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(06/06/2007 19:33:13)

YouTube dans la nasse des droits de retransmission sportifs français

Après la Premier League, gérant le football professionnel anglais, c'est au tour de la Ligue française de football et de la Fédération française de tennis - organisatrice de Roland-Garros - de porter plainte contre YouTube (propriété de Google) pour hébergement de vidéos dont la retransmission est jugée illégale. Les deux organisations ont rejoint la "class action" lancée devant la justice américaine. Depuis que le sport s'est imposé comme un spectacle majeur, les organisateurs de manifestations sportives ont vu leurs émoluments exploser avec les retransmission vidéos. Aujourd'hui, ces derniers craignent par dessus tout une perte de valeur de leur spectacle avec la profusion de vidéos amateurs ou issues de la télévision et diffusées gratuitement sur les sites d'échange sans être soumis à aucun contrôle ni aucune taxe. "YouTube nuit aux efforts que nous avons mis en place pour développer et promouvoir le tennis en France et dans le monde entier, à travers une palette de médias, y compris nos propres sites Internet", affirme ainsi Michel Grach, directeur de la communication de la Fédération française de tennis. Un risque jugé d'autant plus important pour Roland-Garros que la fédération - adossée à son partenaire traditionnel IBM - a depuis longtemps parié sur Internet pour le suivi des rencontres en temps réel. Aux Etats-Unis, la NBA pour le basket et la NHL pour le hockey avaient déjà entamé un bras de fer en 2006 qui s'était soldé par un accord. Les deux fédérations avaient obtenu le droit de contrôler la diffusion de leurs spectacles sur le site tout en s'engageant à déposer leurs propre vidéos. Une issue possible pour les plaignants français ? (...)

(06/06/2007 17:36:27)

IBM envisage de racheter Watchfire

IBM prépare le rachat de Watchfire, société spécialisée dans la sécurisation d'applications et dans la conformité des sites Web aux réglementations liées à l'accessibilité, à la sécurité ainsi qu'aux données privées. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilée. Big Blue entend fondre Watchfire dans Rational, division du groupe qui édite notamment des outils de test, de conception et de déploiement de développements. Dans un communiqué, IBM explique que la combinaison des outils Rational avec ceux de Watchfire devrait "permettre aux développeurs de prendre en compte plus en amont la sécurité ainsi que la conformité dans le processus de développement". Watchfire n'est pas un inconnu pour IBM. D'une part, la division Services de Big Blue est un partenaire ainsi qu'un revendeur des solutions Watchfire. D'autre part, Watchfire est un partenaire technologique d'IBM de longue date, ses applications ayant été certifiées sur les outils de Rational (comme Rational Delivery Platform). Watchfire a été classé n°1 du marché de la sécurisation d'applications en 2006 par IDC avec presque 28% de parts de marché. La transaction devrait être finalisée au troisième trimestre 2007. (...)

(06/06/2007 17:32:44)

Ouvert à l'entrée d'un nouvel investisseur, Bull grimpe en Bourse

L'action de Bull a connu une embellie à la Bourse de Paris (+3,24% à 16H30 à 5,10E) sur fond de rumeurs persistantes d'entrée d'un nouvel actionnaire. Dans un entretien vidéo accordé au site www.lerevenu.fr, Didier Lamouche, PDG du groupe, est revenu sur les récentes cessions et a expliqué que la société étudiait de nouvelles ventes d'actifs... sans exclure des acquisitions. Le mois dernier, le groupe a ainsi réalisé une double opération : d'un côté il a cédé sa branche portugaise spécialisée dans la monétique à GFI Informatique, et de l'autre il a repris Siconet, une SSII espagnole (17 ME de CA en 2006) spécialisée dans les telcos. Par ailleurs Didier Lamouche, "n'exclut pas le rapprochement avec un autre partenaire". Dans l'ornière en 2002 Bull n'avait dû son salut qu'à une énième aide de l'Etat acceptée en dernier recours - et pour l'ultime fois - par la Commission européenne. Depuis, le constructeur historique français a poussé son développement vers des architectures ouvertes tout en cherchant régulièrement à s'adosser à un gros groupe industriel... qui tarde à se signaler. Dans ce contexte, Bull annonce également la nomination de Jenny Newton au poste de directrice générale de ses filiales britannique et irlandaise. Jenny Newton quitte ainsi ses fonctions de vice-présidente senior de Logica CMC. Elle a également occupé des postes de direction au sein de HP (durant quinze ans), Philips, Storagetek ou encore Xansas. (...)

(06/06/2007 17:28:51)

Pas de virtualisation du poste client sans Microsoft Software Assurance

Pas de technologies de virtualisation du poste client pour ceux qui n'auraient pas encore signé pour une Software Assurance, a prévenu Microsoft. Sûr du rapport de force qu'il entretient avec ses clients, Microsoft confirme là sa volonté d'associer étroitement le volet client de son offre de virtualisation avec sa Software Assurance, nom de son contrat de maintenance logicielle. Outre la version spécifique de Vista (Enterprise, la seule à permettre le cryptage des données), la signature d'une Software assurance donne aussi le droit exclusif d'acheter l'ensemble des outils réunis sous la bannière Desktop Optimization Pack. Ce bundle comprend quatre outils achetés dernièrement par Microsoft : - SoftGrid (virtualisation des applications sur les postes clients, issu du rachat de Softricity en mai 2006). C'est le plus intéressant des quatre, car il permet d'importantes économies ; - Asset Inventory Services (technologie d'AssetMetrix, acheté en avril 2006) ; - Advanced Group Policy Management (meilleure administration des utilisateurs sous Active Directory, fruit du rachat de Desktop Standard en octobre) ; - Diagnostic and Recovery Toolset (très proche des outils de Winternals, racheté en juillet). Seuls deux tiers des grands comptes adhérents comptent renouveler leur Software Assurance La version Microsoft de Softgrid commence à être commercialisée tandis que la disponibilité des versions révisées des autres outils est imminente. Bien sûr, Microsoft n'a pas oublié l'aspect commercial. Alors que SoftGrid coûtait 200$ par poste, il tombe à 10$. C'est tentant, mais à condition de signer pour la Software Assurance. Or, ce système de mise à jour automatique, lancé en 2001, a toujours du mal à séduire les grands comptes. On peut même constater que l'acharnement de Microsoft à la rendre indispensable pour disposer d'outils d'administration spécifiques aux grands comptes est, justement, inversement proportionnel à leur envie de l'adopter. Gartner estime que la moitié des grands comptes (plus de 1000 postes Windows) clients de Microsoft ont signé pour la Software Assurance, mais que seulement 65% d'entre eux veulent la reconduire. Il lui est reproché d'être coûteuse. Selon Forrester Research, alors que la moyenne de l'industrie se situe à 21% du prix d'achat, la Software Assurance place la barre bien plus haut : près de 30% pour un logiciel bureautique et 25% pour un logiciel serveur. Si l'on ajoute à cela les retards dans les sorties d'Office 2007 et de Vista qui ont, de facto, privé les adhérents à la Software Assurance de mises à jour gratuites, les réticences s'expliquent encore plus facilement. Sur le même sujet : - Gestion de postes : Microsoft prépare un add-on payant à la Software Assurance - Gartner : la Software Assurance dévalorisée par le dernier décalage d'Office (...)

(06/06/2007 16:43:34)

L'Afai met les pleins feux sur la version 4.1 de Cobit

Un an et demi après la sortie, aux Etats-Unis, de la version 4.0 de Cobit (Control Objectives for Information and Related Technology), les DSI hexagonales soucieuses de vérifier et valider l'alignement de leur activité sur la (les) stratégie(s) des métiers de l'entreprise ont désormais le choix de s'appuyer sur la version française (4.0) de ce référentiel de bonnes pratiques. Ou sur la version 4.1 (en anglais) qui vient d'être mise en ligne par l'organisme international - ITGI (IT Governance Institute) - qui le promeut. Les précédentes évolutions de ce guide de gouvernance portaient sur une formule allégée pour les PME (Cobit Quickstart) et sur l'accès en ligne (Cobit Online). Par les diverses avancées de ce référentiel, dont la première publication date maintenant d'une bonne dizaine d'années, il s'agit essentiellement de répondre au souhait implicite d'un nombre croissant de cadres informaticiens de confronter leur activité à des règles de bonne gestion et de maîtrise des risques. En 2005 déjà, selon diverses enquêtes, près de deux DSI sur trois pensaient que l'amélioration de la gouvernance informatique devait être mise au rang de composante clé de la compétitivité de l'entreprise. Sont concernées : les DSI, les DG, les directions métiers De la parole à l'acte... Le Cigref (club informatique des grandes entreprises françaises) avec l'Afai, en ont fait l'un des axes majeurs de leur évangélisation. Tant il est vrai que la gouvernance en question ne se limite pas, loin s'en faut, à l'implication des seuls informaticiens. Le cadre Cobit, s'il couvre les processus impliqués dans la totalité du cycle de vie des investissements informatiques, de la planification et l'organisation, jusqu'à la maintenance et au support, s'adresse aussi aux directions générales et à leur contrôle de gestion (trouver le bon équilibre entre les risques pris, la production de valeur et les investissements consentis pour l'informatique), ainsi qu'aux directions métiers, aux auditeurs et aux consultants (l'oeil extérieur). Aux dires de l'état-major de l'Afai, les « plus » de la version 4.1 de Cobit, en tant que « mise à jour incrémentielle » de la v.4, sont à rechercher plutôt du côté de la métrique permettant le pilotage et l'amélioration systématique des processus (amélioration de la mesure des performances, des objectifs de contrôle, etc.) Comme le CMM (autre méthodologie de référence en matière d'amélioration des processus, notamment pour la conception-réalisation des systèmes d'information), la v.4 de Cobit inclut une proposition de modèle de maturité, soit l'évaluation de chaque processus sur une échelle de maturité à six degrés, permettant à la fois de cerner où en sont les pratiques de l'entreprise et de fixer des objectifs de progrès. (...)

(06/06/2007 16:36:02)

Computex : Asustek et Intel présentent un ultra-mobile à prix plancher

L'Eee PC d'Asustek est en passe de devenir la star du salon Computex de Taïwan, sa petite taille et son prix plancher retenant toutes les attentions. Mis au point conjointement par Asustek et Intel, ce PC ultra-portable devrait être commercialisé au cours du troisième trimestre et vise en priorité les marchés éducatifs. Vendu à un prix de départ de 199 $, il entre dans la même gamme que le XO OLPC ou le Classmate d'Intel. Le prix de l'Eee PC variera selon la quantité de mémoire flash désirée : de base, il sera livré avec 4 Go mais pourra en accueillir jusqu'à quatre fois plus. Cette mémoire compensera l'absence de disque dur. L'Eee PC 701 - la version de base - mesure 22,5 cm sur 16,5 cm pour une épaisseur de 3,5 cm avec l'écran 7 pouces replié. Il pèse 890 grammes et est équipé de 512 Mo de DDR2, d'une webcam et d'un contrôleur WiFi. En 2008, Asustek prévoit de lancer l'Eee PC 1001, qui sera doté d'un écran de 10 pouces. Aucune précision n'a été donnée sur le type de processeur logé au coeur de la machine, sinon qu'il s'agit d'une puce Intel. On peut simplement supposer que l'Eee PC est construit autour de la plateforme du fondeur destinée aux ultra-mobiles, McCaslin, laquelle s'appuie sur un processeur à basse consommation A100 ou A110. OpenOffice et Firefox sur un Linux Xandros Nos confrères d'IDG News Service ont pu essayer l'appareil. Après six heures d'utilisation, la machine était à peine chaude. Asustek indique que le portable peut fonctionner trois heures sur batterie et ne prévoit pas de proposer d'accumulateur offrant davantage d'autonomie. Le système d'exploitation installé sur l'Eee PC, comme sur le Foleo de Palm, est une distribution Linux estampillée Xandros. La panoplie logicielle comprend la suite Open Office et Firefox. Des applications légères qui permettent au PC de démarrer en 15 secondes. L'interface utilisateur, toujours en phase de développement, devrait reposer sur un système d'onglets. L'exemplaire testé par notre confrère d'IDG News Service proposait six catégories : Internet, Travailler, Apprendre, Jouer, Paramètres et Favoris. L'onglet Internet, par exemple, propose des icones pour surfer, se connecter à Wikipedia et utiliser Skype. (...)

(06/06/2007 16:22:07)

Computex : Intel lance ses chipsets pour Core 2 et ses futurs Penryn

Intel a commencé à renouveler ses chipsets, en prévision de l'arrivée de ses futurs processeurs gravés en 45 nm, les Penryn. C'est au grand salon taïwanais Computex que le constructeur a officiellement annoncé ses chipsets Série 3 (nom de code : Bearlake), qui aujourd'hui devront se contenter de processeurs gravés en 65 nm, tels que les Core 2 Duo et Core 2 Quad. Deux de ces chipsets Série 3 sont immédiatement disponibles, le P35 et le G33. Le lancement des G35 et X38 devrait intervenir d'ici trois mois, a précisé Sean Maloney, vice-président exécutif et directeur des ventes et du marketing d'Intel. Sur le salon, les cartes mères équipées de ces nouveaux chipsets abondent déjà. Le P35 Express est le successeur du P965 Express. Il peut supporter les processeurs double et quadri-coeurs, avec une vitesse de bus (FSB, front side bus) de 1333 MHz, soit du quadri-333 MHz, contre 1066 MHz pour le P965. Autre nouveauté, il peut, en sus de la mémoire DDR2, gérer la DDR3 qui commence à apparaître. La lettre G pour les chipsets Série 3 désigne ceux intégrant des capacités graphiques. Ainsi le G33 serait suffisant, selon Intel, pour faire tourner Aero, l'interface 3D de Vindows Vista. Il faudra toutefois attendre le G35 pour le support de l'interface de programmation DirectX 10. La gamme G peut également décoder les flux HD. Une version moins coûteuse, le G31, n'offrant pas cette capacité HD, sera également disponible. La lettre X, pour le X38, correspond à la gamme Extreme d'Intel, des composants spécialement destinés aux utilisateurs exigeants, typiquement les fans de jeux vidéos. (...)

(06/06/2007 15:32:25)

Le premier numéro de LMI au Musée de l'informatique

Le Musée de l'informatique expose le premier numéro du Monde Informatique. Daté du 26 janvier 1981, le journal annonçait en Une la sortie du DPS 7/65 de CII-Honeywell Bull, équipé d'un OS natif CGOS 64-E et de 16 Kbits de mémoire à puce MOS « en attendant mieux ». Le journal, déjà publié par IDG - éditeur de lemondeinformatique.fr - présentait par ailleurs une « première mondiale » : le recours à un logiciel de simulation automatique de syntaxe pour rédiger entièrement un ouvrage par ordinateur. La machine utilisée, un Apple II, était programmée en assembleur et recourait au hasard pour arranger les termes employés. Le premier numéro du Monde Informatique, et les autres objets exposés, sont visibles tous les jours. Le billet pour la visite de la Grande Arche (9 € pour les adultes, 7,5 € pour les enfants et étudiants) donne accès librement au Musée de l'informatique. (...)

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