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(07/07/2008 17:04:53)

Autonomy, Endeca, Fast et Vivisimo, meilleurs moteurs de recherche d'entreprise selon Forrester

Selon Forrester Research, les meilleures solutions de recherche n'ont, hélas, rien à devoir aux Européens comme Exalead ou Sinequa. Une étude réalisée par le cabinet anglo-saxon mentionne des moteurs comme Autonomy, Endeca, Fast (filiale de Microsoft)et Vivisimo, mais souligne que la Search Appliance de Google continue à dominer le marché en termes de notoriété. Les solutions développées par IBM et Oracle sont elles aussi compétitives, notent les auteurs de l'enquête, mais il leur manque certaines fonctionnalités - de reporting et de taxonomie notamment - , et elles ne sont pas suffisamment déployées chez les clients. Or, ce manque de représentativité ne leur permet pas d'élaborer différents scénarios de questions complexes et de formats de documents, pour pouvoir tester leur efficacité, estime Leslie Owens, analyste au sein du cabinet d'études. Autonomy prend la tête du palmarès des moteurs passés en revue par Forrester, avec la palme de la meilleure architecture technologique et de solides capacités de sécurité. Seule ombre au tableau : un service aux utilisateurs insuffisant, compte tenu de la complexité et du prix élevé du produit. Google Search Appliance a la faveur des utilisateurs, malgré ses défauts [[page]] De son côté, Fast, le moteur acquis en avril dernier par Microsoft pour 1,2 Md$, qui peut être utilisé seul, ou avec le portail Sharepoint, est considéré par Forrester comme une bonne alternative pour les entreprises qui ont choisi d'investir dans des plateformes Microsoft. Endeca est considéré par le cabinet d'études comme un acteur de petite taille qui croît très vite, grâce à un moteur qui peut effectuer des recherches dans les bases de données de l'entreprise, quelque soit le format (dont XML). Vivisimo est également retenu par Forrester, malgré quelques manques sur le plan de la sémantique, en raison de l'excellente ergonomie de son interface utilisateur, de ses fonctions de réseau social et de la richesse de ses API. Quant à Google Search Appliance, seul package matériel et logiciel évalué par Forrester, il réalise un très mauvais score sur le plan de la sécurité, mais il répond le mieux aux exigences des utilisateurs, en raison de sa rapidité d'installation. Au vu de la notoriété de la marque Google et de son succès actuel sur le marché, Forrester estime que Search Appliance peut compter sur un brillant avenir. Par ailleurs, si des outils comme Coveo Solutions ou encore Microsoft Search Server, sont considérés comme performants, ils sont toutefois très loin derrière les leaders du marché, estime Forrester. (...)

(08/07/2008 16:48:16)

Infor a gagné 2 200 nouveaux clients sur son exercice 2008

Infor poursuit la validation de son modèle économique : croissance externe et R&D autour des offres acquises. Ce qui semble, pour l'instant, lui réussir. A l'issue de son exercice fiscal échu fin mai, l'éditeur américain de logiciels de gestion totalise 2 200 nouveaux clients sur une base installée globale de 70 000 entreprises. Son chiffre d'affaires s'élève à 2,3 Md$ (environ 100 M€ en France selon les estimations). Toutefois, cet éditeur non coté, détenu par l'investisseur Golden Gate Capital, ne publie pas le détail de son exercice fiscal et n'indique donc pas sa rentabilité. Infor s'est construit par croissance externe, faisant entrer dans son portefeuille d'applications plus de trente éditeurs depuis 2002. Dans le secteur des ERP (progiciels de gestion intégrés), il se place parmi les quatre premiers fournisseurs mondiaux (loin derrière SAP et Oracle mais sans doute devant Microsoft). 3 700 clients sous maintenance en France « En France, nous avons au moins 7 ou 8 cultures d'entreprise différentes qu'il a fallu harmoniser », rappelle Benoît de la Tour, directeur général de la filiale. Outre les ERP de SSA Global (BPCS, Baan), Mapics et Symix, conçus pour l'industrie, Infor a également repris des solutions pour la gestion financière (Extensity, Systems Union...), les ressources humaines (Anaël), le suivi des actifs (Datastream), la relation client (Epiphany) et la gestion logistique, tant pour l'exécution -entrepôt/transport- que pour la planification (avec l'offre Adage d'Agilisys/SCT). Infor France compte 3 700 clients sous contrat de maintenance. « Nous dépassons 94% de taux de rétention de notre base », indique Benoît de la Tour. Une équipe a été spécialement mise sur pied pour suivre le renouvellement de ces contrats qui pèsent 50% du chiffre d'affaires (le reste se répartit de façon égale entre ventes de licences et de services). Cette équipe va approcher les 1 100 autres entreprises françaises qui utilisent sans maintenance un logiciel Infor. Avec autant de produits différents au catalogue, le rôle du support technique est primordial. « Nous avons créé un premier niveau centralisé et gratuit, réduit le temps de traitement des incidents, mis en place des procédures d'escalade », énumère le directeur général qui précise que le support de la solution EAM (gestion d'actifs, offre Datastream) est pris en charge par la France. Une poussée sur Anaël et sur le SaaS [[page]] Sur l'année écoulée, la filiale française a gagné 147 nouveaux clients, sur tout le spectre de l'offre Infor. Actuellement, 41% de la base installée utilise les solutions de finance et de gestion des ressources humaines (dont 71% l'offre de GRH Anaël), 38% un ERP et les 21% restant l'une des solutions dites « étendues ». (EAM, Performance Management, CRM, Supply chain, PLM). Anaël a enregistré une très bonne croissance, « avec une poussée spectaculaire sur le SaaS », souligne Benoît de la Tour. L'hébergement d'applications est un axe que la filiale entend développer, sur la gestion des actifs et des frais professionnels. L'ensemble de l'offre évolue par ailleurs vers une architecture orientée services (SOA) présentée en octobre dernier aux utilisateurs français. Centre d'excellence européen et recrutement de partenaires Pour l'année à venir, Infor France vise une augmentation de 8% de son chiffre d'affaires global grâce, notamment, à ses solutions étendues. Dans cette optique, Il crée un centre d'excellence européen pour apporter des compétences pluridisciplinaires (consultants, chefs de projet...). « Nous avons beaucoup investi en R&D et voulons clairement gagner des parts de marché sur nos concurrents, annonce Benoît de la Tour. Et pour réduire les temps d'implémentation chez nos clients, nous allons livrer des offres 'Fast Start', préparamétrées pour un domaine d'activité, qui permettront d'installer un ERP en 70 jours. » Enfin, Infor entend développer la part de ses revenus générés par les partenaires. En Europe et en France, celle-ci représente pour l'instant 18% des ventes de licences. L'éditeur aimerait la voir atteindre 24 à 26%. Jean-Philippe Pommel, vice-président partenaires pour l'Europe, supervise les opérations : « Nous allons pousser la marque, établir une certification à l'échelle européenne et recruter dès septembre de nouveaux partenaires. Nous recherchons une cinquantaine de revendeurs à valeur ajoutée avec, en France, un focus très fort sur la gestion des actifs. » (...)

(07/07/2008 15:05:23)

Le club des utilisateurs de SAP analyse le rachat de BO

L'USF, le club des utilisateurs SAP francophones, a prévu de communiquer le document réalisé par sa commission BI (Business Intelligence) pour clarifier les choix techniques opérés par SAP sur son offre décisionnelle après le rachat de Business Objects. Cette synthèse, réservée pour l'instant aux membres du club (1 800 personnes, représentant 350 entreprises utilisatrices parmi les plus grosses), sera accessible à tous fin juillet. « Nous souhaitons en faire profiter le plus grand nombre et éduquer le marché », indique Jean Leroux, président de l'USF. Trente membres de la commission BI, qui rassemble quatre-vingt dix personnes au total, ont plus particulièrement travaillé autour des questions soulevées par le rachat de BO. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec les deux éditeurs. Le document de synthèse livre les réponses de SAP et dresse une première feuille de route par lignes de produits (outils de front-end, de gestion de la performance financière et plateformes technologiques Netweaver/BIP). Des questions subsistent sur les coûts de licence et la migration La plupart des entreprises représentées dans la commission BI (parmi lesquelles Arcelor Mittal, Sanofi-Aventis, EDF, GDF, PSA, Saint-Gobain...) utilisent les outils décisionnels de Business Objects. Les auteurs du document, Christophe Machinet et Yves Cocaign, respectivement président et vice-président de la commission, notent que l'attention portée à la pérennité des deux offres « tient au fait que sur 45 000 clients Business Objects, 20 000 utilisent aussi SAP, mais seulement 20 à 30% ont des applications intégrées sur les mêmes données ». En introduction de leur synthèse, les auteurs indiquent que « la concentration des offres BI, suite à la fusion, était une attente forte des utilisateurs, notamment en termes de reporting, les outils de Business Objects étant jugés plus en avance ». Toutefois, ils pointent les questions qui subsistent, notamment sur les « perturbations engendrées [par le rachat] sur les coûts de licence et sur la charge de travail nécessaire à la migration ». [[page]] Enfin, Christophe Machinet et Yves Cocaign estiment que si, « pour les nouveaux projets, il est préférable, a priori, de s'appuyer sur les nouvelles applications », pour les projets nécessitant une importante reprise de données, en revanche, le « dilemme ne peut être tranché qu'au cas par cas ». Convention USF à Tours les 15 et 16 octobre Pour compléter ce travail, l'USF s'apprête à lancer une enquête pour faire remonter les attentes des utilisateurs sur les outils décisionnels. Les résultats en seront communiqués lors de sa prochaine convention qui se tiendra à Tours, les 15 et 16 octobre 2008, autour du thème « Technologie de l'information ou de la connaissance ? ». Commentant le sujet de réflexion choisi pour cette convention, Jean Leroux, président du club, rappelle qu'il y a une intimité très particulière entre l'outil d'analyse et le métier. « Les entreprises peuvent procéder à des investissements importants pour obtenir des cadrans de pilotage et des indicateurs, mais ce n'est pas pour autant qu'elles sauront les interpréter. Malgré cela, elles peuvent prendre des décisions irrationnelles, et c'est ce dont nous allons discuter à Tours. » (...)

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