Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 811 à 820.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(01/02/2012 09:55:36)

Conférence CIO : Le Cloud Computing à l'épreuve de la réalité

Le jeudi 16 février 2012, retrouvez-nous au Pavillon Dauphine - Paris 16e pour la conférence "Le Cloud Computing à l'épreuve de la réalité".

Dans cette période d'incertitude économique, les entreprises les plus ambitieuses veulent mieux maîtriser leurs coûts IT tout en renforçant leur capacité d'évolution, leur agilité et leur réactivité. Le Cloud Computing est idéalement positionné pour répondre à ces enjeux.

Côté budgets, le Cloud Computing annonce une facturation à l'usage ainsi qu'une réduction drastique des frais d'investissements en infrastructures et des coûts d'exploitation.  Côté atouts techniques, le Cloud promet une flexibilité et une réactivité maximales lors de la montée en charge des applications et une plus grande souplesse lors des déploiements ou des modifications de configuration.

Pour vous inscrire

Pour découvrir le programme complet

(...)

(01/02/2012 09:57:32)

Le groupe Würth virtualise ses postes de travail avec Systancia et SCC

Le groupe Würth est un distributeur spécialiste des fournitures techniques pour professionnels (quincaillerie, pièces automobiles...) créé en 1967 et qui propose 26 000 références. Il disposait d'un seul centre logistique à Erstein (au Sud de Strasbourg) qui s'est révélé insuffisant pour couvrir sa croissance. Lors de la création du centre logistique de Montélimar (Vallée du Rhône) en 2008, ce dernier ne disposait pas de ressources informatiques internes mais son activité impliquait l'utilisation de 27 applications partagées avec le centre d'Erstein (PGI, bureautique, collaboratif...).

Pour y parvenir, Würth a décidé de virtualiser les postes de travail de Montélimar et de le relier à Erstein par un VPN. Après une journée de tests sur différentes solutions du marché, c'est celle de Systancia intégrée par SCC qui a été retenue.

Satisfaite du déploiement et après l'épidémie de grippe H1N1 de 2009, l'entreprise a souhaité faire de la virtualisation la règle dans l'entreprise. Cette solution permet en effet aux collaborateurs de travailler de chez eux sur un bureau virtuel au travers d'un VPN. Les évolutions logiciels sont également simplifiées, postes et applications étant virtualisés.

A ce jour, ce sont 1600 postes de travail et 18 serveurs qui sont virtualisés.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

(...)

(01/02/2012 09:56:50)

IT Partners 2012 : une édition ambitieuse et en croissance

Le marché IT n'est décidément pas comme les autres : alors que la plupart des secteurs de l'économie font grise mine et affichent des chiffres d'affaires en retrait, les segments de l'univers numérique restent tirés vers le haut par de nombreuses niches, qui sont cette année à l'honneur à l'occasion de cette nouvelle édition du salon IT Partners, ouverte ce mardi 31 janvier 2012 et qui s'achèvera ce mercredi 1er février en fin de journée.

En milieu d'après-midi du mardi 31 janvier, la fréquentation affichait une progression de 10% du nombre de visiteurs. « Il était important que l'industrie IT démontre son dynamisme jusque dans la mise en scène de ses produits sur les stands, et cette promesse a été tenue », explique Laurent Eydieu, Directeur du Pôle IT de Reed Exposition, qui organise par ailleurs le Medpi, rendez-vous annuel entre les enseignes de la distribution grand-public et l'industrie du numérique.

Des pépites partout

Une des craintes des partenaires de l'industrie était que seuls quelques segments de marché continuent à progresser, tels que les très médiatiques tablettes tactiles, le cloud computing ou les applications en mode SaaS. Dans les faits, il semble que tous les segments du marché IT abritent des nids de croissance et de rentabilité. C'est ainsi que l'on a vu réapparaître sur le devant des stands des imprimantes matricielles, longtemps considérées comme passées de mode, non loin des ordinateurs ultra-portables les plus appréciés par les « geeks ».

Autre signe du volontarisme du secteur IT : les concours dotés de prix (roadster Porsche, scooters, etc.) se sont multipliés au cours de cette première journée du salon, alors que le climat économique international pousse d'autres pans de l'industrie à une discrétion inhabituelle.

