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(02/12/2011 10:50:11)

CIO.PDF 45 : Le décisionnel 2.0 sous la contrainte de la qualité des données

Réseaux sociaux, tablettes tactiles, Cloud Computing et mobilité sont les quatre sésames des systèmes d'information en 2011. Les managers informatiques sont sous pression pour intégrer ces évolutions au coeur de leurs applications les plus anciennes. En voici des exemples clés dans ce numéro 45 de CIO.pdf.

Ainsi, le décisionnel 2.0 se heurte aux difficultés et au coût de garantir la qualité des données à exploiter. Même si les volumes de données montent en flèche avec l'arrivée des médias sociaux. Des règles et des outils spécifiques doivent donc être mis en place.

Dans ce contexte, l'intégration du DSI aux autres directions, le dialogue avec les CxO et les directions générales, sont vitaux. Nos confrères américains reviennent sur le comment d'une telle nécessité en se basant sur l'histoire du DSI de Toyota Motor Sales alors même qu'une crise majeure frappait l'entreprise.

Le dialogue CxO/CIO peut notamment viser à l'innovation. CIO.PDF 45 revient ainsi sur l'exemple de Carrefour.

Téléchargez ici CIO.PDF 45

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(02/12/2011 10:00:15)

Revevol, spécialiste des Google Apps, étoffe son réseau de partenaires et de compétences

Revevol poursuit son développement, toujours autour des deux axes initiaux de développement : consolider la couverture géographique et augmenter le nombre de produits distribués. « Le développement international est au centre de notre développement, nous voulons couvrir tous les pays du G20 » souligne Laurent Gasser, son CEO.

Certains partenaires deviennent des pôles de compétences transnationaux, celui de Milan devenant le spécialiste BPM, en France une compétence CRM se développe à Strasbourg. Chaque entité du groupe dans le monde pourra s'appuyer sur leurs développements. Revevol se veut le 1er network et plus seulement  le 1er intégrateur  Google Apps au monde. Le groupe travaille également sur des développements verticaux, par métiers.

En région, où Revevol cherche également à s'implanter avec des partenaires intégrateurs, il  a 7 partenaires sur Lyon, Marseille, Lille, Nantes, Strasbourg.

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(01/12/2011 16:31:44)

Oracle fait coexister Fusion Applications avec l'existant

Quelques semaines après l'ouverture de son cloud public annoncé sur OpenWorld 2011, Oracle a dépêché à Paris son vice-président Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe. Sa mission : présenter l'offre Fusion Applications aux clients français. Annoncée en disponibilité générale sur OpenWorld 2011, cette offre modulaire résulte de six années de réécriture et rassemble une centaine de modules qui peuvent être installés sur site, en cloud privé ou s'utiliser dans un cloud public. Les modules de gestion de la relation client (Fusion CRM) et de gestion des ressources humaines (Fusion HCM) sont disponibles sur le cloud public d'Oracle.

Ce matin, Chris Leone a rappelé la complémentarité de Fusion Applications avec les solutions d'Oracle que les entreprises ont déjà installées, notamment ses ERP (E-Business Suite, JD Edwards et PeopleSoft), mais aussi le CRM Siebel. Sur ce point, Chris Leone a été très clair. Fusion Applications ne vient pas déloger l'existant. « Nous continuons à investir dans toutes nos suites applicatives et à les faire évoluer. Continuez à les mettre à jour. Regardez ensuite dans notre offre middleware s'il n'y aurait pas une ou plusieurs briques qui pourraient vous intéresser et envisagez des opportunités de coexistence avec Fusion Applications. »

Lui-même a présenté plusieurs scénarios de coexistence, en insistant sur Fusion CRM et sur les modules de gestion des talents utilisés en mode SaaS (software as a service). Il a également évoqué l'intégration de Fusion Applications avec les solutions de gestion non Oracle, notamment via un module intermédiaire (Accounting hub). Sans oublier la dimension mobile et l'utilisation des logiciels sur tablettes.

