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(08/12/2010 18:13:27)
VMware et LG dévoilent un smartphone virtualisé sous Android
Selon VMware, la virtualisation pourrait être à même de réaliser la séparation entre les applications professionnelles et personnelles et les données, souhaitées par les entreprises confrontées aux problèmes de gestion de Smartphone. Les utilisateurs souhaitent aujourd'hui connecter leurs terminaux mobiles au système d'information de l'entreprise pour relever leur email ou accéder à leurs données professionnelles. La technologie de VMware repose sur un hyperviseur très léger semblable à celui d'un PC de bureau ou d'un serveur fonctionne comme un serveur ou un hyperviseur de bureau. Le mail et les applications personnelles de l'utilisateur peuvent tourner en mode natif sur le téléphone sous Android, l'environnement de travail étant géré par un système d'exploitation client. Les mobiles peuvent aussi posséder deux numéros de téléphone. « L'environnement informatique de l'utilisateur final est en pleine mutation. De plus en plus d'appareils s'invitent dans l'entreprise », a déclaré Srinivas Krishnamurti, responsable de la technologie mobile chez VMware. « Les directeurs des systèmes d'informations se plaignent de cette diversité très problématique et déclarent qu'il leur est difficile de savoir comment mieux accompagner les employés. Beaucoup d'entreprises sont prêtes à accepter de travailler avec les téléphones de leurs salariés, mais elles sont préoccupées par la sécurité et les questions de gestion de contenu qui utilise les données de l'entreprise.
Un hyperviseur pour mobiles développé à l'origine par une start-up grenobloise
« VMware Virtualization Platform Mobile vient de l'acquisition de la société française Trango Systems en 2008, laquelle travaillait sur le développement d'un hyperviseur pour Smartphones. L'annonce faite cette semaine se rapporte spécifiquement à un partenariat avec LG pour introduire sur le marché courant 2011 des smartphones virtualisés sous Android. » Le communiqué de VMware mentionne uniquement les smartphones, mais les tablettes sous Android pourraient aussi probablement accéder à cette technologie de virtualisation. Quant à savoir si les iPhone et les appareils BlackBerry en bénéficieront également, VMware répond qu'elle veut voir l'hyperviseur sur autant de systèmes d'exploitation mobiles possibles. Le fait que Google Android soit Open Source a motivé ce premier choix. Srinivas Krishnamurti ajoute que « les partenaires OEM ont fait part de leur très grand intérêt pour la plate-forme Android. C'est un système ouvert. C'est pour cela que nous l'avons choisi en premier. » Les utilisateurs qui achèteront un téléphone compatible avec la virtualisation ne sentiront même pas la présence de l'hyperviseur. « C'est juste une autre application, » a indiqué le responsable de VMware. Les utilisateurs plus expérimentés, qui souhaitent pouvoir accéder à leurs applications professionnelles depuis leurs appareils personnels, considéreront certainement la virtualisation comme un élément prescripteur.
Un OS hôte "perso" et un second client "pro"
D'un point de vue pratique, l'utilisateur pourra basculer entre les environnements personnels et professionnels en appuyant simplement sur une icône. L'environnement privé et l'environnement de travail auront chacun leur propre pool d'applications. Cependant, les appels téléphoniques ou les alertes, professionnels ou personnels, pourront passer à tout moment. « Faire en sorte que l'utilisateur puisse jongler entre les numéros de téléphone personnels et professionnels en toute transparence, y compris permettre la mise en attente d'un appel quelle que soit sa nature, a été l'un des défis techniques les plus épineux à résoudre, » ont confiés des responsables de VMware. Pour l'administration informatique, VMware proposera des outils de gestion et fournira également un kit de développement logiciel pour réaliser la connexion des plates-formes de gestion existantes au système VMware. L'un des avantages potentiels pour les administrateurs d'un parc de téléphones virtualisés, c'est qu'ils pourront crypter les données ou effectuer une maintenance à distance sans affecter les données personnelles de l'utilisateur. Pour le système d'exploitation client, VMware et LG ont parlé d'une deuxième couche Android tournant au-dessus de l'OS hôte Android. Reste à savoir si des problèmes techniques ou des questions de licence pourraient empêcher l'installation d'autres systèmes d'exploitation mobiles en surcouche des appareils sous Android virtualisés. VMware a dit à ce propos qu'« en matière de téléphonie mobile sa stratégie sera très similaire à celle qu'elle a adopté dans le monde du PC où les utilisateurs ont la possibilité d'exécuter n'importe quel système d'exploitation Client pris en charge aussi longtemps qu'il se conforme aux directives des licences. »
