme l'Oréal, ou du sport, comme Décathlon. » Alexandre Xiradakis, directeur marketing et communication des Jeudis évoque néanmoins un contexte toujours marqué par la tension du marché : « les volumes de recrutement sont à la hausse, dans la continuité de 2007. Et l'on ne doit pas s'attendre à un retournement de la tendance. » Trouver le profil rare sur le salon Si, côté utilisateurs, les intentions d'embauches paraissent plus modestes (une vingtaine pour le Crédit Agricole, 40 offres pour La Poste, une soixantaine chez l'Oréal, 70 à la Société Générale), les SSII annoncent des volumes de recrutement toujours aussi massifs, même si, dans les faits, les embauches sont toutefois loin d'atteindre les niveaux affichés : 2 200 postes chez Atos Origin, 2 000 postes chez Sogeti, 1 800 chez Logica, 1 500 pour GFI Informatique et Capgemini, 1 100 chez Accenture. Certaines, comme Sopra Group (1 700 postes à pourvoir), justifient leur présence sur ce type de manifestation, pour dénicher des profils devenus difficiles à trouver : «Nous rencontrons actuellement des difficultés de recrutement sur plusieurs types de postes, indique Philippe Bourgeois, directeur d'agence. Dans un contexte où les entreprises des services recherchent les mêmes types de profils, le vivier de compétences s'est appauvri. D'où notre présence sur les salons de l'emploi, sans oublier la cooptation, pour trouver les bons candidats ». Une initiative payante, puisque sur les quelque 150 candidats qui ont postulé, dans la matinée, chez Sopra Group, une vingtaine devrait bientôt recevoir une proposition d'embauche. Même constat de tension sur certains profils chez Steria (1 800 embauches) : «Nous prévoyons une croissance de +10% l'année prochaine, ce qui nous oblige à gonfler nos effectifs, expose Edwige Fleckinger, responsable du global sourcing. Or, les consultants PGI et les architectes techniques sont devenus quasi-introuvables. Notre présence sur Les Jeudis devrait ainsi nous permettre de réaliser 5 à 6% de nos recrutements. » (...)

(17/04/2008 17:52:38)

Apax Partners entre dans le capital d'Altran

Le cabinet de conseil français Altran vient de recevoir le soutien financier du fond d'investissement Apax Partners, qui a décidé d'entrer dans le capital de la société, à hauteur de 130 M€. Apax Partners va également racheter 6 millions d'actions, ce qui correspond à 5,1% du capital de la société. Les résultats annuels d'Altran publiés en février dernier ont apparemment séduit le fonds d'investissement. Altran (spécialisée dans le conseil en innovations technologiques, en R&D, en systèmes d'informations, en stratégie et management) est en effet parvenue à réduire sa dette de plus de 70 M€, pour s'établir à 365 M€ (contre 437 M€ au 30 juin 2007). Cette baisse est le résultat des efforts accomplis par le groupe pour diminuer ses délais de facturation auprès de ses clients. Ces retards de paiement ont été engendrés par la réorganisation du groupe en 2007 (rachats de sociétés, départs de dirigeants...). Altran a également annoncé un plan de refinancement de 150 M€ sur cinq ans, auprès de quatre banques (BNP Paribas, Crédit Agricole Ile de France, Natixis et la Société Générale). Ces deux événements ont profité au titre d'Altran, qui a bondi de 8%. La société publiera le 28 avril prochain ses résultats pour le premier trimestre 2008. (...)

(17/04/2008 17:38:25)

