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(20/02/2007 17:39:15)
Debian élit son nouveau responsable de projet
Sur fond de retard des développements et de dissensions entre membres de la communauté, Debian, symbole de l'OS Libre, doit élire son développeur cadre. Le DPL (Debian Project Leader) - son nom de baptême - élu aura la tâche de remplacer Anthony Towns, instigateur du très polémique projet Dunc-Tank, qui visait à collecter des fonds pour accélérer les développements de l'OS Open Source. Selon la "constitution" Debian, le DPL symbolise pendant douze mois le représentant officiel de projet Debian. Il est notamment responsable de la promotion du projet à l'extérieur et doit également nouer des relations avec les organisations ou les sociétés commerciales. Son rôle au sein de la communauté couvre la gestion, tant technique qu'organisationnelle, et la définition des orientations du projet Debian. C'est dire l'enjeu. En outre, le futur DPL devra composer avec une communauté Debian divisée, pour, au final, repositionner les forces vives. Fin décembre 2006, le projet de financement Dunc-Tank avait en effet fait capoter la sortie de la version 4 de Debian GNU /Linux, nom de code Etch, initialement fixée au 4 décembre. Marquant au passage l'échec du projet, et laissant derrière lui une communauté éclatée. Si Pierre Habouzit, secrétaire de l'association Debian France, rappelle, prudent, que pour l'heure, seule l'étape des nominations a été entamée, il convient que les clés du prochain mandat s'articuleront de toute évidence autour de trois axes : "Il n'y a pas besoin d'être devin pour savoir que le débat va notamment aborder les causes du retard d'Etch, le bilan de l'expérience Dunc-Tank et divers problèmes de communication des "core teams" et leurs conséquences." Une façon de remettre à plat les grandes décisions d'Antony Towns, futur-ex DPL - car ce dernier devrait vraisemblablement se présenter aux élections de cette année, "même s'il n'a pas encore envoyé sa candidature". "On peut reconnaître à Anthony une certaine volonté de prendre des décisions, et de faire bouger les choses", admet Pierre Habouzit. Puis il lâche: "Néanmoins, il a aussi beaucoup divisé la communauté, en imposant Dunc-Tank, initiative très controversée à l'intérieur de Debian. Ce choix de pousser Dunc-Tank a généré plusieurs abandons, et beaucoup de mécontentements, ce qui va à l'encontre de la définition de son poste". Quoiqu'il en soit, Debian semble avoir déjà tiré les leçons et réfléchit "à un comité social pour régler les différents entre développeurs [...] et sur l'opportunité de remplacer le DPL par une équipe", avance Pierre Habouzit. A cliquer - Le projet de collecte pour accélérer Debian s'avère contre-productif - La constitution Debian (...)
(20/02/2007 17:37:07)Google étend son empire à la publicité dans les jeux vidéo
Google continue de décliner les opportunités de revenus issus de la publicité en se payant le Canadien Adscape Media pour 23 M$. Après s'être imposé comme un géant de la réclame sur Internet, après avoir racheté dMarc Broadcasting et lancé sa plateforme de publicité radio, après avoir décliné Adwords pour la presse écrite, c'est désormais le champ des jeux vidéo que compte investir le cyclopéen moteur avec Adscape. La société, fondée il y a tout juste un an mais reposant sur une technologie brevetée en 2002, s'est spécialisée dans la production de contenu publicitaire dynamique conçu pour être intégré dans les jeux vidéo. Si elle n'affiche pas encore de clients parmi les éditeurs vidéoludiques, elle permet à Google de mettre la main sur sa technologie et de cibler le très juteux marché de l'informatique divertissante. Microsoft a effectué une démarche comparable en mai 2006, en rachetant Massive Inc. Une opération qui a permis au géant de Redmond de nouer des partenariats avec des grands noms du jeu vidéo, comme Electronic Arts, pour utiliser leurs titres comme autant de supports publicitaires. (...)
