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(19/08/2008 17:00:30)

Selon AMR, JDA n'absorbera pas i2 sans mal

En annonçant le rachat de son concurrent i2 Technologies, la semaine dernière, l'éditeur américain JDA Software s'est hissé à la première place des éditeurs spécialisés sur le marché de la planification et de l'exécution logistique (SCM, supply chain management), avec un chiffre d'affaires combiné de 635 M$ et une base installée de 6 000 clients. Si ce rapprochement est mené à son terme, il permettra donc à JDA de doubler l'autre grand spécialiste du SCM, Manhattan Associates (337,4 M$ de chiffre d'affaires en 2007). Pour ce dernier, la seule façon de rattraper JDA consisterait à mettre la main sur le troisième 'pure player' du podium, RedPrairie (dont le chiffre d'affaires est évalué à quelques 250 M$ par les analystes). Cette hypothèse paraît improbable à Bruce Richardson, analyste senior du cabinet AMR Research, dans son billet hebdomadaire « First Thing Monday ». Cet observateur avisé, de longue date, du marché du SCM, évoque plus probablement un rachat de Manhattan Associates, dans les douze prochains mois, par SAP ou Oracle. Ces deux grands éditeurs généralistes dominent déjà largement le marché de la gestion logistique, évalué à 6,4 Md$ en 2007 (+7% par rapport à 2006), selon les plus récentes estimations d'AMR Research (soulignons aussi, à la 6ème place, la présence d'un autre généraliste, Infor). Si l'acquisition de Manhattan s'opère, voilà qui remettrait fortement en question le besoin de spécialistes SCM, avance Bruce Richardson. L'absorption de i2 pourrait rencontrer au moins cinq obstacles Fort de la reprise réussie de Manugistics, racheté l'an dernier, le PDG de JDA Software, Hamish Brewer, envisage l'avenir avec optimisme. Selon l'analyste d'AMR, le dirigeant prévoit de réduire les coûts de 20 M$, de vendre des applications complémentaires aux 130 clients communs de i2 et JDA et, enfin, de pousser les produits de i2 dans les entreprises de taille moyenne. Bruce Richardson semble plus réservé. Il évoque au moins cinq obstacles qui pourraient faire dérailler la bonne absorption de i2 Technologies par JDA. Il explique d'abord que i2 est devenu, avant tout, un fournisseur de solutions personnalisées. Les services ont représenté 48% de ses revenus en 2007 et la maintenance en pèse un tiers. JDA, de son côté, même s'il gère une activité services de 30%, vend davantage d'applications packagées. [[page]]Ensuite, l'analyste rappelle que, pendant près de huit ans, i2 n'a cessé de voir son chiffre d'affaires décliner, après un pic à 1,1 Md$ en 2000. En 2007, l'éditeur n'a engrangé que 258 M$. Autre souci, la base utilisateurs suit le même chemin que le chiffre d'affaires, comme le note Bruce Richardson : « 1 400 clients en mai 2002, un peu plus d'un millier en avril 2004 et, en décembre dernier, 500 clients actifs », selon les chiffres que lui a communiqués l'éditeur au fil des ans. Lors de l'annonce du rachat par JDA, on ne parlait plus que de 360 clients actifs. Autre faiblesse pointée par Bruce Richardson, l'effectif de i2, passé de 6 500 personnes, en 2000, à seulement 1 309 aujourd'hui. Qui plus est, JDA devra faire en sorte de garder les équipes chargées des trente plus grands comptes i2. Enfin, le rachat par JDA pourrait effectivement chambouler le marché du SCM. i2 absorbé, l'analyste rappelle qu'il ne reste plus que deux spécialistes pesant plus de 250 M$, les autres acteurs affichant moins de 100 M$ de CA, et même, moins de 50 M$. « Manhattan sera-t-il la prochaine cible », s'interroge donc Bruce Richardson. Ou bien RedPrairie ? « Et qui sera le repreneur : Oracle, SAP ou ... IBM ? » (...)

(18/08/2008 12:31:15)

L'ISO rejette les appels contre la normalisation d'OOXML

L'ISO (International Organization for Standardization) et l'IEC (International Electrotechnical Commission) ont finalement donné le feu vert à la publication d'OOXML (Office Open XML), format de fichier présenté par Microsoft, en tant que norme. Les deux organismes ont rejeté les appels déposés en juillet par l'Afrique du sud, le Brésil, l'Inde et le Vénézuela. Ces derniers remettaient entre autres en cause une réunion organisée en février au cours de laquelle les délégués de l'ISO et l'IEC n'avaient eu que cinq jours pour s'occuper de plus d'un millier de changements éditoriaux et critiques techniques. Dans un communiqué de presse, l'ISO explique aujourd'hui que ces requêtes n'ont pas reçu le soutien requis des deux tiers des membres du Technical management board de l'ISO et du Standardization Management Board de l'IEC. Malgré tout, les quatre pays concernés peuvent encore faire appel auprès des conseils exécutifs des deux organisations, ce qui pourrait retarder la publication de la norme. OOXML devient donc officiellement ISO/IEC DIS 29500. Et, sauf nouvel appel qui viendrait contrarier le processus, la spécification complète devrait être publiée dans quelques semaines par Microsoft. Elle pourrait ensuite faire son apparition dans les produits de l'éditeur lors de la sortie d'Office 14, la prochaine version de sa suite bureautique (sachant que la version d'OOXML utilisée dans Office 2007 n'est pas celle présentée à l'ISO, comme nous l'a confirmé Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France, dans une interview). (...)

