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(11/05/2005 18:08:09)
Le marché des MVNO devrait atteindre 10,7 Md$ d'ici à 2010
Selon le Yankee Group, les opérateurs mobiles virtuels (MVNO) devraient représenter 10,7 Md$ de chiffre d'affaires d'ici à 2007 pour un total de 29 millions d'abonnés, à l'échelle mondiale. Le cabinet estime que l'essentiel de ce chiffre d'affaires devrait aller à un tiers des MVNO existant alors, les plus importants et les plus anciens, rassemblant près de 24 millions d'abonnés. Selon le Yankee Group, peu d'opportunités resteraient ouvertes aux nouveaux entrants d'ici deux ans, la viabilité des petits MVNO n'étant pas non plus assurée. A l'opposé, le cabinet promet un bel avenir aux MVNO les mieux établis, estimant que leur succès dépendra principalement de leur capacité à se différencier des opérateurs mobiles traditionnels en s'appuyant sur la segmentation du marché plutôt qu'en s'engageant dans une guerre des prix. (...)
(11/05/2005 18:06:15)Un modèle de référence pour les grilles en entreprise
L'Enterprise Grid Alliance (EGA) vient de publier un modèle de référence pour le déploiement de grilles de calcul en entreprise. Ce modèle fournit notamment une référence de classification pour l'administration et le cycle de vie des différents composants d'une grille, ainsi que des exemples d'utilisation visant à mettre en évidence les besoins liés au déploiement d'une grille de calcul. Dans un communiqué, l'association insiste sur la neutralité de son modèle à l'égard des équipementiers et des constructeurs, soulignant que son travail n'a pour seul but que de fournir «une fondation pour des solutions standardisées qui permettront aux entreprises de tirer profit des multiples avantages des grilles de calcul». Le modèle de référence de l'EGA est disponible en téléchargement sur le site de l'association, www.gridalliance.org. (...)
(11/05/2005 18:07:23)Novell s'offre Immunix, spécialiste en sécurité Linux
Novell annonce le rachat d'Immunix, expert en sécurité Linux, pour un montant non-communiqué. Immunix, start-up américaine de quinze personnes fondée en 1998, et financée en partie par la Darpa (Defense Advanced Research Projects Agency), est connue pour avoir développé un des modules de sécurité, Linux Security Modules (LSM), contenu dans la version 2.6 du noyau Linux.
Aux termes de la transaction, qui, selon un communiqué, a été formalisée la semaine dernière, Novell commercialisera le produit phare d'Immunix, AppAmor, sous sa marque – et deviendra ainsi Novell AppAmor. Et ce dès la fin mai 2005. Pour mémoire, l'application est censée protéger les systèmes Linux en stoppant les attaques, les virus et également les codes malicieux. Et, plus techniquement, en limitant la surface d'attaque du système. AppArmor automatise également la gestion des rustines. Il génère une série de rapports et est équipé d'un système d'alertes. Notons par ailleurs qu'AppArmor supportait déjà Yast, outil d'administration de système Linux de Novell.
L'éditeur indique que l'application devrait étoffer la sécurité de SuSE Linux Enterprise Server 9. Pour notamment porter la distribution de l'éditeur dans les datacenters.
Rappelons au passage que le modèle «ouvert» de l'Open Source, ainsi que sa popularité grandissante – portée notamment par le navigateur Firefox – suscite actuellement quelques doutes quant à la sécurité des systèmes Linux. Dimanche 8 mai 2005, Mozilla alertait les utilisateurs de Firefox que deux failles répertoriées «extrêmement critiques» avaient été découvertes dans le navigateur. (...)
Marconi supprime 800 emplois au Royaume-Uni
L'équipementier télécoms britannique Marconi vient d'annoncer sa restructuration et la suppression de huit cents emplois au Royaume-Uni. Ces licenciements sont le résultat immédiat du choix de British Telecom de se passer de Marconi, son équipementier traditionnel, pour bâtir son «réseau du XXIe siècle» basé sur IP. L'opérateur historique anglais a écarté l'équipementier de son projet – 10 Md£ sur cinq ans – au profit de concurrents moins chers : Fujitsu, Huawei, Alcatel, Cisco, Siemens, Lucent, Ericsson et Ciena. Ce choix met Marconi dans une situation difficile, puisque British Telecom génère un quart de son chiffre d'affaires. Pour limiter les licenciements et continuer de proposer ses produits et services, l'entreprise prévoit une refonte complète de son organisation en quatre unités. L'Europe du Nord s'occupera des équipements d'interconnexion, l'Europe centrale sera dévolue aux réseaux sans fil, les réseaux optiques seront attribués à l'Europe du Sud et, enfin, les réseaux de données auront pour base l'Amérique du Nord. Marconi emploie actuellement dix mille personnes à travers le monde, dont quatre mille cent au Royaume-Uni. (...)
(10/05/2005 17:52:34)Mariage annoncé entre Cegetel et Neuf Télécom
Sauf surprise, Neuf Télécom et Cegetel pourraient annoncer cette semaine leur mariage, officialisant ainsi des négociations entamées il y a déjà plusieurs mois. La fusion du numéro trois et du numéro deux français des télécoms (respectivement 1,4 et 1,17 Md¤ de chiffre d'affaires) a pour but de donner naissance à un groupe capable de rivaliser un peu plus équitablement avec France Télécom, qui contrôle toujours plus de 70% du marché du fixe.
Si elle se confirme, et sous réserve de l'approbation des autorités de la concurrence, cette fusion devrait sonner la fin de la récréation dans le paysage des télécoms français et marquer une période de trouble pour les plus petits acteurs dépourvus d'infrastructures en propre. Cegetel et Neuf Télécom sont en effet les deux principaux opérateurs d'infrastructures français, derrière France Télécom, et ils sont aussi les principaux fournisseurs de services dégroupés pour les petits FAI et opérateurs alternatifs. La fusion pourrait dès lors être analysée par l'ART comme la création d'un nouvel opérateur puissant sur le marché des infrastructures de transport et de collecte, avalisant ainsi la naissance d'un duopole à la française.
Malgré ses ambitions, le nouveau groupe devrait toutefois reste un nain face à France Télécom. Réunis, les deux opérateurs disposeront de 3,6 millions de clients fixes (dont environ 65 000 entreprises). En termes de clients téléphonie c'est à peu près l'équivalent de Tele2, qui revendique 3,5 millions d'abonnés, mais très loin de France Télécom, qui desservirait activement plus de 27 millions de clients (sur un total de 34 millions d'abonnés). Sur le marché du haut débit, le nouveau groupe desservira 850 000 abonnés ADSL, soit environ un tiers de moins que Free (1,2 million) et quatre fois moins que Wanadoo (3,3 millions). Et pour se faire une idée définitive du rapport de force, il suffit de regarder le chiffre d'affaires. Au seul premier trimestre, le segment des entreprises (téléphonie fixe et réseaux) a rapporté 1,5 Md¤ à France Télécom, soit l'équivalent du chiffre d'affaires annuel de Cegetel.
L'un des principaux défis du nouveau groupe ne sera sans doute pas de réussir la fusion de ses offres, largement similaires, mais de marier sans heurts deux infrastructures qui se recouvrent très largement. Chaque opérateur dispose en effet de son propre réseau optique national, de réseaux ATM et Ethernet, de commutateurs téléphoniques et d'interconnexion avec les commutateurs à autonomie d'acheminement (CAA) de France Télécom. Chacun dispose aussi de son propre réseau de DSLAM pour la fourniture de services ADSL. Avec un tel niveau de duplication d'infrastructure, les menaces de suppressions d'emplois au sein des équipes réseaux sont réelles. Ces dernières pourraient d'ailleurs être les premières à faire les frais des fameuses quêtes de synergie faisant suite à toute fusion. Pour les clients particuliers, les risques de perturbations sont sans doute mineurs, mais cela pourrait ne pas forcément être le cas pour les entreprises. La fusion pourrait aussi se traduire par une période de flottement et par des opérations de transition ou de bascule de réseau, comme cela c'est, par le passé, déroulé pour les clients de 9Télécom ou de Siris. Des opérations pas forcément toujours indolores. (...)
IBM dévoile sa solution de gestion des identités fédérées
IBM vient de publier son premier logiciel de gestion d'identités fédérées, Tivoli Federated Identity Manager (TFIM). S'appuyant sur les standards définis par la Liberty Alliance, mais aussi sur des standards XML et Web services comme SAML (Security Assertion Markup Language), WS-Federation, WS-Trust et WS-Security, le nouveau logiciel permet à une entreprise de bâtir un système de gestion d'identités fédérées afin d'offrir à ses utilisateurs un accès, via un login unique, aux services de l'entreprise ainsi qu'à ceux de ses partenaires.
Le serveur devrait être mis en avant comme un composant clé pour la plate-forme de middleware WebSphere afin de permettre l'interconnexion entre serveurs d'applications et portails Web d'entités diverses (filiale, divisions…). IBM rejoint sur ce marché des concurrents comme Sun, Oracle, HP, RSA ou Trusgenix. Il suit aussi de peu le lancement par Microsoft de la première bêta de sa solution de gestion d'identités fédérées.
Tivoli Federated Identity Manager est, pour l'instant, vendu 69 $ par utilisateur enregistré. Big Blue prévoit aussi d'offrir un modèle de licence par serveur. (...)
Les parts de marché d'Oracle n'augmenteront pas proportionnement à ses acquisitions
Le cabinet d'études américain estime que les rachats de Peoplesoft et de Retel ne permettront pas à Oracle de dominer le marché en 2005. Sa part de marché devrait avoisiner les 19% des revenus du marché ERP, contre 43% pour SAP. La barre des 20% ne devrait pas être franchie, car tous les clients Peoplesoft ne resteront pas chez Oracle. Dans le cadre d'un rachat comme celui de PeopleSoft par Oracle, AMR Reseach affirme que «un plus un donne généralement un chiffre inférieur à deux». De son côté, SAP continue sa progression, en particulier pour le nombre de licences qui ne cesse d'augmenter, +17% au dernier trimestre. Le marché américain lui ouvre d'ailleurs ses portes. AMR estime que SAP sera leader en Amérique du Nord cette année. Mais si Oracle veut rattraper son concurrent européen, son unique choix est de continuer à acquérir des entreprises. Cette solution lui permet d'augmenter rapidement ses revenus, au risque, bien sûr, d'avoir des difficultés à gérer ces intégrations.
En parallèle à cette bataille des titans, un challenger pourrait bien, d'ici quelques années, provoquer quelques remous. Microsoft, encore absent du top 5 en 1999, est désormais à la quatrième place, derrière SAP, Oracle et Sage. L'ambition de l'Américain est de laisser ses deux principaux concurrents se battre pour les mille premières entreprises, mais de séduire les cinquante mille suivantes avec des produits destinés aux PME. (...)
Brevets logiciels : le bras de fer continue à Bruxelles
Alors qu'à Bruxelles, le parlement européen s'oppose aux ministres sur la brevetabilité du logiciel, la Nouvelle-Zélande vient d'attribuer un brevet déjà controversé à Microsoft portant sur XML.
Pour la seconde fois, les parlementaires européens ont remis leur copie au conseil des ministres en reprenant leurs premiers amendements, rejetés en bloc lors de la première lecture. Les amendements qui seront adoptés par le parlement européen reviendront au conseil des ministres de l'Union en seconde lecture avec, à la clé, une procédure de conciliation entre les deux parties, qui peut se solder l'abandon du projet de directive actuel. Pour autant, la partie n'a rien de gagné pour les opposants à la brevetabilité du logiciel : si le texte retenu en première lecture par le conseil des ministres n'est pas amendé, il aura force de loi. Chaque amendement doit être voté à la majorité absolue.
Pendant qu'en Europe la bataille fait rage entre élus, la Nouvelle-Zélande vient d'attribuer par jugement un brevet à Microsoft sur l'utilisation de XML dans des documents de traitement de texte. L'avocat de la partie adverse, l'Open Source Society, compte faire appel. Pour cela, il entend notamment insister sur le fait que, selon lui, Microsoft n'a pas donné de détails suffisants pour justifier un brevet et que le géant américain n'a pas fait preuve d'inventivité, comme le spécifie l'attribution d'un brevet. Cet appel sera jugé dans le courant du mois. (...)
VMWare s'apprête à lancer Workstation 5
VMWare lancera, la semaine du 11 avril, la version 5 de son outil de virtualisation pour poste de travail, Workstation. Cette nouvelle mouture intègre notamment la technologie de partage de mémoire d'ESX Server, ainsi que des fonctions de travail en équipe autorisant la connexion de plusieurs machines virtuelles. Workstation 5 permettra aux utilisateurs de créer des points de restauration des machines virtuelles, sortes de photographies complètes de leur état à un instant donné. En outre, cette nouvelle version permet d'utiliser une machine virtuelle comme modèle de configuration pour les autres.
Workstation 5 supporte les versions 64 bits de Windows XP, Windows Server 2003 SP1, Red Hat Enterprise Linux 3 et 4, et SuSE Linux Enterprise Server. VMWare a, par ailleurs, enrichi cette nouvelle version du support des systèmes d'exploitation 32 bits Red Hat Enterprise Linux 4 et Advanced Server 3, SuSE Linux Entreprise Server 9 et Professional 9.2, Mandrake Linux 10, et Java Desktop System.
Workstation 5 est commercialisé 189 $ en téléchargement ou 199 $ en version boîte. (...)
Le marché US de la VoIP va être multiplié par 15 en cinq ans
Selon Infonetics, les entreprises nord-américaines ont dépensé 117 000 $ en moyenne en 2003 en équipements de voix sur IP. Le montant de ces dépenses a progressé de 46 % en 2004 et devrait encore croître de 9 % cette année. Au final, selon le cabinet, 29 % des grandes entreprises locales, 16 % des moyennes et 4 % des petites devraient avoir été converties fin 2005. Globalement, Infonetics estime à 1,3 Md$ le marché des services de voix sur IP en Amérique du Nord en 2004. Selon le cabinet, ce marché devrait progresser dans la région de rien moins que 1 431 % d'ici à 2009 pour atteindre 19,9 Md$. En 2008, l'Amérique du Nord devrait compter 20,8 millions d'utilisateurs particuliers ou Soho de voix sur IP, contre 1,1 million l'an passé.
Ces prévisions fournissent une bonne explication à la confiance que les investisseurs ont accordé à l'opérateur américain de téléphonie sur IP Vonage, qui vient de lever 200 M$, portant à 408 M$ le montant total des financements extérieurs reçus depuis sa création. (...)
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