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(22/10/2007 10:26:29)
Précisions d'HP France sur HP-UX 11i
A la suite d'un article paru le 5 octobre dernier à propos d'HP-UX, HP nous a communiqué les précisions suivantes : VSE (Virtual Server Environment) n'est pas le nom de l'hyperviseur d'HP-UX, mais un ensemble de technologies et produits. Dans celui-ci, on trouve des outils de partitionnement et virtualisation (dont l'hyperviseur qui porte le nom d'Integrity Virtual Machines), des logiciels de haute disponibilité et cluster, et des produits permettant la variation des coûts de l'informatique avec l'adaptation des ressources en fonction des besoins (Capacité Instantanée iCAP). Par ailleurs, l'hyperviseur Integrity VM supporte les OS invités HP-UX 11iv2 (depuis novembre 2005) et v3 (mars 2007), Windows 2003 (octobre 2006), Linux (juin 2007), et bientôt OpenVMS. Nous avions écrit que le support de Windows 2003 n'arrivait que dans les jours à venir. Enfin, selon IDC, les ventes de serveurs à base d'Itanium, parties de 479 M$ en 2003, sont passées à 1,3 Md$ en 2004 (+188%), à 2,2 Md$ en 2005 (+61%) et à 3,2 Md$ en 2006 (+43%). "On n'est pas sur une exponentielle, mais la progression est soutenue", constate Benoît Maillard, en charge du marketing des serveurs critiques chez HP France qui souligne que les ventes autour du processeur Itanium progressent plus vite que celles autour des processeurs Sparc (Sun) et Power (IBM). Outre HP, les constructeurs suivants proposent des systèmes à base d'Itanium : Unisys, NEC, Fujitsu, Silicon Graphics, Hitachi et Bull (client de NEC). (...)
(12/10/2007 14:05:50)La rémunération des stages étudiants encadrée par décret
Le ministre du Travail Xavier Bertrand présentera mercredi 17 octobre un projet de décret encadrant la gratification des stages étudiants en entreprise. Un projet qui sera dévoilé à l'occasion de la prochaine réunion du Comité des stages, lancé à l'initiative des ministères du Travail et de l'Enseignement supérieur. D'après l'article 9 de la loi du 31 mars 2006 sur l'égalité des chances, « lorsque la durée du stage est supérieure à trois mois consécutifs, celui-ci fait l'objet d'une gratification dont le montant peut être fixé par convention de branche ou par accord professionnel étendu ou, à défaut, par décret ». Selon l'AFP, la proposition soumise au Comité était d'imposer que « les conventions de stages signées par les universités prévoient impérativement la gratification de l'étudiant stagiaire pour un stage d'une durée minimale de trois mois, modulée en fonction du niveau de formation », selon un document de travail. Il était également proposé que toutes les licences générales (hors apprentissage) imposent ou offrent la possibilité aux étudiants d'intégrer un stage d'une durée minimum de trois mois dans leur parcours. Exemple de grille pratiquée dans une grande entreprise : une gratification qui démarrerait à 368 € par mois de Bac à Bac+2, et pourrait atteindre 1 400 € par mois pour un diplômé Bac+5. (...)