(20/02/2007 17:36:25)Opérateurs satellites : naissance d'un géant américain
XM et Sirius, deux opérateurs satellites américains, viennent d'annoncer leur intention de fusionner. Ils donneront ainsi naissance à un géant pesant 13 Md$ de revenus selon leurs propres estimations. Les deux futurs partenaires ne précisent cependant pas que ni l'un ni l'autre n'ont jamais publié le moindre bénéfice, leurs pertes cumulées atteignant 1,5 Md$ l'année dernière. Le principal défi des protagonistes sera de convaincre les autorités antitrust du bien-fondé de leur rapprochement : ils sont en effet les seuls titulaires d'une licence les autorisant à offrir des services radio par satellite aux Etats-Unis. Leur fusion pourrait alors être considérée comme une entrave à la concurrence. Le président de la Federal Communications Commission a, à ce propos, estimé que la barre serait haute pour parvenir à justifier d'un réel intérêt général. (...)
(20/02/2007 17:09:31)La greffe du DIF sur le plan de formation peine à prendre auprès des salariés
Un début timide pour une loi appliquée a minima: tel est l'impact actuel de l'entrée en vigueur du droit individuel à la formation (DIF) selon l'étude Demos effectuée à l'automne 2006 auprès de 250 entreprises. Et pourtant : trois entreprises sur quatre disent avoir pris leurs dispositions pour informer les salariés à ce sujet entre 2005 et le premier semestre 2006. Mais, a minima, là encore, en insérant cette information dans le dispositif habituel de prise en compte des besoins de formation (entretiens managers-salariés, etc.), avec une mention sur le bulletin de salaire du compte DIF (vingt heures par an). Elles ont, dans une même proportion (74%), précisé la procédure à suivre par les salariés et leur hiérarchie pour faire remonter les demandes. La plupart des DRH mise sur la complémentarité des moyens de faire valoir ces attentes, sans cloisonner les formations relevant du plan annuel et celles relevant du droit individuel. En gardant, de plus, ouverte la possibilité de se former (sous couvert du DIF) pendant ou hors temps de travail, selon le cas. Ainsi, un tiers des entreprises estime avoir adopté une démarche proactive et incitative dans la mise en place de cet accès à la formation censé répondre à des besoins personnels de maintien ou d'évolution des compétences. En fait foi, chez les plus grandes, la mise en place d'un catalogue des formations éligibles au DIF (16% des entreprises). Mais, peine perdue ? Ou dispositif trop contraignant ou trop flou ? L'information diffusée par l'entreprise n'a suscité que peu de questions de la part des salariés (dans 80% des cas, les remontées sont rares ou nulles). Tout juste constate-t-on un début de sensibilisation des salariés qui, jusque là, se montraient peu motivés à se former (dans 25% des entreprises interrogées). Selon le principe fondateur de la réforme qui prône la formation tout au long de la vie, "c'est l'un des objectifs liés à l'introduction du DIF", notent les analystes de Démos ; "et même s'il n'apparaît pas dans la majorité des entreprises, il n'en constitue pas moins l'effet attendu du DIF". Des formations métiers ou transverses Autre signe encourageant : les demandes de formation enregistrées dans le cadre du DIF font preuve d'un certain réalisme. Loin de la caricature d'une montée des demandes de formation gadget, pour convenance personnelle, selon l'étude Démos, les formations sans aucun lien avec l'activité de l'entreprise apparaissent très minoritaires dans les attentes des salariés. Celles-ci s'orientent principalement vers des formations métiers, dans des domaines techniques liés au métier exercé (12%), ou des domaines non liés au métier exercé mais correspondant à des activités de l'entreprise (14%), avec une montée des besoins de perfectionnement en langues (10%), en bureautique (10%), en informatique (12%) et une attente de développement personnel (12%). Ce bilan et les perspectives de montée en charge du DIF (60% des entreprises pensent avoir à y faire face dès 2007), ainsi que les bonnes pratiques, en termes de financement, d'organisation, d'implication du management de relations avec les partenaires sociaux, font l'objet d'une journée de réflexion, le 15 mars à Paris, organisée par l'institut Demos. (...)