Microsoft rejoue Mix au public français

Microsoft a proposé aujourd'hui au public français un « Remix », autrement dit une édition adaptée de l'événement Mix, qui s'est déroulé il y a un mois à Las Vegas. Pas d'annonce à se mettre sous la dent, donc, dans la mesure où les bêtas de Silverlight 2 (et sa déclinaison pour mobiles) et de SSDS ont été lancées le mois dernier. Mais des témoignages clients et des démonstrations à foison. Pour rappel, alors que la première version du plug-in pour navigateur Silverlight se contentait d'offrir un espace d'exécution graphique, la version 2 embarque l'environnement .Net, ce qui ouvre la voie à des applications évoluées offrant une interface de type client Internet riche (RIA, Rich Internet Application). SSDS, de son côté, ou SQL Server Data Services, est une offre en ligne, ou « in the cloud », s'appuyant sur la base de données SQL Server. L'objectif de cette rencontre parisienne est de montrer au millier de designers, développeurs et businessmen inscrits - trois sessions parallèles leur étaient proposées - ce qu'il est possible de faire aujourd'hui avec les technologies Microsoft pour améliorer l'attractivité et in fine la rentabilité des sites Web. Malgré l'offre de monétisation dorénavant mise en avant par Microsoft au même titre que les technologies, certains exemples laissent dubitatifs quant au modèle économique. Seesmic, la plateforme de blog vidéo de Loïc Le Meur, est ainsi un bel exemple d'applications de ces technologies sur le mobile, mais sans indice évident sur le financement. D'autres cas d'utilisation sont une simple transposition du modèle économique préexistant, tel M6Replay, qui permet pendant quelques jours de visionner un programme manqué sur la chaîne en le faisant précéder d'un spot publicitaire. D'autres, comme Quiksilver ou cdiscount, tentent d'innover avec une autre façon de présenter ce qu'ils ont à vendre. [[page]] Deep Zoom pour les photos, Silverlight pour la vidéo Parmi les autres clients de ces technologies, citons pêle-mêle la Fnac, le Cirque du soleil, Coca-Cola, Aston Martin, Gucci, et même Double Click, régie publicitaire désormais sous la férule de Google. Constellation, start-up du programme Idées, montre comment Silverlight peut aussi servir de client de mash-up (combinaison de services Web) : son offre associe son service de guide touristique et de réservation d'hôtels au service en ligne de cartographie proposé par Microsoft, Virtual Earth. Toutefois, lors d'une récente manifestation IBM à Las Vegas, Harley Davidson avait montré un outil similaire, destiné à ses clients bikers, aussi convaincant sans plug-in graphique spécifique pour le client. A noter que parmi ces présentations de cas clients se cache une application d'une technologie tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat de Seadragon (à qui l'on doit PhotoSynth et sa vision à plusieurs angles d'Endeavour) : Deep Zoom. Le Défi Wind de Gruissan, compétition de planche à voile à Gruissan (dans l'Aude), l'utilise pour naviguer au sein de son fonds iconographique, en sus des vidéos. « Ils avaient des centaines de photos haute définition pas exploitées, commente Marc Jalabert, directeur de la division plateforme et écosystème de Microsoft France - et lui-même véliplanchiste compétiteur. Cela donne des idées à beaucoup de monde : rendez-vous dans quelques mois ! » En attendant, le test à grande échelle de Silverlight sera ce que met en place NBC pour les Jeux olympiques de Pékin. Le network américain utilisera le Web et Silverlight pour diffuser en direct (enfin, selon ce que permettront les autorités chinoises...) les compétitions, avec des possibilités de visualisation en plein écran, de modules d'information contextuels, d'incrustation de vignettes vidéo pour suivre d'autres sports, etc. (...)

(17/04/2008 17:48:58)

Barcelona envahit les serveurs

Finalement, c'est une bonne nouvelle pour AMD. Malgré six mois de retard, le quadricoeur Barcelona fait son entrée chez presque tous les fabricants de serveurs. Dell l'utilise pour cinq de ses serveurs PowerEdge Line et HP a annoncé le Proliant DL 785 G5. Quant à Sun, il devrait en équiper ses Galaxy X4140 et X4440. Des constructeurs plus spécialisés comme Rackable Systems, Server Micro (spécialiste des cartes mères pour serveurs) et Appro ont d'ores et déjà annoncé leur support pour ce nouveau processeur. De quoi rendre le sourire à AMD, qui vient de subir un début d'année tourmenté avec l'annonce du licenciement de 10% de son personnel et le départ de son directeur technique, Phil Hester. « Cela sera une bonne année pour nous sur les serveurs, » veut croire John Fruehe, directeur marketing serveurs et stations de travail chez AMD. « Nous nous sentons plutôt bien sur ce marché. Nous sommes attendus et nous sommes prêts. » Il faut dire que les Opteron quadricoeurs d'AMD partagent les mêmes sockets que leurs prédécesseurs bi-coeurs « Santa Rosa ». Pour les constructeurs de serveurs, il n'est alors pas très difficile de rénover sa gamme rapidement. Ainsi, chez HP, outre le Proliant DL 785 G5 déjà annoncé, ce ne sont pas moins de huit serveurs existants (dont deux lames) qui pourront passer assez à Barcelona. John Fruehe promet que cette simplicité d'échange restera possible avec la prochaine génération - nom de code Shanghai. Celle-ci est attendue pour la fin de l'année et marquera le passage à la gravure à 45 nanomètres. Utilisant la même architecture et encore une fois les mêmes sockets, elle ne devrait pas générer de grands changements de plateforme. (...)

(17/04/2008 16:34:58)

France Télécom croquerait bien un autre opérateur européen

Selon un article daté du 16 avril du quotidien Le Figaro, Orange étudierait le rachat d'un autre opérateur européen. Le français s'intéresserait ainsi au scandinave Teliasonera, un poids lourd dont la valeur boursière approcherait 30 Md€. Dans son édition du 17 avril, notre confrère précise que Orange confirme son intérêt pour plusieurs de ses homologues sur le Vieux Continent parmi lesquels Teliasonera, mais aussi le norvégien Telenor. (...)

(17/04/2008 16:44:01)

Trimestriels IBM : meilleurs que prévu grâce aux pays émergents

IBM s'en sort mieux que les analystes financiers ne l'avaient prévu sur son premier trimestre fiscal, principalement grâce aux ventes réalisées sur des marchés qualifiés d'émergents, en Asie, en Amérique du Sud, en Asie, en Afrique et en Europe de l'Est. Sur les trois mois écoulés, le chiffre d'affaires préliminaire d'IBM s'élève à 24,5 Md$ (+11% par rapport à son premier trimestre 2007) et son bénéfice par action à 1,65 dollar (+36%), alors que les analystes tablaient sur 23,7 Md$ et 1,45 dollar par action. A l'occasion de cette annonce, Mark Loughridge, directeur financier d'IBM, s'est montré confiant sur la suite de l'exercice, allant jusqu'à relever les prévisions de bénéfice par action pour l'année 2008 à 8,5 dollars contre les 8,20 ou 8,30 dollars précédemment évoqués. Une progression de 18% est escomptée sur le chiffre d'affaires de l'exercice. Pour atteindre ces objectifs, Mark Loughridge a confirmé qu'IBM comptait beaucoup sur le potentiel de croissance que représentent les marchés identifiés comme émergents. Le fournisseur les a regroupés depuis quelques mois dans une organisation spécifique, pilotée depuis Shangaï, afin de pouvoir suivre au plus près leur évolution. Ces pays pèsent 17% du chiffre d'affaires du fournisseur. Cinquante pays émergents Lors de la présentation de ses résultats 2007, IBM avait expliqué que sa propre définition des marchés émergents était plus large que celle désignée par l'acronyme BRIC qui rassemble le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine (zone où il a réalisé une progression de 26% l'an dernier). Dans sa définition, IBM englobe une cinquantaine de pays parmi lesquels on trouve notamment la République Tchèque, la Pologne, la Malaisie, Singapour, l'Afrique du Sud, le Venezuela et le Mexique. Sur le premier trimestre 2008, le fournisseur communique encore ses résultats par grandes zones géographiques, sans isoler les résultats des marchés émergents. Ce sont les régions EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) et Asie-Pacifique qui réalisent les meilleures progressions avec des chiffres d'affaires respectifs de 8,8 Md$ (+16% par rapport à 2007) et 5,1 Md$ (+14%). Alors que les ventes réalisées sur le continent américain, qui pèse un peu plus de 40% du chiffre d'affaires global d'IBM, n'ont progressé que de 8%, à 9,9 Md$. Quant au chiffre d'affaires OEM, il a chuté de 16%, à 696 M$, par rapport au premier trimestre 2007. (...)

(17/04/2008 15:57:35)

Inauguration du Musée français de l'informatique

L'informatique dispose enfin de son musée ! Prenant la suite d'une exposition temporaire, le Musée de l'Informatique a été inauguré le 15 avril au soir sur le Toit de la Grande Arche, à Paris la Défense, par Philippe Nieuwbourg, son directeur. Il s'agit du premier musée permanent ouvert au public en Europe - en dehors de collections privées d'entreprises comme chez Bull en région parisienne ou Unisys à Bruxelles, à accès restreint.

Partant de la mécanographie, il parcourt le fil du temps pour s'achever par les technologies récentes. Une exposition temporaire de six mois s'ajoute à ce fil du temps et retrace l'histoire d'Internet, du président Eisenhower jusqu'aux années 2000. De nombreuses pièces de collection parsèment des explications à la fois sous forme de textes courts en anglais et français et de vidéos projetées. Prochainement, les sites Web du groupe IT News Info (société éditrice de LeMondeInformatique.fr et partenaire presse du Musée) vous proposeront de nombreuses exclusivités en lien avec le Musée de l'Informatique. (...)

(17/04/2008 15:45:40)

Le président de Samsung inculpé d'abus de confiance

Lee Kun-hee, PDG du groupe sud-coréen Samsung, a été inculpé aujourd'hui pour abus de confiance et évasion fiscale, à l'issue d'une enquête lancée en janvier dernier. Un ancien cadre de la direction juridique avait en effet accusé une dizaine de dirigeants d'avoir constitué en douce une caisse noire de 200 M$. Une partie de cette cagnotte devait servir à corrompre de hauts fonctionnaires, l'autre devait être transférée sur un compte au nom du fils de Lee Kun-hee. Les procureurs n'ont pas retenu de charges concernant la corruption, mais Lee Kun-hee risque la prison à perpétuité pour les deux accusations dont il fait l'objet. Le PDG restera en liberté provisoire jusqu'au procès, la justice sud-coréenne estimant qu'une mise en détention immédiate ne pourrait qu'avoir un impact négatif sur l'économie du pays. Cette clémence n'est toutefois pas anodine. La justice sud-coréenne est réputée pour faire preuves d'indulgence vis à vis des « chaebols », ces grands conglomérats familiaux qui dominent le marché. Samsung génère 20% des exportations de la Corée du Sud, ce qui devrait jouer en la faveur de son PDG, d'après les analystes. En février 2007, le patron du constructeur automobile Hyundai avait été condamné à trois ans de prison pour des raisons similaires. Sept mois plus tard, sa peine était réduite en appel à un sursis. (...)

(17/04/2008 15:35:27)

CA, BMC, IBM et HP dominent toujours l'administration de systèmes

Le marché des outils d'administration informatique aurait représenté 15,6 Md$ en 2007 et devrait encore augmenter cette année pour atteindre 18,6 Md$ selon une étude de Forrester. Quatre grands acteurs dominent le créneau : CA, BMC, IBM et enfin HP. Viennent ensuite des fournisseurs qui constituent progressivement une solution globale tels que ASG, Compuware, EMC, Microsoft, Oracle, Quest Software ou encore Symantec. Enfin, Forrester distingue deux autres catégories d'acteurs, les innovateurs qui devront se spécialiser ou être rachetés (ClearApp et OpTier) et les spécialistes qui adressent un besoin spécifique tels qu'Indicative Software, NetQos, Nimsoft ou Solarwinds. L'arrivée de ces nouveaux acteurs ne semble en rien perturber les quatre géants puisqu'ils ont encore renforcé leur position : alors qu'ils ne représentaient que 39% des parts de marché en 2005 et 41% en 2006, ils représentent aujourd'hui 43%. Pour Forrester, malgré cette croissance, les éditeurs doivent se recentrer sur les besoins des entreprises et arrêter le battage marketing autour de concepts qui révolutionneraient l'administration des systèmes d'information. Le cabinet cite notamment dans son étude les messages de Citrix, IBM, Microsoft et Sun Microsystems autour de la virtualisation. Pour le cabinet d'études, l'impact de la virtualisation sur la production de l'entreprise serait encore bien faible et ne résoudrait pas forcément les problèmes majeurs auxquels elles sont confrontées. Ainsi, un des premiers enjeux serait d'arriver à unifier les différentes solutions déployées. Objectif ? Parvenir à une meilleure administration des processus dans leur globalité avec des outils qui feraient le lien entre une administration purement technique et l'autre plus orientée métier. Ces outils devraient aussi être capables de préconiser des solutions en se basant sur une analyse préalable des données recueillies sur les performances, les problèmes rencontrés, etc. [[page]] Enfin, même les entreprises engagées dans une réduction de leur budget informatique chercheraient, selon cette étude, à préserver la qualité du service. En particulier, celles pour qui le Web est source de profit et qui ne peuvent se permettre de dégradation de leur service. Les méthodes pour y parvenir varient entre rationalisation et outils d'administration. Cela justifierait en partie le léger ralentissement de la croissance du marché : 8% en 2008 contre 11% en 2007. Autre explication, l'actuel taux de change entre l'euro et le dollar, puisque les grands acteurs du marché sont américains. Au final, Forester estime donc que l'un dans l'autre, les entreprises continueront à investir dans les outils d'administration, parfois encore pour répondre à un problème immédiat mais de plus en plus souvent avec une vision plus globale de leur administration, en privilégiant les outils de gestion du changement et des configurations (20% du marché), l'administration réseau (18%), la gestion des bases de données (13%) ou encore des applications (13%). (...)

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