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(26/12/2006 17:03:30)

2006 : l'année écolo pour les processeurs serveurs

Depuis près de 18 mois, la consommation énergétique des systèmes informatiques est devenue l'un des grands sujets de préoccupation des constructeurs, notamment dans le monde des serveurs x86. Jusqu'alors largement alignés sur le discours d'Intel, les constructeurs s'étaient très peu préoccupés de la question de la consommation énergétique, préférant mettre l'accent sur l'argument très simple à comprendre de la puissance. A force d'ignorer le problème, le monde des serveurs x86 a buté sur une impasse vers la fin 2005, lorsqu'on a vu arriver des systèmes à haute densité, notamment des serveurs lames, capables de consommer jusqu'à 25 à 30 KW par rack, dans des datacenters le plus souvent conçus pour des puissances cinq à six fois inférieures (un datacenter moyen est calibré pour fournir une puissance au m2 de l'ordre de 1 à 2 KVA). Pour certains, le réveil a été douloureux avec des problèmes de mise en production des nouvelles architectures, une multiplication des défaillances électriques ou, plus prosaïquement, des défaillances de serveur pour cause de surchauffe. Surchauffe dans les datacenters Car, si la course à la puissance a effectivement apporté des MIPS additionnels, elle a aussi apporté avec elle de biens indésirables effets secondaires dont le premier a été l'accroissement de la dissipation thermique. Lorsqu'on visite un datacenter, il n'est pas rare que la salle hébergeant des serveurs Unix soit 5 à 6° plus froide que celle qui héberge les serveurs lames x86. Nombre des salles informatiques modernes ne sont en effet pas capables de faire face aux besoins de refroidissement prodigieux des nouvelles architectures. Certains ont pourtant vu venir le problème, très en amont, même si cela ne leur a pas profité. L'exemple emblématique est celui de RLX, le pionnier des serveurs lames, qui avait conçu ses premières architectures denses autour des puces à basse consommation Crusoe de Transmeta. RLX et Transmeta ont été emportés par le rouleau compresseur Intel, pour avoir eu raison un peu trop tôt... Un autre pionnier de l'économie d'énergie a curieusement été IBM. Big Blue, dont l'une des spécialités est la conception de grands clusters de calcul, a perçu très tôt les problèmes liés à la dissipation thermique et a développé un puce à basse consommation, le PowerPC 440, pour ses supercalculateurs BlueGene, dont le plus puissant est aujourd'hui classé n°1 au Top 500 des calculateurs scientifiques. La course au rapport performance par watt succède à la course aux MHz Mais la vraie raison du virage en masse vers les économies d'énergie est sans aucun doute l'irruption d'AMD sur le marché des serveurs de volume. Dès 2004, l'Opteron a montré le chemin en proposant des performances supérieures à celles des Xeon d'Intel, dans une enveloppe de consommation environ deux fois moindre. AMD a alors chanté les louanges d'un nouveau concept : le rapport performance par Watt. Il est vrai qu'en 2005, un Opteron ne consommait que 65 W contre près de 120 W pour un Xeon à performances similaires... Certains constructeurs comme Sun ont largement axé leur discours d'efficacité énergétique sur les performances de l'Opteron - à la décharge de Sun, la firme a aussi développé le Sparc T1 "Niagara", l'une des puces offrant le rapport performance le plus élevé du marché. Dans les deux cas, le discours a payé en 2006 puisque les ventes de serveurs x86 de Sun sont passées de près de rien à environ 600 M$ par an et que les ventes de serveurs Sparc T1 atteignent désormais 100 M$ par trimestre. Ce n'est qu'en septembre 2005 qu'Intel a officiellement commencé à changer son discours marketing pour s'attaquer à la réduction de la consommation de ses puces. Lors de l'Intel Developer Forum de septembre 2005, Paul Otellini, a pour la première fois annoncé l'évolution des priorités de développement de la firme pour mettre l'accent sur le rapport performance par watt. Cette nouvelle stratégie s'est traduite par l'apparition au premier semestre 2006 des puces Xeon "WoodCrest", des puces capables pour la première fois de rivaliser avec les Opteron en termes de rapport performance par Watt. Pour donner une idée du virage pris par Intel, le Xeon WoodCrest lancé à l'été 2006 a un ratio performances/Watt environ trois fois meilleur que celui des Xeon de 2005. Et sa déclinaison à bas voltage, utilisée dans certains serveurs lames, est encore deux fois plus économe (au détriment toutefois de la performance pure). Les progrès en la matière n'en sont sans doute qu'à leur début. Intel, comme AMD ou Sun, avec ses puces Sparc, misent pour les années à venir sur des puces massivement parallèles dont le nombre de coeur devrait croître fortement sans augmentation de la consommation énergétique. Objectif : délivrer une puissance croissante tout en stabilisant ou en réduisant l'enveloppe énergétique des serveurs. A l'ère de la chasse au gaspi énergétique, la bataille du rapport performance par watt des processeurs et serveurs ne fait que commencer. (...)