(20/02/2007 17:00:49)SAP s'offre les applications analytiques de Pilot Software
Pour compléter son offre d'applications analytiques, l'éditeur allemand SAP vient de racheter l'Américain Pilot Software, un éditeur spécialisé depuis 1986 dans les outils de tableaux de bord (*). Les logiciels de Pilot Software viennent soutenir la prise de décision stratégique des équipes dirigeantes en leur fournissant une vue sur les indicateurs clés de l'activité de leur entreprise. Le produit phare, PilotWorks, inclut des analyses basées sur la méthode Balanced Scorecard, de Robert Kaplan et David Norton. Lors de récentes interventions, Henning Kagermann, PDG de SAP avait indiqué que sa société prévoyait des acquisitions ciblées destinées à compléter certains pans de son offre par l'ajout de fonctions innovantes. Il avait également précisé que les outils analytiques faisaient partie intégrante des processus de gestion et que les développements futurs s'orientaient vers des fonctions analytiques embarquées. Pilot Software est dirigé par Jonathan D. Becher, qui dispose d'une expérience de presque vingt ans dans les solutions décisionnelles. La société compte quelque 150 clients et dispose de bureaux sur la côte Est et sur la côte Ouest des Etats-Unis. (*) Au milieu des années quatre-vingt, Pilot était connu pour des logiciels qu'on appelait alors EIS, pour Executive Information System, premières versions des actuels tableaux de bord d'aide à la décision. (...)
(20/02/2007 16:58:18)Siemens augmente les performances de la fibre optique
Une équipe de chercheurs de Siemens a testé avec succès un procédé qui accroît la vitesse de transmission ainsi que la zone de couverture d'une fibre optique passive (PON). L'équipe, dont les travaux sont financés en grande partie par des fonds européens, a réussi à transférer des données à la vitesse de 10 Gigabits par seconde (Gbps) en flux descendant et à 2,5 Gigabits par seconde en flux montant sur un réseau passif. C'est un beau résultat quand on sait que dans le meilleur des cas ces transmissions affichent respectivement des débits de 2,5 et 1,2 Gbps. Les chercheurs affirment également pouvoir desservir sans perte de qualité des utilisateurs situés à 100 Km du point d'émission. Le nombre de ces utilisateurs passerait quant à lui de 64 à 512 par splitter, ce qui évite dans la plupart des cas l'installation de systèmes d'agrégation destinés à collecter et à diffuser le trafic localement. En décembre dernier, Siemens annonçait avoir transmis des données à la vitesse de 107 Gigabits par seconde sur un seul canal de fibre optique. L'expérience avait eu lieu aux Etats-Unis sur une distance de 161 kilomètres. L'équipementier allemand expérimentait à cette occasion un procédé de transmission et de réception purement électrique capable d'augmenter les performances de la fibre. C'est cette même technologie qui a été utilisée lors des derniers essais. Siemens espère ainsi faire baisser fortement le prix de la fibre optique, appelée à remplacer les actuels réseaux en cuivre. (...)
(20/02/2007 14:59:43)Vers une hausse des salaires plus généreuse en 2007 qu'en 2006
Au dernier relevé de l'Insee, les salaires du privé, tous secteurs confondus, ont progressé, en brut, de 2,7% entre septembre 2005 et septembre 2006. Soit un point de plus que l'inflation. Avec au troisième trimestre 2006, une hausse plus nette dans le secteur tertiaire (+0,8% sur les salaires bruts) que dans l'industrie (+0,7%); et plus sensible pour les ouvriers et employés (+1%) que pour les cadres (+0,4%). Mais au baromètre d'ECA International, la tendance pour 2007 est plutôt favorable aux français avec 1,5 point au dessus de l'inflation. Soit la meilleure progression du salaire réel depuis cinq ans, néanmoins en deçà de la progression moyenne pour l'Europe (1,8 point). Selon l'étude d'ECA International, qui accompagne les entreprises pour la gestion de la mobilité internationale de leurs salariés (panel de 200 multinationales dans 45 pays), l'augmentation limitée des salaires en France est représentative de la situation de l'Europe de l'Ouest caractérisée par une faible inflation et soumise à la concurrence des coûts salariaux nettement inférieurs à l'Est. Pour information, en Asie, la progression des salaires, déduction faite de l'inflation, pourrait atteindre 7% en Inde en 2007, 6% en Chine et en Indonésie, 3% en Russie (forte inflation). (...)
(20/02/2007 14:54:36)Microsoft livre le SP2 de SQL Server 2005
Le passeport pour Vista. En ligne avec le calendrier initial fixé à début 2007, Microsoft vient de rendre disponible le Service Pack 2 de SQL Server 2005, serveur de base de données de la marque. Une mise à jour capitale pour l'éditeur, puisqu'elle apporte le support de Vista, du futur Longhorn et d'Office 2007 à la base de données. Mais également une mise à jour capitale pour les utilisateurs, qui devront impérativement y souscrire, ou se voir privés du support de la dernière plateforme de Microsoft. En novembre 2006, l'éditeur de Redmond avait annoncé que les versions antérieures au SP2 de SQL Server 2005 ne seraient pas supportées sur Vista et Longhorn Server. Microsoft invoquait à l'époque des raisons de sécurité. Outre le support des derniers OS, le SP2 rapproche Office 2007 des outils de BI (Business Intelligence) pour en optimiser l'utilisation. Notons la connexion désormais effective d'Excel aux SQL Server Analysis Services ainsi que la compatibilité des données entre Reporting Services et Sharepoint. Autre amélioration, la possibilité de créer des schémas de maintenance multiples. Microsoft cite enfin des efforts liés à l'interopérabilité, en dotant le module de création de rapports du support d'Oracle ou en connectant Reporting Services aux outils d'Hyperion, spécialiste du décisionnel. Enfin, argument de poids, le SP2 élimine la limite d'instances virtuelles créées pour les détenteurs d'une licence de la version Entreprise de SQL Server 2005. (...)
(20/02/2007 12:39:35)Cuba et le Venezuela entament la révolution du Libre
Fuir l'hégémonie capitaliste de Microsoft au profit de l'Open Source : c'est le but affiché par Cuba et le Venezuela, deux pays qui partagent des idéologies proches et qui viennent de s'engager à équiper les ordinateurs de leurs administrations en logiciels libres. Deux raisons principales justifient cette orientation, selon les gouvernements des deux Etats. D'un côté, « c'est fondamentalement une question de souveraineté technologique, un problème idéologique », comme l'a expliqué Hector Rodriguez, responsable d'un département universitaire cubain spécialisé en développement Open Source. De l'autre, c'est l'éternelle crainte des Etats-Unis qui motive les deux pays. Selon eux, la menace américaine est une réalité, tout comme l'est la coopération entre Microsoft et les forces militaires. Le ministre cubain de la Communication parle ainsi des systèmes d'informations mondiaux comme d'un champ de bataille sur lequel Cuba lutte contre l'impérialisme américain. Pour appuyer ces prises de position, les dignitaires cubains ont convié le très dogmatique Richard Stallman, le créateur de la Free Software Foundation, à une conférence au cours de laquelle il a souligné les risques qu'impliquent les logiciels propriétaires qui interdisent l'accès au code source et la détection de backdoor. Il a également pointé du doigt le manque de moralité des lois sur les droits d'auteurs. Des sorties couronnées des applaudissements d'une assemblée conquise. (...)
(20/02/2007 11:33:06)La Vienne déploie du CPL sur son territoire pour 25 euros par mois
Comme tant d'autres oubliés du progrès, les 525 habitants de Saint-Secondin, dans la Vienne, devaient se contenter des 56 kbps maxi fournis par France Télécom. Pour leur permettre de bénéficier du haut débit, le Syndicat intercommunal d'électricité et d'équipement du département de la Vienne (SIEEDV) et son concessionnaire Soregies ont déployé une solution CPL (Courant porteur en ligne) fournie par la société Courant Multi Média. Celle-ci avait déjà été testée à Saulgé, une autre commune du département. Grâce à un point de collecte alimenté par une liaison spécialisée, les habitants - y compris ceux des hameaux éloignés - peuvent désormais se connecter à Internet via le réseau électrique de la commune. Ils disposent pour cela d'un adaptateur CPL CMM « plug and play ». Soregies, qui a endossé le rôle de FAI, a fixé le prix de l'abonnement 512 kbps à 25 euros par mois. Dans un second temps, les abonnés pourront bénéficier d'un débit de 2 mégas. Le budget du déploiement, soit environ 160 000€, a été pris en charge par l'Etat, le Conseil Général, le SIEEDV et la Région Poitou-Charentes. D'autres communes du département devraient bientôt suivre la voie du CPL. (...)
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