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(04/10/2005 17:33:19)

Réseaux et sécurité : Cisco domine toujours les débats en EMEA

Les marchés EMEA de la sécurité et des réseaux ont connu une nette progression au deuxième trimestre 2005 : les ventes de routeurs, de switches et de solutions de sécurité affichent ainsi des taux de croissance à deux chiffres. C'est ce qui ressort d'une étude de Canalys.

Les ventes de routeurs ont atteint 680,2 M€ au cours du trimestre, soit une progression de 66,9 % par rapport à la même période de l'année précédente. Cisco se maintient largement au sommet du palmarès des vendeurs, avec 77,4 % de parts de marché et voit ses ventes progresser de 45,4 %, à 526,4 M€. Le constructeur semble avoir profité de son investissement dans le Carrier Routing System 1 dont l'adoption a dépassé les prévisions. En deuxième position, Juniper Networks affiche une impressionnante croissance de 192,9 %, lui permettant de s'accaparer 14,5 % du marché, loin devant Nortel et 3Com, respectivement troisième et quatrième avec 1,2 et 1,1 % de parts de marché.

Sur le marché des commutateurs qui progresse de 29,9 % à 1,12 Md€, Cisco truste également la première place. Les 19,9 % de croissance des ventes du fabricant le font cependant progresser moins rapidement que ses concurrents. Ainsi HP, grâce à son ProCurve Networking, voit ses revenus progresser de 32,1 % et occupe 6,7 % du marché, en deuxième position. Troisième, Nortel commence à oublier ses problèmes, et affiche une croissance de 241,4 %, à 45,3 M€. 3Com et Extreme Networks complètent le classement avec 3,4 et 2,6 % de parts de marché. Extreme Networks tend d'ailleurs à refaire le retard le séparant de 3Com. Ce dernier enregistre un recul de ses ventes de 23,4 % sur la période mais pourrait bénéficier de l'arrivée de Paul Ros à la tête de la division EMEA dans laquelle 3Com semble éprouver les pires difficultés.

Le marché de la sécurité dans la région EMEA a généré un chiffre d'affaires de 520,8 M€, soit une progression de 29,4 % par rapport au T2. Un marché lui aussi dominé par Cisco, qui s'octroie 17,5 % des ventes, mais voit ses revenus et ses parts de marché reculer de 7,3 % et 6,9 points. Pour l'analyste Rachel Power, « Cisco a été placé sous pression sur ce marché par la mise à jour de produits anciens et l'introduction de nouveautés ». Symantec conserve sa deuxième place, à 15,2 % de parts de marché. Le constructeur a vu ses ventes croître de 20,5 % sur les trois derniers mois et atteindre 79 M€. L'acquisition de Sygate Technologies devrait lui permettre de résister encore plus efficacement aux offensives de sociétés comme Internet Security Systems ou Check Point (...)

(04/10/2005 17:23:10)

Business Objects acquiert l'américain Infommersion

Business Objects vient d'annoncer un accord définitif pour l'acquisition de la société californienne Infommersion. La transaction devrait se monter à 40 M$ en numéraire. Infommersion est un éditeur de logiciels. Son principal produit - qui a rencontré les éloges de la presse américaine - se nomme Xcelcius et permet d'améliorer la visualisation et la présentation de données nécessaires à la prise de décision en créant automatiquement des visuels dynamiques, interactifs et en temps réel. Business Objects estime que l'acquisition d'Infommersion permettra à ses clients de bénéficier d'une « innovation certaine » pour la visualisation de leurs informations. L'équipe d'Infommersion, constituée de professionnels au curriculum vitae éclectique devrait intégrer les rangs de BO. Ce dernier estime que cette acquisition apportera des résultats positifs dès l'exercice 2006. (...)

(04/10/2005 17:22:17)

IBM dévoile son Power 5+

IBM a dévoilé aujourd'hui les premiers serveurs équipés du Power 5+, une déclinaison avancée de l'actuelle puce Power 5, qui équipe les serveurs Unix p Series et les iSeries.
Le Power 5+ est une réduction à 90 nm de l'actuel processeur bi-coeur Power5 qui est gravé en 130nm en utilisant un processus cuivre/SOI. Selon Big Blue, les premières déclinaisons du Power5+ sont cadencées à 1,5 et 1,9 GHz et embarquent jusqu'à 72 Mo de cache.