Pour conclure, un des principaux regrets des acteurs présents sur le salon n'était pas baisse de la demande (car elle n'a été sensible pour l'IT) mais la difficulté à répondre à cette demande dans délais après les aléas que connu les principaux centres de production du Japon et du sud-est asiatique en 2011 (disques durs, composants, écrans, imprimantes, etc).

(...)

(01/02/2012 09:54:17)

France IT se dote d'un label Entreprises numériques responsables

France IT regroupe maintenant 11 clusters, soit 1 200 entreprises, répartis dans neuf régions. Elle leur propose un label ENR, Entreprises numériques responsables. Une structure indépendante, Made in respect, fait passer le label. L'entreprise candidate doit demander et déposer un dossier. Soixante l'ont demandé, 16 l'ont déposé, ce qui prouve la qualité du label.

Les dossiers sont notés, sur 100 points. Ensuite, Made in respect interroge les clients de l'entreprise. Là aussi, la note est sur 100. Au dessus de 120 points obtenus, le label est attribué automatiquement. Entre 100 et 120, un comité (CATLAB, Comité d'Attribution du Label) prend la décision. Le label s'obtient pour deux ans. « Ce n'est pas gagné d'avance. Pour les clients de l'entreprise, c'est un gage de sérieux », souligne Armand Lulka, Président de France IT (et du cluster de la Loire Numelink).

(...)

(31/01/2012 17:26:46)

Salesforce.com lance un service de help desk en mode SaaS

Desk.com, l'application mobile d'assistance en mode SaaS proposée par Salesforce.com, s'appuie sur l'acquisition en septembre dernier de Assistly. Elle peut être déployée en quelques jours, même par des entreprises qui ne disposent pas de spécialistes informatiques. L'application établit le lien avec les utilisateurs en détresse via les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter. Alex Bard, ancien PDG d'Assistly et maintenant en charge de Desk.com chez Salesforce.com, explique « les clients sont maintenant mobiles, connectés et dans un contexte international » et d'ajouter « il est donc essentiel d'adapter les logiciels de help desk aux réseaux sociaux ». La solution Desk.com permet donc aux entreprises d'intégrer Facebook et Twitter à leur service d'assistance pour répondre directement aux clients ou à l'utilisateur.

L'application mobile a été réalisée en HTML5 pour la rendre compatible avec plusieurs terminaux et OS mobiles. L'expérience mobile propose plusieurs fonctionnalités : l'envoi des réponses individuelles, modifier le statut du cas traité, changer la priorité des demandes, etc. Desk.com donne la possibilité aux entreprises de se constituer une base de connaissances sur les questions les plus fréquemment posées. Cette base pourra être interrogée par les clients pour résoudre leur problème sans intervention humaine.

Les prix de cette solution  commencent à 49 dollars par agent et par mois (l'application mobile est incluse), avec un accès illimité. Salesforce.com propose également un tarif flexible de 1 dollar par heure et par agent. Desk.com sera disponible au cours du 1er trimestre 2012. Avec Desk.com, Salesforce.com entend concurrencer les outils de Zendesk qui intègrent aussi Facebook et Twitter. Le prix des solutions de Zendesk est de 20 dollars par an pour l'édition Starter (limitée dans les fonctionnalités) et de 99 dollars par utilisateur et par mois pour l'édition entreprise.

(...)

(31/01/2012 17:07:00)

La version bêta de Microsoft Office 15 prévue pour l'été

« Ce matin, nous avons atteint une étape importante de développement : le démarrage du programme Technical Preview d'Office 15 », a indiqué hier PJ Hough, responsable du développement des produits Office chez Microsoft, en expliquant qu'Office 15 était le nom de code de la prochaine génération des produits et services Office. « Avec cette Technical Preview, c'est la première fois que nous partageons notre travail avec un groupe sélectionné de clients dans le cadre d'accords de confidentialité », poursuit-il. Ces clients jouent un rôle clé dans le processus de développement en testant les premières réalisations et en donnant leur point de vue, appréciations qui sont incorporées dans la version définitive.

Microsoft prévoit la mise à jour simultanée de multiples offres

A ce stade du cycle, il n'est pas possible d'en dire beaucoup sur Office 15, si ce n'est qu'il s'agit de l'entreprise la plus ambitieuse jusqu'à ce jour pour la division Office, affirme PJ Hough. « Pour la toute première fois, nous mettrons à jour simultanément nos services cloud, nos serveurs, nos clients mobiles et PC pour Office, Office 365, Exchange, SharePoint, Lync, Project et Visio. Tout simplement, Office 15 aidera les utilisateurs à travailler, collaborer et communiquer mieux et plus vite que jamais » 

Le programme Technical Preview est déjà complet, mais chacun pourra tester la version bêta publique d'Office 15 cet été.

En voyant se profiler à l'horizon ce qui pourrait bien devenir Office 2013, il est sans doute temps pour ceux qui utilisent toujours la version 2007 de la suite bureautique de Microsoft d'opérer une migration vers Office 2010.

(...)

(31/01/2012 16:20:59)

Le m-paiement décolle en France

En 2012, les Français devraient dépenser 2,2 milliards d'euros en utilisant leur mobile. Selon les prévisions d'une étude Kelkoo par le Centre For Retail Research, publiée ce mardi 31 janvier, ils seraient les plus dépensiers en Europe, derrière les Britanniques (5,4 milliards d'euros) et les Allemands (3,2 milliards d'euros).

Au chapitre du e-commerce, 2012 s'annonce comme une nouvelle année dynamique pour les achats sur mobile. La France devrait enregistrer la troisième plus forte croissance européenne (+71%), derrière la Suisse (+111%) et l'Espagne (+73%).

Malgré un faible taux d'équipement en smartphone, estimé à 35% (contre 46% au Royaume-Uni), la part des achats via mobile devrait représenter 4,6% du marché de l'e-commerce en France en 2012. L'arrivée des tablettes numériques dans les foyers aurait aussi son effet dans l'explosion du M-commerce au sein de l'Hexagone, commente l'étude.
En 2011, les Français ont dépensé en moyenne 118€ via leur smartphone, bien loin des Britanniques, les plus grands dépensiers européens (226€).

(...)

(31/01/2012 16:16:20)

Affaire Itanium : Oracle essuie un revers dans le procès contre HP

Un tribunal californien a rejeté la tentative d'Oracle d'utiliser une allégation de fraude pour annuler un accord qu'il aurait conclu avec HP autour du support du processeur Itanium d'Intel. « La fraude présumée n'empêchait pas Oracle de participer aux négociations ni privé Oracle de l'opportunité de négocier », a indiqué hier le juge James P. Kleinberg dans une décision de 21 pages. Le magistrat se réfère à l'accord réalisé en 2010 avec Mark Hurd, le précédent PDG de HP, qui a ensuite rejoint Oracle au poste de président. Bien qu'Oracle n'ait pas été partie prenante dans le contentieux entre HP et Mark Hurd, sa participation dans les négociations pour le régler ont été importantes, a ajouté le juge. Ce dernier a également ordonné la communication de certains documents sensibles que HP et Oracle ont séparément transmis à la Cour de façon confidentielle.

En mars dernier, Oracle a annoncé sa décision de ne pas supporter les serveurs exploitant des processeurs Itanium d'Intel sur les prochaines versions de ses logiciels, base de données comprise, en déclarant que ces puces étaient en fin de vie. HP, qui utilise ces processeurs sur ses serveurs haut de gamme, a attaqué Oracle en juin devant la Cour du comté de Santa Clara.

Intel payé pour maintenir la puce Itanium en vie

Oracle a déclaré que HP avait délibérément gardé pour lui, au moment de l'accord avec Mark Hurd, qu'il était sur le point de recruter deux personnes connues pour faire partie des adversaires de son groupe : Ray Lane et Léo Apotheker. Le premier a été président et directeur général d'Oracle et le deuxième était jusqu'en 2010 à la tête de l'éditeur SAP, son principal concurrent.

