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(31/07/2008 09:36:48)
Semestriels Dassault Systèmes : une croissance du CA de 13% et du logiciel de 17%
Un CA qui augmente de 13% à taux de change constant au deuxième trimestre (US GAAP) et des ventes logicielles qui croissent de 17% sur la même période. Le résultat net pour la même période est en augmentation de 16% à 0,36€ par action. Nul doute, Dassault Systèmes se porte toujours aussi bien. Il est plus que jamais en tête du logiciel français après la vente annoncée cette semaine d'Ilog à IBM et celle de Business Objects réalisée par SAP fin 2007. Dassault Systèmes demeure le seul grand éditeur français. Il trône loin devant tous les autres avec un CA annuel de près de 1,3 Md€ en 2007. Catia reste moteur du CA logiciel L'Europe est en croissance de 12%, mais c'est l'Amérique qui présente la plus forte hausse avec 19%. Le CA du PLM monte de 17% soutenu par un Catia en hausse de 20% (CA logiciel en non-GAAP à taux de change constant). Les services reculent de 2% pour représenter 15% du CA total. « Une évolution qui reflète largement la disparition des activités d'animation de réseaux de distribution effectuées pour le compte d'IBM », comme le précise le communiqué de Dassault Systèmes. Dassault Systèmes confirme ses objectifs pour l'année La marge opérationnelle s'élève à 19,8%. Et pour le troisième trimestre, Dassault Systèmes confirme un objectif situé entre 27% et 27,5%. Pour le prochain CA trimestriel, l'objectif se trouve dans une fourchette de 305 à 315 M€ et pour le résultat net par action, de 0,41 à 0,44 €. L'objectif de croissance du CA logiciel est quant à lui confirmé entre 12% et 13%. Sauf précision contraire, tous ces chiffres s'entendent en normes US GAAP à taux de change constant. (...)
(18/07/2008 18:17:15)SAP se dit hors de cause dans les problèmes de la Mairie de Paris
Hier, 17 juillet, la Ville de Paris a connu des problèmes de facturation envers certains de ses prestataires. La faute en serait revenue à SAP, à l'origine de la nouvelle solution de finances généralisée en février au sein de la ville. SAP a moyennement apprécié cette mise en cause à peine voilée par son client. « Le système a toujours fonctionné, et continue de bien fonctionner, » assène Bruno Gonzales, responsable du secteur public pour SAP France. Et de rappeler que la Ville de Paris avait mis en route il y a trois ans un chantier important de refonte de ses systèmes financiers. Un projet métier, et non un projet technique, sous l'égide de Véronique Bédague-Hamilius, alors directrice des finances, devenue depuis secrétaire générale. Les dysfonctionnements existaient avant la mise en place du système, plaide SAP « Nous avons remporté l'appel d'offre en 2006 et Accenture a fait la mise en place, continue Bruno Gonzales. Un nouveau système comme celui-là nécessite toujours une adaptation et la ville a bien travaillé son accompagnement du changement avec Accenture. » Mais pour lui, des dysfonctionnements dans le pilotage de la ville préexistaient à la mise en production du nouveau système. Paris exploitait un grand nombre d'applications, dont trois rien que pour la gestion comptable. « Paris a toujours eu beaucoup de problèmes dans le paiement de ses fournisseurs, ajoute-t-il. Le problème du traitement des factures n'est pas nouveau. Notre outil n'est pas un outil miracle pour résoudre ce genre de problème. Mais surtout, le nouveau système basé sur nos outils demande de la rigueur. Certains traitements qui se faisaient rapidement, avec un certain niveau de tolérance, ne sont plus acceptés. » Bruno Gonzales ajoute que, par ailleurs, les chantiers sur lesquels il y a des problèmes de paiement de factures, comme celui de l'église Saint-Sulpice, avaient commencé avant la mise en place du système. « Aujourd'hui, la ville doit concilier les positions comptables actuelles avec celles du passé. Cela impose que ces dernières, gérées dans l'ancien système, soient fiables... » (...)
(17/07/2008 18:19:22)Certains paiements de la Ville de Paris à ses prestataires retardés par un projet SAP
Dans un communiqué daté du 17 juillet, la Ville de Paris a confirmé que « certains retards de paiement se sont produits à la suite de l'installation de son nouveau système Alizé dans l'ensemble des services de la Ville. Depuis 2006, Paris travaille à la mise en place de cette nouvelle gestion de l'ensemble de ses finances avec SAP. Le projet est en production depuis mai 2007 pour le département (près de 2 Mds € de dépenses annuelles) et depuis février 2008 pour l'ensemble de la collectivité parisienne qui regroupe la ville et le département. Pour pallier ses problèmes, la Mairie explique avoir « mis en place une équipe de 25 personnes spécialisées pour absorber le stock de factures des directions de la ville concernées, un traitement individuel des entreprises les plus fragiles, une remise d'attestations administratives pour toute entreprise en ayant fait la demande. » Le traitement et le paiement des factures sont redevenus normaux Le communiqué précise que « courant juillet, le traitement et le paiement des factures sont redevenus normaux à la Ville de Paris. » Cette dernière évoque un des chantiers emblématiques touchés par le problème, celui de l'église St Sulpice. « L'édifice est classé à l'inventaire des Monuments Historiques. Les travaux en cours sont effectués par plusieurs entreprises simultanément et ont fait l'objet d'un marché public complexe tout à fait particulier, ce qui explique les retards de paiement qui ont pu se produire. Les entreprises seront payées d'ici quelques jours, la ville ayant procédé à toutes les démarches de mise en paiement. Les intérêts moratoires consécutifs à ce retard seront payés par la Ville afin de dédommager les entreprises victimes de ces difficultés de règlement. » A l'heure où nous écrivons, ni la ville ni SAP n'ont fait davantage de commentaires. (...)
(16/07/2008 18:40:04)Tous les clients SAP paieront la maintenance au prix fort
Tous les clients de SAP passeront d'ici au 1er janvier 2009 à la nouvelle formule de support de l'éditeur, inaugurée au début de l'année. Une formule plus complète, accessible 24h/24 et 7j/7, avec des engagements sur les temps de réponse. Voilà pour la bonne nouvelle. Du côté des mauvaises nouvelles, cela signifie aussi que tous les clients, y compris ceux qui avaient signé pour un contrat de support standard à 17% du prix de la licence, passeront au tarif premium, soit 22% du prix de la licence. Jusque fin 2007, SAP proposait deux formules, la Premium à 22% et une Basic à 17%. Depuis début 2008, tous les nouveaux clients bénéficient automatiquement de la formule tout compris à 22%. En mars dernier, Forrester et le CXP dénonçaient cette hausse des tarifs, vue par SAP comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. L'éditeur se défendait toutefois, à l'époque, de vouloir l'appliquer à tous ses clients existants. Aujourd'hui, SAP argue que le marché a bien adopté cette mesure, puisque, dit l'éditeur, 350 clients auraient souscrit à cette offre unique (aux Etats-Unis, cette hausse des tarifs a commencé à susciter des vocations : Rimini Street propose un support de SAP R/3 à moitié prix). Fort du soutien de deux clubs utilisateurs, le germanophone DSAG et l'Américain ASUG, SAP a donc dévoilé une feuille de route pour faire migrer tous ses clients. Une hausse des tarifs incrémentale d'ici à 2012 [[page]] « Ce n'est pas une augmentation en tant que telle, puisque cela se traduit par une nouvelle offre », justifie Lionel Schwirtz, responsable du support de SAP en France. Qui précise que, à l'occasion de cette annonce, SAP a décidé de prolonger d'un an le support des versions 4.6c et 4.7 de R/3. Une consolation : si tout le monde passe au nouveau mode de maintenance, la migration des tarifs sera, elle, progressive, « avec un maximum de 8% d'augmentation par an », précise Lionel Schwirtz. SAP évoque donc une hausse « incrémentale » d'ici à 2012, où tout le monde sera à 22% du prix de la maintenance. « Par exemple, indique SAP, un client typique payant une maintenance à 17% pour un support Standard en 2008 paiera une maintenance à 18,3% pour un support Entreprise en 2009. » Le tarif maximum atteint en 2020 pour la moitié des clients français En France, la hausse des tarifs sera même plus lente, prédit Lionel Schwirtz, qui explique qu'environ la moitié des contrats sont indexés sur l'indice Syntec. « En se basant sur une augmentation moyenne de 2,3% par an sur les dix ou douze dernières années, cela veut dire qu'on n'arrivera probablement qu'en 2020 au tarif de 22%. » Du côté de l'USF, le club utilisateurs francophone de SAP, c'est l'effervescence. SAP dit l'avoir prévenu la semaine dernière. Toutefois, à l'heure où nous écrivons ces lignes, aucune position officielle n'a été arrêtée. (...)
