Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14191 à 14200.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(31/07/2008 12:25:28)
20 000 Parisiens utilisent le WiFi municipal chaque mois
Les 400 bornes offrant un accès gratuit et sans fil à Internet aux habitants et visiteurs de la capitale semblent séduire les utilisateurs, selon nos confrères du Parisien. Un an après leur installation, les hot-spots de la Ville lumière sont ainsi utilisés, en moyenne, par 20 000 Parisiens chaque mois. Une large majorité d'entre eux accède au Web à partir des parcs et jardins : 12 000 utilisateurs s'y connectent mensuellement, avec une surreprésentation des parcs Monceau et Montsouris, qui profitent de l'affluence des cadres et des étudiants, deux publics particulièrement technophiles. Les points d'accès mis en place par la municipalité, outre les espaces verts, sont situés dans les mairies d'arrondissement, les bibliothèques et certains musées. Ainsi répartis, ils ont enregistré 87 000 connexions au mois de mai, et 83 000 en juin (avec plusieurs accès par utilisateur sur les périodes considérées). Les bornes de quatre bibliothèques désactivées Ces chiffres ne vont cependant pas sans soulever quelques problèmes. En particulier, plusieurs agents municipaux ont protesté contre les effets qu'auraient les bornes sur leur santé. Ainsi, dès décembre 2006, une quarantaine d'agents salariés des bibliothèques de quatre arrondissements rapportaient qu'ils souffraient de céphalées et autres malaises en raison, soulignaient-ils, de la présence des hot-spots sur leur lieu de travail. La municipalité réagissait rapidement en désactivant les bornes pointées du doigt. Une rencontre entre les syndicats de la Direction des affaires culturelles et la Ville, prévue en septembre, déterminera si ces points d'accès peuvent être remis en services. (...)
(31/07/2008 11:30:02)France Telecom dégage moins de bénéfice sur les 6 premiers mois de 2008
Sur le premier semestre 2008, France Telecom annonce un chiffre d'affaires de 26,3 Md€, en hausse de 1,5% en données brutes, et de 3,9% à périmètre comparable, par rapport à 3007. Malgré cette croissance, l'opérateur dégage moins de bénéfices qu'en 2007, avec 2,7 Md€, contre 3,3 Md€. L'opérateur télécoms réduit son endettement, qui passe à 38,2 Md€ contre 42,1 Md€. Les services mobiles sont en croissance de 1,9% en données brutes à la suite de la cession de l'activité mobile d'Orange aux Pays Bas (- 322 millions), et des effets négatifs des taux de change (- 349 millions). A périmètre comparable, la croissance est de 7,3% au deuxième trimestre, et de 6,8% au premier trimestre. Les mobiles restent le coeur de l'activité de l'opérateur et pèsent 14,4 Md€, soit 55% du CA. Le haut débit résidentiel marque le pas et ne progresse que de 0,7% au deuxième trimestre, en données brutes, contre une situation à peu près stable au premier trimestre. Les services ADSL pèsent 11,4 milliards, soit 43% du CA de l'opérateur. En queue de bilan, les services aux entreprises ont généré 3,8 milliards de revenus, soit 14% de l'activité. Ils affichent une croissance de 1,1% sur le premier semestre, en données brutes. En données comparables, la croissance est de 2%. (...)
(31/07/2008 11:10:45)Voyages-SNCF.com indisponible pendant 30 heures
Le site web de vente en ligne de la SNCF, voyages-sncf.com , a été en panne durant 30 heures jusque dans l'après midi du mercredi 30 juillet 2008. « Cet arrêt est du à la panne du serveur qui assure la disponibilité des données, a expliqué le représentant de voyages-SNCF.com. Ce type de panne ne pouvait pas tomber plus mal qu'au moment des départs en vacances. Le trafic sur le site web connaît alors des pics de 150 000 tickets vendus par jour. De plus, certains billets comme ceux d'IDTGV n'étant vendus que sur internet et non aux guichets étaient totalement inaccessibles durant la panne. (...)
