Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 26601 à 26610.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/10/2005 18:04:22)

Nortel se restructure à nouveau

Nortel vient de revoir une nouvelle fois son organisation interne. La structure de l'équipementier canadien s'articule désormais autour de deux divisions produits - « Solutions d'entreprise et réseaux de paquets » et « Mobilité et coeur de réseau convergent » - et quatre divisions régionales chargées de la commercialisation et du support pour l'ensemble des produits de Nortel. Les présidents des deux divisions produits, Steve Lattery pour la première et Richard Lowe pour la seconde, ont été à la tête des activités de Nortel pour les réseaux sans fil d'opérateurs, par le passé. Malcolm Collins, qui dirigeait l'activité entreprise de Nortel depuis 2003, est sur le départ.
Selon Bill Owens, PDG de Nortel, cette nouvelle organisation doit permettre de répondre aux attentes des entreprises et opérateurs qui souhaitent des plates-formes convergentes de niveau opérateur.
La dernière réorganisation de Nortel remonte à un peu plus d'un an. L'équipementier avait alors fusionné ses quatre divisions produits - sans fil, filaire, optique et entreprise - en deux unités : entreprise et opérateur. (...)

(03/10/2005 17:46:02)

Télécom : l'Europe pourrait connaître un vaste mouvement de consolidation

: Selon le Wall Street Journal, Telefonica aurait entamé des discussions pour racheter l'opérateur historique néerlandais KPN. L'opérateur espagnol proposerait près de 20 Md€ pour son homologue. Après les années folles d'acquisition et de fusion de la fin des années 90, le secteur des télécoms s'est fait beaucoup plus discret, nombre d'acteurs s'étant lourdement endetté ou ayant subi de plein fouet l'éclatement de la bulle internet. Au cours des deux dernières années, les mouvements de rapprochement ont repris mais souvent à une échelle nationale ou régionale (par exemple dans les pays nordiques).

Récemment pourtant les opérations de fusions/acquisitions sont reparties de plus belle, menées par les grands opérateurs historiques du continent. L'italien Enel a ainsi cédé Wind, tandis que France Télécom mettait la main sur Amena. Dans le même temps, des rumeurs ont fait état d'une possible OPA conjointe de KPN et Deutsche Telekom sur O2, l'ex-filiale mobile de British Telecom. L'opération, jugée trop chère, n'a finalement pas eu lieu. Ce qui n'empêche pas aujourd'hui les mêmes rumeurs de prêter à Deutsche Telekom l'intention de prendre d'assaut O2 en solitaire, quitte à vendre par appartement les divisions qu'ils ne pourrait conserver pour des raisons de concurrence.

Deux grandes tendances semblent guider le marché. Tout d'abord nombre d'opérateurs souhaitent disposer d'une stratégie de convergence fixe/mobile/internet dans les pays où ils sont présent (c'est le cas de Deutsche Telekom ou de France Télécom). D'autres, confrontés à la saturaiton de leur marché local, souhaite se développer à l'étranger dans des activités qu'ils connaissent déjà, ce qui est le cas par exemple de Telecom Italia avec l'achat de Tiscali en France, et pour le cas présent de Telefonica avec KPN.

Ironiquement, les deux sociétés se connaissent bien. Les deux sociétés avaient déjà failli fusionner en 2000 avant que Telefonica ne se retire en dernière minute. Telefonica lorgne désormais sur les quelque 24 millions d'abonnés mobiles européens de KPN qui lui permettrait de s'implanter dans des pays ou il est aujourd'hui absent (Allemagne, Belgique, Hollande). (...)

(03/10/2005 17:50:54)

Yahoo se lance à son tour dans la numérisation d'oeuvres

Yahoo n'entend pas laisser à son concurrent Google le monopole des nouveautés. Ainsi, le moteur de recherche a annoncé la mise en place de l'Open Content Alliance (OAC), un projet proche de Google Print qui avait déclenché un contre-projet européen mené par Jean-Noël Jeanneney. Tout comme son homologue, Yahoo entend en effet offrir aux internautes l'accès à des millions de livres numérisés en partenariat avec Internet Archive, les Universités de Toronto et de Californie, les archives nationales du Royaume-Uni, le groupe de presse O'Reilly, les archives Prelinger etc.

Le projet de Yahoo diffère cependant de celui de Google par deux aspects fondamentaux. Le premier porte sur la nature des oeuvres numérisées. Là où Google n'envisage de proposer que l'accès à des livres, Yahoo va plus loin en incluant dans les rayonnages de sa médiathèque des vidéos et de l'audio. Une sorte de prolongement des services Yahoo Video/Audio Search. Une telle diversité évoque une référence prestigieuse à Brewster Kahle, fondateur d'Internet Archive : « la bibliothèque d'Alexandrie, l'accès universel à la connaissance. C'est maintenant techniquement réalisable ».

L'autre point de divergence entre les projets des deux principaux moteurs de recherche tient à la nature juridique des médias mis au catalogue. Google a suscité l'ire des auteurs américains en choisissant de numériser indifféremment les contenus soumis au copyright et ceux qui ne le sont pas, en se basant sur le principe de l'opt-out (l'accord du détenteur des droits est présumé). La réaction des auteurs a été immédiate : l'Author's Guild, qui regroupe environ 8000 auteurs américains, a poursuivi Google pour violation du droit d'auteur. Yahoo devrait éviter ce genre de difficulté en adoptant une démarche différente. Si la plupart des supports numérisés sera en effet constituée d'oeuvres soumises au copyright, ces dernières n'intègreront le catalogue qu'à partir d'une démarche volontaire de leur auteur. L'OAC se concentrera en outre sur l'ensemble des ouvrages tombés dans le domaine public. Ils représenteraient environ 15 % du contenu des bibliothèques universitaires américaines.

A la différence de Google Print, uniquement accessible à partir du moteur de recherche éponyme, le projet de Yahoo ne sera pas réservé à un seul site mais apparaîtra dans les résultats de tous les outils de recherche...Google y compris. (...)

(03/10/2005 18:02:44)

Sortie de NetBeans 5.0 Béta : Sun veut concurrencer Eclipse

La communauté open source NetBeans.org, animée par le géant Sun, livre une version béta de son prochain EDI (Environnement de Développement Intégré) java open source, NetBeans IDE 5.0. Objectif du constructeur : positionner NetBeans 5.0 en frontal à Eclipse, l'EDI open source d'IBM très populaire chez les éditeurs.

Pour cela, Sun mise avant tout sur l'ergonomie et la facilité de manipulation de l'outil. La version béta de NetBeans intègre ainsi la première version de Matisse, concepteur visuel d'interface utilisateur. Matisse automatise la création de formulaires Swing -généralement difficiles à manipuler-, via notamment des fonctionnalités de « cliqué-déposé ». Autre possibilité : l'alignement automatique des composants, et leur ajustement lors d'un redimensionnement du formulaire.

NetBeans IDE 5.0 supportera les serveurs d'application JBoss et WebLogic 9.0 (BEA). Mais pas WebSphere d'IBM, Sun prévoyant de l'intégrer plus tard, sans toutefois mentionner de date. En outre, Sun a amélioré l'intégration avec JavaServer Faces et le framework Struts.

Côté feuille de route, une version « Release Candidate » est prévue dès novembre 2005, avant la sortie de la version finale en décembre 2005. (...)

(03/10/2005 17:57:17)

Google teste le Wi-Fi gratuit à San Franscico

Google a répondu à la demande du maire de San Francisco, Gavin Newsom, et a proposé de financer la construction d'un réseau Wi-Fi public gratuit couvrant l'intégralité de San Francisco. Google rejoint ainsi une douzaine d'autres acteurs de l'Internet ou des Télécoms comme SBC.
Gratuit le réseau pourrait toutefois rapporter au moteur de recherche en permettant d'afficher des publicités encore plus ciblées, mais aussi en apportant encore un peu plus de trafic sur le moteur de recherche lui-même et les services liés.