Selon IBM, les nouvelles puces seront utilisées dans quatre serveurs d'entrée de gamme. Le plus impressionnant est l'IBM System p5 550Q, une déclinaison de l'actuel p550 qui fait usage de modules bi-processeurs power 5+ à 1,5 GHz. Grâce à cette astuce (qui permet à IBM de parler de "Quad Core Module") et à la réduction de consommation engendrée par la réduction à 90nm du Power 5+, le p5 550Q peut embarquer jusqu'à 8 coeurs processeurs et traiter jusqu'à 16 thred en parallèle.

IBM a aussi mis à jour l'actuel p550 avec les puces Power 5+ à 1,9 GHz. Selon Big Blue, la mise à jour permet au p550 de devenir le serveur Java quadri-voies le plus rapide du marché (selon des tests SpecJBB).

En entrée de gamme, IBM propose également le p5 520, un serveur bi-voies Power 5+ et le tout nouveau p5 505 un serveur rack 1U équipé, quant à lui, de puces Power 5 à 1.5Ghz et 1.65Ghz. Etonnement, IBM positionne cette machine en concurrence directe des serveurs x86 sous linux et indique que la machine est plus rapide et moins chère qu'un serveur Opteron Sun Fire X4100.

Le p505 sera disponible dès la mi-octobre à partir de 3750$. Les autres serveurs seront aussi commercialisés à la mi-octobre, mais leur prix n'a pas été communiqué. Un p550Q configuré avec deux modules quadri-coeur devrait toutefois avoisiner les 145 000 $. (...)

(04/10/2005 17:35:52)

Et rachète Nemo Systems

Cisco vient de décider de racheter Nemo Systems pour 12,5 M$ en numéraire. Dans un communiqué, l'équipementier américain précise qu'il entend intégrer la technologie « de pointe » de Nemo, spécialiste de la mémoire pour équipements réseau, dans ses produits. Cette technologie doit notamment permettre de renforcer l'évolutivité des matériels à moindre coût.
L'acquisition est soumise à l'approbation des autorités de régulation des marchés. Elle devrait être effective fin octobre. (...)

(04/10/2005 17:30:56)

Semestriels Unilog : la France solide, l'Europe fragile

La SSII française Unilog, en voie de rapprochement avec Logica CMG , a publié des résultats conformes à ses prévisions pour le premier semestre 2005.

Le chiffre d'affaires atteint 373,8 M€, en progression de 20,1 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le résultat opérationnel croît de 29,7 %, à 29,8 M€ et le résultat net s'établit à 17,8 M€, en hausse de 28,1 %. La marge, enfin, s'élève timidement, passant de 4,5 à 4,8 %.

La SSII n'a pas détaillé la répartition de ses revenus par zones géographiques. Nul doute cependant que l'activité réalisée en France n'atteigne pas 80 % du CA total, comme au cours des périodes précédentes. Unilog a néanmoins précisé que les revenus hexagonaux ont progressé de 16 % pendant le semestre et que la marge s'est élevée légèrement, passant de 10,2 à 10,8 %. Le groupe explique cette performance par un niveau d'activité élevé et une part importante du conseil dans le chiffre d'affaires.

L'Allemagne, qui représentait 15 % du CA total en 2004, affiche une perte opérationnelle de 2,37 M€. Cette filiale connaît historiquement les plus grandes difficultés à atteindre l'équilibre, principalement en raison de la santé défaillante de la branche training : elle terminait l'année 2004 sur une perte de 3,4 M€ et clôt le S1 2005 à -2,37 M€. L'activité conseil et intégration de système réalise en revanche un résultat positif, à 941 K€.
La filiale britannique affichait également une perte à l'issue de l'exercice 2004 ; le résultat opérationnel y recule encore un peu plus, à -9,2 %.

Unilog prévoit, pour la suite de l'exercice 2005, la poursuite des tendances observées au S1. Par ailleurs, le groupe a profité de la présentation de ses résultats pour revenir sur son acquisition par Logica CMG. Ainsi, pour Gérard Philippot, le président d'Unilog, « il est essentiel de considérer que cette opération est amicale et qu'elle s'inscrit dans une logique stratégique et industrielle résolument offensive de deux Groupes qui partagent une vision européenne commune. » Soucieuse de démontrer l'union sacrée entre les deux entités, le nouvel ensemble s'est doté de l'actuel vice-président d'Unilog, Didier Herrmann, comme responsable des régions France, Allemagne et Suisse. (...)