Chris Leone a rappelé que les outils entourant Fusion Applications permettaient de configurer différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. Il a également souligné la mise à disposition de modèles de processus métiers et d'une série d'outils pour personnaliser les applications à différents niveaux (données, processus, reporting, pages). 

Réseau social et BI au sein des processus métiers

A l'heure de Facebook et Chatter, Oracle n'a pas oublié d'insérer la dimension « réseau social » dans Fusion Applications. « Nous savions dès le début qu'il nous faudrait le faire », a affirmé ce matin Chris Leone. « Je peux créer des groupes et des équipes de personnes qui interagissent, avec des flux d'activité mis à jour en temps réel. Ce que nous avons voulu faire, c'est intégrer les fonctionnalités de réseau social dans les processus métiers ». De la même façon, Oracle a intégré la Business Intelligence au sein de Fusion Application, sous différentes formes : tableaux de bord, BI mobile, support à la décision, optimisation en temps réel. Dans ce domaine, Chris Leone a expliqué comment Oracle avait répliqué, dans l'offre gestion des talents, certaines fonctions BI qui avaient montré leur efficacité dans le CRM. En l'occurrence, afin de repérer les collaborateurs qui risquaient de quitter l'entreprise, l'éditeur applique aux données RH des modèles utilisés pour lutter contre l'attrition des clients. 

Le vice-président d'Oracle explique que de nombreux entreprises s'intéressent à des déploiements hybrides combinant des applications existantes installées sur site et en cloud privé, tandis que d'autres seront exploitées en cloud public. Il cite plusieurs clients (Principal Financial Group, Green Mountain Coffee, Alcoa), déjà présentés sur OpenWorld 2011, représentatifs des multiples possibilités de déploiement. Au passage, Chris Leone souligne que l'outil de réseau social d'Oracle est proposé en mode SaaS, comme un produit indépendant, et qu'il peut aussi être installé par les entreprises à l'intérieur de leur pare-feu.

Illustration : Chris Leone, VP d'Oracle, responsable de la stratégie pour les applications, sur OpenWorld 2011 (Photo Courtesy of Hartmann Studios)

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(01/12/2011 14:53:44)

Avec Radian6, Salesforce.com lance un cloud marketing siphonnant les médias sociaux

Salesforce.com a déployé son offre cloud exploitant les médias sociaux, Radian6 Social Marketing Cloud, une série de services qui s'appuie sur son logiciel CRM de gestion de la relation client. L'offre s'articule autour de technologies acquises cette année par Salesforce.com avec le rachat de Radian6. Celles-ci permettent aux entreprises de suivre ce que les consommateurs pensent de leurs marques et de leurs produits sur les réseaux sociaux. Selon le communiqué publié par Salesforce.com, la plateforme Radian6 est capable d'extraire les données sociales de 150 millions de sources différentes, et ce dans 17 langues, y compris le Polonais et le Turc.

L'autre aspect du service cloud de marketing social est représenté par Social Insights, qui fournit des tableaux de bord de filtrage et d'analyse « intelligents » afin de transformer de grands volumes de données personnelles et professionnelles en informations plus pertinentes et plus lisibles pour les entreprises. Ceux-ci permettent également aux clients de segmenter les données en fonction de différents critères, comme la localisation, la population et même le « sentiment ». Dans ce cas, l'outil d'analyse prendrait en compte le ton ou les remarques exprimées par l'utilisateur. Par ailleurs, le logiciel permet aux entreprises de cibler les personnes qui semblent bien placées pour parler de leur marque, en évaluant des facteurs comme leur nombre d'adeptes sur Twitter et leurs connexions. Selon le communiqué, pour Social Insights, Salesforce.com s'est associé avec un certain nombre de fournisseurs, notamment Klout, OpenCalais et OpenAmplify.

Un convoyeur de leads pour les entreprises

Mais Radian6 Social Hub est peut-être l'élément le plus significatif de ce cloud de marketing relationnel. Il fonctionne comme une sorte de moteur qui crée des règles pour orienter l'information des sites de réseaux sociaux vers les marques ou les services d'une entreprise. Par exemple, une personne posant une question sur une société de transport aérien sur Twitter pourrait être orientée vers le département marketing de l'entreprise, lequel pourrait ensuite lui faire une offre de billet à prix réduit.

Salesforce.com est aussi en train d'abriter son service de construction de site Siteforce sous le cloud de marketing relationnel. Siteforce utilise un système de création par glisser-déposer que les départements marketing peuvent utiliser pour créer des sites avec des fonctions sociales sans l'aide du service informatique, selon Salesforce.com. Essentiellement, ces services étendent considérablement la présence de Salesforce.com dans le logiciel orienté marketing, et élargit sa stratégie globale pour ses produits d'« entreprise sociale ». Jusqu'à présent, Salesforce.com avait un partenariat avec des fournisseurs comme Marketo et Silverpop, qui vendent des campagnes marketing utilisant le mailing automatique et autres services de génération de leads pour identifier des pistes potentielles de produits ou de services. Ce type de sociétés et ce genre de méthodes « ne sont pas prêts de disparaître de sitôt, » a déclaré Rob Begg, vice-président marketing pour Radian6. Cependant, « elles vont orienter de plus en plus d'actions vers le réseau social. Elles vont devenir de plus en plus pointues en terme de campagnes marketing par mail et autres choses. »

Une offre toujours modulaire

Les éléments du cloud de marketing relationnel sont vendus séparément. Aux États-Unis, l'abonnement aux tableaux de bord de Radian6 démarre à 600 dollars par mois. Pour l'instant, l'accès au Social Hub est limité et la disponibilité générale est prévue pour l'année prochaine. Son prix : 1 200 dollars par déploiement et par mois, selon les indications de Salesforce.com. Le service Social Insights sera ouvert à tous à partir du mois de décembre. Le prix des applications partenaires commence à 60 dollars par mois. L'API Social Insights est disponible dès maintenant à un prix démarrant à 5 000 dollars par déploiement et par an.

Enfin, Siteforce est désormais disponible. Un kit de démarrage est proposé jusqu'à la fin du mois de décembre pour 9 900 dollars pour l'année. Hier, Salesforce.com a également lancé une version mobile de sa place de marché d'applications d'entreprises AppExchange. L'application mobile était déjà disponible via AppExchange, mais les utilisateurs mobiles qui se rendront désormais sur le site pourront également profiter d'une « expérience adaptée à leur appareil et à leur système d'exploitation, » a indiqué l'entreprise. Quelque 40 applications sont maintenant disponibles sur AppExchange Mobile. Salesforce.com doit aborder tous les aspects de ces services plus en détail lors de l'événement Cloudforce qui a débuté hier à New York.

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(01/12/2011 10:47:51)

La solution de contrat de leasing du Syntec Numérique fête ses 1 an

Un an après avoir été mise en place par la société ASF Consulting pour le compte des adhérents du Syntec Numérique, la solution de contrat de leasing en marque blanche du syndicat professionnel rencontre un certain succès. « A ce jour, nous avons traité pour 22 Md€ de demandes de refinancement de contrats. Nous fournissons en général une réponse dans les 24 heures qui s'avère positive dans plus de 80% des cas», indique Frédéric Astié, le président d'ASF Consulting.

A la différence des solutions de leasing les plus connues, celle proposée par le Syntec Numérique et ASF Consulting ne consiste pas à propose aux adhérents de faire signer leur client avec une société de financement tierce mais directement avec eux. « De cette façon, la marge qui est habituellement récupérée par une société de financement sur une affaire vient s'ajouter à celle de l'éditeur ou de la SSII », explique Frédéric Astié. Celui-ci estime en outre qu'en gardant la main sur la relation contractuelle avec son client, un membre du Syntec se prémunit de tout risque de voir celui-ci être démarché par une société de financement désireuse de soutenir l'achat d'autres équipements par une entreprise. « Cela n'est pas systématique mais ça existe », constate Frédéric Astié.

