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PLM

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(11/09/2008 10:17:35)
PTC, numéro trois mondial du PLM, serait à vendre
Le numéro trois du PLM (Product Lifecycle Management), PTC, serait à la recherche d'un repreneur. L'éditeur aurait engagé la banque Goldman Sachs pour rechercher des acquéreurs potentiels. L'entreprise estimerait sa valeur à 2 Md€. Selon la presse américaine, l'entreprise ne souhaite faire aucun commentaire. Ce n'est pas la première fois que l'éditeur de la Cao Pro/Engineer et du PLM Windchill cherche un acheteur, mais jusque là il n'a pas trouvé preneur. Il faut dire que depuis quelques années, le marché du PLM a subi de nombreux bouleversements. PTC cherche sa place dans un marché en forte concentration En 2006, Dassault Systèmes avait avalé Matrixone avant qu'Agile ne soit absorbé par Oracle l'année suivante. UGS, qui disputait la deuxième place au Français, a lui aussi été racheté en 2007. Il est devenu la filiale PLM du géant industriel allemand Siemens. La guerre des CAO morte et enterrée, chacun a dû choisir sa voie : la 3D et même le grand public pour Dassault Systèmes, l'industrie et les automatismes pour Siemens PLM, sans oublier Autodesk qui rapproche ses offres d'entreprises avec ses produits multimedia. Malgré une offre de qualité en particulier dans la gestion de documentation technique, PTC continue de cherche sa place. L'éditeur a réalisé plusieurs acquisitions en 2008 et venait d'emporter en juillet un contrat imposant chez EADS au nez et à la barbe de Dassault Systèmes et Siemens PLM. En 2007, elle affichait un bénéfice de 156 M$ pour un C.A. de 941 M$. (...)
(03/09/2008 11:22:05)Siemens PLM Software « trouve » une liste de clients Dassault Systèmes
Dans un communiqué daté du 3 septembre, Dassault Systèmes, numéro un mondial du PLM, confirme une violation du secret commercial par Siemens PLM Software, son plus gros concurrent. L'information avait été révélée en juin par notre confrère allemand, le Frankfurter Allgemeine Zeitung. Après enquête, précise le communiqué, la filiale de Siemens aurait reconnu avoir « trouvé une liste où figuraient les noms de 3216 clients en Allemagne, en Suisse et en Autriche. », liste retrouvée sur l'intranet de la société. L'industriel allemand a restitué la liste à l'éditeur français avec l'assurance que toute copie serait détruite. Mais Dassault Systèmes « se réserve encore le droit de mener une action qu'elle jugera appropriée pour faire valoir ses droits. » (...)
(31/07/2008 09:36:48)Semestriels Dassault Systèmes : une croissance du CA de 13% et du logiciel de 17%
Un CA qui augmente de 13% à taux de change constant au deuxième trimestre (US GAAP) et des ventes logicielles qui croissent de 17% sur la même période. Le résultat net pour la même période est en augmentation de 16% à 0,36€ par action. Nul doute, Dassault Systèmes se porte toujours aussi bien. Il est plus que jamais en tête du logiciel français après la vente annoncée cette semaine d'Ilog à IBM et celle de Business Objects réalisée par SAP fin 2007. Dassault Systèmes demeure le seul grand éditeur français. Il trône loin devant tous les autres avec un CA annuel de près de 1,3 Md€ en 2007. Catia reste moteur du CA logiciel L'Europe est en croissance de 12%, mais c'est l'Amérique qui présente la plus forte hausse avec 19%. Le CA du PLM monte de 17% soutenu par un Catia en hausse de 20% (CA logiciel en non-GAAP à taux de change constant). Les services reculent de 2% pour représenter 15% du CA total. « Une évolution qui reflète largement la disparition des activités d'animation de réseaux de distribution effectuées pour le compte d'IBM », comme le précise le communiqué de Dassault Systèmes. Dassault Systèmes confirme ses objectifs pour l'année La marge opérationnelle s'élève à 19,8%. Et pour le troisième trimestre, Dassault Systèmes confirme un objectif situé entre 27% et 27,5%. Pour le prochain CA trimestriel, l'objectif se trouve dans une fourchette de 305 à 315 M€ et pour le résultat net par action, de 0,41 à 0,44 €. L'objectif de croissance du CA logiciel est quant à lui confirmé entre 12% et 13%. Sauf précision contraire, tous ces chiffres s'entendent en normes US GAAP à taux de change constant. (...)
(08/07/2008 16:48:16)Infor a gagné 2 200 nouveaux clients sur son exercice 2008
Infor poursuit la validation de son modèle économique : croissance externe et R&D autour des offres acquises. Ce qui semble, pour l'instant, lui réussir. A l'issue de son exercice fiscal échu fin mai, l'éditeur américain de logiciels de gestion totalise 2 200 nouveaux clients sur une base installée globale de 70 000 entreprises. Son chiffre d'affaires s'élève à 2,3 Md$ (environ 100 M€ en France selon les estimations). Toutefois, cet éditeur non coté, détenu par l'investisseur Golden Gate Capital, ne publie pas le détail de son exercice fiscal et n'indique donc pas sa rentabilité. Infor s'est construit par croissance externe, faisant entrer dans son portefeuille d'applications plus de trente éditeurs depuis 2002. Dans le secteur des ERP (progiciels de gestion intégrés), il se place parmi les quatre premiers fournisseurs mondiaux (loin derrière SAP et Oracle mais sans doute devant Microsoft). 3 700 clients sous maintenance en France « En France, nous avons au moins 7 ou 8 cultures d'entreprise différentes qu'il a fallu harmoniser », rappelle Benoît de la Tour, directeur général de la filiale. Outre les ERP de SSA Global (BPCS, Baan), Mapics et Symix, conçus pour l'industrie, Infor a également repris des solutions pour la gestion financière (Extensity, Systems Union...), les ressources humaines (Anaël), le suivi des actifs (Datastream), la relation client (Epiphany) et la gestion logistique, tant pour l'exécution -entrepôt/transport- que pour la planification (avec l'offre Adage d'Agilisys/SCT). Infor France compte 3 700 clients sous contrat de maintenance. « Nous dépassons 94% de taux de rétention de notre base », indique Benoît de la Tour. Une équipe a été spécialement mise sur pied pour suivre le renouvellement de ces contrats qui pèsent 50% du chiffre d'affaires (le reste se répartit de façon égale entre ventes de licences et de services). Cette équipe va approcher les 1 100 autres entreprises françaises qui utilisent sans maintenance un logiciel Infor. Avec autant de produits différents au catalogue, le rôle du support technique est primordial. « Nous avons créé un premier niveau centralisé et gratuit, réduit le temps de traitement des incidents, mis en place des procédures d'escalade », énumère le directeur général qui précise que le support de la solution EAM (gestion d'actifs, offre Datastream) est pris en charge par la France. Une poussée sur Anaël et sur le SaaS [[page]] Sur l'année écoulée, la filiale française a gagné 147 nouveaux clients, sur tout le spectre de l'offre Infor. Actuellement, 41% de la base installée utilise les solutions de finance et de gestion des ressources humaines (dont 71% l'offre de GRH Anaël), 38% un ERP et les 21% restant l'une des solutions dites « étendues ». (EAM, Performance Management, CRM, Supply chain, PLM). Anaël a enregistré une très bonne croissance, « avec une poussée spectaculaire sur le SaaS », souligne Benoît de la Tour. L'hébergement d'applications est un axe que la filiale entend développer, sur la gestion des actifs et des frais professionnels. L'ensemble de l'offre évolue par ailleurs vers une architecture orientée services (SOA) présentée en octobre dernier aux utilisateurs français. Centre d'excellence européen et recrutement de partenaires Pour l'année à venir, Infor France vise une augmentation de 8% de son chiffre d'affaires global grâce, notamment, à ses solutions étendues. Dans cette optique, Il crée un centre d'excellence européen pour apporter des compétences pluridisciplinaires (consultants, chefs de projet...). « Nous avons beaucoup investi en R&D et voulons clairement gagner des parts de marché sur nos concurrents, annonce Benoît de la Tour. Et pour réduire les temps d'implémentation chez nos clients, nous allons livrer des offres 'Fast Start', préparamétrées pour un domaine d'activité, qui permettront d'installer un ERP en 70 jours. » Enfin, Infor entend développer la part de ses revenus générés par les partenaires. En Europe et en France, celle-ci représente pour l'instant 18% des ventes de licences. L'éditeur aimerait la voir atteindre 24 à 26%. Jean-Philippe Pommel, vice-président partenaires pour l'Europe, supervise les opérations : « Nous allons pousser la marque, établir une certification à l'échelle européenne et recruter dès septembre de nouveaux partenaires. Nous recherchons une cinquantaine de revendeurs à valeur ajoutée avec, en France, un focus très fort sur la gestion des actifs. » (...)
(02/07/2008 12:00:28)Dassault Systèmes transforme sa division commerciale PME en revendeur
Depuis 2006, le numéro un mondial du PLM Dassault Systèmes a récupéré d'entre les mains d'IBM toute la distribution de son offre. Aujourd'hui, il met la dernière touche à l'organisation de son réseau indirect à destination des PME en transformant sa division interne en une société de vente indépendante. Dassault Systèmes Solutions France devient ainsi Keonys. Cette opération entérine un fonctionnement déjà ancien, puisque la direction travaillait déjà pratiquement comme un revendeur à valeur ajoutée (VAR) quand la distribution aux PME était assurée par IBM. Jean-Yves Yung, à la tête de la division, devient président de Keonys et conserve l'équipe actuelle de 120 personnes situées en France, en Belgique et au Luxembourg. Dassault Systèmes et la nouvelle société Keonys ont signé un accord « General VAR Agreement » qui donne à la firme un statut de VAR. Comme les autres membres du réseau commercial, elle pourra revendre l'ensemble des marques de l'éditeur : Catia, Delmia, Enovia et 3dvia en France, en Belgique et au Luxembourg à destination des PME. Elle sera en outre l'un des premiers distributeurs du numéro un mondial du PLM à déployer la V6 de l'offre. (...)
(19/06/2008 11:50:41)Dassault Systèmes : « La France et l'Europe doivent se préoccuper de la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel »
Concevoir un nouveau produit en exploitant des objets 3D conçus en ligne par d'autres, comme souhaite le proposer l'éditeur de PLM Dassault Systèmes, pose un problème évident de propriété intellectuelle. « Ni l'Europe, ni la France ne font la moindre proposition quant à la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel, s'agace cependant Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes. C'est capital, car aujourd'hui, en matière de gestion des conflits en justice, c'est le vide sidéral. C'est une question qui devrait être débattue à l'OMC (Organisation mondiale du comemrce). Les Etats-Unis et le Japon réfléchissent, eux, et nous risquons de devoir faire avec. En ce qui nous concerne, pour la création de contenus 3D avec notre outil pour tous 3DVia, nous avons par exemple choisi la CPL (Common Public Licensing) de l'Open Source. » (...)
(19/06/2008 11:51:54)Dassault Systèmes veut se frotter aussi au grand public
Il fut un temps où la conférence annuelle des développeurs de Dassault Systèmes, le Devcon, ressemblait à une conférence développeurs. Les démonstrations de CAO et leur lot de structures filaires, toutes plus réjouissantes les unes que les autres, se succédaient. Mais voilà, tout a bien changé. Pour son Devcon version 2008, on aurait pu se croire au lancement d'un produit Nintendo. L'animateur a bavardé avec son avatar 3D en balade sur grand écran, en temps réel, dans le futur siège social de Dassault Systèmes à Vélizy, lui-aussi virtuel. Un peu plus tard, Martijn Steinrucke, 'concept designer' chez le numéro un mondial du jeu vidéo Electronic Arts (Sims, Spore) est arrivé sur scène. Une télécommande de Wii (Wiimote) dans chaque main, il s'est mis à manipuler un petit personnage du genre monstre gentil affiché à l'écran, à le faire chanter, danser... Mais où sont passés la CAO et le PLM? Mais où sont donc passés la CAO et le PLM (Product lifecycle management) ? Quel lien avec la conception automobile ou aéronautique ? Quel lien avec le PLM dans le textile ou la pharmacie ? Les équipes de Dassault Systèmes auraient-elles perdu tout sens commun ? Difficile à savoir... Entre deux aventures virtuelles, elles ont tout de même présenté leur V6 aux développeurs. Juste V6, sans plus aucune marque devant. Cette nouvelle version se décline au travers des désormais habituelles gammes Catia (CAO), Enovia (collaboration), Simulia (simulation) et Delmia (production virtuelle), auxquelles s'ajoute 3DVia destiné à des utilisateurs lambda. A noter que pour enrichir Simulia, Dassault Systèmes a annoncé l'acquisition pour environ 40 M$ d'Engineous Software, spécialisé dans l'automatisation des processus de simulation. La V6 propose la toute nouvelle interface de navigation, collaborative et en 3D, annoncée en janvier. Sur l'écran, les produits conçus chez les industriels sont décomposés étape par étape sur des plateaux tournants, tous accessibles par différents utilisateurs géographiquement distants. La collaboration permet aussi au bureau d'étude de travailler avec les designers, voire même les membres du marketing, toujours au travers de l'interface 3D. Enfin, si l'ensemble des outils restera disponible par le biais de licences classiques, la V6 misera aussi sur le SaaS (Software as a Service). Dassault Systèmes prêt à lancer une console de jeu ? [[page]] Visionnaire ou à la limite de la folie, l'entreprise a, en tout cas, fait un choix audacieux : celui de la conception en 3D, en temps réel, pourquoi pas avec une manette de jeu, dans les bureaux d'étude de l'industrie. La fracture culturelle pourrait être imposante. Pourtant, l'éditeur ne veut pas en rester là. Il aimerait désormais se frotter aussi au grand public. 3DVia et sa communauté en ligne où tout un chacun peut développer et partager des objets 3D, jouent le rôle de poste d'observation de cette nouvelle cible. Bernard Charlès en est convaincu, ce sont les consommateurs qui concevront les produits de demain (à condition néanmoins de s'occuper de la propriété intellectuelle). Et son entreprise peut leur mettre des outils 3D entre les mains dès aujourd'hui. Pour lui, il s'agit de bâtir des communautés virtuelles, des réseaux sociaux du design 3D. Mais, ce n'est pas tout. « En collaborant avec cet écosystème du design 3D, à l'aide de nos logiciels, je pourrais aujourd'hui concevoir un périphérique électronique, alors que je suis éditeur de logiciel, assure Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes, avant d'ajouter : d'ailleurs, nous allons le faire ! » Même s'il n'a pas voulu donner davantage de précisions, il ne dément pas que l'objet pourrait appartenir au monde du jeu et en tout cas, être destiné à tous, et non uniquement à un public professionnel. Pourquoi pas une Wiimote signée DS ? (...)
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