(15/07/2008 10:30:49)Les outils de BI de Pentaho et Oracle adaptés à l'iPhone 2.0
Désormais en version 3G, l'iPhone a tout ou presque pour devenir le nouveau chouchou des cadres en entreprise. Le nouveau téléphone d'Apple, équipé de la version 2.0 du logiciel d'exploitation, a déjà été vendu à plus d'un million d'exemplaires durant le week-end suivant son lancement (il sera disponible en France le 17 juillet). Rien d'étonnant donc à ce que les éditeurs de progiciels le prennent en compte. Parmi les premiers à dégainer, Pentaho et Oracle proposent des logiciels clients pour leurs offres décisionnelles. L'iPhone BI Extension de Pentaho est un prolongement de l'offre Pentaho Open BI Suite 1.7, permettant de naviguer parmi les rapports et tableaux de bord de l'application décisionnelle Open Source. Le code de l'extension elle-même est aussi en Open Source. L'extension d'Oracle, dite Oracle Business Indicators, est une extension gratuite pour les utilisateurs de la suite décisionnelle de l'éditeur. Elle donne là aussi la possibilité d'interagir avec le progiciel, avec moins de souplesse toutefois que depuis un poste traditionnel, puisqu'au lieu du Flash, interdit sur l'iPhone, il faut se contenter d'images Jpeg. Oracle a indiqué que d'autres clients pour iPhone suivraient, pour son progiciel intégré et son offre de gestion de la relation client. (...)
(11/07/2008 13:45:28)La France en tête des pays ayant adopté l'Open Source
Une étude de Forrester souligne que les Européens, et d'abord les Français, sont plus en avance dans leur recours aux logiciels libres. Mais elle souligne aussi que très peu contribuent aux projets. Les entreprises françaises seraient plus avancées dans l'adoption de l'Open Source que leurs homologues d'Allemagne, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Canada. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester Research, en deux fois; d'abord à l'occasion d'un sondage au troisième trimestre 2007, puis lors de discussions ouvertes à la conférence IT Forum EMEA 2008. Alors que le public nord-américain se dit surtout inquiet de la sécurité du code des logiciels libres (à 71%), le public européen indique que sa priorité (51%) est la qualité du support associé. Forrester note que les entreprises européennes sont ainsi tout à fait prêtes à payer pour du support de logiciels libres, « à condition de pouvoir en mesurer la valeur ». Entreprises américaines (31%) comme européennes (22%) ne sont en tout cas guère inquiètes à cause des menaces juridiques pesant sur l'utilisation de l'Open Source. Les couches d'infrastructure restent de loin le premier domaine pour l'Open Source en entreprise [[page]] Côté technologies utilisées, Forrester constate le cycle habituel d'adoption, à savoir l'introduction de briques de base éprouvées, comme Linux ou Open Solaris, le serveur Web Apache, puis les outils de développement comme Eclipse et langages comme PHP, ainsi que les serveurs d'applications Tomcat et JBoss. De plus en plus, continuent les auteurs de l'étude, Jeffrey Hammond et Diego Lo Giudice, les entreprises envisagent de faire monter l'Open Source dans les couches d'infrastructure : bus de services (ESB), extraction, transformation et chargement de données (ETL), bases de données, applications de gestion de contenu... En revanche, aucune « n'a immédiatement signalé un intérêt » quant à poursuivre cette stratégie au niveau des applications métier. Autre information notable : les entreprises qui s'associent à des communautés Open Source ou qui simplement donnent du code à la communauté sont des exceptions. « La plupart se contentent de consommer de l'Open Source plutôt que d'en produire », écrivent les analystes de Forrester. « Un seul des participants [aux discussions] a indiqué que son organisation contribue au projet Open Source qu'il utilise avec du code mis à jour. » Un comportement typique, précise Forrester, de la plupart des grands départements informatiques. (...)
(11/07/2008 13:35:08)Cegid et HP s'allient pour offrir une solution clé en main aux TPE
Partenaires depuis 15 ans, Cegid et HP proposent un package clé en main aux TPE qui souhaitent s'équiper en ordinateurs et en progiciel de gestion intégrée, et qui n'arrivent pas à s'y retrouver parmi la multiplicité des options et des interlocuteurs. Cette offre comprend le matériel (un ordinateur portable HP 6710b ou un PC de bureau HP dc5800) et des logiciels (le Pack Microsoft Office PME ainsi que le progiciel de gestion de Cegid, Business Line). L'ERP se décline en trois versions, Premium, Optimum et Millenium, et les prix démarrent à partir de 797 € pour un pack comptabilité, 887 € si on rajoute la gestion commerciale - ces tarifs prenant en compte un remboursement si le client passe directement par HP ou Cegid. « Avec cette offre, nous allons directement adresser notre clientèle TPE, et développer un canal de distribution complémentaire de notre voie traditionnelle, à savoir la préconisation par des cabinets d'experts comptables », explique Bertrand Gall, directeur marketing opérationnel chez Cegid. L'offre est disponible en mode SaaS (hébergée) ou sur poste de travail. Pour le moment, l'offre d'HP et de Cegid est générique, mais les deux partenaires devraient développer des solutions verticales avant la fin de l'année, afin de répondre aux besoins spécifiques de certains marchés, comme le BTP, l'hôtellerie-restauration ou la mode. (...)
(11/07/2008 07:43:46)Lyon confie la numérisation d'ouvrages historiques à Google (mise à jour)
La ville de Lyon confie à Google la numérisation de 500 000 documents du fonds ancien de sa Bibliothèque municipale. Elle devient ainsi la première ville française à procéder à cette opération avec le géant américain. Les ouvrages patrimoniaux concernés sont tous antérieurs au XXe siècle et donc libres de droits. Selon le communiqué de la municipalité, « des impressions rares Lyonnaises du XVIème (Maurice Scève, Nostradamus, ...) aux grands récits de voyages du XIXème, en passant par les grands traités scientifiques comme la première édition des Principa de Newton, annotés par Malebranche, des pièces uniques seront maintenant accessibles en ligne aux internautes du monde entier. » L'AFP indiquait hier que Google devrait prendre en charge la numérisation et la mise en ligne la collection dans un délai de 10 ans. Selon LyonCapitale.fr, la municipalité demanderait que 200 000 ouvrages soient traités dans les 4 ans à venir. Le site poursuit en assurant que Lyon ne déboursera pas un centime mais que Google, lui, s'acquitterait de 60 millions d'euros en échange d'une autorisation de l'exploitation de la copie numérique des ouvrages. (...)
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