Depuis plusieurs semaines, des rumeurs font état de la construction par Google d'un gigantesque réseau privé haut débit international en fibre optique et de la volonté de la société de se lancer dans l'accès. Il faut dire que la société à récemment annoncé le lancement de son service de chat, mis à disposition des internautes un client d'accès Wi-Fi sécurisé, embauché Vinton Cerf, l'un des inventeurs de TCP/IP et pris des parts dans Current Communications Group un fournisseur de services Internet sur courants porteurs. Elle dispose en outre de 7,1 Md$ de trésorerie en banque, de quoi bâtir une infrastructure digne des plus grands réseaux télécoms, mais aussi de quoi faire peur aux opérateurs en place. On imagine, en effet, l'impact désastreux de la gratuité de l'accès Wi-Fi sur le chiffre d'affaires haut débit pour les FAI californiens... (...)

(03/10/2005 18:00:44)

SAP veut renforcer la gestion de la chaîne logistique dans son ERP

SAP prévoit de renforcer sensiblement les capacités de gestion de la chaîne logistique de son progiciel de gestion intégrée SAP 2005 à l'occasion de sa mouture, la version 5.0. En effet, l'éditeur allemand devrait livrer SAP 2005 v5.0 avec trois nouvelles fonctions de gestion de la chaîne logistique développées en partenariat avec Bristlecone. Un nouveau module pour l'Extended Warehouse Management Capability devrait accélérer le transit des produits à travers un entrepot ou un centre de distribution. Un nouveau module pour les outils analytiques dédiés à l'industrie des pièces détachées devrait permettre d'optimiser les plannings et la gestion des mouvements d'inventaire. Enfin, un nouveau module analytique devrait permettre aux utilisateurs de systèmes de planification de disposer des données d'inventaire nécessaires à l'ajustement en temps réel des variables de fourniture/commande ainsi que des données nécessaires à la prise de décision sur la gestion des stocks.
Parallèlement, SAP Ventures, le bras d'investissement de SAP, vient d'investir 850 000 $ dans Socialtext, un éditeur spécialisé dans les outils de publication de wikis et autres blogs. SAP Ventures n'a pas commenté cette opération. Pour Socialtext, c'est en tout cas une bonne nouvelle qui renforce la légitimité des Wiki en entreprise (...)

(03/10/2005 17:55:26)

Grid : IBM licencie les solutions open source d'Univa (Globus Alliance)

IBM (*) s'apprête à distribuer les outils open source de Grid Computing de la société Univa. Selon Big Blue, les applications de la société seront également déployés en interne, pour soutenir les projets de « grille».

Univa est la branche « commerciale » de Globus Alliance (ex- Globus Toolkit), chargé de commercialiser les implémentations des outils Globus, ainsi que des services associés. La société travaille actuellement au lancement commercial de sa première solution, Univa Globus Enterprise (prévu fin 2005).

IBM utilise déjà sa propre implémentation de Globus Toolkit, dans leur version 3.0. Ces développements migreront vers les solutions Univa -qui repose sur la version 4.0 de Globus Toolkit-, dès la sortie de Univa Globus Enterprise.

IBM s'est récemment associé à HP, Sun et Intel, pour former Globus Consortium.


(*) A l'occasion de GridWorld (*), du 3 au 6 octobre 2005, à Boston (...)

(03/10/2005 17:54:13)

L' UE veut reprendre le contrôle de l'Internet

Les tensions entre américains et l'Union Européenne pour la gouvernance de l'Internet viennent à nouveau de monter d'un cran lors de réunions préparatoires (PrepCom-3 à Genève) du WSIS (World Summit on the Information Society) de Tunis en novembre 2005.
L'UE, épaulée notamment par le Brésil, appelle à la création d'un nouveau mode de gouvernance de l'Internet, reposant sur « un modèle de coopération internationale ». L'objectif ? Contrecarrer l'hégémonie des Etats-Unis et de l'Icann, jusqu'alors seuls maîtres de la gestion des suffixes régionaux (DNS) et des 13 serveurs racines.

Parmi les autres souhaits de l'UE, notons la mise en place d'un groupe intergouvernemental contrôlé par l'ONU.
Réaction sans consensus dans le camps américain : Les Etats-Unis n'ont pas l'intention d'entreprendre quelque action que ce soit, qui « impacterait négativement sur la sécurité et la stabilité » des DNS. Et réaffirme « son rôle historique » dans la gestion des serveurs racines.

Si d'ici Vendredi, jour de clôture du PrepCom-3, aucun accord n'était trouvé, de nouveaux pour-parler seront à considérer. Avant le WSIS à Tunis. (...)

(03/10/2005 18:09:59)

Intel dévoilera son Xeon bi-coeur le 10 octobre

Intel annoncera officiellement ses premiers processeurs Xeon bi coeur pour serveurs et stations de travail le 10 octobre prochain avec près de 4 à 6 mois sur ses plans originels. Le même jour HP dévoilera les versions bi-coeur de ses serveurs Xeon Proliant.

En l'absence de produits, Intel et ses partenaires ont occupé le terrain en multipliant les annonces autour de l'arrivée prochaine de PaxVille DP, la première puce Xeon bi-coeur. Lors de sa conférence Intel Developer Forum du mois d'août, le constructeur a à plusieurs reprises mis l'accent sur le bi-coeur. Le mois dernier, Dell a été un peu plus loin en annonçant la disponibilité (en pré-commande) de serveurs bi-coeurs Xeon. IBM a lui aussi annoncé de nouveaux serveurs bi-coeurs Xeon, tout en précisant que dans un premier temps seules les versions mono-coeurs seraient disponibles.

En principe ce jeu d'annonce devrait cesser le 10 octobre avec l'arrivée des puces Xeon "Paxville" sur le marché. Ce lancement ne sera toutefois pas sans questions. A l'origine, Intel n'avait en effet pas prévu de déclinaison de Paxville pour les serveurs bi-processeur. La puce Paxville devait en principe être une puce Xeon MP, la ligne réservée aux serveurs quadri-processeur et plus.

Mais sous la pression d'AMD, Intel a décidé de faire un accroc à ses plans. Résultat, Paxville DP sera lancé en gravure 90nm, alors que Dempsey, le nom de code originel du Xeon DP bi-coeur arrivera au premier trimestre en gravure 65nm.

Du fait de son architecture, Paxville devrait être plus gourmand en énergie que l'Opteron et il pourrait aussi souffrir des comparaisons de performances. Comme les Xeon actuels la puce devrait en effet être limitée par son contrôleur mémoire externe et par son bus système partagé. Les premiers benchmarks devraient permettre rapidement de savoir qui de l'Opteron ou du Xeon esst le meilleur processeur serveur. (...)

(03/10/2005 17:49:24)

Symantec s'offre BindView Developement

Symantec, l'éditeur spécialisé en sécurité, vient d'annoncer le rachat de l'Américain BindView Developement pour 209 M$ en numéraire.

Les deux éditeurs réalisent des solutions censées aider les entreprises et les institutions à se conformer aux exigences réglementaires comme Sarbanes-Oxley et FISMA aux Etats-Unis, ou Basel II en Europe. Les approches différentes des deux entreprises s'annoncent complémentaires, Symantec s'adressant à des environnements IT hétérogènes et complexes alors que BindView vise davantage les entreprises comptant plusieurs systèmes identiques répartis en différents sites.

Le mois dernier, Symantec avait annoncé un autre rachat dans la sécurité. La cible était WholeSecurity, qui développe des outils antivirus basés sur une analyse comportementale. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >