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(29/04/2010 09:41:47)

Les Blackberry se préparent à la voix sur IP

Les entreprises ont longtemps cherché un système unifié d'appel pour leur flotte mobile de manière à réduire les coûts et à améliorer la productivité de leurs salariés et les responsables de RIM ont reconnu que le développement du logiciel n'avait pas été « des plus simples. » « Même lorsque le smartphone BlackBerry est en fonction sur un réseau cellulaire, le MVS 5 peut automatiquement demander au PBX de basculer l'appel en mode longue distance et établir la connexion au tarif négocié, » a déclaré Tom Goguen, vice-président de la gestion « produits » pour le marché des logiciels professionnels.

« RIM, qui a créé MVS 5 pour fonctionner en premier lieu avec le logiciel Unified CallManager Communications et le PBX de Cisco, espère bien ajouter à son système la compatibilité avec les commutateurs d'autres fournisseurs, » a déclaré Tom Goguen. Différents systèmes, comme le service Wi-Fi Calling with MobileOffice de T-Mobile USA, permettent bien en effet les appels voix en mode Wi-Fi, mais, ainsi que l'a fait remarquer le responsable, l'approche de RIM inclus Blackberry Enterprise Server dont la sécurité et les modalités d'administration sont reconnues de tous. « Le système utilise une porte d'entrée sécurisée pour l'acheminement des données et la configuration des appels » a t-il ajouté.

L'autre avantage du smartphone BlackBerry et de sa passerelle vers le réseau Wi-Fi, c'est qu'il permet au salarié d'avoir un numéro unique pour son poste de bureau et son mobile, soit un seul système de messagerie vocale et un seul carnet d'adresses, sans compter les autres aménagements possibles. Le logiciel, dont on ne connaît pas encore le tarif, devrait être livré avant l'été.

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(28/04/2010 17:32:54)

Red Hat étend son support Premium à ses VM sur le cloud Amazon

Cette option permettra aux abonnés Premium de déplacer leurs VM entre le datacenter et le cloud, en précisant que les frais d'abonnement Premium s'élèvent à 1 300 dollars US par an pour un serveur équipé au maximum de deux sockets processeur, et à 2 500 dollars pour un machine avec trois emplacements ou plus. Cependant, tous les clients ne sont pas éligibles à la formule Access Cloud puisqu'il faut en effet disposer au minimum de 25 abonnements Premium actifs et disposer d'un contrat de support direct avec Red Hat. En d'autres termes, les clients ayant achetés leur support Red Hat via un tiers ou par l'intermédiaire d'équipementiers OEM ne sont pas admis au programme, selon le site web de Red Hat.

« L'objectif est de faciliter l'ajout de capacité serveurs à l'aide du cloud ou le déplacement de VM entre le centre de calcul et le cloud, et vice versa, sans avoir à se préoccuper de la manière dont est assurée l'administration, » explique Magnus Svensson, directeur de Red Hat pour les pays nordiques. Selon Red Hat, avec Cloud Access, les clients pourront continuer à utiliser leurs contacts et leurs méthodes habituelles pour obtenir le support en matière de gestion et d'administration serveurs. Red Hat s'engage également à livrer les dernières versions disponibles d'Enterprise Linux pour Amazon EC2 en même temps que celles destinées aux déploiements traditionnels sur site, de manière à augmenter la cohérence entre les deux mondes.

 

Illustration, crédits Red Hat

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(28/04/2010 16:17:33)

Un cloud privé externalisé pour Veepee

Pour Eric Rousseau, PDG de Veepee, « il s'agit d'une évolution logique et naturelle d'un opérateur qui apporte des services managés », en annonçant le lancement de son offre de cloud privé externalisé. Cela signifie que la société met à disposition ses capacités de calcul au sein de ses deux datacenters pour mutualiser les coûts d'infrastructures. L'entreprise est assurée via un VLAN d'avoir un espace dédié pour le stockage et la virtualisation, donc la traçabilité de ses données.

L'offre de l'opérateur se décline en deux gammes. Le cloud HD (Haute Disponibilité) est monosite, et comprend plusieurs packs, pour élaborer des machines virtuelles, allant de 1 processeur Intel, 2 Go Ram et 40 Go de capacité à 8 CPU, 16 Go Ram et 320 Go de capacité. Un autre service THD (Très Haute Disponibilité) reprend les caractéristiques de l'offre HD avec une redondance sur le datacenter d'un opérateur tiers relié en fibre optique elle aussi doublée. Cette offre répond aux besoins spécifiques des PRA (plan de reprise d'activité). La tarification de la gamme HD dépend des ressources souhaitées, mais elle varie de 100€ HT à 800€ HT selon la machine et la capacité désirée. Il n'y a pas de durée d'engagement sur ces deux offres.

Eric Rousseau est optimiste sur les solutions proposées « avec les annonces gouvernementales en matière de cloud (NDLR, une enveloppe de 700 millions d'euros a été évoquée dans le volet numérique du grand emprunt), le déploiement de la fibre optique réduisant ainsi les problématiques de latence ». La cible de l'opérateur est multiple allant des radios aux sites de e-commerce. Ces derniers sont à la recherche de disponibilité et des ressources à des moments précis (soldes, ventes flash, etc.).

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(28/04/2010 16:06:53)

Bull adopte l'Itanium Tukwila sur ses gcos 8

Systèmes de classe mainframe, les novascale gcos 9010 (à partir de 150 K€) reposent toujours sur une architecture centralisée et supportent les systèmes d'exploitation gcos 8 - sur laquelle tournent encore aujourd'hui un grand nombre d'applications métiers comme le moteur Cristal de la CNAF - et Linux qui assure aujourd'hui l'ouverture et l'évolutivité demandées par les clients. Avec le concours de Bull, l'organisme travaillait depuis plusieurs mois sur la consolidation de ses centres de production. Fin juin, 5 datacenters reposant sur des solutions Bull - les 3 autres utilisent des systèmes IBM - vont ainsi être concentrés à Bordeaux pour assurer le fonctionnement de l'application Cristal qui assure le calcul des droits des 33 millions de bénéficiaires. Il s'agit du coeur de la CNAF qui assure les versements des prestations légales, des minima sociaux et des aides sociales.

Un mainframe unique pour consolider 5 centres de production

Douze machines novascale Helios 3 (2 systèmes avec 8 puces Itanium Montecito pour 5 centres de production et un autre d'étude et de développement) sont ainsi consolidées sur un gcos 9010 avec douze partitions de production avec 12 processeurs Itanium (et une treizième en réserve), une boîte noire Linux pour les entrées/sorties et des serveurs Xeon 7500 pour la partie base de données PostgreSQL qui a remplacé la solution RFM2 de Bull en 2009. Gérard Russeil, DSI de la CNAF précise à cette occasion avoir « choisi le serveur novascale gcos 9010 pour répondre aux exigences de performances, de continuité de service et d'ouverture de notre système d'information. Son architecture conçue par Bull (...) répondent à nos attentes. Les tests engagés depuis plusieurs mois  ont montré un niveau de performance en transactionnel et Batch associés à la nouvelle base de données PostgreSQL qui nous permet d'aborder avec confiance un programme de concentration de plusieurs centres de production  sur un seul datacenter ».

Nous reviendrons sur ce cas utilisateur la semaine prochaine avec une interview du DSI de la CNAF, monsieur Gérard Russeil.

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(28/04/2010 15:03:01)

L'interface BlackBerry 6 attendue au troisième trimestre

A l'occasion de sa conférence développeurs annuelle, WES 2010, RIM a indiqué, par le biais de son co-directeur général Mike Lazaridis, que l'interface utilisateur BlackBerry 6 sera lancée au troisième trimestre 2010. Cette plate-forme proposera un aspect graphique plus soigné, la navigation par onglets, la prise en charge du multitouch (manipulation de certaines applications par pincement des doigts sur l'écran), des menus pop-ups contextuels, un lecteur médias amélioré, un écran d'accueil avec vues multiples en fonction des contenus, la recherche universelle ou encore une application pour les flux RSS et les réseaux sociaux.



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(28/04/2010 14:49:39)

Les réseaux sociaux, source potentielle d'insécurité en entreprise

Selon une enquête menée par le fournisseur de solutions de sécurité, nCircle auprès de 257 professionnels de la sécurité, 59% d'entre eux souhaitent maintenir l'utilisation des réseaux sociaux (les plus populaires comme Facebook, Viadeo, etc.) dans l'entreprise. Toutefois, ils sont près de 40 % à en interdire l'usage, et 46% à  ne pas savoir comment se comportent leurs employés face à ces solutions communautaires.  « Cette attitude peut être assimilée à une réaction instinctive face à des risques graves pour la sécurité, liés aux réseaux sociaux et n'est pas nécessairement efficace », a déclaré Andrew Storms, responsable des opérations de sécurité chez nCircle.

Reste que le réel problème réside dans la divulgation, par les employés, d'informations via ce type d'outils et c'est en cela que cela peut affecter la sécurité de l'entreprise.  Pour preuve, l'étude de Webroot, fournisseur de solutions de sécurité Internet, menée auprès de 1 000 utilisateurs de réseaux sociaux, est loin d'être réconfortante. Elle montre ainsi que 61% des sondés  mentionnent leur date de naissance, 62%, leur ville natale, 17%, leur numéro de téléphone portable. L'enquête montre également que les trois quart des personnes interrogées ne restreignent pas l'accès à leurs albums photos, et que 81%  n'ont placé aucune limitation sur la visualisation de leur activité récente.

Certes, ces informations ne peuvent conduire directement à des violations de données ou compromettre la sécurité, mais ajoutées, ensemble, elles  peuvent contribuer aux prémices de l'élaboration d'une attaque. En effet, des données sensibles, telles que la date de naissance, la ville natale et le numéro de téléphone cellulaire, combinées avec le nom, peuvent  permettre à un pirate de mettre un pied dans l'entreprise afin de recueillir d'autres éléments.

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(28/04/2010 14:22:48)

Trimestriels SAP : les ventes et la marge progresse

Après un exercice 2009 difficile qui s'est achevé au 31 décembre sur un chiffre d'affaires en repli de 9%, SAP fait meilleure figure. Sur les trois premiers mois de l'année, les ventes de licences de l'éditeur allemand ont progressé de 11%, à 464 M€, par rapport à l'an dernier. Même progression pour le chiffre d'affaires issu de la maintenance qui s'établit à 1,39 M€. Les dirigeants ont tenu à souligner cette « croissance à deux chiffres » en commentant les résultats lors d'une conférence téléphonique. Si le CA total n'augmente que de 5% sur le trimestre, à 2,5 M€, c'est que les revenus issus des services ont reculé de 14%, à 557 M€. Rien de surprenant, explique Werner Brandt, le directeur financier de SAP, puisque cette activité est directement liée aux ventes de logiciels (en baisse en 2009).

Brésil, Asie et Europe en hausse


« Le marché s'améliore de façon globale », a commenté Bill McDermott, co-PDG de la société, en précisant au passage que la majorité des clients choisissaient de passer au contrat de maintenance Enterprise Support (sans y être contraints, désormais). Le dirigeant a rappelé que la société dominait toujours le marché décisionnel depuis le rachat de Business Objets. Il signale aussi de bonnes ventes sur le marché des PME et une reprise des contrats importants, supérieurs à 5 M$ qui ont doublé par rapport à l'an dernier.

Par zones géographiques, les performances diffèrent. Les revenus des logiciels et de la maintenance ont progressé de 13% en Europe/Afrique/Moyen-Orient et de 25% en Asie/Pacifique, mais seulement de 8% sur le continent américain. Aux Etats-Unis, elles enregistrent +2%, à taux de change courant, contre 25% sur les autres pays du continent. Au Japon, les ventes reculent de 8%.

En dépit des bons résultats du trimestre et de l'amélioration du contexte, SAP ne relève pas ses prévisions pour l'année fiscale : entre +4% et +8% sur le chiffre d'affaires logiciels et revenus associés (8,2 Md€ en 2009). Et une marge opérationnelle (non IFRS) située entre 30 et 31% à taux de change constant (27,4% en 2009)
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Les dépenses opérationnelles impactent la marge

SAP communique un bénéfice après impôts de 387 M€, contre 196 M€ au premier trimestre 2009, soit une augmentation de 97%. Le bénéfice net n'est pas indiqué en tant que tel. Il se montait à 204 M€ au premier trimestre 2009. Le bénéfice par action s'élève à 0,33 € contre 0,17 € l'an dernier, soit +94%.

Les dépenses opérationnelles de l'éditeur ont baissé de 7% à 1,952 M€. L'an dernier, les charges de restructuration entrainées par les réductions d'effectifs se montaient à 166 M€. Le bénéfice opérationnel remonte donc sensiblement, de 81%, à 557 M€, sur ce premier trimestre 2010. La marge opérationnelle correspond à 22,2% du chiffre d'affaires total (contre 12,8% l'an dernier). SAP précise de surcroît qu'elle a malgré tout été écornée de 1,4 point par 36 M€ de dépenses, notamment en raison des réorganisations opérées. Au cours du trimestre, l'éditeur s'est séparé de son PDG, Léo Apotheker, remplacé maintenant par deux co-PDG, Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott. Il a aussi, dans ce mouvement de réorganisation, remercié ou laissé partir plusieurs autres collaborateurs.

2,30 Md€ de liquidités nettes

Le flux de trésorerie a baissé de 44%, passant de 1,39 Md€ à 772 M€. SAP explique qu'il a repoussé la facturation de la maintenance jusqu'à ce que les clients décident, courant mars, du choix de leur contrat (Enterprise Support ou Standard Support). Au 31 mars, SAP disposait de liquidités nettes de 2,30 Md€.

L'effectif de la société est reste relativement stable sur le trimestre, a indiqué Werner Brandt. Il s'élève à 47 598 personnes dont 14 676 en R&D et 12 110 sur les services. L'Europe seule en emploie 25 255 et le continent américain, 12 060.

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