Comme tous les contrats de location évolutive, ceux que font signer les adhérents du Syntec Numérique par le biais de la solution créée par ASF Consulting doivent être refinancés. Là encore, c'est le rôle d'ASF Consulting d'identifier un partenaire enclin à racheter un contrat. Pour maximiser les chances d'obtenir des réponses positives, le partenaire du Syntec Numérique a constitué un pool de plusieurs refinanceurs. Parmi eux, GE Capital s'avère être un partenaire de premier plan. « C'est la société avec laquelle nous traitons le plus grand volume d'affaires car elle est capable de traiter des contrats allant de seulement 5 K€ jusqu'à 600 K€ et plus », détaille Frédéric Astier.

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(01/12/2011 10:38:06)

Annuels Sage : la croissance organique atteint 4%

Les résultats financiers de Sage sont confortables, pour un exercice achevé fin septembre, donc avant la période actuelle marquée par l'incertitude et l'appréhension d'une crise plus profonde. Sage affiche un chiffre d'affaires de 1,5 milliard d'euros en croissance organique de 4%, le chiffre d'affaires France progresse de 5%, toujours en organique. L'Ebita est de 420 millions d'euros en croissance de 8%. Dans les 4% de croissance globale, Sage souligne la progression des services, +3%, et celle des revenus d'abonnement : +5%.

Au cours de l'année écoulée, la société a pris plusieurs décisions : la cession de l'activité santé, la mise en place de nouvelles structures de gestion, mais le groupe veut aussi adopter des mesures de fond. Il veut élargir sa gamme de produits et de services, se concentrer sur celles offrant le meilleur potentiel de développement, accélérer le développement des offres en ligne, engager plus de travail en commun entre les différentes filiales.

4 priorités pour Sage

Nommé il y a dix huit mois CEO monde, Guy Berruyer a dégagé quatre priorités : l'amélioration de la croissance organique, la conduite des marges à moyen terme, le web, la reprise des acquisitions.

Pour la croissance organique, il se montre concentré sur le marché des PME, et avance un fort  taux de renouvellement de contrat de 81%. L'objectif de marge est atteint avec l'abandon des activités santé. L'entreprise est désormais organisée en trois régions: Europe, Amérique du Nord et AAMEA (Afrique, Australie, Moyen-Orient et en Asie). Cette nouvelle structure est conçue pour conduire une plus grande synergie, comme ce fut le cas avec l'adoption d'une plateforme technologique commune au sein du Groupe pour les solutions destinées aux petites entreprises.

Lancement de Sage One

Sage veut également innover, l'éditeur mise par exemple sur une nouvelle solution combinant cartes de crédit et comptabilité, les clients peuvent ainsi payer et éviter la ressaisie des données, le contrôle de leurs paiements est plus efficace et ils accélèrent leurs rentrées. L'éditeur a aussi développé de nouvelles solutions en SaaS, en particulier avec le lancement au Royaume-Uni, en janvier 2011, de Sage One qui a plus de 1 000 clients payants. Un groupe de travail basé sur Sage One élabore une plate-forme technologique, pour d'autres petites solutions en ligne. L'objectif est de lancer un produit complet de comptabilité pour de petites entreprises en ligne en Amérique du Nord, le marché le plus important.

Dans le mid-market, le développement des versions cloud se poursuit, avec plusieurs lancements dans les 12 prochains mois. Plus de 20 services connectés ont été lancés cette année. 

En matière de croissance externe, Sage n'a pas fait de grandes acquisitions depuis 2006, cette stratégie est remise sur la table, avec beaucoup de dossiers examinés, une réalisation : Alchemex, en Afrique du Sud spécialiste de la BI pour les PME.

« Lorsque je suis intervenu en tant que CEO de Sage en Octobre 2010, analyse Guy Berruyer, j'ai hérité d'une entreprise avec des fondations extrêmement solides : des positions de leader du marché, des salariés engagés, une culture d'innovation, et une forte génération de trésorerie. Cependant, nous avions aussi atteint un point dans notre évolution où nous avions besoin de repositionner l'entreprise pour engager une croissance plus élevée en concentrant nos ressources sur des domaines présentants le meilleur potentiel, en augmentant encore notre base de clientèle, en accélérant le développement de notre offre en ligne et en collaborant plus au sein de Sage pour relever les défis communs de nos entreprises. Atteindre tous ces objectifs prendra plus d'un an, mais je suis très heureux avec les mesures concrètes que nous avons déjà prises.

