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(13/10/2006 17:41:31)
Ingres nomme un directeur général pour ses activités en France
Ingres donne du sang neuf à ses activités françaises. L'éditeur de la base de données éponyme nomme un directeur général à la tête de sa filiale française. Eric Soares, ex-Critical Path, aura la charge du développement des activités d'Ingres dans l'Hexagone et en Europe du Sud. Un secteur qu'il connaît bien : il a tenu le poste de directeur région (France, Italie, Espagne et Portugal) chez Novell, avant de rejoindre Critical Path en tant que directeur général France. Ingres poursuit ainsi sa relance. Et mise sur ses activités régionales et sa base installée pour lui donner l'impulsion nécessaire. Une stratégie débutée il y a plus de six mois, en ré-activant son Club utilisateurs en France. A l'époque, l'objectif principal était de renouer la collaboration entre l'éditeur et les utilisateurs (entreprises et éditeurs indépendants) de la base de données. Une tâche que devra certainement coordonner Eric Soares. "Ingres est un acteur capable de faire la différence sur son marché", affirme-t-il dans un communiqué. C'est en effet ce que prétend le cabinet Forrester, qui positionne Ingres comme une des bases de données Open Source les plus intéressantes du marché (devant MySQL), en termes fonctionnels. Allant jusqu'à la recommander aux entreprises cherchant des bases pour des applications transactionnelles à fort volume, ou pour construire des entrepôts de données de taille moyenne. (...)
(13/10/2006 17:30:56)HP se dote d'un contrôle d'éthique
Nageant encore en plein scandale, Hewlett-Packard vient de recruter un directeur général en charge de l'éthique et du respect des réglementations en la personne de Jon Hoak, ancien conseiller juridique de NCR. Jon Hoak s'assurera du respect des standards américains de conduite d'activité. Il travaillera de concert avec Bart Schwartz, un conseiller juridique recruté au mois de septembre dernier, alors qu'éclatait le scandale des écoutes, pour étudier les pratiques de HP et définir de nouvelles règles de conduite. Dans l'organigramme de HP, Jon Hoak remplace Ann Baskins, ancienne conseillère juridique générale de HP qui a démissionné le 28 septembre dernier. Ann Baskins fait partie des dirigeants de HP impliqués dans le scandale des écoutes et convoqués par la justice. (...)
(13/10/2006 17:34:58)Google Maps se tourne vers les entreprises
C'est la dernière incursion en date de Google sur le marché professionnels : le moteur de recherche propose désormais aux entreprises d'intégrer son service de cartographie à leurs applications métier. Google permet en effet aux entreprises d'exploiter les interfaces de programmation (API) de son service Google Maps pour leurs besoins propres, moyennant une licence annuelle facturée 10 000 euros. Pour attirer les clients, Google évoque quelques applications : « gérez vos équipes et vos ressources sur le terrain; localisez instantanément vos clients; déterminez le contexte géographique pour évaluer les besoins opérationnels, du suivi des expéditions à la gestion des chaînes d'approvisionnement ». Google indique que la licence Entreprise de l'API Google Maps est assortie d'un accord de niveau de service, sans en détailler le contenu. Le moteur de recherche promet en outre une « assistance pour la mise en ?uvre et un service après-vente par téléphone et par e-mail ». Malheureusement, le groupe de discussion sur l'API Google Maps et sa documentation en ligne ne sont, pour l'heure, disponibles qu'en anglais, un handicap face à des concurrents comme Mappy, Maporama ou ViaMichelin. Toujours dans le cadre de sa stratégie en direction des entreprises, Google vient par ailleurs d'engager des négociations avec BEA. Ces discussions ont pour objet l'ouverture des API des services Google - dont certaines inaccessibles au public à ce jour - à WebLogic Portal pour permettre aux entreprises d'exploiter les services de Google au sein de leurs portails internes. (...)
(13/10/2006 14:46:43)Spamhaus : le cri d'alarme d'un agonisant
Depuis le tournage des Blues Brothers, la justice de l'Illinois ne semble pas avoir trop changé. A la seule différence que, cette fois, il s'agit de la réalité : Spamhaus, LE seul organe britannique de lutte contre le spam véritablement efficace, vient de tomber sous les coups de boutoir de la justice américaine, à force de procès engagés par les « diffuseurs de courriels de prospection commerciale qui ne sont pas des spams ». Tout d'abord condamné à 11 millions de dollars - les manques à gagner grimpent vite, dans le domaine de la diffusion gratuite de publicité payante-, les administrateurs de Spamhaus se sont ensuite vus menacés par voie de justice d'abandonner leur nom de domaine. Demande a en effet été envoyée à l'Icann afin que soit rayé des DNS Spamhaus.org. Demande rejetée depuis, comme le remarque l'oeuil de Lynx de Marc Rees, dans les colonnes de PC Inpact « Si nous disparaissons, disparaît avec nous le dernier rempart tentant au moins de limiter les ravages du spam », avertissent en substance les responsables de Spamhaus.« Après nous, le déluge, et un déluge que l'on peut estimer à plus de 50 milliards de spams émis chaque jour.». Propos repris notamment par le très néolibéral USA Today. Il y a de fortes chances, hélas, pour que plus jamais la voix de Spamhaus ne résonne encore sur Internet. La faute à une justice US corrompue par la pression des lobbies du spam ? L'explication serait un peut trop simple. Un juge ne rend son verdict qu'en fonction des outils que lui donnent les textes, textes qui sont votés par des sénateurs, donc des politiques. La disparition de Spamhaus semble être la conjonction de plusieurs facteurs. Notamment d'une mauvaise défense, comme l'explique un « Maître Eolas local » dans les colonnes du Securiteam. La faute surtout au Sénat Américain qui a fait passer la loi CanSpam, de type « opt out ». La faute également aux industriels américains, Monsieur William Gates en tête, qui ont supporté et approuvé les textes en faveur d'un non-contrôle du spam, alors que des lois d'Etat, Californiennes notamment, avaient prouvé que des mesures plus strictes telles que les mécanismes « Opt In » pouvaient s'avérer efficaces. L'Europe, pouvons-nous nous féliciter, interdit bien entendu ce sinistre « opt out ». Mais la majorité des spammers sont hébergés aux Etats-Unis, en Europe de l'Est, parfois même en Afrique, et de plus en plus en Extrême-Orient. Au moins, nous l'avons, notre Ligne Maginot anti-pourriel. Reste que les divisions de panzer pro-viagra passent chaque jour par les Ardennes virtuelles des flux numériques trans-frontière. Un décret, même Européen, ne parviendra jamais à filtrer efficacement un backbone. A moins que les intérêts privés que quelques éditeurs soient hypothétiquement en danger. (...)
(13/10/2006 11:38:44)Ventes de PC portables : Les facteurs de la croissance
La perte de terrain des PC de bureaux au profit des ordinateurs portables dans l'entreprise se poursuit inexorablement. De 21% en 2000, la part de ces derniers dans les ventes globales de PC professionnels en France devrait passer à 38% d'ici la fin de l'année selon IDC. Résultats, 96% des 200 entreprises de 200 à 1000 salariés et plus, interrogées dans le cadre du premier baromètre de la mobilité réalisé par IDC pour Dell, sont aujourd'hui équipées de portables. En moyenne, les notebook et les Tablet PC constituent 18% de leurs parcs informatiques. A court terme, environ 65% d'entre elles prévoient d'investir dans l'achat de nouveaux portables. D'une part, pour remplacer leurs parcs de postes de travail fixes (pour 34% des prévisions d'achats de portables). D'autre part, pour équiper des salariés dépourvus jusqu'ici de notebook (pour 49% des prévisions d'achats). Si à l'origine les portables était majoritairement destinés aux travailleurs nomades, ils conquièrent désormais les sédentaires. Aujourd'hui, 32% des personnes qui en sont équipées n'en font usage qu'à l'intérieur de l'entreprise. Au chapitre des raisons qui amène les entreprises à renouveler leurs parc de portables figurent aussi le besoin de disposer de machines offrant une connectivité sans fil (Wifi, GPRS, 3G). Ce que 61% des entreprises interrogées considèrent comme important voire très important dans leur décision d'achat. On notera au passage que 33% des entreprises ont déjà déployé la technologie 3G sur leurs portables. Reste que pour 79% des entreprises, le coût total de possession d'un portable est supérieur à celui d'un PC de bureaux. Elles sont 49% à voir un obstacle à l'achat dans le prix encore élevé des notebook. Ce point négatif est compensé par le fait que 84% d'entre elles (à des degrés très divers) considèrent que les gains associés à l'informatique mobile compense son surcoût par rapport aux postes fixes. La sécurité constitue un des autres frein à la propagation des portables en entreprise. Environ 20% des entreprises craignent en effet qu'en s'équipant elles diminuent le niveau de sécurité de leur système d'information. En réaction, 25% d'entre elles ont pris la décision de limiter le nombre de portables. Elles restent toutefois une majorité (69%) à avoir répondu à cette problématique par la mise en place d'une politique de sécurité adaptée aux outils de mobilité. (...)
(13/10/2006 11:38:30)Inauguration du Paca Mobile Center, un centre mutualisé de tests sur mobiles
Marseille a officiellement inauguré aujourd'hui le PACA Mobile Center un centre mutualisé permettant aux acteurs de l'industrie mobile locale ou nationale de venir tester leurs applications sur un large échantillon des téléphones mobiles du marché. Le PACA Mobile Center a constitué au cours des derniers mois une " mobilethèque" mutualisée de 250 téléphones (400 prévus pour Novembre et 1000 en 2007), des outils technologiques et une base d'informations actualisée sur les mobiles. Le tout est installé au sein du Pôle de la Belle de Mai qui héberge l'incubateur local d'entreprises innovantes ainsi qu'un pôle média. Accessibles aux PME comme aux grands groupes, ainsi qu'aux organismes de recherche, le centre est cofinancé par la DRIRE et les acteurs institutionnels de la région PACA et a nécessité un investissement de départ de 120 KE. Il est doté d'un budget annuel de fonctionnement de 300 000E, dont 60% est dévolu à l'achat de matériel. Le centre compte déjà 21 clients, dont Cityway, ViaMichelin (navigation GPS),PayCool Development (paiement sécurisé sur mobiles) ou Kaolink (Développement et Edition de jeux sur mobiles). Et il a noué des partenariats avec de grands opérateurs, constructeurs et distributeurs nationaux et européens, notamment avec Wireless Innovation (Ecosse) qui lui a ouvert l'accès aux réseaux des opérateurs britanniques. (...)
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