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(18/04/2007 14:49:00)

Interview vidéo de Dominique Loiselet, Directeur Général de Websense France

Propos recueillis par Eddye DIBAR, Journaliste, www.reseaux-telecoms.net (...)

(17/04/2007 18:10:17)

VMWare lance un outil de mesure pour la virtualisation

Pour convaincre les utilisateurs du bien-fondé de la virtualisation, mieux vaut avoir un outil pour leur permettre d'en mesurer les bénéfices. En attendant que le SPEC (Standard performance evaluation corp) se décide à en établir un officiel, VMWare, principal éditeur de logiciels de virtualisation, vient d'en proposer un en version bêta. Baptisé VMmark, il servira à mesurer la performance de la virtualisation dans des scénarios de consolidation de système pour grands comptes. Selon un porte-parole de VMWare, l'outil sera principalement destiné aux revendeurs et aux très grands comptes qui veulent obtenir une estimation de différentes plateformes de virtualisation. En octobre 2006, Brian Buyn, vice-président de VMWare, lors de l'annonce de la collaboration l'éditeur avec le SPEC, expliquait pourtant que "pour l'instant, sur la base du taux d'adoption de la technologie, le test de performance n'est pas la première des préoccupations de nos clients. Le fait qu'une solution de virtualisation soit 5 ou 10% plus rapide qu'une autre n'est que secondaire par rapport aux gains apportés par les environnements virtualisés sur les environnements traditionnels". Par rapport aux plans initiaux, la bêta de VMMark a subi quelques changements. Il comprend désormais des applicatifs virtuels pour Linux basés sur ceux présents dans Novell SLES 10 VM, et son empreinte mémoire est passée de 7 Go à 5 Go pour lui permettre de tourner sur un plus grand nombre de systèmes, y compris les plus légers. (...)

(17/04/2007 17:53:39)

Dossier médical personnel : la Cnil soulève des problèmes de sécurité

A l'occasion de contrôles exercés chez les participants à la phase d'expérimentation du dossier médical personnel (DMP), la Cnil a relevé un certain nombre d'insuffisances relatives à la sécurité des données. Menés auprès des centres hospitaliers, des réseaux de santé, médecins, centres d'appel et hébergeurs, les contrôles concluent que « la courte durée d'expérimentation du DMP ne permet pas de mesurer son fonctionnement effectif et que les mesures de sécurité doivent être renforcées ». La Cnil a notamment constaté des carences dans la façon dont les identifiants et les mots de passe sont transmis par les hébergeurs ou les centres d'appel aux centres de soins et aux patients. Dans certains cas, ces échanges se font par voie électronique ne bénéficiant pas de « protection particulière ». Pire, des patients ayant oublié leur mot de passe se les ont faits communiquer par téléphone. Dans le même esprit, des centres d'appel n'ont pas mis en place des mesures d'identification-authentification des patients, en ne prévoyant notamment pas d'interrogation de ces derniers à partir de « questions défis » renseignées lors de leur inscription. La Cnil relève également qu'une de ses recommandations n'a pas été suivie. Elle concerne l'obligation de chiffrement complet des bases de données, et pas seulement des canaux de communication. Enfin, la Commission a relevé une faille de sécurité sur le site Internet d'un hébergeur. Bien que résolue, cette faille permettait l'accès au DMP par le patient via un couple identifiant/mot de passe « identiques et facilement déductibles ». (...)

(17/04/2007 17:17:38)

Annuels Tata : si loin devant les SSII européennes

Résultats exercice 2006-2007 : Chiffre d'affaires 4,3 Md$ (+41%) Bénéfice : 950 M$ (+43%) Quelques jours après la publication par Infosys de ses résultats annuels, c'est au tour de Tata Consultancy Services, un autre géant de l'offshore indien, d'annoncer ses performances pour l'exercice clos le 31 mars. Dans les deux cas, les taux de croissance tournent autour de 40%, à la fois pour les revenus et pour les bénéfices. Tata a ainsi réalisé un chiffre d'affaires de 4,3 Md$, soit 41% de plus qu'au cours de l'exercice précédent. Le bénéfice progresse de 43%, pour atteindre 950 M$. Infosys avait publié, la semaine dernière, des revenus en croissance de 44%, et des profits en hausse de 53%. Les deux acteurs ont su doper leur rythme de progression en dépit d'un contexte a priori peu favorable : le coût du travail en Inde augmente considérablement, la parité roupie/dollar ne profite pas à la monnaie indienne et l'activité ralentit aux Etats-Unis. Une gageure que rêveraient de surmonter bien des acteurs français et, dans une plus large mesure, européens. Il n'est qu'à regarder les différentiels de croissance entre les SSII du Vieux continent et les géants indiens pour mesurer le monde qui les sépare : alors que Tata ou Infosys flirtent avec les 50%, les acteurs occidentaux peinent à dépasser la barre des 10%. « Les sociétés françaises souffrent d'une taille de marché peu extensible, explique Mathieu Poujol, consultant chez Pierre Audoin Consultants (PAC). A partir d'un certain niveau, il faut racheter des parts de marché pour croître. Le potentiel de progression des SSII traditionnelles est dont limité. » A l'inverse, les acteurs indiens, Infosys, Tata et Wipro en tête, « disposent d'une double opportunité : d'un côté leur marché national est émergent, donc propice à voir se dérouler une forte croissance ; de l'autre, ils réalisent environ les deux tiers de leur activité à l'étranger, notamment en Amérique du Nord. Or, quand on met en place un business model aux Etats-Unis, on peut le déployer sur 350 millions de personnes et y ajouter 60 millions de Britanniques. Soit plus que le marché d'Europe continentale, avec une seule langue à maîtriser. » "Les SSII françaises doivent se spécialiser pour rivaliser" Avec une telle différence de progression et de taille, les SSII françaises doivent-elle considérer les acteurs du Sous-continent comme des concurrents ? « Si les petites structures ne jouent clairement pas dans la même catégorie, répond Mathieu Poujol, les grandes considèrent les Indiens comme des compétiteurs. Les problèmes les plus délicats concernent les entreprises de taille moyenne : elles doivent trouver une spécialité intéressante pour rivaliser ; en un mot, il leur faut se différencier. C'est ce qu'a su faire Sopra en misant sur l'édition de logiciels et ainsi pénétrer d'autres marchés. A l'inverse, GFI, qui est resté trop généraliste, a peiné pendant longtemps. » Au-delà du risque concurrentiel que fait peser la vitalité des spécialistes indiens de l'offshore sur les acteurs français, ces derniers pourraient pâtir « de l'énorme valorisation des Tata ou Infosys : bien que les Indiens aient peur du risque, ils ont largement de quoi se payer des spécialistes étrangers. Il y a beaucoup de sociétés intéressantes, qui font entre 500 M€ et 1 Md€ de CA en France, en Europe du Nord ou en Allemagne et on peut penser qu'il va y avoir des gros rachats. Au final, on devrait se retrouver avec trois ou quatre géants indiens. » Sur le même sujet : -Annuels Infosys : "rien ne vient contrarier la croissance", selon Ovum -Le revenu indien de l'externalisation progresse de 33% (...)

(17/04/2007 16:34:19)

Oracle lance AIA, son offre d'applications composites

Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)

(17/04/2007 15:41:12)

Ingénierie@Lyon: sous label Carnot, un potentiel de recherche et d'innovation ouvert aux PME

Parmi les treize groupements de laboratoires ayant reçu récemment le label d'Institut Carnot attribué par le ministère de la Recherche et de l'Enseignement supérieur (liste présentée le 15 mars), le pôle lyonnais constitué par l'Insa, l'école Centrale et l'université Claude Bernard (Lyon1) porte la bannière de la recherche en sciences de l'ingénierie avec un vivier de 500 chercheurs et de 500 doctorants. De la conception à l'optimisation des systèmes et des procédés, en passant par le dimensionnement, les sciences de l'ingénierie requièrent la coordination et la combinaison de compétences pluri-disciplinaires particulièrement propices à des recherches conduites en partenariat, entre le monde académique et celui des entreprises. « Il s'agit d'apporter des solutions intégrées aux questions posées par des industriels, et de leur proposer une offre d'expertise large, qui améliore leur compétitivité tout en diminuant les risques sociaux et environnementaux », expliquent les promoteurs de ce groupement baptisé Ingénierie@Lyon. Un objectif auquel la perspective d'abondement financier de l'Etat liée au label Carnot apporte ainsi une justification supplémentaire. Pour les onze laboratoires lyonnais concernés, la recherche partenariale contribue déjà à hauteur de 20% à leur budget annuel (54 M€ en consolidé). Dans la série des groupements nouvellement labellisés Carnot, figurent celui des équipes de recherche grenobloises travaillant sur la thématique « Logiciels et systèmes intelligents » (Inria, INPG, CNRS, Université Joseph Fourier, soit 162 chercheurs) pour lesquelles la recherche partenariale constitue déjà 43% du budget annuel. Et en région parisienne, le groupement C3S de l'école Centrale et de Supélec constitue un groupement de 276 chercheurs travaillant sur les technologies de l'information, de la communication, de l'énergie et des procédés. (...)

(17/04/2007 14:57:07)

Intel présente un serveur de stockage quadri-coeur

En marge de l'IDF (Intel Developer Forum), Intel vient d'annoncer à l'occasion du salon Storage Networking World, qui se tient à San Diego en Californie, le lancement du SSR212MC2. Il s'agit d'un serveur de stockage 2U, intégrant les processeurs Intel Xeon quadri-coeur de la série 5300 apparus sur le marché en novembre dernier. A l'occasion de ce lancement, les experts du Cern (Centre européen de recherche nucléaire) de Genève avaient constaté chez ce processeur un gain de performances de 83 % et un doublement de la puissance restituée par rapport au Xeon 5100 double coeur. C'est dire si son utilisation dans le domaine du stockage était attendue avec intérêt. Destiné aux marché des petites et moyennes entreprises, ce serveur rack convient aussi bien aux architectures NAS (Network Attached Storage) et SAN (Storage Area Network) qu'aux serveurs d'applications. Il vient enrichir une gamme qui compte désormais douze serveurs, dotés soit de quatre processeurs, soit de processeurs quadri-coeur. Le SSR212MC2 sera disponible en mai sur le marché américain pour le prix de 2 800 $, pour la version sans contrôleur, et 4 600 $ pour la version disposant du contrôleur RAID (Redundant Array of Inexpensive Disks) SRCSAS144e. Plusieurs éditeurs de solutions de stockage en ligne, notamment FalconStore, Wasabi Systems, Red Hat, Microsoft ou Open SuSE ont marqué leur intérêt pour la plateforme Intel. La plupart d'entre eux ont d'ailleurs collaboré activement avec Intel pour intégrer la nouvelle plate-forme à leur solution. (...)

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