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(25/09/2006 17:38:50)
HP : la repentance de Mark Hurd
Alors que les révélations et les rebondissements sur l'espionnage orchestré par HP ont rythmé les deux dernières semaines, il restait à l'homme fort du groupe - le PDG, Mark Hurd - à s'expliquer et à délimiter l'étendue de son implication. "C'est une situation compliquée et, plus je la regarde, plus elle devient compliquée", a expliqué, le 22 septembre, le n° 1 de HP qui aurait eu connaissance des méthodes mises en oeuvre par son groupe en juillet 2005. En janvier 2006, puis en février, la question aurait de nouveau été évoquée et Hurd "informé par l'équipe enquêtrice qu'elle envisageait d'envoyer un email contenant de fausses informations afin d'identifier la source des fuites [issues du conseil d'administration]". Soucieux de rebondir sur les allégations du Washington Post - qui attesteraient de son implication directe - Mark Hurd a reconnu "l'existence de rapports écrits qui [lui] étaient adressés, ainsi qu'à d'autres", mais affirme ne pas les avoir lu. "J'aurais pu et dû le faire", s'est-il confessé Jouant la carte du repenti, Mark Hurd a fait profil honorable : "ce qui a commencé comme une enquête avec les meilleures intentions a pris une direction que nous n'avions pas la possibilité d'anticiper (...) Au nom de HP, je présente mes sincères excuses aux journalistes et à toutes les personnes qui ont été concernées". Parmi les derniers rebondissements, l'autre fait marquant concerne l'éviction de Patricia Dunn, présidente du conseil d'administration au moment des faits. Présentée comme l'instigatrice des opérations d'espionnage, elle avait été révoquée de ses fonctions, une décision qui devait prendre effet en janvier 2007. HP n'entend cependant pas attendre les premières heures de l'année prochaine pour lâcher Patricia Dunn : son départ est désormais effectif et c'est Mark Hurd qui la remplace à la présidence. La prochaine tâche de ce dernier sera de se montrer convaincant face à une sous-commission de la Chambre des représentants, chargée de faire la lumière sur les faits. Il est également susceptible d'être entendu par la justice californienne - le procureur général de l'Etat a lancé une enquête. HP y encourt des poursuites, judiciaires et civiles, pour accès à des données informatiques, vol d'identité et usurpation d'identité. (...)
(25/09/2006 17:42:38)Semestriels Groupe Open : croissance organique à deux chiffres
Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 253 ME (+34%) Résultat net : 0 (+1 ME) La SSII Groupe Open a bouclé son premier semestre 2006 sur un chiffre d'affaires en hausse de 34% - dont 15% en organique - à 253 ME. Le groupe profite des progrès réalisés dans tous les secteurs d'activité, en France comme à l'étranger - où les revenus bondissent de 45% sur un an. La branche Distribution, dont les activités sont menées à travers la filiale Logix - bien implantée dans les pays scandinaves - a dégagé un chiffre d'affaires de 174 ME, en hausse de 21% par rapport à la même période de l'année précédente. Logix poursuit sa conquête des marchés étrangers : la filiale réalisait 46% de son CA à l'international il y a un an, contre 53% au S1 2006. "On faisait déjà de la croissance en 2002-2003, quand tout le monde allait mal, se souvient Guy Mamou-Mani, le directeur général de Groupe Open. Maintenant, on cumule croissance organique, croissance externe et rentabilité". De fait, si Logix affichait un résultat opérationnel courant de -1,4 ME il y a un an, la filiale distribution enregistre désormais un ROC de 0,5 ME. Et ce chiffre devrait progresser au second semestre : "Logix a un impact de saisonnalité très fort, explique Guy Mamou-Mani, de l'ordre de 40/60. La plus grosse partie du résultat est donc réalisée sur le S2". L'activité Services connaît elle aussi une forte progression organique. Son chiffre d'affaires croît de 6%, à périmètre comparable, à 79 ME. Composée des filiales Teamlog et Innetis, la division est davantage génératrice de profitabilité que Logix. Elle génère ainsi un ROC de 5 ME, contre 3 ME il y a un an. Pour l'ensemble du groupe, le résultat net est nul, contre une perte d'un million d'euro au S1 2005. "Il faut noter l'importance de l'impact dû à la résiliation du pacte d'actionnaires Teamlog, note Guy Mamou-Mani. Un impact qui restera non récurrent". Sans tenir compte de cet impact, le résultat net aurait atteint 0,6 ME. Pour l'ensemble de l'exercice en cours, Groupe Open table sur une croissance proche de 20%, conduisant à un chiffre d'affaires compris entre 550 et 560 ME. Surtout, Guy Mamou-Mani vise un CA d'un milliards d'euros à l'horizon 2010, "en répartissant les deux tiers de notre activité dans la distribution, et un tiers dans les services, un ratio permettant d'avoir une contribution aux résultats équilibrée". Un tel objectif passera à la fois par une croissance organique "qui restera à deux chiffres" et par des opérations de croissance externe. "Dans la distribution, nous envisageons plusieurs petites acquisitions dans des pays où nous ne sommes pas encore implantés. Pour la branche services, on veut représenter une SSII de 4 à 5000 personnes en France. Pour cela, nous visons un gros achat - une entreprise de 500 salariés par exemple - ou deux ou trois plus petits". (...)
(25/09/2006 09:45:30)Les entreprises débattent des SOA le 5 octobre à Paris
Le 5 octobre aura lieu à Paris une journée de débats et de présentations sur les architectures orientées services (SOA), au cours de laquelle de nombreux représentants d'entreprises viendront apporter leur témoignage : Bouygues Telecom, Reuters, Gaz de France, Spacebel, France Printemps, SMABTP... Ce Forum SOA est organisé par IDG, leader mondial du marché de l'information dédiée aux technologies de l'information avec 300 publications dans 85 pays, dont Le Monde Informatique, CIO ou www.lemondeinformatique.fr en France. L'inscription est gratuite. Les points de vue d'analystes de PAC et Forrester, ainsi que de plusieurs éditeurs (Oracle, BEA, IBM, Software AG, Ilog et Sun) et experts du sujet (Sogeti, Unilog-Logica) seront confrontés au cours de plusieurs tables rondes. La dernière table ronde de la journée donnera une perspective internationale à l'événement, grâce à la participation d'experts étrangers du domaine (Capgemini, Deloitte) et de journalistes du groupe IDG venus d'Allemagne, du Royaume-Uni et des Etats-Unis. Quatre cent personnes sont attendues. (...)
(22/09/2006 17:17:21)AMD lance son support processeur unifié
Prolongeant la portée de son initiative Torrenza, présentée en juin dernier, AMD vient de rendre disponibles les spécifications de son support de processeur unifié. Baptisé Torrenza Innovation Socket, ce support permet à des tiers de développer des puces spécialisées qui s'installeront sur un support identique à celui utilisé par les micro-processeurs de la gamme Opteron 64 d'AMD. Ces puces bénéficieront d'un accès direct au bus HyperTransport des serveurs. Torrenza doit ainsi permettre de spécialiser aisément la configuration d'un serveur multi-processeurs en fonction de sa destination. Dans un communiqué, AMD assure avoir rallié à son initiative Torrenza les constructeurs de serveurs Cray, Dell, Fujitsu Siemens, HP, IBM, et Sun. Joseph Reger, directeur technique de Fujitsu Siemens, indique avoir « déjà développé de la technologie pour [Torrenza]». Kevin Kettler, directeur technique de Dell, assure quant à lui que Torrenza lui permettra de « continuer à proposer des solutions à la pointe de la technologie à [ses] clients. » Enfin, Jan Silverman, vice-président senior de Cray en charge de la stratégie corporate et du développement commercial, attend de Torrenza un moyen de profiter « d'innovations supplémentaires pour étendre les performances que les gens attendent de Cray». (...)
(22/09/2006 17:12:42)Microsoft part en guerre contre le piratage
Microsoft France a annoncé mercredi la nomination d'un nouveau monsieur anti-piratage. Antoine Boris, jusqu'alors responsable marketing du canal de distribution des assembleurs chez l'éditeur, aura la tâche de coordonner la lutte contre le piratage pour la France et de représenter Microsoft dans les différentes organisations de lutte contre le piratage, notamment la très controversée BSA (Business Software Alliance), mais aussi le CNAC (Comité National Anti Contrefaçon) et l'UNIFAB (l'Union des Fabricants). Interrogé par lemondeinformatique.fr, Antoine Boris explique que la lutte contre le piratage et la contrefaçon sont devenues une priorité pour l'éditeur en France, l'hexagone arrivant en troisième position mondiale pour les pertes économiques liées au piratage. Selon des chiffres contestables de la BSA (lire à ce propos les billets des blogs infrastructure et management du SI de LMI), 47% des logiciels installés seraient ainsi piratés en France. Interrogé sur le caractère surprenant de ces chiffres, fruits d'une méthodologie IDC très contestable, et sur le fait que Microsoft ne relève lui-même officiellement que 25% de défauts d'activation de Windows en France (soit à peine 2,5 % de plus que la moyenne mondiale), Antoine Boris souligne que l'activation n'est pas un baromètre fiable du piratage dans la mesure ou certains pirates utilisent des numéros d'activation parfaitement légitimes issus d'entreprises. Il avoue toutefois que Microsoft est bien incapable de chiffrer exactement le taux de piratage de ses logiciels, même si la vérité est sans doute entre les 25% des défauts d'activation et les 47 % du BSA : " En fait, on ne sait pas aujourd'hui évaluer exactement la perte pour Microsoft. On a des idées sur le piratage de Windows et Office, mais avoir des chiffres précis est plus problématique. Nous devrions toutefois avoir des données plus précises sur Office, au travers des mécanismes d'activation au premier trimestre 2007". Pour le responsable de l'antipiratage de Microsoft, un pan essentiel de la bataille se joue chez les assembleurs et dans les PME. En France, les assembleurs indépendants commercialiseraient environ 1,1 million de PC par an, dont 50% sans aucune licence logicielle associée, ce que l'on appelle les PC nus. S'il reconnaît qu'une partie de ces PC nus sont utilisés en toute légalité avec une licence Windows existante ou avec Linux, Antoine Boris note toutefois que la proportion de PC sans OS semble bien trop élevée pour être honnête. Il note aussi que si les grands comptes ont aujourd'hui des politiques de gestion de leurs licences globalement satisfaisantes, c'est loin d'être le cas pour les PME. Nombre de ces dernières seraient consciemment ou inconsciemment dans l'illégalité. Et Antoine Boris de rappeler que la BSA tient à disposition gratuite des outils d'inventaire de parc et d'inventaire logiciel pour aider les PME à faire un bilan de situation. Avec une menace en pointillé pour ceux qui ne veulent pas entendre raison : les contrôles continueront à se poursuivre avec l'appui du réseau de partenaires. (...)
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