(31/07/2008 09:36:48)Semestriels Dassault Systèmes : une croissance du CA de 13% et du logiciel de 17%
Un CA qui augmente de 13% à taux de change constant au deuxième trimestre (US GAAP) et des ventes logicielles qui croissent de 17% sur la même période. Le résultat net pour la même période est en augmentation de 16% à 0,36€ par action. Nul doute, Dassault Systèmes se porte toujours aussi bien. Il est plus que jamais en tête du logiciel français après la vente annoncée cette semaine d'Ilog à IBM et celle de Business Objects réalisée par SAP fin 2007. Dassault Systèmes demeure le seul grand éditeur français. Il trône loin devant tous les autres avec un CA annuel de près de 1,3 Md€ en 2007. Catia reste moteur du CA logiciel L'Europe est en croissance de 12%, mais c'est l'Amérique qui présente la plus forte hausse avec 19%. Le CA du PLM monte de 17% soutenu par un Catia en hausse de 20% (CA logiciel en non-GAAP à taux de change constant). Les services reculent de 2% pour représenter 15% du CA total. « Une évolution qui reflète largement la disparition des activités d'animation de réseaux de distribution effectuées pour le compte d'IBM », comme le précise le communiqué de Dassault Systèmes. Dassault Systèmes confirme ses objectifs pour l'année La marge opérationnelle s'élève à 19,8%. Et pour le troisième trimestre, Dassault Systèmes confirme un objectif situé entre 27% et 27,5%. Pour le prochain CA trimestriel, l'objectif se trouve dans une fourchette de 305 à 315 M€ et pour le résultat net par action, de 0,41 à 0,44 €. L'objectif de croissance du CA logiciel est quant à lui confirmé entre 12% et 13%. Sauf précision contraire, tous ces chiffres s'entendent en normes US GAAP à taux de change constant. (...)
(31/07/2008 08:58:26)Semestriels : les SSII françaises supportent bien la crise
Comme l'avait prédit le Syntec Informatique, les sociétés de service n'ont finalement pas essuyé de ralentissement. La chambre syndicale des SSII et des éditeurs informatiques, avait en effet surpris en annonçant en début d'année une prévision de croissance moyenne comprise entre 5 et 6% pour la profession. Le chiffre avait intrigué compte tenu du ralentissement économique enregistré aux Etats-Unis et de son effet logiquement négatif sur les activités de services. Six mois plus tard, force est de constater que ces prévisions optimistes étaient justes. Certaines entreprises sont néanmoins bel et bien en crise, mais dans ce cas, elles le doivent à des positionnements difficiles. C'est le cas chez Osiatis avec l'infogérance (la SSII ne progresse que de 1,4% à 121,2 M€ de chiffre d'affaires sur le semestre) ou avec la gestion des infrastructures chez ESR (en recul de 2,6% à 18,9 M€). D'autres comme Arès subissent des erreurs anciennes. Sopra et Alten parmi les meilleures Outre les entreprises en difficulté, proches de la «croissance zéro», différents acteurs se situent dans la moyenne du Syntec. C'est le cas de poids lourds, comme Cap, Atos, ou encore d'Aedian (+5% à 21,1 M€ sur des activités classiques d'ingénierie et de conseil). Parmi les SSII les plus performantes, on retrouve certaines généralistes comme Sopra. Elle réalise un bond de 12,3% avec 549,6 M€ au premier semestre. Alten progresse, quant à lui, de 21% à périmètre constant avec 420,1 M€ (intégration de systèmes, infogérance, conseil et progiciels). Mais la plupart des leaders sont spécialisés. Ainsi Micropole Univers concentré sur la BI, le CRM et l'ERP bondit de 23% en croissance organique avec 46,2 M€. Solucom croit de sont côté de 14%. Sopra dénonce le tout offshore Ces entreprises « performantes » profitent d'ailleurs de leur réussite pour stigmatiser le « gros du peloton ». Sopra ose ainsi dénoncer le tout offshore même si elle compte bien 500 salariés en Inde et des unités au Maroc et en Roumanie. Son président Pierre Pasquier précise vouloir rester avant tout 'onshore' et vise une grosse acquisition en Europe. Souvent, ces sociétés du haut du pavé sont aussi plus internationales que les autres, avec plus de 20% de leur CA réalisé en dehors de l'Hexagone. Ces bons résultats semestriels d'ensemble laissent au second plan les questions de gouvernance qui ont agité le monde des services ces derniers mois. Les fonds Centaurus et Pardus promettent ainsi de laisser tranquille la direction d'Atos Origin et se bornent à réclamer l'accélération du plan de croissance. Philippe Germond, l'actuel président d'Atos Origin, ne devrait, quant à lui, pas regretter son départ d'Alcatel où il a fait figure de dauphin de Serge Tchuruk avant d'en être éjecté. La bourse ne fait que peu de cas de ces bons résultats Ces SSII cotées néanmoins ont un dernier obstacle à franchir, celui de la bourse. Malgré ses 21% de progression semestrielle, Alten n'a ainsi recueilli qu'un faible 1% de hausse de son cours de Bourse mardi 30 juillet. Une incompréhension ancienne entre le métier des SSII et le monde de la bourse que les derniers résultats n'ont pas balayée. (...)
(30/07/2008 16:03:18)Pékin filtre le Web pour les journalistes présents aux JO
A quelques jours de l'inauguration des Jeux Olympiques, les organisateurs chinois mettent en illustration le peu de cas qu'ils font du droit à l'information. Ainsi, les journalistes débarquant dans la salle de presse du Beijing International Media Center (BIMC), à Pékin, ont-il découvert qu'en dépit des promesses de conditions de travail sans entrave, la Chine bloquait l'accès à plusieurs sites Web. « J'étais au BIMC ce matin, raconte Jonathan Watts, le président du club des correspondants étrangers en Chine, et il était impossible d'accéder aux sites d'Amnesty International, de l'Observatoire des droits de l'Homme ainsi qu'à plusieurs autres. » Le journaliste poursuit en expliquant que ce contrôle d'Internet va à l'encontre de l'assurance donnée par le régime de Pékin de ne pas imposer de contrôle aux professionnels de la presse couvrant l'événement. "Ce controle d'Internet va à l'encontre des engagements du CIO" Il est aussi contraire aux engagements du Comité international olympique (CIO), qui promettait aux journalistes qu'ils pourraient exercer librement leur profession. « Comment cela pourrait être le cas alors que [nous sommes] incapables d'accéder à des sites qui critiquent les autorités ? », s'interroge Jonathan Watts. Selon notre correspondant d'IDG News Service à Pékin, la Chine aurait également bloqué l'accès aux versions chinoises des sites Voice of America et British Broadcasting Corp. Des sites interdits parce qu'ils « ne sont pas directement liés aux Jeux » La mise en place de ces blocages a été confirmée par le porte-parole du CIO, Kevan Gosper qui, s'il regrette le filtrage, le justifie en partie, arguant de ce que les sites en question « ne sont pas considérés comme directement liés aux Jeux ». L'organisation Reporters sans frontières n'a pas tardé à réagir en publiant un communiqué dans lequel elle « dénonce le cynisme des autorités chinoises qui, une fois de plus, ont menti, et l'incapacité du CIO qui, par son silence pendant plusieurs années, n'a pas su prévenir une telle situation. » (...)