(12/10/2007 13:54:32)Oracle propose de racheter BEA pour 6,66 Md$
(mise à jour) Oracle vient d'annoncer qu'il proposait 6,66 Md$ pour le rachat de BEA Systems, fournisseur américain de solutions d'infrastructure logicielle (serveur d'applications, outils d'intégration interapplicatifs...). BEA est notamment très impliqué dans les architectures orientées services (SOA), problématique désormais au coeur de tous les grands projets applicatifs, en particulier des déploiements de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Oracle, fournisseur de base de données, d'infrastructure logicielle et de progiciels applicatifs, dispose d'un catalogue particulièrement fourni. Ces dernières années, il a engagé, avec son initiative Fusion, un énorme chantier d'intégration entre ses multiples offres. Il dispose déjà, en interne, de la plupart des outils que développe BEA. Si ce rachat a lieu, ce sera le plus important effectué cette année par Oracle (PeopleSoft lui avait coûté 10,3 Md$ en 2004 et Siebel, 5,85 Md$ en 2005). Le montant proposé est deux fois plus élevé que celui engagé (3,3 Md$) pour racheter Hyperion, spécialisé dans les outils de gestion de la performance, en mars dernier. A cette date, sa boulimie d'acquisitions avait déjà fait dépenser à Oracle plus de 20 Md$ pour s'emparer de certains concurrents stratégiques ou ajouter à son catalogue des briques métiers ou technologiques reconnues sur le marché. C'est la deuxième opération de grande envergure cette semaine, après l'annonce de l'offre amicale de rachat faite par SAP sur Business Objects dimanche dernier, 07 octobre. Avec sa proposition, Oracle débourse à peine moins que le numéro un des progiciels intégrés (PGI) qui, rappelons-le, va verser 6,78 Md$ en numéraire pour s'offrir le Français spécialiste de l'analyse décisionnelle. Au cours du dernier semestre, Oracle a poursuivi sa croissance externe, mais avec des rachats de moindre importance, jusqu'à l'annonce de ce matin. (...)
(12/10/2007 13:50:33)Pentaho se met aux méta-données
Pentaho vient de mettre à jour sa suite décisionnelle en Open Source. La version 1.6, annoncée mercredi, dispose maintenant d'une gestion des méta-données et d'un client léger pour le reporting. Ce dernier va permettre d'étendre plus facilement le nombre d'utilisateurs capables d'effectuer des requêtes ad hoc et d'accéder aux rapports.
David Stoddard, vice-président de Ventana Research, cabinet d'études californien, estime qu'ainsi, Pentaho accède vraiment au rang d'outil d'entreprise.
Avec la couche de méta-données, les départements informatiques pourront créer des définitions métiers intelligibles et réutilisables (client, région...) grâce auxquelles les utilisateurs réaliseront eux-mêmes des requêtes.
Cette couche de méta-données est basée sur la spécification CWM (Common Warehouse Metamodel) de l'OMG (Object management group), utilisée par certains outils décisionnels. L'intérêt de cet alignement sur CWM apparaît limité à James Kobielus, analyste pour Current Analysis, qui juge que la spécification n'est pas très répandue sur le marché. Avis non partagé par David Stoddard qui estime au contraire que l'adhésion de Pentaho est une marque de soutien au standard.
A partir de 12 000 $ pour le support
Basé à Orlando, en Floride, Pentaho a été fondé en 2005. Sa suite se télécharge gratuitement sous licence MPL (Mozilla Public License). L'éditeur dit avoir gagné de grands clients parmi lesquels Motorola et MySQL AB. La société, qui tire ses revenus de ses services de support et de conseil, n'est pas encore profitable, selon Lance Walter, vice-président du marketing.
Le coût d'abonnement au support technique pour une configuration incluant quatre processeurs démarre à 12 000 $ pour chaque module. La suite regroupe des modules de reporting (incluant la couche de méta-données et les fonctions de requête ad hoc), d'analyse, d'intégration de données, de tableaux de bord et de datamining.
L'Open Source, un modèle de rupture intéressant
Pentaho s'inscrit dans un contexte particulier, sur un marché décisionnel en pleine phase de concentration, dans lequel les offreurs en Open Source, tels que Spago BI ou JasperSoft, ont évidemment une carte à jouer. Rappelons que JasperSoft vient de sortir une appliance décisionnelle avec Ingres.
« L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant pour le décisionnel », commentait récemment Jean-Michel Franco, à l'occasion du rachat de Business Objects par SAP. Et le directeur des offres internationales de Business & Décision de citer en exemple un autre marché, celui du CRM (gestion de la relation client) qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment), a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un modèle différent. (...)
Baisse de contribution chez Wikipedia
Selon un fidèle contributeur à Wikipedia, Robert Rohde, qui se serait amusé à effectuer des statistiques sur les fichiers log de la célèbre encyclopédie du Web, le taux d'activité de la communauté Wikipedia serait en déclin. Il aurait en effet constaté une baisse de 17% de la publication d'articles ou encore de 25% de la création de nouveaux comptes. Faute de statistiques officielles à jour, on ne peut que se demander si ces chiffres avancés par Robert Rohde ne marqueraient pas un tournant dans l'évolution de l'encyclopédie. Pour Robert Rohde, la question se pose en ces termes : après six ans de croissance rapide avec plus de 2 millions d'articles publiés, les « wikipedians » sont-ils à court d'idées pour écrire de nouveaux articles ou est-ce que la communauté n'est tout simplement pas en train de péricliter en raison du vandalisme externe et des conflits internes ? (...)
(12/10/2007 13:48:24)Steve Ballmer reconnait que Google est meilleur que Microsoft sur la recherche et la publicité
Si Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, ne semble pas craindre la concurrence de Google dans le domaine de la suite bureautique, il reconnaît, en revanche, qu'il est clairement le leader sur le secteur de la recherche et de la publicité. Un aveu effectué à l'occasion d'ITEXPO, symposium qui s'est tenu à Orlando entre le 7 et 10 octobre dernier, qui ne surprendra personne : toutes les études le confirment. Numéro 3 sur ce marché, Microsoft reconnaît que l'informatique évolue clairement vers des solutions de type Web, mais il insiste également sur le fait qu'il ne sera jamais possible d'être aussi efficace sur Web qu'avec un Windows ou un Mac. Raison pour laquelle Steve Ballmer regarde d'un oeil très serin les tentatives de Google pour s'implémenter sur le marché de la suite bureautique notamment. Interrogé également sur Vista, sa valeur ajoutée et la difficulté d'implémentation, Steve Ballmer a répondu que les utilisateurs apprécient les fonctions de Vista et qu'il s'agit d'un système d'exploitation plus sécurisé qui a enregistré moins de vulnérabilités dans ses six premiers mois d'existence que n'importe quelle autre version précédente de Windows. (...)
(12/10/2007 11:04:44)Intégration de données : Talend se tourne vers les consultants indépendants
Le Français Talend, éditeur d'outil d'intégration de données (ETL) en Open Source, qui travaille déjà avec un réseau de vingt-cinq intégrateurs, veut aussi pouvoir compter sur les consultants indépendants. A cet effet, il complète son programme de partenariats avec un label spécifique aux consultants baptisé « Talend Community Partners ». Concrètement, la relation envisagée par Talend repose sur le concept d'apporteur d'affaires. « Un consultant travaille souvent avec un nombre réduit de clients avec qui il entretient une relation de forte proximité, explique François Méro, le directeur général de Talend Europe. De fait, il peut facilement identifier en amont un projet envisagé par une entreprise, lié, par exemple à la mise en place d'un outil de CRM ou d'un PGI, dans lequel notre solution à un rôle à jouer ». Il reste ensuite à communiquer l'information à l'éditeur qui se chargera ensuite de proposer ses prestations de formation, de support ou d'expertise au client. Dans ce schéma, la rémunération du consultant est basée sur un pourcentage des revenus tirés du service fourni par Talend. L'éditeur espère collaborer à terme avec quelques dizaines de consultants autour de son produit Talend Open Studio. (...)