Il y a clairement des préoccupations macro-économiques qui peuvent influer sur les PME, en particulier dans la zone euro, et nos clients nous disent à travers notre Sage Business Index qu'ils voient que les perspectives restent incertaines. Cependant, avec notre position nous sommes à même d'absorber les hauts et les bas du cycle économique. Nous allons continuer à gérer l'entreprise avec prudence, tout en poursuivant les opportunités significatives à long terme que nous avons dans nos marchés. »
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(01/12/2011 10:29:29)

Virtualisation des applications au CHU de Rouen

Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen dispose de 2 500 lits répartis sur 5 sites et traite ainsi 510 000 journées d'hospitalisation et 122 000 passages aux urgences par an. Ses 9 000 employés (dont 855 médecins) disposent d'un budget de 540 millions d'euros, de 60 serveurs et de 3 000 postes de travail.

« Nous souhaitions rendre plus fonctionnel l'accès à nos applications tout en renouvelant notre dossier patient » indique Pierre-Jean Candat, DSI du CHU de Rouen. La DSI a en effet initié une démarche de plus grande qualité de service et de meilleure réactivité. Pour cela, le CHU a opté pour la virtualisation des applications, notamment métier, et leur mise à disposition au travers d'une SSO qui permet à tous les utilisateurs de se connecter à partir de n'importe quel poste de travail dans l'hôpital tout en retrouvant l'ensemble de leur environnement et sans avoir à se reconnecter dans chaque application. En l'occurrence, le CHU a choisi les applications métier de l'éditeurMc Kesson (dossier patient M-Crossway, espace numérique de travail M-Eva, etc.) et une virtualisation par la solution de Systancia, AppliDis Fusion 4.

L'intégration des deux familles d'outils a été opérée par les consultants de chaque éditeur. Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
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(30/11/2011 16:34:47)

La suite Office 365 de Microsoft étoffe ses fonctionnalités et sa présence

Microsoft se frotte les mains. Selon lui, sa suite bureautique et de travail collaboratif en ligne Office 365 se vend huit fois plus vite que son prédécesseur BPOS (Business Productivity Online). Au rythme actuel de ses ventes, le service hébergé est en passe de battre tous les records de rapidité d'adoption d'un logiciel Microsoft, selon ce dernier. En faisant cette annonce, l'éditeur a en outre précisé que le succès d'Office 365 était particulièrement important dans les petites entreprises qui représentent 90% de ses utilisateurs.

Lancée en juin, Office 365 inclut des versions d'Exchange, de SharePoint, d'Office et de Lync hébergées dans les datacenters de Microsoft. Sa tarification est basée sur une facturation par mois et par utilisateur. Le service est décliné sous 3 packages aux clients : la messagerie électronique seule (4 dollars par mois et par utilisateur) ; la version complète avec le serveur Lync et Office 2010 professionnel Plus (27 dollars par mois) et enfin la version petite entreprise jusqu'à 25 utilisateurs (6 dollars par mois).

Dans la foulée des annonces faires lundi dernier, Microsoft a également fait savoir que la suite en ligne est désormais disponible dans 22 pays supplémentaires, notamment en Argentine, à Taiwan et en Afrique du Sud. « Etant désormais proposé dans 63 pays au total, Office 365 peut potentiellement toucher 95% des entreprises dans le monde », se félicite Takeshi Numoto, le Vice-président monde de la division Office de Microsoft.

