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(29/11/2007 17:26:32)
Les échanges de fichiers pair-à-pair représentent jusqu'à 83% du trafic Internet
Sur Internet, la protection des intérêts particuliers est toujours en retard d'une technologie. Au moment où le gouvernement français s'oriente vers une politique répressive du téléchargement, le cabinet d'étude allemand Ipoque constate que non seulement les échanges via les protocoles pair-à-pair gênèrent la majorité du trafic Internet (83% en Europe l'Est), mais qu'ils sont de plus en plus souvent cryptés. D'août à septembre dernier, les spécialistes d'Ipoque ont analysé 3 peta-octets de données échangées en Europe du Sud, de l'Est, au Moyen-Orient, en Australie et en Allemagne. Au total, ce serait le trafic généré par un million d'utilisateurs qui aurait été scruté. Les protocoles P2P sont toujours à l'origine de la plus grosse part du trafic avec deux favoris : eDonkey et BitTorrent par lesquels transitent 70% à 97% des échanges P2P. Ipoque confirme des informations déjà communiquées par notre confrère The Register : la part d'échanges P2P cryptés augmentent fortement. Ipoque l'estime à 20% des échanges P2P tandis que The Register annonce une part de 40% en Angleterre, pays dont on peut supposer les internautes plus aguerris. Enfin, si la VoIP pèse moins de 1% du trafic, elle est dominée à 95% par Skype. En terme de nombre d'utilisateurs, 99% d'entre eux fréquentent le Web. Ils ne sont que 20% à se livrer aux échanges de fichiers, mais tout de même 10% à 17% à utiliser DDL, une sorte de protocole de téléchargement à partir de sites spécialisés. En Allemagne, pays cité le plus proche de nous, les protocoles P2P génèrent 70% du trafic, viennent ensuite http (10%), le streaming (7,7%) et DDL (Dynamic Data Link, plus de 4%). Sur ce marché du trafic DDL, 55% transite par RapidShare. (...)
(29/11/2007 17:02:16)Capgemini ouvre son symposium aux autres architectes
Capgemini a tenu hier et aujourd'hui son douzième symposium d'architecture. C'est la troisième année que la conférence s'ouvre à des partenaires, et la première fois que du public est invité à y participer. C'est aussi la troisième année que le Symposium a pour thème les SOA (architectures orientées services), « une tendance de fond ». Les deux jours ont donc abordé les SOA sous différents angles, « en privilégiant les retours d'expérience », précise Hyacinthe Choury, 'architecte leader' de Capgemini et auteur du programme. Lui-même a présenté la façon dont Capgemini est intervenu et intervient encore pour le compte du PMU. D'abord afin de refondre l'architecture du système de prise de paris sur Internet, pour lui permettre de monter en charge. « Le PMU a réalisé un chiffre d'affaires de 7,6 MdE en 2005, sur lequel Internet représentait moins de 10%, mais consommait 70% des ressources », indique Hyacinthe Choury. Les chiffres plus récents du PMU indiquent pour leur part un CA de 8,1 MdE, et « avec 329,6 millions d'euros, les paris sur Internet ont représenté 4,1% des sommes jouées ». Quoi qu'il en soit, sachant que le canal Internet croît de 30% par an, « il devenait urgent, crucial, de s'en occuper ». Le programme mainframe a été analysé et réécrit au besoin selon des préceptes orientés services, « ce qui a permis de diviser par deux les ressources ». L'autre objectif pour le PMU était de rendre l'architecture capable de supporter de futures évolutions liées aux changements réglementaires - l'ouverture du monopole à la concurrence. Capgemini a défini une structure de BPM (gestion des processus métier), remplaçant ainsi des programmes par un socle de gestion des flux, soutenu par un bus de services, l'ESB de Tibco. Premier bénéfice, les services exposés ainsi peuvent être utilisés par des partenaires extérieurs. Second bénéfice, « cela permet de gagner énormément en maintenance », argumente Hyacinthe Choury, puisqu'il ne peut plus y avoir d'erreur de programmation : le seul code généré l'est au sein de Tibco, le développeur n'intervient que sur le paramétrage. Les SOA coûtent cher, dit-on souvent, à juste titre. Mais la maintenance représente la majeure part du budget informatique des entreprises, il y a donc de l'argent à prendre de ce côté. C'est exactement ce qu'a fait Capgemini avec le PMU, explique l'architecte de la SSII. « Les dépenses de mise en oeuvre ont été financées par les économies en maintenance, c'était un engagement contractuel. » (...)
(29/11/2007 16:28:33)ATS recrute 600 informaticiens pour son centre de développement
Accenture Technology Solutions (ATS), entité du groupe Accenture dédiée aux métiers du service informatique, recrute pour son centre de développement à Nantes. La SSII recherche 600 informaticiens pour 2008, dont 2/3 de jeunes diplômés : les postes à pourvoir visent des jeunes de niveau bac+2 à bac+5 (BTS, IUT, Miage, DESS spécialisé en informatique de gestion) pour faire du développement informatique et de la maintenance de systèmes d'information. En parallèle, ATS fait aussi appel à 200 profils plus expérimentés, ayant une expérience de 3 à 7 ans des métiers de l'informatique et des technologies. La palette de métiers est vaste et vise les compétences autour de Java, J2EE, Webmethods, Cobol, des spécialistes de SAP, Siebel, Oracle, et les pro de SQL, SAS, ou BO. Comme chaque année, ATS compte également s'appuyer sur une cinquantaine de stagiaires supplémentaires, qui devraient donner lieu à des embauches. Dans ce cadre, la SSII commencera son projet de recrutement dès le 13 décembre prochain, dans le cadre d'une séance de « speed recruiting ». (...)
(29/11/2007 16:16:03)Intel domine le monde des semiconducteurs en hausse de 4,1% en 2007
Selon iSuppli, le marché mondial des semiconducteurs devrait croître de 4,1% cette année pour atteindre 270 Md$. Cette croissance profite surtout aux vingt premiers fournisseurs (+5,1% avec une part totale de marché de 64%). Dans ce contexte, Intel bénéficie largement de la prime à la taille. Le numéro un conforte sa position avec une hausse de près de 8% de son CA. Ce qui lui confère 12,5% du CA du secteur. Il y a fort à parier que ses bénéfices pèsent encore plus lourd. A l'inverse, 2007 pourrait rester pour AMD l'année de la déchéance. Le fondeur dégringole de la 8e à la 11e place et la baisse de 22,8% de son CA est la plus importante du classement. C'est Sony qui enregistre la meilleure progression. Le Japonais passe de la 14e à la 8e place grâce à un CA en hausse de près de 57%. (...)
(29/11/2007 16:10:55)Microsoft soutient PSI sur le marché des mainframes
Grand rival d'IBM sur le marché des mainframes, la start-up américaine PSI vient de compter Microsoft parmi les noms des investisseurs de sa dernière levée de fond de 37 M$. Présent aux côtés d'Intel, de Goldman Sachs et d'autres fonds d'investissement, l'éditeur de Redmond a également profité de l'occasion pour signer un partenariat commercial avec PSI selon lequel la société vendra le système d'exploitation Windows Server 2008 sur ses mainframes. Créé en 2003, PSI s'est fait connaître en clamant que ses mainframes ouverts basés sur des processeurs Itanium supportaient le système d'exploitation z/OS d'IBM aux côtés de Windows ou Linux. Ce qui lui vaut une action judiciaire en cours de la part d'IBM pour violation de propriété intellectuelle. (...)
(29/11/2007 16:00:34)Annuels Sage Group : l'activité hors Royaume-Uni propulse la croissance
Le groupe britannique Sage, éditeur de logiciels de gestion, fortement implanté au niveau mondial grâce à sa politique de rachat d'éditeurs locaux, a terminé son exercice 2007 (au 30 septembre dernier) sur un chiffre d'affaires de 1,713 milliards d'euros, en progression de 30 %. Son bénéfice avant impôt a progressé de 14%, à 251 M£ (ces résultats financiers ne sont pas encore audités). Sur l'année fiscale, les ventes de licences de Sage Group ont progressé de 12% et celles de ses services de 39%. La base installée du groupe compte désormais 5,5 millions d'entreprises (5,2 millions en 2006). En France, la filiale a réalisé un chiffre d'affaires de 280 M€ (+13%), avec une croissance organique de 6%, et un résultat d'exploitation de 70 M€ (+20%). +54,4% en Amérique du Nord, +16,2% en Europe Spécialiste de la croissance externe, Sage Group plc a effectué principalement cinq grosses acquisitions dans le monde sur l'exercice, pour un total de 73,1 M£. Il a néanmoins réalisé une croissance organique globale de +7%, grâce à la forte augmentation de son activité sur trois de ses quatre zones géographiques. L'Amérique du Nord, qui représente 44% de son chiffre d'affaires, a vu ses ventes progresser de 54,4%, à 508,1 M£. L'Europe continentale pèse 30% de l'activité de Sage. Le chiffre d'affaires s'y est établi à 343,9 M£ (+16,2%,). Depuis plusieurs années, la stratégie de Sage conduit à réduire la part du Royaume-Uni (sa zone géographique d'origine) dans son chiffre d'affaires total. Cette zone ne réalise aujourd'hui que 19% de son revenu. Sur l'exercice, les revenus s'y sont élevés à 217,7 M£ (+ 6,5%). Enfin, le chiffre d'affaires de la quatrième zone géographique, qui comprend notamment l'Asie, l'Afrique du Sud et l'Australie, mais ne représente encore que 7% du revenu de Sage Group plc, a augmenté de 20,8%, à 76,1 M£. L'activité de l'éditeur en Asie devrait progresser, Sage ayant réalisé récemment un certain nombre d'acquisition dans cette partie du monde. Sage emploie actuellement 13 900 personnes. (...)
(29/11/2007 15:04:14)Un catalogue en ligne de matériels high-tech écolos
Le Climate Savers Computing Initiative, un consortium créé cet été, qui réunit notamment Microsoft, HP, Intel, Google et Lenovo, vient de publier un catalogue en ligne référençant les équipements et matériels high-tech répondant aux critères écolos du groupement. Le catalogue liste 300 produits, indique Climate Savers dans un communiqué. «Le nouveau catalogue de Climate Saver offre aux particuliers et aux entreprises une liste compréhensive de desktops, d'ordinateurs portables, de serveurs, d'alimentations et composants, de cartes mères et d'application de gestion de consommation d'énergie conformes aux règles de Climate Savers Computing. » Les produits y sont indexés par type (serveur, desktop...), par constructeur et par zone géographique (Asie, Europe...). Par exemple, on retrouve dans la catégorie Portable en EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) la gamme Compaq d'HP. Et pour les desktops, quatre Dell Precision et une série d'OptiPlex. Le Climate Savers Computing Initiative s'est fixé la mission de réduire de 50% la consommation d'électricité des équipements high-tech d'ici à 2010, en encourageant notamment les constructeurs à adopter le label EnergyStar. (...)
(29/11/2007 15:01:24)Links Conseil dématérialise le métier de consultant
Chez Links Conseil, société de conseil et de portage salarial, les prises de commandes sont désormais dématérialisées. Les 1000 consultants de l'entreprise peuvent en effet suivre et automatiser la gestion de leurs missions sur Internet, grâce à un outil informatique spécifique. Un compte en ligne sécurisé et privatif leur donne accès aux comptes d'exploitation, et leur permet d'assurer des missions sur le Net, depuis la prise de commandes et le suivi d'activité, jusqu'à la facturation. Ce bureau virtuel leur donne également la possibilité de traiter leurs notes de frais, ou de consulter leurs rémunérations. Pour enregistrer un nouveau client, il suffit de saisir le numéro Siren de l'entreprise et le logiciel se charge d'aller chercher les données correspondantes. Après avoir rédigé une offre, le consultant peut proposer à son client de consulter le devis en ligne. Ce dernier y a accès grâce à un lien, et peut ensuite valider la commande, s'il est intéressé. « Cet outil diminue les délais d'intervention d'une semaine à une heure en moyenne, a indiqué Antoine Catta, président de Links à l'occasion d'une conférence de presse, jeudi 29 novembre. Désormais, le client est mis dans la boucle, dès le premier instant ». Links Conseil entend d'ailleurs faire évoluer sa nouvelle interface afin d'en élargir l'accès à ses clients et d'offrir à ses consultants un environnement complet de travail. (...)
(29/11/2007 15:02:15)Les grèves dopent le trafic des sites de transport, selon ComScore
Le cabinet de mesure d'audience Internet vient de publier ses résultats pour le mois d'octobre, concernant les sites français les plus visités au courant du mois d'octobre. Du côté du leader, pas de surprise : Google arrive encore une fois en tête, avec 19,2 millions de visiteurs uniques en un mois, soit 69% des internautes français. Il est suivi par Microsoft, avec 17,7 millions de visiteurs (64%) et France Télécom (53%). Les suivants (Iliad/Free, Pages jaunes, ebay et Yahoo) tiennent dans un mouchoir de poche, en remportant chacun un peu plus de 40% de part d'audience. Le groupe PRP (qui détient des sites comme celui de La Redoute ou de la Fnac) fait une percée dans le top 10, avec 9,7 millions de visiteurs uniques en octobre, ce qui correspond à une croissance de 10%. Les meilleures progressions : les transports et le marché du luxe Autre fait souligné par le cabinet d'études : les grèves des services publics observées courant octobre ont généré une augmentation du trafic de fréquentation des sites de transport. 2,2 millions de personnes ont consulté le site de la RATP (+33% par rapport au mois de septembre) et 5,8 millions de visiteurs se sont connectés sur celui de la SNCF (+22%, soit un million de plus par rapport au mois précédent). « Les problèmes engendrés par les grèves s'étant aggravés en novembre, il sera intéressant pour notre cabinet d'analyser un autre élément, celui de la progression du télétravail », note à ce sujet Delphine Gatignol, responsable du développement chez ComScore France. La meilleure progression de consultation de site est attribuée à celui de Louis Vuitton (+58%), appartenant au groupe LVMH, et qui a attiré 1,8 millions de visiteurs uniques courant octobre (contre 1,1 millions un mois plus tôt). Les autres sites de vente en ligne se maintiennent, avec une croissance de 22% pour Amazon et de 21% pour Arcandor AG (propriétaire de Quelle.fr). (...)
(29/11/2007 12:32:11)Les entretiens du nouveau monde industriel : à quoi ressemblera le design numérique de demain
Si les sciences dures - telles que les mathématiques ou la physique - sont communément associées à l'informatique et aux nouvelles technologies, ce ne sont pas les seules à avoir un rôle à jouer dans leur évolution. A l'occasion des premiers entretiens du nouveau monde industriel, Cap Digital, l'ENSI et le centre Georges Pompidou ont réuni les 27 et 28 novembre derniers, représentants des sciences humaines et industriels pour débattre sur la façon dont les nouveaux objets et services numériques doivent être pensés. Ainsi pour conceptualiser l'interface d'un objet, il faut travailler sur trois aspects : la façon dont l'utilisateur va agir avec l'objet, la façon dont il va s'en servir pour agir avec d'autres et la façon dont il va s'en servir pour agir sur lui-même. Ainsi Charles Lenay, directeur du COSTECH de l'Université technologique de Compiègne, souligne que la valeur émotionnelle que l'on accorde à nos sensations est importante pour accepter de nouvelles interfaces. « À chaque modalité perceptive correspond une esthétique. Elle se constitue entre autres par le partage d'un monde commun avec d'autres individus, explique-t-il. Il faut un équivalent technique du « croisement de regards ». » Ce que son équipe recrée en travaillant sur des téléphones tactiles et des serveurs d'Internet tactiles pour aveugles. Jean-Louis Fréchin, fondateur de NoDesign et professeur à l'ENSI, plaide lui pour que le design ne soit pas traité en bout de chaîne « pour rendre beau le produit fini. « Le design doit être en scène dès le début aux côtés de la R&D, affirme-t-il. D'autant que désormais, l'interface est le produit et l'objet est l'interface. » Prenant pour exemple le téléphone portable - et surtout l'iPhone - où l'objet change la façon dont on s'en sert et les services auxquels on accède. De l'interface, la conversation dériva vite sur la façon dont les avancées technologiques ont changé le processus d'innovation. Miguel Aubouy, responsable des activités créativité du CEA (Commissariat à l'Energie Atomique) raconte que « depuis les années 90, nous ne sommes plus passifs avec nos objets et nous les réinventons en permanence, en faisant alors de nouveaux produits. » C'est la créativité d'intégration qui côtoie désormais la créativité d'anticipation, où classiquement les avancées technologiques créent de nouveaux produits. Une innovation sera donc un succès si le cadre technique (c'est à dire l'avancée des sciences) et le cadre social (c'est à dire le désir collectif de la population visée) y sont propices. (...)
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