(04/10/2005 17:26:42)

Microsoft ouvre Office 12 au PDF

Microsoft intégrera une option d'exportation ou de sauvegarde au format PDF (Portable Document Format - développé par Adobe) à Office 12, prochaine génération de son système bureautique. Chaque composant d'Office 12 (notamment Word, Excel, Access, PowerPoint) bénéficiera de cette possibilité.
Pour mémoire, le format d'enregistrement natif d'Office 12 sera le XML-maison de Microsoft, Open XML.
L'éditeur de Redmond a ainsi choisi le format PDF, car ce dernier peut être visualiser sur toute plate-forme, via le lecteur adéquate, Acrobat Reader.

Rappelons au passage que Microsoft a développé son propre format baptisé Metro, concurrent du PDF, permettant de visualiser, par exemple, un document Office sans ouvrir la très lourde suite d'applications. A condition toutefois de posséder Windows.

Les suites bureautiques OpenOffice et StarOffice intègrent déjà un onglet d'exportation vers le PDF. (...)

(04/10/2005 17:20:52)

HP rachète RLX, le pionnier des serveurs lames

Hewlett-Packard a annoncé hier le rachat du pionnier des serveurs lames, le Texan RLX. RLX s'est fait connaître en 2001 avec le lancement des premiers serveurs lames à base de puces basse consommation Transmeta. Pionnier sur le marché des serveurs lames, le constructeur a d'abord été rejoint par HP et Compaq, puis par IBM, et s'est décidé en 2002 à utiliser les puces d'Intel, en l'occurrence des Pentium III à 800MHz. Jusqu'en 2004, RLX a continué à étoffer sa gamme, mais il n'a pu soutenir la concurrence imposée par HP et IBM. En décembre 2004, le constructeur a fini par jeter l'éponge et a licencié l'essentiel de ses effectifs pour se concentrer sur son offre de logiciels d'administration de serveurs lames, ControlTower.

C'est justement ControlTower qui a intéressé HP. Le logiciel est en effet considéré comme l'un des outils les plus avancés pour la gestion de serveurs lames et des serveurs racks, et il devrait venir doper l'offre actuelle d'HP qui combine des éléments de Systems Insight Manager (SIM), de ProLiant Essentials et d'OpenView.

ControlTower a aussi l'avantage d'être développé sous Linux, un OS pour lequel HP ne dispose aujourd'hui d'aucune offre. Selon Rick Becker, le directeur général de l'activité BladeSystem d'HP, "Control Tower vient combler un trou dans l'offre d'administration d'HP en nous permettant d'offrir une solution d'administration native pour Linux. Cet ajout devrait être bienvenu ». Selon plusieurs analystes, les ventes de serveurs lames d'HP en environnement Linux seraient nettement inférieures à celles de Big Blue. Certains experts suggèrent qu'IBM aurait vendu trois fois plus de lames linux au second trimestre 2005 que son concurrent.

Dès le premier semestre 2006, ControlTower devrait être optimisé sous Linux pour la gestion des châssis et lames serveurs de la marque, mais aussi pour la gestion des serveurs Proliant. Ce travail était de toute façon déjà entamé, RLX ayant annoncé son intention d'adapter son logiciel aux principales architectures lames du marché. Sous Windows et Unix, la technologie d'administration de RLX sera intégrée avec Systems Insight Manager, ProLiant Essentials et OpenView dès le second semestre

RLX emploie 36 salariés et dispose d'environ 200 clients en portefeuille à travers le monde. Ses effectifs devraient être intégrés à la division BladeSystem d'HP. (...)

(04/10/2005 17:25:00)

HP choisit Netscape 8 pour remplacer IE dans ses PC en 2006

Une première dans le monde du PC. HP vient d'annoncer qu'il livrerait une version pré-installée du navigateur Netscape 8 -propriété d'AOL- sur ses PC de bureaux, dès 2006.
HP proposera un raccourci vers le navigateur d'AOL à partir du menu Windows « Démarrer », ou plus rapide, depuis le Bureau Windows. Mais surtout, les utilisateurs auront la possibilité de choisir Netscape, comme navigateur par défaut, lors de la configuration (premier démarrage) du PC. En remplacement d'IE.