(30/07/2008 12:07:20)La Nasa rassemble ses archives en ligne
La Nasa vient de lancer un site Web, mis au point conjointement avec l'organisation à but non lucratif Internet Archive, qui réunit 21 collections d'images jusqu'alors distinctes. Le nouveau portail rassemble 144 000 photographies en haute définition, documents audio et clips vidéo. La collaboration mise en place entre la Nasa et Internet Archive a pour but, justement, de donner accès au grand public et aux scientifiques aux millions d'images de l'agence spatiale américaine. Il s'agit de la première réalisation concrète découlant de ce partenariat, prévu pour durer cinq ans. Les vidéos des premières missions Apollo Parmi les documents mis en ligne, les internautes trouveront des photos et des vidéos des premières missions Apollo, des vues du système solaire prises par le télescope Hubble et une série d'archives présentant l'évolution des engins spatiaux. Le partenariat entre la Nasa et Internet Archive, signé en 2007, prévoit par ailleurs de doter le site d'outils issus de la tendance Web 2.0, comme des Wikis et des blogs. Pour l'heure, seules des métadonnées ont commencé à apparaître pour améliorer la pertinence des résultats des recherches. Sauver les images les plus anciennes Mais le gros du chantier est prévu pour l'année prochaine : les deux organismes entreprendront alors de numériser l'énorme quantité de documents stockés dans les différents centres de la Nasa. Ici, le maître-mot est la vitesse : déjà, de nombreuses pièces parmi les plus anciennes (certains documents datent de 1915) tombent en poussière. Au niveau des infrastructures, Internet Archive prend en charge la gestion et l'hébergement des documents de la Nasa. L'organisation s'appuie pour cela sur un cluster de 2000 serveurs Linux basé à San Francisco. Elle revendique d'ores et déjà un espace de stockage de 2 Po (soit 2 millions de Go). Face à l'ampleur du projet, quelques couacs se font sentir çà et là. La mise en ligne du site a ainsi été suivie par une défaillance des serveurs, entraînant un accès délicat au site. De plus, la fonctionnalité permettant de zoomer sur les images est encore en phase de débogage. La Nasa travaille à la résolution de ces problèmes, dont elle assure qu'ils ne constituent pas des obstacles appelés à perdurer. (...)
(30/07/2008 09:48:04)HP, Intel et Yahoo collaborent autour du cloud computing
HP, Intel et Yahoo lancent un projet commun de recherche et d'enseignement autour du cloud computing. Objectif : motiver le déploiement des applications hébergées sur Internet et exploitant d'importantes quantités de données ainsi que celui des infrastructures associées. Cette collaboration entre les trois géants a pour objectif de dépasser les barrières financières et logistiques qui selon eux, freinent le développement du cloud computing. Le Cloud Computing Test Bed est un effort de recherche global, multi-datacenter et open source. A part HP, Intel et Yahoo, il réunit l'Infocomm Development Authority de Singapour, l'université de l'Illinois à Urbana-Champaign (réputée pour son travail sur l'informatique distribuée et le grid computing en particulier), la NSF (National Science Foundation) et l'Institut de technologie de Karlsruhe en Allemagne. Six centres d'excellence hébergeant chacun une infrastructure de cloud Le Cloud Computing Test Bed hébergera six centres d'excellence avec chacun une infrastructure de cloud computing, principalement conçus avec du matériel HP et des processeurs Intel (entre 1000 et 4000 coeurs). Ils exploiteront le projet open source d'informatique distribuée Apache Hadoop de l'Apache Software Foundation ainsi que des logiciels également open-source et distribués, comme le langage Pig de programmation parallèlisée de Yahoo Research. Les infrastructures devraient être mises en route avant la fin de l'année pour une sélection de chercheurs répartis dans le monde entier. Les universitaires pourront les exploiter afin de jouer des scenarios de cloud computing dans les conditions du réel. Tolérance aux pannes, sécurité, infrastructures intelligentes, etc. Parmi les sujets de recherche, on trouvera la tolérance aux pannes de ces infrastructures à grande échelle, l'isolation et la sécurité des services hébergés, l'administration de machines virtuelles sous plusieurs OS, l'infrastructure intelligente, les services dynamiques de cloud computing, le développement de processeurs et de chipsets, etc. Et la propriété intellectuelle de la plupart des résultats de ces recherches sera partagée. " Le projet est une plate-forme collaborative et ouverte, confirme John Manley, directeur du laboratoire d'infrastructure automatisée des HP Labs de Bristol en Angleterre." (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |