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(14/03/2006 17:51:04)
L'anti-virus McAfee prend les fichiers Windows pour des virus
Une erreur de programmation dans une mise à jour de l'anti-virus de McAfee a provoqué l'effacement accidentel de centaines de programmes Windows, en les prenant pour des virus. La mise à jour (référencée DAT 4715), délivrée automatiquement vendredi 10 mars aux abonnés McAfee, tant particuliers que professionnels, visait à protéger les systèmes du virus W95/ CTX. Pendant cinq heures vendredi, les entreprises ont pu la télécharger, et ainsi, soit purement effacer les programmes, soit les placer en zone de quarantaine -selon leur configuration-. Seraient concernés les fichiers exécutables de type, excel.exe, shutdown.exe, uninstall.exe, et toucheraient également le Flash Player, la Google Toolbar, et le système de mise à jour d'Adobe (Update Manager). McAfee a publié une nouvelle mise à jour (DAT 4716), quant à elle, fonctionnelle, cinq heures -quatre heures pour les particuliers- après avoir découvert l'incident. Reste à connaître l'étendue des dégâts. McAfee indique que les utilisateurs n'ayant pas configuré leur anti-virus pour appliquer automatiquement les mises à jour ne risquent rien. Seul 1% de sa base installée de particuliers (6 millions selon lui) aurait alors été affecté. Aucun chiffre n'est disponible concernant les clients professionnels. Pour ces derniers, McAfee tient à disposition un outil de récupération. Seule condition : avoir configuré VirusScan Entreprise en mode quarantaine. L'éditeur indique que l'outil ne fonctionnera pas pour les fichiers définitivement effacés, ou ceux isolés via VirusScan Online, Managed VirusScan ou Linux Shield. (...)
(14/03/2006 17:54:17)Le marché des logiciels de stockage a bondi de 12,6% en 2005
Les dépenses des entreprises en logiciels de réplication, sauvegarde et archivage ont progressé de 12,6% en 2005. Selon IDC, les entreprises doivent de plus en plus protéger l'information qu'elles collectent ce qui explique la forte demande en logiciels de protection de données. Au cours du seul dernier trimestre 2005, les ventes des logiciels de réplication ont ainsi bondi de 21,7%. Les ventes de logiciels de protection de données ont globalement tiré vers le haut les ventes de logiciels de stockage à un record de 8,9 Md$ pour l'année. EMC a conservé son premier rang mondial avec une part de marché de 29,7% malgré un léger recul de 0,4 points. Symantec a pris le second rang mondial avec 20,3% du marché devant IBM et ses 10,5%. Network Appliance de son côté a enregistré la plus forte croissance avec un bond de 45,4 % de ses ventes logicielles. NetApp détient désormais 6,6% du marché mondial des logiciels de stockage. (...)
(14/03/2006 17:53:52)Stratus met la haute disponibilité sous la barre des 10 000 $
Stratus casse les prix et propose un modèle de serveur à tolérance de panne à 9 999 $. Le serveur d'entrée de gamme ftServer W Series 2400 fonctionne sur la même architecture que le modèle 5700 lancé en janvier dernier. Le 2400 intègre un processeur bi-coeur Intel Xeon de 3,2 Ghz, il possède une capacité de mémoire de 4 Go et fonctionne sous Windows 2003. Stratus espère par ce prix alléchant tenter de petites structures qui veulent être fonctionnelle à 100 % et éviter les pannes matériel. Le principe de la redondance évitant les interruptions causées par un « soucis » informatique, Stratus estime que cette offre devrait être appréciée par des entreprises du type grandes surfaces et autres espaces commerciaux ou encore certains hôpitaux. (...)
(14/03/2006 17:52:59)Oracle sort enfin un outil de développement graphique pour sa base
Oracle vient enfin de rendre disponible la version finale de son projet Raptor, outil de développement graphique gratuit pour sa base de donnée, rebaptisé pour l'occasion SQL Developer. Selon Oracle, l'outil autorise la manipulation de code SQL et PL/SQL par un simple cliquer-déposer : débogage, édition, création d'objets et visualisation des mises à jour des données. Il dispose également d'un module pour formater le code et d'une galerie d'objet pré-défini. Il permet enfin la création de rapports, soit selon des gabarits fournis, soit selon des modèles personnalisés. Les développeurs devaient auparavant utiliser les outils d'éditeurs tiers, notamment Quest. SQL Developer peut être connecté sur Oracle Database, à partir de la version 9.2.0.1. Et fonctionne ainsi avec XE, version gratuite de sa base, sortie début mars. Il est disponible en téléchargement pour Linux, Windows et MacOS. (...)
(14/03/2006 00:00:00)Recrutement : Fixer une rémunération par enchères inversées en ligne est déclaré hors la loi.
Tout contrat de travail stipulant un salaire fixé à l'issue d'une procédure d'enchères électroniques inversées sera nul. Voilà ce que dit désormais la loi concernant cette pratique. Le texte de loi qui y fait référence a été adopté par le parlement le 8 mars dernier, dans le cadre de la loi sur l'égalité des chances. Il condamne une pratique dénoncée comme étant de nature à « déshumaniser la proposition d'embauche » par la députée UMP de l'Essonne Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait déposé un amendement le 30 janvier dernier pour l'enrayer. Ce texte avait été adopté par l'Assemblée Nationale suivant la procédure de l'article 49-3, puis examiné au Sénat. La parlement a finalement tranché en interdisant les procédures d'enchères électroniques « pour la fixation du salaire ». Toutefois, il faudra une grande vigilance si l'on souhaite s'assurer qu'elles ne se poursuivent pas. Toutefois, il faudra une grande vigilance si l'on souhaite s'assurer qu'elles ne se poursuivent pas. Comment éviter qu'une pression à la baisse des rémunérations ne soit exercée par des propositions tarifaires qui se succèdent en ligne pour un poste donné ? En France, le site web concerné, jobdealer.net, reconnaît la condamnation du principe d'enchères inversées. Il ajoute qu'il pourrait être amené à cacher les tarifs proposés par les candidats, si la pression s'accentue autour de cette question, afin que ceux-ci ne puissent enchérir en ligne. Il rétorque toutefois que cette pratique existe déjà et que le marché cherche à se voiler la face sur ce sujet. Il cite l'exemple des appels d'offre qui permettent aux entreprises de choisir les sociétés de services qui proposent les prestations au prix le plus bas. Il rappelle aussi qu'il permet à un employeur de choisir parmi plusieurs offres de compétences, sans que ni l'enchère, ni le fait d'indiquer une proposition salariale pour le candidat, ne soient obligatoires (...)
(14/03/2006 00:00:00)Grandes Ecoles : L'Esigelec promeut la diversité pour l'accès à ses enseignements.
L'Esigelec (école supérieure d'ingénieurs en génie électronique) réfléchit à l'ouverture de deux bourses d'études pour la rentrée 2006 pour accueillir des étudiants « ayant un fort potentiel » et un besoin de soutien financier. Cette initiative répond à souci de cohérence avec d'autres actions menées par l'Esigelec, pour s'inscrire dans l'aide à l'ouverture sociale. L'établissement participe au programme régional de Haute-Normandie baptisé « Lumières des cités » qui s'adresse à des jeunes habitants de zones urbaines sensibles (Zus). Il vise à les encourager à poursuivre leur scolarité et à lutter contre l'échec en première année d'études supérieures par un soutien financier (issu de fonds mutualisés), matériel et un accompagnement. L'Esigelec fait notamment partie du jury qui a sélectionné, en février, les 62 candidats qui vont profiter de ce programme. Elle pourrait envisager la mise en place de tutorats. 28% d'enfants d'ouvriers et d'employés, contre 17% dans le cursus classique Parallèlement, l'école développe l'apprentissage (financé à 70% par la taxe d'apprentissage et 30% par le Conseil régional) ce qui ouvre sa filière d'ingénieur à des jeunes d'origines plus diverses qu'auparavant. « Sur 90 étudiants en apprentissage, 28% sont des enfants d'ouvriers et d'employés, contre 17% dans notre cursus classique », explique son directeur général, Claude Guillermet, à ce sujet. Il ajoute que « 65% de ces jeunes sont titulaires de diplômes de Bac+2, (BTS ou un DUT). Ce qui montre qu'un cursus d'ingénieur est accessible par d'autres voies que les classiques classes préparatoires ». L'école s'emploie d'ailleurs à expliquer cette diversité aux lycéens. Elle vient de signer des conventions de partenariats pour un support technique et pédagogique, avec deux lycées (Marcel Sembat à Sotteville-les-Rouen et Jules Verne de Mondeville). Et l'un des objectifs est de favoriser les échanges entre ses étudiants et les lycéens, afin d'expliquer à ces derniers ce qu'est un cursus d'ingénieur et les différentes formules d'accès possibles. L'école prépare certes ses futurs recrutements. Mais c'est aussi « une façon de relancer l'ascenseur social », estime Claude Guillermet. Dans la même logique, le directeur de l'Esigelec réfléchit à proposer des interventions dans les lycées, avec l'IUT de Rouen pour promouvoir la filière IUT/Ecole d'ingénieurs. (...)
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