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(08/12/2006 17:44:36)
Mobile Office : Sybase, un pied dans le grand public
Sybase iAnywhere vient de racheter Mobile365. Cette société est un broker de SMS, MMS et IMS multi-opérateur. Il assure le transport de ce type de messages, quels que soient les réseaux opérateurs et départ et de destination du message. Mobile365 et AvantGo, portail mobile aspirateur de contenus acquis en 2004, forment dorénavant Sybase365. Mais la récente acquisition de Mobile365 permettra à l'éditeur d'ajouter une brique d'alertes via le réseau cellulaire à la solution qu'il proposera à ses clients. De plus, selon Sybase iAnywhere, l'idée sous jacente de ces acquisitions est de pouvoir adresser le grand public, par l'intermédiaire de campagnes marketing lancées par des établissements bancaires, par exemple. (...)
(08/12/2006 17:34:50)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(08/12/2006 17:32:59)Open XML est officiellement une norme Ecma
20 voix contre 1. A l'unanimité, moins la voix d'IBM, l'assemblée générale de l'Ecma, organisme international de normalisation, réunie à Zurich jeudi 7 décembre après-midi, a élevé Open XML, format bureautique de Microsoft, au rang de standard international (Ecma 376). Ce très attendu résultat doit ouvrir les portes de l'ISO au désormais standard et positionner Open XML aux côtés de son plus grand rival OpenDocument (ODF), format ouvert de l'Oasis et standard ISO depuis mai. Cette normalisation joue en effet un rôle capital dans l'avenir du format auprès des entreprises, qui, voient un moyen pérenne et favorisant l'interopérabilité dans la gestion de leurs fichiers archivés. Les administrations, tant européennes qu'américaines (comme par exemple l'Etat du Massachusetts), ont été les précurseurs du mouvement, en mettant tout leur poids du côté d'ODF, de par son ouverture et sa standardisation. La normalisation d'Open XML pourrait ainsi relancer le débat. Une année de travaux aura été nécessaire pour le développement des spécifications. "Sans tension", précise Kader Yildirim, membre du comité technique représentant Essilor. "Un an de travail rythmé au son de deux heures de conf call par semaine et une réunion tous les deux ou trois mois". Le comité technique (TC45), en charge du chantier, avait publié les versions finales d'Open XML le 11 octobre dernier. "Un document d'une précision incroyable", commente un autre membre du comité. "Nous avons rédigé une documentation de 6 000 pages. Pour aider les développeurs à les digérer, nous avons rédigé un document récapitulatif d'une quinzaine de pages", renchérit Kader Yildirim. Le comité technique réunissait Apple, Barclays Capital, BP, The British Library, Essilor, Intel, NextPage, Novell, Statoil, Toshiba et enfin la bibliothèque du Congrès américain. IBM, seul contre tous "ODF est le futur. Open XML est du passé. Nous avons voté pour le futur". IBM, unique vote contre, estime, par la voix de Bob Sutor, vice-président Open Source et standard chez Big Blue, qu'ODF, format qu'il supporte fermement dans ses applications, "est bien supérieur, et qu'il représente ce dont l'industrie a besoin pour favoriser la compétitivité et abaisser les coûts". Et d'ajouter sans fioriture:"ODF est l'exemple d'un vrai format ouvert contre une spécification d'un éditeur qui documente des produits propriétaires en XML". Depuis une semaine, la bataille autour des deux formats bureautiques était montée d'un cran. Hasard du calendrier, mardi, l'ISO a enfin déclaré officiellement ODF en tant que standard, lui appliquant désormais l'étiquette ISO / IEC 26300:2006. Vendredi dernier, Corel, fidèle supporter d'ODF, annonçait que WordPerfect, son application bureautique, serait finalement douée du double-support, ODF et Open XML. Même son de cloche chez Novell, qui dans une ultime clause de l'accord qui le lie avec l'éditeur de Redmond, annonce développer un traducteur Open XML dans sa version d'OpenOffice. En route vers l'ISO La normalisation Ecma ne représente toutefois qu'une étape, certes importante, dans le processus d'adoption vers les entreprises. Car aux yeux des décideurs, la norme ISO compte davantage. "Les institutions publiques préfèrent les standards certifiés ISO", fait remarquer Jean Paoli, responsable des architectures XML chez Microsoft, et président du comité TC45, à nos confrères d'IDG News Service. Et Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France, d'ajouter : "il est également important que la norme soit agréée par tous". Ce que la norme ISO, dont le vote d'approbation final est réalisé par les instances nationales -tel que l'Afnor pour la France- doit amener. Reste ainsi à passer cette prochaine étape, pas nécessairement acquise par avance. L'Ecma entend accélérer le processus de soumission auprès des instances nationales, en charge de statuer à l'ISO. Si sous 30 jours aucune objection n'est formulée, Open XML sera envoyé au Subcommittee 34 qui disposera de cinq à six mois pour examiner les commentaires des instances, avant d'être expédié au Joint Technical Committee 1, pour le vote final. (...)
(08/12/2006 17:34:24)Elpida et Powerchip vont investir 10,5 MdE dans la production de mémoire RAM
Le Japonais Elpida Memory, né de la fusion des activités mémoires de NEC, Hitachi et Mitsubishi, et le Taiwanais Powerchip Semiconductor vont mettre en commun leurs activités de fabrication de mémoires vives et investir près de 10,5 MdE au cours des cinq prochaines années dans la construction de quatre usines de production de DRAM à Taiwan. La nouvelle société, dont le nom n'a pas été dévoilé, commencera ses activités au second semestre 2007 avec l'ouverture d'une unité de production de dernière génération basée au centre de Taiwan. Utilisant des tranches de Silicium de 300 mm, cette usine sera capable de produire près de 60 000 tranches en 70nm par mois (chacune supportant plusieurs milliers de puces mémoire) dès le mois d'août 2007. D'ici cinq ans, la capacité de la nouvelle société devrait atteindre 240 000 tranches par mois. En fusionnant leurs activités, Elpida et Powerchip entendent contrer la montée en puissance du n°1 mondial, Samsung, et espèrent même le dépasser d'ici trois ans. Le mariage intervient alors que les prix des mémoires DRAM sont en hausse du fait de l'accroissement de la demande liée notamment à la bonne santé du marché des PC et à l'arrivée de Windows Vista. (...)
(08/12/2006 17:35:38)Azul Systems repousse les limites de Java avec ses puces à 48 coeurs
Malgré un litige qui l'oppose à Sun, Azul a dévoilé cette semaine la nouvelle génération de ses systèmes Java massivement parallèles, la série 3200. La start-up californienne créée par Stephen DeWitt, l'ancien fondateur de Cobalt Networks, s'est fait un nom avec ses systèmes NAP (Network-attached processing). Ces appliances sont optimisées pour exécuter des applications Java exigeantes et offrent, selon la société, des performances 10 fois supérieures à celles des systèmes x86 les plus rapides. Elles sont conçues pour être utilisées comme une ferme de calcul Java vers laquelle peut être déportée l'exécution des applications les plus gourmandes, d'où l'appellation Network Attached Processing. A ce jour, le constructeur compte parmi ces clients Pegasus Solutions, BT OpenReach, NBX, ainsi que plusieurs opérateurs télécoms et établissements financiers. La série 3200 embarque la dernière génération de puce Vega2 de la firme. Ce processeur dédié dispose de 48 coeurs optimisés pour le traitement de code précompilé et notamment de code Java (la puce peut aussi exécuter des applications .Net, mais la firme s'est jusqu'alors concentrée sur le marché Java. Vendu à partir de 50 000 $, le modèle 3210 embarque deux puces Vega2 soit 96 coeurs et jusqu'à 48 Go de mémoire dans un serveur rack 5U. La version haut de gamme des appliances de la marque, le 3220, embarque 4 processeurs Vega2 (192 coeurs) et supporte jusqu'à 192 Go de RAM. Les deux serveurs consomment respectivement 580 et 1000 W. Selon la société, trois serveurs 3220 en rack équipés de 96 Go de RAM offrent des performances similaires à un rack de 36 serveurs Opteron 800 au test SPECjbb tout en consommant près de 4 fois moins d'énergie et 75% d'espace en moins. Un système équipé de 16 puces Vega2 dépasserait (les tests n'ont pas encore été publiés sur le site Spec.org), quant à lui, le record établi par un serveur PrimePower 2500 équipé de 128 puces Sparc 64V de Fujitsu au test SPECjbb2005 benchmark avec 872,972 SPECjbb2005 bops contre 811607 pour le serveur Fujitsu. (...)
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