(12/10/2007 10:58:16)Les assises de la sécurité ouvrent sur fond d'évolution des menaces
Les assises de la sécurité, le salon qui réunit les principaux RSSI, fournisseurs et acteurs gouvernementaux de la sécurité informatique, ont ouvert leurs portes jeudi 11 octobre à Monaco. Comme chaque année, le salon permet aux différents acteurs de confronter leurs vues et de découvrir les dernières nouveautés en matière de solutions et de services de sécurité. Mais il est aussi l'occasion de faire un point sur les menaces de l'année écoulée et de s'intéresser aux grandes tendance d'évolution. Comme le constate Bernard Ourghanlian, le directeur technique et sécurité de Microsoft France, les motifs d'attaque ont profondément changé. « Pour schématiser, on est passé de la manifestation d'un ego (NDLR : celui du hacker) à des contextes plus criminels ou les vulnérabilités s'achètent et se vendent. Il y a par exemple un vrai marché du botnet. (...) Le résultat est que, comme l'objectif, quand on attaque, est monétaire, les attaques sont plus ciblées qu'avant. On a par exemple des attaques de type extorsion de fonds comme ce qui s'est passé pour les casinos en ligne au Royaume-Uni. » Les entreprises continuent à laver leur linge sale en famille Lors de la conférence plénière du salon, cette évolution a été confirmée et les grands responsables gouvernementaux de la sécurité ont regretté le fait que les entreprises n'aient pas plus souvent le réflexe de recourir aux services de l'Etat pour les aider lorsqu'elles subissent une brèche ou une attaque. En revanche, elles n'hésitent plus à le faire pour le traitement de problèmes comme la pédophilie sur Internet, une amélioration certes, mais qui n'a pas grand chose à voir avec la sécurité informatique en soi. Pourtant, plusieurs responsables de la sécurité rencontrés sur le salon confirment la multiplication des pertes de données et intrusions y compris dans les plus grandes sociétés. Ils regrettent au passage que les problèmes soit souvent pudiquement dissimulés derrière un rideau et surtout qu'ils soient cachés au public, notamment lorsque l'intrusion concerne des données personnelles. Ce réflexe pourrait ne plus être toléré très longtemps. A Bruxelles, la Commission travaille sur l'adjonction dans le paquet Télécom d'une directive de publication des brèches de données personnelles. Cette directive contraindrait les sociétés à informer une autorité publique compétente de toute intrusion mais aussi à informer les clients et utilisateurs de toute perte de données les concernant. Autant de mesures déjà en vigueur aux Etats-Unis et qui ont permis de révéler au public des vols massifs d'identités ou d'informations personnelles au cours des derniers mois. Reste qu'il faudra vraisemblablement quatre à cinq ans avant que la disposition ne soit transcrite en droit national. (...)
(12/10/2007 09:57:46)Microsoft et Zend collaborent sur une implémentation PHP d'InfoCard
L'implémentation des spécifications d'InfoCard dans d'autres langages que ceux de .Net ne va sans doute pas assez vite au goût de Microsoft : l'éditeur vient d'annoncer qu'il allait collaborer avec Zend Technologies pour développer un composant logiciel supportant sa technologie de fédération d'identités. Ce composant viendra s'intégrer au Zend Framework, le cadre applicatif fourni par l'inventeur du langage PHP. Le but d'InfoCard est de simplifier l'authentification d'un internaute auprès de ses divers interlocuteurs (son entreprise, les services administratifs, des sites de commerce en ligne...), grâce à un sélecteur d'identités sur le poste client (chaque interlocuteur demandant des éléments d'identification différents) et à un module supportant la technologie sur le site. Déjà des implémentations en C et pour Ruby on rails Microsoft avait déjà proposé une solution de gestion d'identité, Passport, mais celle-ci s'était heurtée à un mur, puisqu'il fallait confier toutes ses informations personnelles à Microsoft. Avec InfoCard, les données restent sur le poste client, au sein du sélecteur d'identités. Microsoft a pu ainsi clamer son ouverture, puisque les spécifications sont disponibles afin d'être implémentées dans d'autres langages, dans l'objectif évident de la diffuser le plus possible auprès des créateurs de sites Web. Làs, des projets concurrents de fédération des identités ont émergé, et les implémentations hors du monde .Net sont peu nombreuses (il y a des développements en C et pour Ruby on rails). Il faut dire aussi que jusqu'à présent, tout site recourant à InfoCard devait obtenir un certificat SSL en bonne et due forme. La version 3.5 du framework .Net lèvera cette limitation. Côté poste client, hormis CardSpace, l'implémentation d'InfoCard réalisée par Microsoft (livrée avec Vista mais utilisable aussi avec XP SP2, si la version 3 du framework .Net est installée), on peut citer DigitalMe, du projet Bandit initié par Novell, qui s'installe en tant que plug-in dans Firefox, sur Windows, Mac et Linux. (...)
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