(26/12/2006 17:02:27)

Cognos s'interface avec la nouvelle appliance de recherche d'IBM et Yahoo

Cognos a ajouté un lien entre son moteur décisionnel et l'appliance de recherche pour entreprises récemment annoncée par IBM et Yahoo, l' IBM OmniFind Yahoo, une "boite" capable d'indexer jusqu'à 500,000 documents et plus de 200 formats. L'idée est de permettre une recherche unifiée entre le moteur de recherche de Cognos 8 et celui d'IBM/Yahoo comme cela est déjà le cas entre Cognos8 et l'appliance Google Search. L'interface entre Cognos et IBM OmniFind Yahoo Edition est disponible immédiatement et gratuitement pour les utilisateurs de l'outil de recherche de Cognos. (...)

(26/12/2006 17:01:09)

AMD ouvre un centre de recherche à Redmond

AMD vient d'annoncer l'ouverture prochaine d'un centre de R&D à Redmond, le fief de Microsoft. Baptisé AATL (Advanced Architecture and Technolgy Lab). Le site aura pour but de travailler sur les technologies et les plateformes qui équiperont les ordinateurs dans au moins cinq ans et, in fine, de damer le pion à Intel. Il réfléchira plus particulièrement sur les processeurs et les chipsets et bénéficiera de l'expérience de Rich Witek, qui en prendra la direction. Celui-ci, actuellement chef de l'architecture chez AMD, a participé au développement des processeurs ARM, Alpha et PowerPC. Au-delà de ces informations, AMD reste avare de détails, notamment en ce qui concerne le financement de l'AATL. On apprend simplement que le groupe espère adjoindre 30 à 40 personnes à Rich Witek et, qu'à terme, il compte ouvrir des centres de recherche de ce genre dans d'autres grands centres technologiques. (...)

(26/12/2006 17:13:32)

Sun sort la v1 de son bureau 3D Java

Sun, très discrètement, a dévoilé en téléchargement la première mouture de Looking Glass, vaste projet de bureau 3D Java démarré en 2003. Gage enfin d'une version stable réalisée par la communauté Open Source. L'objectif premier de Looking Glass, sous une licence Open Source GPL depuis 2004, est de greffer une interface 3D au dessus d'un Windows, Linux et Solaris. Concrètement, cela se traduit, selon le site du projet, par une navigation 3D parmi les fenêtres ouvertes qu'on peut dès lors faire pivoter sur leurs deux axes. Au programme également, une barre des tâches semblable au sacro-saint Dock de MacOS X ainsi que des effets de transparence. Sun s'appuie sur une série d'API pour le développement d'applications 3D ainsi que sur un gestionnaire de fenêtres et d'applications tournant sous X11 (traditionnellement en 2D). (...)

(26/12/2006 17:13:16)

Une super-grille de calcul pour le Cern

158 organisations répartis dans 35 pays: c'est le maillage d'une super-grille mise en place à l'échelle mondiale pour traiter les données d'Atlas, futur détecteur de particules du Cern (organisation européenne pour la recherche nucléaire). Atlas est l'un des 5 programmes qui composent le futur accélérateur de particules (LHC - Large Hadron Collider) prévu pour 2007. Les tests entre les universités de Chicago et d'Indianapolis, deux maillons de la grille, et un des cinq centres régionaux (MidWest Tier 2 Center) répartis aux Etats-Unis ont été réussis. Une fois la grille finalisée, les avalanches de données d'Atlas transiteront d'abord par le premier hub (Tier 0) localisé au Cern (Suisse), puis vers onze centres (Tier 1) disséminés à travers le monde. Ils à leur tour déverseront les données aux quatre centres régionaux (Tiers 2) dont font partie les universités de Chicago et d'Indianapolis. LHC aura pour tâche de détecter le boson de Higgs et les particules supersymétriques, deux théories physiques sur la masse et la nature des particules. (...)

(26/12/2006 16:31:32)

Handimanagement : des futurs managers sensibilisés à la question de l'emploi des personnes handicapées

Un projet pédagogique du nom de "handimanagement" a été lancé, dans le but de sensibiliser les étudiants de grandes écoles et futurs managers à l'insertion professionnelle des personnes handicapées, un mois après la semaine du handicap destinée à montrer à la société une catégorie de la population trop souvent oubliée et discriminée. Vingt grandes écoles (dont l'Ecole Centrale de Paris, l'Ensam et l'Insa Lyon) ont, chacune, engagé une équipe d'étudiants qui reçoit une formation au monde du handicap. Ces derniers travaillent avec des entreprises qui se sont engagées à leurs côtés. Leur mission : sensibiliser leurs camarades à l'insertion professionnelle des personnes handicapées. Les plans d'action seront dévoilés école par école le 16 janvier et se dérouleront en deux temps : une "journée-combat" centrée sur l'amélioration concrète de l'intégration des personnes handicapées, et une semaine complète de sensibilisation qui aura lieu au printemps et qui est destinée à l'ensemble des étudiants et professeurs de chaque école, destinée au dépassement des peurs et des appréhensions d'un monde que l'on ne veut pas toujours connaître. Le projet se terminera par une remise des prix en mai. (...)

(26/12/2006 16:30:55)

Plus d'un Français sur deux est au travail pendant les fêtes de fin d'année

Les sondages en ligne permettent de donner une photographie précise d'une situation, immédiatement exploitable, même si elle est non scientifique et restrictive en raison du profil des internautes qui acceptent de se prononcer. Ces réserves soulignées, Monster a réalisé une étude à laquelle près de 11 700 Européens ont répondu, dont 2 650 internautes français. "C'est un sondage qui a beaucoup intéressé, souligne Annabelle Maury, responsable de la communication chez Monster France en évoquant la méthodologie employée. Un sondage classique donne 1 500 réponses environ alors qu'un questionnaire qui n'intéresse pas entraînera 500 votes ou moins". A la question "Allez-vous travailler pendant la période de Noël ?", 51% de Français ont répondu positivement, soit 13 points de plus que la moyenne européenne. Autres chiffres intéressants : 18% seulement de Français indiquent que leur société ferme pendant cette période (contre 26% d'Européens) et 20% d'entre eux peuvent prendre des vacances (pour 24% d'Européens). A noter encore que les Allemands, Britanniques et Italiens sont sensiblement dans la moyenne européenne, alors que la grosse surprise vient de l'autre côté des Pyrénées : près d'un tiers seulement des Espagnols ne travaille pas pendant la période de Noël et près de 90 % de leurs entreprises restent ouvertes durant cette trêve. Anticiper une possible baisse d'activité en 2007 ? Difficile d'interpréter rigoureusement l'indicateur fourni par Monster, si ce n'est que le mythe des pays catholiques fermant pendant l'une des périodes religieuses les plus importantes pour le monde chrétien, est bel et bien derrière nous. On voit également que les Français, souvent fustigés en matière d'adaptabilité, ont accepté ces nouvelles contraintes : les entreprises restent désormais ouvertes, obligeant à une présence minimale au bureau voire davantage. Est-ce la mondialisation qui oblige à une veille permanente et à une flexibilité qui se rapproche de celle des indépendants ? On peut esquisser une réponse du côté de la nature des entreprises ouvertes : celles du e-commerce ont réalisé des chiffres d'affaires impressionnants, puisqu'à Noël 2006, Catherine Barba, fondatrice du site Cashstore, annonce "une augmentation du volume des commandes de 300% en moyenne par rapport à 2005". Mieux : 2 milliards d'euros auraient été dépensés par Internet, représentant l'achat d'un cadeau sur trois. Le portail Cashstore indique par exemple que 35% des achats en ligne sur son site concernent des produits high-tech et 12% de jeux-vidéos. De tels scores donnent le vertige et signifient que c'est toute la chaîne du e-commerce qui est concernée, et particulièrement les secteurs de veille technique et d'outils logiciels performants pour prévenir tout incident (saturation du site, bug, rupture...) qui ferait fuir les internautes (moins captifs que dans un magasin), la logistique pour acheminer les achats, des stocks prêts à temps et des systèmes de production opérationnels... Outre le domaine du commerce, celui des sociétés de services est également concerné par une présence au bureau ; pour celles qui doivent livrer des projets en début d'année, le temps est à la recette ou aux derniers réglages. Pourtant, cette forte activité des dernières semaines de l'année pourrait pallier une activité en diminution au début 2007. L'Insee annonce en effet que les chefs d'entreprises interrogés en décembre 2006 estiment que l'activité est restée assez dynamique dans l'industrie manufacturière au cours des 3 derniers mois, mais indiquent un léger fléchissement de la conjoncture industrielle. "L'indicateur synthétique du climat des affaires se replie, notamment en raison de perspectives de production moins favorables. Les perspectives personnelles de production se tassent, suggérant un possible plafonnement de l'activité dans les prochains mois. Les perspectives générales de production sont à nouveau orientées à la baisse, signalant un contexte économique global moins favorable". (...)

(26/12/2006 12:16:14)

Le fondateur de Suse revient chez Novell

Hubert Mantel, l'un des fondateurs de Suse, revient finalement chez Novell. Dans une interview donnée à Data Manager On line, dans laquelle il confirme son retour chez l'éditeur Open Source, Mantel explique que les raisons de son départ étaient notamment liées à des relations houleuses avec les investisseurs de l'époque. Et qu'il se sentait également "usé à force de travail". Rien, en revanche, sur les raisons de son retour chez Novell. Notons toutefois que Mantel estime que l'accord passé avec Microsoft est "une bonne chose particulièrement pour les utilisateurs". Un fait rare chez les défenseurs de l'Open Source qui, depuis la signature de l'accord, ont affiché leur opposition à une telle alliance. La semaine dernière, Jeremy Allison, l'un des principaux développeurs du projet Samba, démissionnait, avec perte et fracas, de Novell. Selon lui, l'accord entre l'éditeur et Microsoft est "une erreur et va nuire à Novell". (...)

(26/12/2006 12:12:56)

Trimestriels Red Hat : au-delà des prévisions des analystes

Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 105,8 M$ (+45%) Bénéfice net : 14,6 M$ (+31,8%) Si les circonstances pouvaient laisser croire à un affaiblissement de Red Hat au cours du trimestre - au profit d'une concurrence toujours plus acharnée - il n'en a rien été. Le spécialiste de la distribution Linux a bouclé la troisième période de son exercice en dépassant les prévisions des analystes. Le chiffre d'affaires progresse de 45% sur un an, à 105,8M$. D'un trimestre à l'autre, les revenus croissent de 6% et dépassent les 104,1M$ attendus par le consensus des observateurs. Les souscriptions de licences représentent 88,9 M$, en hausse de 48% par rapport à la même période de l'année précédente, Red Hat ayant recruté 12 000 nouveaux clients au cours des trois mois considérés. Sur l'ensemble des revenus réalisés au cours du trimestre, la moitié provient du réseau de partenaires, et l'autre moitié est issue des ventes directes. Le bénéfice net s'inscrit en hausse de 31,8% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, à 14,6M$. Que l'on observe les revenus ou le bénéfice de Red Hat, on ne constate donc pas d'effet tangible de la concurrence qui s'est multipliée au cours de la période. En octobre, Oracle annonçait ainsi le lancement d'un programme de support à moindre coût de la distribution Linux de Red Hat. Le mois suivant, Microsoft et Novell signaient un accord d'interopérabilité portant sur Suse et Windows, qui aurait également pu mettre à mal les performances de Red Hat. Loin de se laisser démonter par ces annonces, Red Hat table sur un quatrième trimestre "prudemment optimiste" et vise un chiffre d'affaires de 112 à 113 M$. Soit plus que les 110,8 M$ des analystes. (...)

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