Pas encore de prix public
Pour l'instant, VMWare et LG n'ont pas mentionné de prix pour ces téléphones Android avec virtualisation, ni indiqué à quel moment en 2011 les premiers appareils arriveront sur le marché. «Nous voulons mettre cette technologie dans autant de téléphones que possible,» a déclaré James Park, directeur de la stratégie et du développement commercial chez LG. Si le constructeur sud-coréen est le premier fabricant de téléphones à se positionner sur ce marché, VMware « est aussi en contact avec de nombreux partenaires OEM et opérateurs, » a indiqué Srinivas Krishnamurti. Selon Ian Song, analyste chez IDC, VMware va probablement battre son rival Citrix sur le marché de l'hyperviseur mobile, même s'il estime par ailleurs que LG n'est pas le partenaire idéal. « LG n'a virtuellement aucune présence sur le marché Android, » a-t-il fait remarquer. « Il est probable que VMware essaye d'associer d'autres fabricants, comme Samsung, » a-t-il dit.
Orange cherche des développeurs pour sa plate-forme logiciels pour smartphones
Orange annonce l'ouverture d'un service destiné aux développeurs leur permettant de proposer leurs applications pour smartphones sur l'Orange App Shop. Dès décembre, les clients de l'opérateur de téléphonie mobile pourront télécharger des applications pour les terminaux Android, suivies au premier trimestre 2011 de celles pour les smartphones Blackberry. Le service Orange Partner Connect est disponible depuis le site Internet Orangepartner.com.
(...)(08/12/2010 16:27:31)SGI propose un container refroidi par l'air extérieur
Parmi les trois modèles proposés par SGI, le plus petit mesure 2,50 mètres de long, assez grand cependant pour accueillir quatre racks de serveurs, pour un prix démarrant à 75 000 euros environ, équipement informatique non compris. Les clients peuvent aligner ensemble quatre modules pour une capacité de 16 racks. Le concept particulièrement modulaire est aussi très économe en énergie. « Notre objectif est de rendre l'achat de centres de calcul modulaires plus facile. Notre produit permet de commencer petit, tout en offrant un bon rapport d'évolutivité,» a déclaré Bill Mannel, vice-président du marketing produit chez SGI.
La méthode utilisée par l'Ice Cube Air, qui consiste à aspirer l'air extérieur pour refroidir les matériels est considérée comme la plus économe en énergie. Si le climat devient moins adapté, s'il fait trop chaud notamment pour récupérer de l'air frais, SGI propose d'installer en secours des systèmes de refroidissement par expansion ou par évaporation. Elle peut ajouter aussi le refroidissement traditionnel pour les clients qui le souhaitent. Mais SGI estime que la climatisation par récupération de l'air extérieur peut être mise en oeuvre quel que soit le climat, au moins pour une utilisation partielle. « Cette solution peut être utilisée partout, même si elle ne fonctionne pas tout le temps, et cela quel que soit le lieu où est installé le datacenter. C'est la raison pour laquelle nous proposons des systèmes de refroidissement annexes, » a déclaré le vice-président marketing. « Un Ice Cube Air refroidi à l'air frais affiche une PUE de 1,06, » a-t-il ajouté.
Flexibilité et réalisme
Les deux autres modèles proposés par SGI sont un Ice Cube Air de 6 mètres, assez grand pour contenir 10 racks, et un autre composé de deux modules de 6 mètres mis en sandwich. Tous les modèles, petit, moyen, grand, peuvent également être emboîtés entre eux pour former des groupes de 4. « Les trois modèle sont en vente dès maintenant, partout dans le monde, » a déclaré Bill Mannel. « Les conteneurs sont compatibles avec les équipements de n'importe quel fournisseur.» a t-il précisé. SGI peut pré-installer les racks ou ils peuvent être posés sur site par les clients eux-mêmes. Les racks sont tous capables de supporter une charge énergétique au maximum de 25 kW, suffisante pour la plupart des clients.
La commercialisation de datacenters conteneurisés a décollé progressivement depuis que Sun Microsystems a lancé sa BlackBox, il y a trois ans. Ces centres modulaires sont maintenant vendus par plusieurs fournisseurs, dont IBM, Dell, Colt et Hewlett-Packard, lequel a récemment créé un centre de production entièrement dédié à ce type de produit. Cette solution permet aux clients d'ajouter rapidement de la capacité de calcul supplémentaire, dans le cas par exemple où un projet d'agrandissement est retardé. Elle est également utilisée dans des endroits éloignés, par les militaires et autres. Comme SGI, de plus en plus de vendeurs s'éloignent de la version basée sur le conteneur standard. I/o Data Centers, l'un des derniers entrants sur le marché, a déclaré il y a quelques mois son intention de vendre des centres de calcul portatifs sur mesure. SGI recommande ses modèles refroidis à l'air extérieur pour tous les clients, sauf s'ils doivent les transporter sur de longues distances. Dans ce cas, le vendeur continue à préconiser les conteneurs standards, qu'il juge plus robustes.
Dreamforce 2010 : Chatter de Salesforce.com s'offre une version gratuite
Chatter emploie des fonctionnalités classiques de réseau social comme les profils utilisateur, la mise à jour du statut, l'information en temps réel et le partage de fichiers. Maintenant, quand une personne acceptera une invitation Chatter , il recevra gratuitement ce service. Cette version aura cependant quelques limitations par rapport à d'autres versions du logiciel, tels que Chatter Plus, qui permet aux utilisateurs de « suivre » les données d'entreprises et de personnaliser leurs outils. Salesforce.com mise sur cette action marketing pour migrer les utilisateurs gratuits vers le modèle premium (15 euros par mois)
Quelques 60 000 clients de Salesforce.com sur 87 000 ont déployé Chatter depuis sa sortie, selon la société. Cette solution de collaboration a eu un impact important sur l'industrie IT, souligne Denis Pombriant, analyste chez Beagle Research. « En premier lieu, il a créé ou renforcé un marché de niche sur les technologies de collaboration. Deuxièmement, il est une nouvelle preuve de la robustesse du modèle de cloud computing et [de Salesforce.com plate-forme Force.com] en particulier. Et enfin, il popularise les médias sociaux », écrit-il sur son blog. Il ajoute « Chatter évite beaucoup de pièges vus dans d'autres médias sociaux car il est orienté vers l'entreprise et semble bien fonctionner d'après les retours ».
Marc Benioff, PDG de Salesforce a annoncé lors de sa présentation que le groupe lancera en février prochain, Chatter.com, qui sera disponible pour tout le monde, sans frais. Comme pour Chatter Free, le dirigeant espère que ce site permettra de recruter d'autres utilisateurs.
Akka embauche une centaine de stagiaires en CDI
AkkaTechnologies est en pleine dynamique de recrutement. La société d'ingénierie et de conseil en technologies (5 527 personnes dans le monde, dont 5 000 en France), qui a réalisé 1 000 embauches au cours des 9 et 11 premiers mois de 2010, entend étoffer ses équipes de 1 500 nouveaux collaborateurs en 2011. « Nous recherchons essentiellement des ingénieurs issus des grandes écoles ou des universités, précise Thomas Hénaut, directeur du recrutement. 40% des postes concernent des candidats expérimentés ayant entre 3 à 8 ans d'expérience, 30% des offres s'adressent à des jeunes diplômés (possédant de zéro à 2 ans d'expertise), la part restante vise des seniors ayant 8 ans d'expérience. » A l'instar d'autres acteurs de l'IT, l'entreprise peine à trouver certaines spécialités : « Les ingénieurs d'études et développement Java/J2EE, .Net et C Sharp sont toujours difficiles à trouver, précise-t-il. Le constat est similaire pour les compétences électroniques en temps réel et systèmes embarqués, de même que pour les consultants technico-fonctionnels spécialistes d'ERP comme SAP BW. Sur ces profils, la situation est proche de celle rencontrée dans les années 1998 à 2001. »
300 jeunes ingénieurs ont répondu présent
En plus d'emmener tous les ans une trentaine d'étudiants de grandes écoles d'ingénieurs (comme Centrale Paris et Lyon, l'Ensta, l'Isae, l'Insa, ou les Arts et Métiers) sur les pistes de ski de Serre-Chevalier dans le cadre de son concours Challenge, la SSII a lancé sa première opération de recrutement à destination de stagiaires : plus de 100 offres leur ont été proposées en France et à l'international au cours de trois soirées organisées à Paris, Lyon et Toulouse les 23, 25 et 30 novembre derniers. Le concept semble avoir séduit puisque plus de 300 étudiants de grandes écoles d'ingénieurs ont répondu présent à l'invitation. « Les stages à pourvoir sont de tout type, précise le directeur du recrutement. Nous proposons aux jeunes candidats d'assumer des fonctions techniques au sein de nos centres de services, sur des prestations nécessitant des obligations forfaitaires ». Des missions plus fonctionnelles et des postes d'ingénieurs d'affaires juniors leur sont également ouverts. Au final, 90% des stages se soldent par des embauches en CDI.
Illustration : Thomas Hénaut, directeur du recrutement d'Akka Technologies
(...)
Vente de serveurs en hausse mais IDC note un net recul des machines Unix
Dominant largement le marché, les serveurs x86 se sont écoulés à 533 000 unités pour un chiffre d'affaires de 2,2 Md$ lors du troisième trimestre de cette année. Les croissances de leurs ventes en valeur et en volume se sont ainsi respectivement établies à 11 et 26,5%. Le fait que la progression des revenus soit plus de deux fois supérieure à celle des volumes indique bien que les serveurs x86 ont évité de tomber dans la catégorie des commodités (marchandises sans grande valeur) comme ce fut la tendance lors des trimestres précédents. La hausse de leur prix de vente moyen est en effet un signe que les entreprises placent de plus en plus leurs applications critiques sur ces machines, au détriment des serveurs Unix. En conséquence, les systèmes non x86 ont continué de voir leurs revenus reculer au troisième trimestre 2010 (-22,5%) et atteindre 939,3 M$ pour 10 000 unités vendues (-17,5%). C'est la première fois depuis 1996, date à laquelle IDC a commencé à comptabiliser les ventes de serveurs, que le segment des systèmes non x86 passe sous la barre du milliard de dollars de revenus.
Le segment des serveurs lames surperforme le reste du marché
Analysé sous l'angle des facteurs de forme, les résultats des ventes de serveurs en EMEA montrent une superformance de la catégorie des serveurs lames (+22% à 63 M$) comparées au reste du marché. Paradoxalement, cette croissance est due à la forte hausse des ventes des blades non X86 dans le sillage des hausses à deux chiffres obtenues principalement par IBM et HP sur les segments des serveurs RISC et EPIC. Pour le quatrième trimestre 2010, IDC reste d'ailleurs confiant dans le fort potentiel de croissance des serveurs lames non X86.
Premier fabricant de serveurs dans le monde, HP l'est aussi en EMEA pour le 11ème trimestre consécutif. Il dispose d'une part de marché en valeur de 43,7% en hausse de trois points par rapport au troisième trimestre 2009. IBM perd quant à lui du terrain, touché par des ventes en recul de 2,6% qui ramènent sa part de marché en valeur à 28% (-2 points). Dell conforte de son côté sa troisième position en captant 11,5% des revenus du secteur grâce à un chiffre d'affaires en hausse de 29,7%. Le plus gros flop revient à Oracle et la gamme de serveurs issues de Sun. Le renouvellement et le repositionnement ne sont intervenus qu'en début de semaine. Le géant de Redwood a vu ses ventes décroître de 21%. Il se trouve à la quatrième place, devant Fujitsu, du Top 5 des fabricants de serveurs par revenus d'IDC avec une part de marche de 6,1%.
(...)(08/12/2010 14:00:26)
La France compte 7 millions de mobinautes
En 2010, plus de 7 millions d'abonnés à la téléphonie mobile ont utilisé leur appareil pour se connecter à Internet. Selon les dernières estimations publiées ce mercredi 8 décembre par l'analyste GfK, les jeux mobiles représenteraient plus de la moitié en valeur des contenus téléchargés, soit 52%.
Derrière les jeux téléchargés, suivent les images, les sonneries et les vidéos, avec 30%. Toutefois, comparé à 2009, le téléchargement de ce type de contenus baisse de 7 points. A contrario, les applications devraient voir leur taux en valeur presque tripler, passant de 4 à 11%. Globalement, le "freemium", le téléchargement d'applications gratuites, remporte un franc succès auprès des mobinautes. GfK note par exemple que plus d'un tiers des applications (hors-jeux) sur l'App Store d'Apple sont gratuites.
Selon les estimations de GfK, il devrait se vendre 7,3 millions de smartphones en 2010.
(...)(08/12/2010 12:22:30)Reconnaissance vocale, la Ficome veut redynamiser le marché
Le marché de la reconnaissance vocale atteindrait 5 à 6 millions d'euros en France. Une niche. Pourtant tous les éléments sont réunis pour un décollage. Le message de la Ficome à l'égard de ses adhérents est donc particulièrement net. « Le consommateur en BtoC ne supporte plus les défauts du service client, de signer et ensuite d'être délaissé en cas de problème, note Guy Têtu, délégué général de la Fédération. Ce refus va se ressentir de plus en plus en BtoC. Les services hot line et les services web, le client en revient, il veut un service efficace à partir de l'accueil téléphonique ».
Les solutions existent en matière de reconnaissance vocale. La Ficome en présentait trois, mardi 7 novembre, avec : Conviviance, Phone Design, TLMCOM. « Il faut mettre le doigt en clientèle sur la perte de chiffre d'affaires et d'image de marque avec un mauvais accueil client » remarque Gilles Dubreuil , directeur commercial et associé de Phone Design. « Ne pas parler technologies, prix ou marketing, mais bien de la relation client».
Pourtant, la reconnaissance vocale suscite encore des réticences, même si de grands opérateurs comme l'Armée de terre ou les assureurs mènent des campagnes télévisées incitant à appeler sur des numéros en reconnaissance vocale. « Le public s'habitue, comme il s'est habitué aux guichets de banque », note Yassin Djaffar, directeur commercial de Conviviance, « il reste encore du chemin à parcourir ». Conviviance propose un accueil téléphonique, le routage automatique des appels en intégrant la messagerie unifiée. Des solutions vendues en indirect par Groupe Convergence, Résadia ou des intégrateurs agréés ou certifiés.
Phone Design compte 400 partenaires revendeurs
De son côté, Phone Design propose un studio en marque blanche. En clair, à partir d'un site, la possibilité de manière très simple de définir la musique, la voix et les textes d'accueil. La société compte 400 partenaires revendeurs : simples apporteurs d'affaires, courtiers (répartis en trois catégories : courtiers gestionnaires, installateurs, installateurs mainteneurs niveau 1), et revendeurs en marque blanche qui assurent toute la prestation (marketing vente, installation, maintenance niveau 1, facturation, gestion commerciale).
TLM COM pour sa part, travaille beaucoup sur le secteur de la santé, mais aussi en entreprises ou auprès des collectivités. Elle propose la reconnaissance des appels, leur routage en fonction des plannings enregistrés par chacun et par les différents services, des plannings définis à l'avance. A partir de son expérience dans les hôpitaux, TLM COM a synthétisé un véritable « guidelines ». La perte d'un appel a par exemple toujours une résonance humaine pour des personnels de santé et la solution vocale peut prêter à réticences. TLM COM montre au contraire que le vocal habitue le patient à mieux formuler, par exemple s'il dit IRM la reconnaissance vocale l'envoie sur la radiologie. De même, elle rectifie les mauvaises prononciations de noms propres. Elle peut indexer dans l'agenda des médecins, voire dans celui du patient un rappel automatique 2 jours avant son rdv. La reconnaissance vocale expliquée et maîtrisée entraîne à l'évidence plus de rigueur dans le domaine critique de la santé. Elle entraîne aussi un ROI rapide, en dix huit mois. Un argument délicat à manier mais important pour les hôpitaux.
La reconnaissance vocale, et derrière elle tout simplement l'accueil client, ont ainsi besoin d'un nouveau coup de projecteur. Pour les installateurs-intégrateurs comme pour leurs clients. « Imaginez un client dont le responsable maintenance est malade. Il n'a pas les contacts hot line et va essayer d'appeler le standard de l'intégrateur, après 18h ou même 17h30, il n'a personne en ligne. C'est un message téléphonique qui explique la fermeture. En dernier recours, c'est donc bien l'accueil téléphonique qui est sollicité et doit être mis en valeur, chez nos adhérent et chez leurs clients », souligne Guy Têtu.
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