Le constructeur explique qu'il a voulu miser sur l'ouverture du navigateur, pour « offrir un plus large choix à ses clients ». Netscape 8 s'est ainsi imposé, ce dernier intégrant un double-moteur de rendu, combinant la technologie d'Internet Explorer, au moteur Gecko, qui motorise, en plus de Netscape, Mozilla et Firefox.
Pour exploiter cette double-technologie, le navigateur détectera automatiquement le moteur à utiliser pour proposer le meilleur affichage. Et cela en se référant à une liste de sites pré-établie. L'utilisateur pourra également basculer vers un rendu « tout-IE ». «Mais deviendra alors vulnérable à tout code malicieux », indique HP.

HP confie avoir passer un accord avec AOL, sans en révéler les détails financiers.
Pour l'heure, les PC HP équipés de Netscape seront d'abord commercialisés aux Etats-Unis et au Canada. Le constructeur prévoit toutefois d'en étendre la distribution vers d'autres pays. (...)

(04/10/2005 17:36:55)

Google et Sun : un partenariat en prévision

Tout à sa croissance indéfinie, Google, qui vient de se muer en FAI Wifi gratuit pour la ville de San Francisco, annonce être en discussion avec Sun en vue d'une future collaboration. Et de relancer dans la foulée de nombreuses spéculations quant à l'avenir stratégique de la société.

Pour l'heure, les deux PDG Eric Schmidt (Google) et Scott McNealy (Sun) se refusent à tout commentaire.
Pour certains, Microsoft serait le premier visé : Google et Sun prépareraient une solution desktop orientée Web concurrençant Office. Il est vrai que Google, notamment avec Picasa (gestion de photo), Gmail (Webmail) et Google Talk (messagerie instantanée), est entré sur ce marché très convoité, également visé par l'éditeur de Windows. Dans cette perspective, Sun pourrait alors alimenter Google de son savoir-faire java, tant en terme de bureautique avec StarOffice (ou même OpenOffice), qu'en terme de desktop avec Java Desktop System, voire même d'OS.
D'autant plus que Jonathan Schwartz, président de Sun, écrit dans un billet (*) du 1er octobre publié sur son blog : "les applications desktop prennent de nouveau de la valeur, et pas seulement à travers Vista. Mais à travers les logiciels de services connectés. Du plus évident [NDLR le navigateur Firefox], au client pour partager sa musique, jusqu'aux outils de développement [NDLR NetBeans], il existe un regain d'intérêt dans les logiciels desktop connectés à un réseau de services. Sans navigateur. Comme Skype. Ou Qnext. Ou Google Earth. Et Java ? OpenOffice et StarOffice ?".

Autre hypothèse : il pourrait "tout simplement" s'agir d'un partenariat commercial. Google pourrait alors équiper son impressionnant réseau d'infrastructure de serveurs achetés à Sun.
(*) The Value in Volume (...)

(04/10/2005 17:27:55)

Reprise des dépenses pour les DSI américains

Les prévisions de dépenses IT étaient en augmentation au mois de septembre selon le sondage mensuel du magazine américain CIO.

Les DSI interrogés par le journal prévoient ainsi que leurs budgets devraient croître de 9,3 % l'année prochaine. Un chiffre supérieur à leur précédente estimation : les responsables IT tablaient, en août, sur une croissance de 7,1 %. « C'es la meilleure prévision à trois mois pour un début d'année que nous constatons en quatre ans, précise Gary Beach, éditeur chez CXO Media. C'est encourageant et ça correspond avec ce que j'entends quand je discute avec des DSI : les investissements en infrastructure, qui n'étaient pas une priorité au cours des années précédentes en raison de leur coût et des budgets limités, augmentent désormais de mois en mois ».

Selon Gary Beach, c'est la première fois depuis longtemps que les prévisions de dépenses progressent à la fois pour l'infrastructure et pour les logiciels. Dans le domaine du matériel informatique, de l'équipement télécom, des systèmes de stockage et de l'externalisation IT, les prévisions augmentent même d'un mois à l'autre.

Si ces futures dépenses sont encourageantes, Beach indique qu'il reste préoccupé par les futurs problèmes de recrutement que pourrait rencontrer le secteur IT. « 20 % des DSI affirment qu'il est difficile de trouver de la main d'oeuvre IT et de la garder. Cette tendance va perdurer au fur et à mesure que les bénéfices des entreprises augmenteront et que ces dernières voudront se tourner à nouveau vers le IT pour changer leur modèle économique. La question est alors : la main d'oeuvre disponible sera-t-elle suffisante pour créer les équipes censées gérer la sécurité ou les réseaux, tous ces postes qui ne seront jamais externalisés ? » (...)

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