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(13/10/2006 00:00:00)
Interview de Mike Milinkovitch, Directeur exécutif de la Fondation Eclipse
''Eclipse, les technologies et l'écosystème'' , propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en Chef lemondeinformatique.fr (...)
(13/10/2006 00:00:00)Interview de Mike Milinkovitch, Directeur exécutif de la Fondation Eclipse
Introduction à Eclipse, propos recueillis par Olivier Rafal, Rédacteur en Chef lemondeinformatique.fr (...)
(12/10/2006 18:13:10)Les débats sur l'EPLA pourraient relancer la guerre sur les brevets logiciels
Le parlement européen, qui avait réussi à faire échouer les plan des pro-brevets logiciels en Europe, est reparti en guerre aujourd'hui contre la proposition de la Commission de souscrire à l'Accord sur le règlement des litiges en matière de brevets européens (EPLA ou European Patent Litigation Agreement), un projet avancé et soutenu par l'Office Européen des brevets (OEB). L'OEB est très critiqué par une partie du Parlement européen pour sa gestion du dossier de la brevetabilité des logiciels. Selon les Verts, le PS et les communistes européens, le nombre de demandes de brevets déposées chaque année à l'Office européen des brevets a augmenté de quelque 60% au cours des sept dernières années. Ceux-ci notent que "ce n'est pas le résultat d'un accroissement correspondant de l'activité innovante et, partant, soulève des préoccupations quant à l'extension du champ des matières susceptibles de faire l'objet d'un brevet, quant aux normes de qualité inférieures, à la création de maquis de brevets, à une utilisation stratégique accrue des brevets en tant que substitution à des innovations réelles". L'une des inquiétudes des parlementaires reste le fait que l'OEB a déjà approuvé des brevets sur le logiciel alors qu'en théorie il n'en a pas le pouvoir. Autant dire que l'EPLA était attendu de pied ferme par lesdits députés, certains y voyant une nouvelle tentative de l'OEB d'ouvrir la porte à la brevetabilité du logiciel en Europe. Pour Alain Pompidou, le président de l'OEB, "la proportion des inventions implémentées au travers de l'informatique va croissante, du fait que l'innovation repose de plus en plus sur les technologies de l'information incorporées dans un nombre croissant d'équipements allant des voitures aux machines à laver en passant par les téléphones mobiles". Il ajoute toutefois que l'OEB n'a pas son propre agenda sur la question des brevets logiciels. En accord avec la convention européenne sur les brevets de 1973, l'OEB ne valide pas de brevets sur les logiciels en soi, mais il en accorde pour les inventions liées à des ordinateurs qui sont nouvelles, inventives et ont un caractère technique". Mais cette analyse est combattue par Florian Mueller de la campagne NoSoftwarePatents qui note que " ces inventions liées à l'informatique incluent des concepts comme les menus contextuels ou la vérification anti-virus d'un ordinateur et sont essentiellement la même chose que les brevets logiciels accordés par l'USPTO américain à ceci près que les descriptions sont formulées différemment de ce côté de l'Atlantique". Le parlement préconise une approche prudente vis à vis de l'EPLA Texte controversé, l'EPLA propose la création d'une unique Cour européenne pour juger des différends sur les brevets entre sociétés des 31 Etats membres de OEB (dont les 25 pays de l'Union). Cette proposition a l'appui du Commissaire européen en charge du marché intérieur, Charlie McCreevy, qui préconise que l'Union signe l'EPLA afin de réduire les coûts juridiques pour les PME mais aussi afin d'harmoniser un peu plus le système de brevet européen. Dans sa résolution votée aujourd'hui par 494 voix contre 109, le Parlement européen souligne le manque de contrôle démocratique sur le système de brevet de l'OEB mais aussi les doutes persistants sur sa politique d'attribution de brevets. Dans sa version française, le texte invite la Commission à exploiter toutes les voies pour améliorer l'actuel système de brevets et à étudier avec prudence l'adhésion de l'UE à la convention de Münich - un texte qui a servi de base à l'interprétation de l'OEB pour l'octroi de certains brevets sur des technologies logicielles. Du côté de la FFII (Foundation for a Free Information Infrastructure ) qui a activement milité contre l'EPLA, on se félicite d'avoir évité le pire : "Le compromis adopté par le parlement est très loin de la proposition initiale qui supportait activement l'EPLA" explique ainsi Gérald Sédrati-Dinet, le président de la FFI France. Ce dernier rappelle que la FFII continuera ses efforts de sensibilisation "pour rappeler que le système des brevets reste géré en cercle fermé par des administrateurs qui ont intérêt aux brevets logiciels". Les PME victimes du système Il est à noter que la position officielle du gouvernement français était nettement contre l'EPLA. Il en va de même des groupes Verts, PC et PS au Parlement européen. Dans un projet de rapport abandonné au profit du compromis, ceux-ci rappelaient que " les intérêts économiques de l'Europe, et en particulier de l'Europe du SME, ne sont pas servis par certaines décisions récentes de l'instance d'appel de l'OEB en faveur d'un champ extrêmement large des matières susceptibles de faire l'objet d'un brevet, comme la décision T 0424/03 - 3.5.01 du 23 février 2006 de maintenir un brevet sur les formats de données [de Microsoft, NDLA]". Ils se déclaraient aussi préoccupés du fait que l'EPLA pourrait "consolider une jurisprudence qui n'est pas dans la ligne des positions exprimées à différentes occasions par des majorités parlementaires sur le droit substantiel des brevets" et du fait que l'EPLA "ne réduirait les coûts de contentieux, que dans le petit nombre de cas (...), alors que le coût moyen de la plupart des poursuites en matière de brevet augmenterait, ce qui exposerait les PME à des risques accrus". Selon leur évaluation, le coût total d'un litige d'importance moyenne dans le cadre de l'EPLA serait de l'ordre de 97 000 euros à 415 000 euros, rien qu'en première instance. Des tarifs qui placent les PME en position de faiblesse par rapport aux grands groupes... (...)
(12/10/2006 18:13:37)IBM propose un serveur System i configuré pour SAP
IBM a lancé aujourd'hui un serveur iSeries préconfiguré et dimensionné pour les clients utilisant les logiciels PGI de SAP (dont mySAP All-in-One, business intelligence et les progiciels de GRC, de gestion du cycle de vie des produits et de gestion de la chaîne logistique de la marque), une initiative qui rappelle le lancement en juillet dernier du System i 520 Solution Edition pour J.D. Edwards EnterpriseOne. Avec ce nouveau package tarifé de façon agressive, IBM souhaite offrir une alternative sûre et stable aux plateformes serveurs x86 et développer la base installée de sa plateforme System i (ex AS/400). L'offre devrait être commercialisée dans le courant du mois d'Octobre aux environs de 35 000$. (...)
(12/10/2006 18:17:29)Oracle veut mieux informer sur ses correctifs
La série de correctifs diffusée par Oracle mardi 17 octobre prochain aura des airs de première. L'éditeur va en effet lui appliquer un ensemble de nouvelles mesures destinées à rendre ses rustines plus lisibles par les administrateurs système. Les vulnérabilités concernées par les correctifs diffusés par Oracle seront notées selon le système CVSS (Common Vulnerability Scoring System), soutenu notamment par Cisco et IBM. En outre, l'éditeur va fournir un descriptif des failles corrigées et isolera clairement dans une liste spécifique les failles susceptibles d'être exploitées par un pirate distant, y compris s'il ne dispose d'aucun accès autorisé au serveur. Darius Wiles, directeur d'Oracle Security Alerts, explique vouloir ainsi répondre aux attentes des utilisateurs : « nos clients nous demandent désormais une information mieux formatée. Ils veulent une évaluation objective de ce qui est le plus important. » Jusqu'alors, l'évaluation de l'importance d'un correctif proposé par Oracle se faisait par le truchement d'une matrice d'interprétation scindant les risques en trois catégories. (...)
(12/10/2006 18:11:41)Sécurité des messageries : Gartner voit Microsoft en « leader de facto »
Le rachat de Frontbridge Technologies l'année dernière a propulsé Microsoft dans le carré des leaders du quadrant magique Gartner des solutions de sécurité intégrées pour la messagerie électronique. L'étude, parue fin septembre, vient d'être rendue publique par l'éditeur d'Exchange, dans un communiqué titré « Microsoft numéro 1 du Quadrant Magique du Gartner ». Plus exactement, Microsoft est numéro un sur l'axe « ability to execute » du quadrant, qui sanctionne la viabilité de l'éditeur, sa réactivité aux évolutions du marché et sa capacité à vendre ses produits. En revanche, Microsoft partage le camp des leaders avec beaucoup de monde (IronPort Systems, MessageLabs, Postini, Secure Computing et Symantec). Des éditeurs qui devancent tous Microsoft sur l'axe « completeness of vision » (même si c'est de peu pour Symantec), axe qui sanctionne la compréhension du marché ainsi que la qualité et la complétude de l'offre produit. Néanmoins, Microsoft fait une percée remarquable sur ce marché, alors qu'il était absent du quadrant précédent de Gartner (daté de juin 2005), malgré son rachat de Sybari (fonctions d'antivirus). Mais Frontbridge (services de sécurité hébergée) était déjà dans le carré des leaders, et la position dominante de Microsoft avec sa messagerie Exchange devrait faire le reste, estime Gartner, qui voit l'éditeur en « leader de facto ». Voici un paragraphe, aimablement traduit par Microsoft : « Compte tenu de sa base installée d'Exchange Server et des acquisitions de Sybari (désormais appelé Forefront for Exchange) et FontBridge (désormais appelé Exchange Hosted Services), qui s'ajoutent aux premiers investissements dans un filtre anti-spam natif, Microsoft est en position de devenir le leader du marché de la sécurité des messageries électroniques. Bien que sa part de marché soit encore modeste, il sera difficile de concurrencer le duo de services anti-spam et antivirus faisant partie à la fois des licences standard et entreprise d'Exchange 2007. » Les grands comptes devraient rester fidèles aux spécialistes Gartner ajoute toutefois que la percée initiale de Microsoft se fera essentiellement sur le marché des petites et moyennes entreprises, qui considèrent les solutions de l'éditeur comme plus pratiques et plus économiques. Les plus grands comptes seraient plutôt réticents à confier de telles fonctions de sécurité à Microsoft et devraient continuer de s'appuyer sur les fournisseurs excellant dans le domaine. Le cabinet d'analystes note en outre que l'offre Microsoft manque encore de cohérence : certaines fonctions sont présentes dans plusieurs produits mais avec des technologies différentes, tandis que d'autres fonctions manquent à l'appel. C'est justement sur la cohérence de l'offre qu'un concurrent comme McAfee va essayer de mettre l'accent. Qualifié de challenger par Gartner, l'éditeur propose pourtant déjà des offres de type appliance et services hébergés, comme le préconise Gartner. « Gartner nous voit comme challenger car si nous avons pas mal de fonctionnalités, nous n'avons pas été forcément les premiers à les mettre en place chez les clients », explique Sébastien Thomas, leader avant-vente chez McAfee France. Face à la menace que constitue la montée en puissance de Microsoft, McAfee entend réagir dans un premier temps, en « renouvelant la gamme, dans le premier semestre 2007 ». Comme d'habitude, les ambitions de Microsoft font souffrir certains acteurs, mais ont au moins le mérite de faire évoluer les spécialistes du secteur. A plus long terme, McAfee entend ainsi « offrir une protection intégrée, dépassant les limites de la messagerie, avec une corrélation globale des événements de sécurité au niveau de l'entreprise, et une console unique de supervision ». (...)
(12/10/2006 18:14:13)Intel livre sa première puce prête pour WiMax mobile
Intel vient de commencer à distribuer les premiers échantillons de sa puce WiMax Connection 2250 d'interface avec les réseaux à la norme 802.16. Selon le fondeur, cette puce de type system-on-chip (SoC, système sur puce) peut recevoir par radio des mises à jour logicielles. Cette capacité doit lui permettre d'évoluer vers des réseaux WiMax mobile à la norme 802.16e-2005. La puce WiMax Connection 2250 peut en outre supporter les réseaux WiMax sur les bandes de fréquences de 2,5 GHz, 3,5 GHz et 5,8 GHz. Motorola prévoit de l'utiliser pour sa gamme d'équipements WiMax CPEi 200 prévue pour l'an prochain. D'autres équipementiers ont l'intention d'utiliser la nouvelle puce WiMax d'Intel, notamment Airspan, Alcatel, Alvarion, Aperto Networks, Redline Communications et Siemens. La puce WiMax Connection 2250 succède à la puce Intel Pro/Wireless 5116, aussi appelée Rosedale, lancée en 2004 par le fondeur et limitée à la version fixe de WiMax. (...)
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