Interagir avec SharePoint online depuis un mobile sous Windows Phone

La firme de Redmond a également annoncé une trentaine d'améliorations. Parmi elles, on trouve le support de Windows Phone 7.5 par la version en ligne de SharePoint qui va permettre aux utilisateurs d'accéder à des documents et de les mettre jour depuis leurs smartphones, via un Windows LiveID. De plus, des connecteurs font également leur apparition pour établir un lien entre SharePoint online avec des applications métiers, comme du CRM ou des ERP de type SAP. Ces passerelles existaient déjà disponibles sur  la version traditionnelle de la solution de collaborative de Microsoft. On note également la compatibilité de la suite avec Mac OS X Lion. D'autres évolutions  annoncées concernent la simplification et l'automatisation de la gestion d'Office 365 par les administrateurs. Il s'agit, par exemple, de la possibilité de réinitialiser les mots de passe par SMS ou e-mail et de l'apparition d'un outil de synchronisation de l'annuaire d'entreprise (Active Directory) en version 64 bits. Une autre fonctionnalité est l'arrivée d'un assistant de résolution des problèmes conçu pour aider les utilisateurs à se dépanner eux-mêmes, via des tutoriels avant de devoir faire appel au help desk. Enfin, l'offre de stockage en ligne SkyDrive a été simplifiée.

Bien que cela ne fasse pas partie des annonces faites par Microsoft, l'éditeur a indiqué sa volonté de fournir un accès au serveur de communications unifiées Lync depuis des téléphones mobiles sous Windows Phone, Android et iOS avant la fin de cette année.

L'offre de Microsoft est considérée comme un concurrent de la suite Google Apps. Cette dernière comprend une messagerie électronique et instantanée, un agenda, des logiciels bureautiques et d'autres applications proposées par le moteur de recherche. (...)

(30/11/2011 10:03:50)

HP combine Autonomy et Vertica pour traiter toutes les données

Hewlett-Packard a rapidement mis à profit ses récentes acquisitions, Vertica racheté en mars dernier et Autonomy en octobre, en rassemblant ces deux logiciels dans une seule solution baptisée Next Generation Information Platform. Avec cette offre disponible fin janvier, les utilisateurs pourront rechercher et analyser des données structurées et non structurées, a expliqué Mike Lynch, ancien CEO d'Autonomy et désormais en charge de l'entité Information Optimization Business Solutions chez HP, lors de l'événement Discover 2011 à Vienne, un rendez-vous qui mêle infrastructures et solutions logicielles.

La plate-forme Vertica Analytics est un logiciel dédié au stockage et à l'analyse de très grandes quantités de données structurées, ou de données qui ont été stockées dans une base de données relationnelle. La solution Autonomy IDOL (Intelligent Data Operating couche) peut quant à elle indexer les données non structurées au sein d'une entreprise, et fournir aux utilisateurs une interface de recherche.

IDOL arrive dans sa version 10

HP propose aujourd'hui une mise à jour de la solution d'Autonomy, IDOL 10, optimisée pour les plates-formes serveurs maison Proliant, et qui inclut un ensemble de liens qui lui permettent de s'intégrer plus facilement avec Vertica. IDOL, dans sa version 10, sera disponible le 1er décembre, et offrira aux utilisateurs la possibilité de travailler avec des données structurées stockées dans la base de données Vertica. Si la force d'Autonomy repose sur ses capacités de traitement de données texte, audio et vidéo, Vertica apporte en sus les ressources d'une base de données en colonnes et des capacités analytiques.

L'interface de recherche unifiée pourrait se montrer particulièrement utile pour afficher dans un seul flux une synthèse reposant sur des données structurées et non structurées. Dans les entreprises, ces informations sont généralement traitées par des systèmes distincts. Par exemple, les informations issues de réseaux sociaux tels que Twitter, qui sont généralement capturées en tant que données non structurées, pourraient être explorées en utilisant les fonctionnalités graphiques et analytiques de Vertica. Les flux vidéo et audio qui peuvent être tous deux ingérés par IDOL, pourraient être couplés avec les données liées à des événements historiques stockés dans Vertica pour fournir un suivi en temps réel. À titre d'exemple, une banque pourrait suivre une conversation téléphonique avec un client qui demande un crédit et certains mots clefs analysés par Autonomy pourraient déclencher une alerte dans Vertica. Si lors de cette conversation, l'appelant laisse échapper quelque chose qui pourrait indiquer un risque élevé, la société de crédit pourrait être immédiatement alertée par la fonction d'analyse de Vertica, nous a expliqué un responsable de HP.




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