Oracle a également allégué que HP l'avait frauduleusement amené à conclure l'accord, en cachant qu'il payait secrètement Intel 88 M$ par an pour maintenir artificiellement la puce Itanium en vie et manifester à ses clients son engagement à long terme, alors qu'Intel aurait sinon cessé le développement de ce processeur. Oracle considère aussi que HP savait que s'il avait eu connaissance de cet arrangement secret avec Intel, il n'aurait pas accepté de développer des logiciels pour cette plateforme.

La décision du juge fait aussi référence à une déclaration selon laquelle dans l'accord avec Mark Hurd, Oracle ne devait pas lancer d'offre de rachat hostile sur HP pendant 18 mois. HP n'a pas fait de commentaires particuliers sur ces deux déclarations. Il s'est déclaré satisfait que la Cour ait rejeté la tentative d'Oracle. « Nous attendons avec impatience que les faits montrent publiquement que l'annonce d'Oracle, en mars 2011, de ne plus développer de logiciels pour les serveurs Itanium faisait partie d'une stratégie business calculée pour faire passer les ventes des serveurs Itanium vers des serveurs Sun moins puissants (Oracle a acquis Sun Microsystems en 2010). 

Oracle également satisfait de la décision du juge

Oracle s'est de son côté déclaré ravi de la décision de la Cour de rejeter la tentative de HP de dissimuler à ses clients, partenaires et propres employés la vérité sur la fin de vie certaine de l'Itanium. « Nous attendons avec impatience que soit démontré publiquement que HP savait depuis des années que l'Itanium était en fin de vie », a-t-il déclaré faisant apparemment référence à la décision du juge de donner accès à certains documents. Selon le Wall Street Journal, dans les documents communiqués par les sociétés au tribunal, les paiements faits par HP à Intel atteindraient plusieurs centaines de M$. 

L'affaire Itanium a trouvé des prolongements en France où HP a saisi l'autorité de la concurrence, en reprochant à Oracle une stratégie généralisée d'éviction l'écartant du marché des serveurs haut de gamme pour entreprises. Début janvier, l'autorité de la concurrence n'a pas jugé utile de prendre des mesures d'urgence contre Oracle mais elle a décidé néanmoins de poursuivre l'instruction de l'affaire au fond.

(...)

(31/01/2012 15:30:18)

Tilera dévoile sa puce serveur 36 coeurs pour concurrencer Intel et ARM

Tilera a présenté sa puce serveur 36 coeurs à destination des datacenters. La Tile-Gx36 est cadencée à une vitesse d'horloge de 1,2 GHz, pour une consommation affichée de 24 watts. « Comparativement à certaines puces serveurs Intel Xeon, très gourmandes en énergie, la puce de Tilera permet d'effectuer plus d'opérations par cycle d'horloge tout en consommant moins, » a déclaré Bob Doud, directeur marketing du fondeur. La puce Tilera possède les caractéristiques d'un processeur généraliste. Elle peut notamment faire tourner le système d'exploitation Linux et les applications couramment utilisées sur le web.  Elle intègre moins de coeurs en parallèle que la puce 64 coeurs de Tilera, sortie il y a quelques années, mais elle est néanmoins plus rapide. Grosso modo, un serveur 2U intégrant 8 processeurs 36-coeurs consommera 400 watts, soit autant qu'une boîte comportant 8 puces Tilera 64  coeurs. « La puce Gx36 tourne à une vitesse d'horloge beaucoup plus élevée... et comme elle dispose d'un cache beaucoup plus important, elle peut effectuer plus d'opérations par coeur. Au final, avec une puce 36 coeurs, on obtient des performances nettes plus élevées », a ajouté le directeur marketing.

Selon les analystes, il est difficile de faire une comparaison point par point, dans la mesure où chaque architecture a ses propres caractéristiques. Les processeurs basse énergie d'ARM et de Tilera pourraient être bien adaptés pour traiter les transactions rapides dans le cloud. Les puces x86, qui sont majoritaires, ont fait leur preuve et savent gérer les applications qui ont besoin de beaucoup de ressources, comme les bases de données par exemple. Généralement, les transactions sur Internet sont traitées et servies par des centres de calcul, et l'intérêt pour des serveurs basse énergie ne cesse de croître, entre autre parce que les entreprises cherchent à réduire le coût de leurs datacenters.

Des tests qui dureront des années

Les puces de Tilera sont déjà en cours de test dans certains serveurs. Des précurseurs, comme Hewlett-Packard et Nvidia, sont en train de construire des serveurs expérimentaux équipés de processeurs ARM basse énergie, lesquels équipent la plupart des smartphones et tablettes actuelles. Mais les puces de Tilera, ARM et x86 sont basées sur des jeux d'instructions différents. « La notoriété de ARM est plus importante, mais du fait de ses capacités 64-bits, la puce de Tilera est plus puissante, » a déclaré Bob Doud. En effet, les processeurs ARM actuels sont 32-bits seulement, et la puce serveur 64-bits, annoncée par ARM, ne verra le jour qu'en 2014. « Nous profitons du buzz autour de ARM, » a reconnu le directeur marketing. « Cette agitation est bonne pour Tilera car nous disposons déjà de la technologie. » Le fondeur pourra aussi se tourner vers un de ses actionnaires, Cisco, qui a investi dans la société en janvier 2011.

[[page]]

Selon Dean McCarron, analyste principal chez Mercury Research, « Tilera ne va pas supplanter Intel dans les datacenters du jour au lendemain, et ses puces devront subir plusieurs années de tests avant que leur présence soit significative sur le marché des serveurs. » Les entreprises ne vont pas se passer aussi facilement de la haute fiabilité et de la disponibilité que leur fournissent les serveurs x86. Les précurseurs peuvent tester les puces Tilera sur des systèmes effectuant des tâches avec des priorités basses, comme les serveurs web, sans incidence sur les datacenters en cas de panne. Mais, même ces tests pourraient durer plusieurs années. « C'est ce qui s'est passé, pas seulement avec des puces non-x86, mais aussi avec les puces x86, » a déclaré l'analyste. Celui-ci a rappelé le cas des puces Atom basse énergie x86 d'Intel, utilisées à titre expérimental dans des serveurs pour le service web. « Le marché des puces non-x86 a le même niveau d'exigences. Les constructeurs vont faire leurs tests et éprouver leurs performances, » a déclaré Dean McCarron.

Prendre en compte le TCO et pas uniquement la consommation d'énergie

« Les architectures concurrentes ARM et MIPS présentent des avantages en matière de consommation d'énergie, mais il faut prendre en compte un coût total de propriété avant de comparer les architectures, » a déclaré Jim McGregor, spécialiste en stratégie des technologies chez In-Stat. Selon lui, le fait de disposer de l'architecture la plus économe en énergie ne va apporter aucun avantage, sauf si les entreprises sont prêtes à investir dans le développement de logiciels, ce qui, en général, coûte le plus cher. « Il y a et il y aura toujours des applications qui peuvent justifier de nouvelles architectures pour des raisons de puissance et de performance, mais le développement logiciel ajoute un coût supplémentaire important, sans compter le risque du lock-in qui lie à une architecture unique, » a déclaré Jim McGregor. La puce Xeon d'Intel offre un support logiciel quasi illimitée et un faible coût total de propriété. « Il y a aussi l'alternative AMD, qui offre des puces compétitives en termes de prix et de performance, » a déclaré le spécialiste d'In-Stat.

« Mais les gros clients qui déploient des milliers de serveurs ont leur propre code source et sont moins concernés par le support logiciel, » a déclaré Bob Doud de Tilera. « Les économies réalisées sur quatre ou cinq ans ont plus d'importance, et le fait d'avoir à recompiler le code n'est pas si contraignant que cela, » a t-il ajouté. Les applications Linux standards, comme le serveur web Apache, la base de données MySQL et le logiciel de cache Memcached, ont déjà été portées sur les puces Tilera. L'architecture Tilera supporte plus de 2 000 types de logiciels basés sur Linux, et offre le support logiciel nécessaire. « Nous n'avons aucune opposition, » a déclaré le directeur marketing. « Nous disposons de toutes les bibliothèques essentielles. »

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >