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(21/02/2008 20:17:03)
Alcatel Lucent ouvre les portes de son datacenter ultra-sécurisé de Marcoussis
Alcatel Lucent compte commercialiser des ressources systèmes dans son centre serveur haut de gamme de Marcoussis. Ce projet fait partie des retombées positives d'un plan sur trois ans pour consolider l'ensemble des serveurs du groupe. D'ici à 2009, Alcatel Lucent compte ramener à six ses centres serveurs de par le monde - contre 25 avant la fusion - et faire disparaître 125 salles serveurs (moins de 100 machines) elles aussi disséminées un peu partout. A cette concentration géographique s'ajoute une réduction du nombre de systèmes. D'environ 10 000, ils ne seront plus que 6 000 à 7 000 au final. Parmi les six centres serveurs, dont trois se trouveront en Asie, figurent deux centres dit Tier 4, ou classe 4 (voir encadré), autrement dit haut de gamme, dont la conception permet d'assurer un taux de disponibilité de 99,995%. L'un se trouve à Chicago et l'autre, le plus moderne, en région parisienne, à Marcoussis. Ce site se compose de deux immeubles de 2000 m² chacun avec, à une distance de trois kilomètres, un site miroir. Le tout est, bien sûr, doté d'équipements réseau maison Omniswitch et c'est HP qui a été choisi comme partenaire privilégié pour participer à la conception de l'ensemble. Alcatel Lucent concentre à Marcoussis sur 850 serveurs ses applications critiques comme celles concernant la finance et son PGI central qui rayonne sur l'ensemble du groupe. Toutefois, il ne compte utiliser pour ses besoins propres qu'un des deux immeubles construits suivant un cahier des charges très exigeant. La rareté de ce type d'équipement en Europe laisse espérer une forte demande pour héberger les ressources d'autres entreprises. Il est d'ailleurs d'ores et déjà prévu d'étendre le site et son miroir. En attendant, Alcatel Lucent affirme que le haut niveau de technicité de son centre lui permettra de réduire de 25% son TCO (total cost of ownership, coût total de possession) d'ici à fin 2008 par rapport à un contexte caractérisé par la dissémination de ses serveurs. (...)
(21/02/2008 18:12:00)Microsoft va montrer ses OS serveurs pour TPE et PME le 27 février
A l'occasion du lancement mondial de Windows Server 2008, le 27 février prochain à Los Angeles, Microsoft fera des démonstrations des deux systèmes d'exploitation pour serveurs qu'il destine aux TPE et PME. Basés sur le même code que Windows Server 2008, ces deux produits (connus jusque-là sous les noms de code Cougar et Centro) doivent être livrés au deuxième semestre 2008. Ils appartiennent à la ligne "Windows Essential Server Solutions" qui a vocation à se compléter de développements partenaires. Couplé à Office Live Small Business Le premier de ces OS, adoubé Windows Small Business Server (SBS) 2008, visera les PME gérant jusqu'à 50 PC. Plusieurs constructeurs, parmi lesquels Fujitsu Siemens, HP, IBM et Dell ont déjà indiqué leur intention de livrer des configurations intégrant SBS 2008. Ce produit sera fourni dans un package incluant une année d'abonnement à Microsoft Forefront Security for Exchange Server Small Business Edition et Windows Live OneCare for Server. Il s'intégrera aussi avec l'offre en ligne Microsoft Office Live Small Business (création de sites Web, adresses de messagerie professionnelles, envoi groupé de courriels...), annoncée la semaine dernière par l'éditeur. L'accès à distance et la collaboration se feront par le support de Remote Web Workplace et de Windows SharePoint Services 3.0. A Los Angeles, le produit sera présenté sur un serveur Dell. Une édition Premium comportant SQL Server 2008 Le deuxième OS, Windows Essential Business Server 2008, s'adressera aux structures de plus grande taille, dotées d'un parc informatique allant jusqu'à 250 PC. Il sera livré dans un package comprenant aussi la messagerie Exchange Server 2007, Forefront Security for Exchange Server, System Center Essentials 2007 et la prochaine version de Internet Security et Acceleration Server. Une édition Premium du package inclura la base de données SQL Server 2008. Il est prévu que Windows Essential Business Server 2008 soit complété par des solutions apportées par des partenaires tels que Citrix, CA, Quest Software, Symantec, Trend Micro ou encore ScriptLogic. Par ailleurs, HP, IBM et Intel prévoient aussi de lui ajouter des fonctions pour la gestion des équipements. Le 27 février, sa démonstration se fera à la fois sur un serveur BladeCenter S d'IBM et sur un BladeSystem c-Class c3000 de HP. (...)
(21/02/2008 17:58:02)Microsoft ouvre gratuitement les API de ses produits les plus diffusés
Plus besoin de signer de protocoles d'accord, de montrer patte blanche, ou de se plaindre auprès de Bruxelles, Microsoft a décidé d'exposer librement la documentation de ses interfaces de programmation (API) et protocoles de communication de ses produits les plus largement diffusés : Windows Vista, Windows Server 2008, SQL Server 2008, Exchange Server 2007, Sharepoint Server 2007 et Office 2007. Les développeurs tiers pourront ainsi accéder au même niveau d'information que les équipes de Microsoft, a expliqué l'éditeur au cours d'une conférence de presse jeudi soir (heure de Paris), et ce « sans prendre de licence ni payer de royalties ou autres frais d'accès ». Ces informations pourront être utilisées librement - Microsoft prenant l'engagement de ne pas poursuivre les développeurs Open Source -, mais il faudra toutefois obtenir une licence pour une utilisation commerciale. La menace de procès qui pèse sur le monde de l'Open Source (les fameux 235 brevets) n'est donc pas levée. Microsoft indique qu'il souhaite améliorer l'interopérabilité de ses produits, notamment avec ceux de l'Open Source, et promouvoir les standards. L'éditeur affirme par exemple qu'il écrira de nouvelles API pour Office, afin de simplifier l'écriture de plug-in. Ces API permettront par exemple d'ajouter un format de fichier et de le définir comme format d'enregistrement par défaut. A lire sur ce sujet : l'interview de Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France. (...)
(21/02/2008 17:50:20)Société Générale : Jérôme Kerviel aurait envoyé sept faux emails pour justifier ses transactions
Le Mercredi 20 février 2008, en soirée, le Comité spécial du Conseil d'administration de la Société Générale a publié un rapport d'étape de 27 pages sur ses investigations à la suite de la découverte d'une fraude qui aura coûté près de 5 Md€ à la banque. Pour résumer, à la lecture de ce document, c'est à la fois la faiblesse des contrôles métiers de la banque et l'astuce de Jérôme Kerviel qui auraient permis la fraude. Jérôme Kerviel semble avoir démontré une capacité impressionnante à jongler avec les outils financiers de la banque et à manipuler leur logique interne. De même, on note une absence d'initiative des responsables du contrôle à procéder à des examens plus poussés et non explicitement prévus dans les procédures. Une certaine crédulité et le manque de confiance en soi des agents de contrôle ont également pu contribuer à la poursuite des manipulations. Usage de faux emails à sept reprises Par ailleurs, il avait été évoqué par la banque le fait que Jérôme Kerviel aurait usurpé des droits d'accès. Cela ne paraît plus aussi évident. Selon le rapport, l'investigation d'éventuelles usurpations informatiques se poursuit. En effet, « les sept accès indus initialement identifiés par la task force de SGCIB [NDLR : Société Générale Corporate Investment and Banking] n'ont pas in fine été avérés (la task force avait mal interprété les informations recueillies à ce sujet) ». [[page]] En revanche, on note dans les causes de l'absence de détection des actions frauduleuses, l'usage présumé de faux emails forgés à sept reprises par Jérôme Kerviel afin de se justifier. Ces emails apparaissaient comme ayant été émis par d'autres établissements bancaires servant de contre partie. Entre le 12 avril 2007 et le 18 Janvier 2008, sept emails frauduleux ont ainsi été détectés : - en vérifiant qu'ils concernaient des transactions fictives ou à d'autres conditions que celles évoquées dans les emails, - en vérifiant dans l'outil Zantaz (archivage des emails) que Jérôme Kerviel, n'avait reçu aucun message de l'émetteur indiqué ces jours-là, - en identifiant d'éventuelles anomalies dans les emails (signature modifiée par rapport aux autres emails du même émetteur) En outre, la banalisation des erreurs de certains programmes informatiques a pu entraîné une absence de réaction : « [Le département ] RISQ/RDM/EQY attribue l'origine des anomalies à des problèmes récurrents d'enregistrement des opérations dans les systèmes informatiques. Il se contente de notifier le dépassement de limite à Jérôme Kerviel et à sa hiérarchie proche et de s'assurer de sa résorption ». Le comité spécial estime donc que des faiblesses ont été identifiées dans le dispositif de supervision et de contrôle, auxquelles il convient d'apporter sans délai des remèdes. Trois chantiers prioritaires doivent être enclenchés afin de renforcer le dispositif de contrôle en vue de prévenir de nouvelles fraudes : [[page]] - le renforcement de la sécurité informatique, par le développement de solutions d'identification forte (biométrie), l'accélération de projets structurels en cours en matière de gestion de la sécurité des accès ainsi que des audits de sécurité ciblés ; - le renforcement des contrôles et des procédures d'alerte ; celles-ci sont revues notamment pour s'assurer d'une circulation appropriée des informations pertinentes entre les différentes unités et au bon niveau hiérarchique ; - le renforcement de l'organisation et de la gouvernance du dispositif de prévention des risques opérationnels pour en développer la transversalité et mieux prendre en compte le risque de fraude, y compris sous l'angle des ressources humaines. Encore des travaux en cours L'essentiel des travaux a été engagé. Toutefois, un certain nombre d'entre eux n'a pas pu être achevé à ce jour, comme les analyses de la sécurité informatique. Principalement, selon le comité, il leur reste à mener à leur terme les travaux suivants : " (...) l'approfondissement de nos analyses sur les possibilités d'intrusion dans le système front office, l'étude exhaustive des messageries électroniques et des bandes téléphoniques de Jérôme Kerviel et de son entourage professionnel". (...)
(21/02/2008 17:08:01)Google lance un programme pilote dans le secteur de la santé
La terre avec Google Earth, l'univers avec Google Sky, la communauté scientifique avec Palimpsest, l'encyclopédie en ligne avec Knol, la mobilité avec Android... Google s'attaque décidément à tout. C'est aujourd'hui le secteur de la santé en ligne que le Gargantua du Web s'apprête à conquérir. Google vient en effet de lancer un programme pilote en partenariat avec le centre hospitalier universitaire de Cleveland, dans l'Ohio. Entre 1500 et 10 000 patients volontaires devraient apporter leur contribution au projet. L'ensemble de leurs données médicales (ordonnances, antécédents, allergies, résultats médicaux...) seront stockées par Google, et accessibles uniquement avec un mot de passe - ce qui ne manquera sans doute pas de réalimenter la polémique autour de la protection des données personnelles. Ce nouveau service vient évidemment concurrencer de front Health Vault, un projet similaire développé il y a quelques mois par l'éternel rival de Google, à savoir Microsoft. (...)
(21/02/2008 16:43:29)Une figure importante d'OpenSolaris claque la porte
Roy Fielding, cofondateur du projet de serveur HTTP Apache, vient de claquer la porte de la communauté OpenSolaris. Raison invoquée : la mainmise trop importante de Sun sur la communauté et les décisions qu'elle est amenée à prendre concernant ce code Unix du système d'exploitation vedette de Sun et des outils associés, publiés en Open Source par petits bouts depuis 2005. C'est en fait une affaire relativement banale de droits associés à un nom, liée au projet de distribution Indiana, qui a provoqué la colère de Roy Fielding. Dans un long courrier posté sur le forum de la communauté, Roy Fielding explique qu'il s'agit de la dernière pilule qu'il avalera, et expose ses griefs par le menu. Citant « le fiasco du JCP » [Java community process, biais par lequel Sun invite les parties intéressées par l'avenir de Java à influer sur son évolution, NDLR] pour dénoncer le comportement de Sun vis à vis des contributeurs, Roy Fielding dit s'être fait avoir : « [Les gens de] Sun ne m'ont pas fait quelques déclarations générales sur OpenSolaris, ils m'ont promis que ce serait un projet de développement ouvert. C'est la seule façon qu'ils avaient d'amener quelqu'un comme moi à travailler gratuitement pour leur bénéfice. » [[page]] Au final, il donne un conseil à Sun : supprimer la charte que l'entreprise a édictée mais qu'elle ne respecterait pas, et adopter un modèle de gouvernance plus clair, comme celui de MySQL, que Sun vient de racheter : « Cet éditeur ne prétend pas laisser la communauté prendre part aux décisions, mais elle se débrouille pour satisfaire la majorité de ses utilisateurs. [...] C'est un modèle Open Source parfaitement valide pour les entreprises qui n'ont pas besoin d'une participation active de la communauté. Au final, le code tend à puer franchement par rapport à des projets communautaires, mais c'est toujours de l'Open Source. » Dans un message officiel, Sun remercie Roy Fielding pour sa contribution, et explique que le fait de s'ouvrir et de vouloir travailler avec différentes communautés expose obligatoirement à prendre des décisions qui ne satisfont pas tout le monde tout le temps. (...)
(21/02/2008 16:13:58)Google condamné à verser 150 000 euros à Flach Film pour contrefaçon
Un an et demi après le dépôt de plainte contre Google pour « contrefaçon et parasitisme », le Tribunal de Commerce de Paris a tranché en faveur de Flach Film (uniquement pour la contrefaçon). Il a condamné hier le célèbre moteur de recherche à verser 150 000 € au producteur français et à son distributeur, les Editions Montparnasse. En novembre 2006, Flach Film avait assigné Google en justice pour avoir distribué gratuitement l'intégralité du film « Le monde selon Bush » sur son service Google vidéo. Le film, réalisé par William Karel et produit par Flach Film, avait été téléchargé 50 000 fois avant que Google ne le retire des serveurs. A l'origine, le producteur avait réclamé 600 000 € de dommages et intérêts. Sa requête a donc partiellement été entendue par la justice française, mais la société se déclare satisfaite, d'autant qu'il s'agit de la plus grosse somme à laquelle Google ait été condamné dans ce type d'affaires. [[page]]« Cette décision du tribunal affirme clairement que Google est responsable des contenus illicites qu'il héberge », déclare Jean-François Lepetit, président de Flach Film, avant de rappeler les faits : « à l'époque, nous avons également demandé à Dailymotion de retirer le même film de leur site. Ils ont immédiatement réagi, alors que Google a traité notre requête avec le mépris le plus complet et a fait traîner l'affaire ». Depuis, Flach Film et Dailymotion ont même noué un partenariat. Dailymotion s'est engagé à mettre une empreinte numérique sur l'ensemble de ses films, afin d'améliorer le filtrage. Il est également possible de voir les dix premières minutes du film « Le monde selon Bush » sur Dailymotion, et si l'internaute souhaite le visionner dans son intégralité, il est automatiquement redirigé vers les Editions Montparnasse et Canal Play, partenaires de Flach Film. Outre les 150 000 €, Google a également été condamné à verser 5000 € à l'USPA (l'Union syndicale de la production audiovisuelle). Google a été sommé de faire le ménage dans ses index, et reste sous l'astreinte d'une amende de 1500 € par infraction constatée à compter d'un mois après la signification du jugement. (...)
(21/02/2008 12:51:40)Le réseau social, nouveau canal de recherche d'emploi
Près de 70% des Français considèrent les réseaux sociaux (tels que Facebook ou Viadeo) comme un bon moyen de faciliter leur recherche d'emploi. C'est ce qu'indique une enquête conduite par le moteur de recherche d'emploi Keljob.com auprès de plus de 6 000 candidats inscrits sur son site. 68% des personnes interrogées considèrent ainsi les réseaux communautaires comme un outil d'accompagnement efficace pour trouver un emploi. Preuve de l'efficacité des outils du Web 2.0 pour décrocher un job, ils sont près d'un tiers à avoir trouvé un emploi grâce au seul réseau virtuel dont ils font partie. Les recruteurs ne sont pas en reste, mais de façon plus modérée : 9% des employeurs interrogés utilisent les réseaux sociaux pour rechercher de futurs collaborateurs et 11% confirment avoir déjà recruté par le biais d'un réseau, réel (6%) ou virtuel (5%). Confrontées à une très forte concurrence sur le marché de l'emploi, les SSII commencent elles aussi à s'engouffrer dans la brèche des réseaux communautaires. Ainsi, CSC et Unilog Logica ont tout récemment décidé de s'appuyer sur Facebook pour attirer un maximum de candidats potentiels. (...)
(21/02/2008 12:49:53)Les pro-ODF et pro-OpenXML doivent coopérer, selon l'éditeur d'ODF
Alors que se profile la semaine prochaine à Genève le ré-examen d'Open XML pour débattre sur sa normalisation ISO (voir à ce sujet l'article sur www.cio-online.com), Patrick Duruseau, qui est à l'origine d'ODF à l'Oasis, invite les communautés des deux formats bureautiques qui se livrent une bataille acharnée - et parfois inamicale-, à la coopération. Dans une lettre ouverte, ironiquement publiée en PDF, il se livre à un pamphlet sur la collaboration, incitant les pro-Open XML et les pro-ODF à déposer les armes. Allant même jusqu'à qualifier cette rivalité de « plaie pour nos deux maisons », selon les célèbres vers du Roméo et Juliette de Shakespeare. Très inspiré, Patrick Duruseau invite les deux communautés à faire évoluer de concert leurs standards, et estime que dans un environnement où les deux parties se réunissent et discutent du futur de leur proposition, les débats sur l'avenir des normes seraient bien différents. Et surtout plus productifs. Plus pragmatique, il ajoute : « Une co-évolution pacifique rime avec [le développement de, ndlr] standards à des coûts plus bas et dans un temps plus court. » Il précise également que cette rivalité réside principalement sur un contentieux passé. « Mais nous pouvons décidé d'agir autrement aujourd'hui. » Quitte à prendre exemple sur Novell, qui a participé aux deux groupes de travail, sur ODF et OpenXML. Il est à noter que Microsoft a formalisé la semaine dernière l'accès aux anciens formats binaires d'Office, via son programme Open Source Promise, comme l'avait préconisé les instances nationales lors du premier vote -négatif - à l'ISO. Un pas vers la détente. (...)
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