(14/08/2008 09:36:42)

Hausse des tarifs SAP : les clubs utilisateurs en ordre dispersé

Dans les clubs utilisateurs de SAP, des voix se font encore entendre : la décision de l'éditeur allemand de basculer tous ses contrats sur le tarif de maintenance le plus élevé a encore du mal à passer. Néanmoins, le ton déjà résigné de certains clubs ne va guère dans le sens d'un recul de SAP. Qui de son côté explique, par la voix de son porte-parole, Bill Wohl : « Nous sommes toujours très satisfaits des réactions des clients que nous voyons sur le marché. Bien que les clients disent ne jamais aimer devoir payer plus, ils voient la valeur ajoutée. » Le caractère incrémental de la hausse déjà négocié par les utilisateurs Le 16 juillet dernier, SAP annonçait qu'il ne proposerait plus que son tarif le plus élevé pour la maintenance, soit 22% du prix de la licence. L'éditeur du progiciel de gestion intégré le plus répandu parmi les grands comptes soulignait alors que tous les clients bénéficieraient ainsi d'un meilleur niveau de support. Pour Bill Wohl, il s'agissait non pas d'améliorer les revenus de SAP, mais de mettre en adéquation le niveau de service offert avec le niveau de complexité actuel des systèmes d'information. Pour les clients déjà sous contrat et payant pour un support basique (17% du prix de la licence), la hausse des tarifs sera incrémentale, entre 2009 et 2012 - sachant que pour les clients français ayant plafonné, par contrat, l'augmentation des tarifs, la hausse pourrait être plus douce et s'effectuer sur une dizaine d'années. Le club américain se refuse à négocier un rabais collectif [[page]] Les clubs utilisateurs ont réagi diversement à cette annonce. Le club américain (Americas SAP Users Group, Asug), qui avait été consulté avant la décision de SAP, dit qu'il veut se donner le temps d'étudier les expériences des utilisateurs, et d'y trouver des preuves de ce qu'avance SAP sur l'amélioration significative du niveau de support. Le club explique qu'il veut déterminer à terme « ce qui fonctionne et ce qui aura besoin d'un ajustement, et ainsi pouvoir s'appuyer sur [son] importante base installée pour influencer SAP, qu'il s'agisse de modifier les tarifs ou les offres, le cas échéant ». Le président de l'USF se dit « déçu mais attentif » Steve Strout, président de l'Asug, souligne qu'il a déjà remporté une bataille, en convainquant SAP de n'augmenter ses tarifs que de façon incrémentale. Quant à demander à SAP de rester à 17%, il ne voit pas comment il pourrait faire ça : « Ce serait agir en tant que négociateur pour un rabais collectif, et nous ne sommes pas légalement autorisés à faire cela. » Interrogé par LeMondeInformatique.fr, le président de l'USF (le club des utilisateurs francophones) Jean Leroux a adopté un ton diplomatique très similaire. Il se déclarait ainsi « déçu » mais « attentif », et affirmait sa volonté de mener un audit sur la valeur réellement ajoutée par l'offre premium : « Tout n'est pas dit dans l'annonce, et chaque client est un cas particulier. Il y a donc certainement des choses à négocier, notamment sur les niveaux de service et les pénalités. Notre rôle est de vulgariser ces aspects et de préparer au mieux les clients à tirer un maximum de valeur de cette augmentation de prix. » Pour l'USF aussi, SAP devra faire ses preuves sur le terrain, et les utilisateurs y veilleront. Le club des utilisateurs germanophones encore très combatif [[page]] La tâche ne sera pas forcément aisée, car, comme le souligne l'analyste de Forrester Ray Wang, il faudra que les entreprises utilisatrices soient transparentes sur leurs relations avec SAP (problèmes survenus, correctifs installés...) et sur leur TCO (coût de possession total). Plutôt virulent au début, le club des utilisateurs du Royaume-Uni se dit aujourd'hui, comme l'USF, « en contact constant avec SAP à propos de cette question du support ». Le DSAG, club des utilisateurs germanophones, le plus important des clubs avec 25 000 membres dans 2 100 entreprises, notamment en Allemagne, Autriche et Suisse, reste en fait le plus combatif. Il continue aujourd'hui encore de déclarer son opposition à ce changement unilatéral des conditions de support. Y a-t-il suffisamment de compétences SAP sur le marché ? « L'impression que nous avons, et le retour que nous avons de nos membres, est que l'opposition reste très forte, explique Andreas Oczko, vice-président du DSAG. Le sentiment qui domine chez les utilisateurs, notamment parmi les PME, est que leurs systèmes sont très simples et qu'ils les connaissent très bien. Ils ne voient donc pas pourquoi ils auraient maintenant besoin d'un support de niveau entreprise. » Malheureusement pour ces utilisateurs, ils ont peu de leviers sur lesquels agir. Ray Wang leur conseille bien de ne pas signer de contrats pluri-annuels, de façon à pouvoir s'orienter vers des tiers, mais les éditeurs tiers proposant du support SAP ne sont pas légion. En outre, il risque de se poser un problème de compétences disponibles sur le marché : si SAP doit assurer pour tous un support premium, les ressources disponibles risquent d'être rapidement asséchées, les experts SAP étant déjà difficiles à trouver. (...)

(11/08/2008 17:56:05)

Planification logistique : JDA Software acquiert i2 pour 346 M$

Le mouvement de consolidation qui touche l'industrie mondiale du logiciel se poursuit sur le terrain des applications d'optimisation logistique et de planification avancée. Après avoir déjà racheté Manugistics, en 2006, l'éditeur américain JDA Software vient d'annoncer l'acquisition d'un autre compatriote, i2 Technologies, pour quelque 346 millions de dollars. Depuis 2005, la concentration avait déjà marqué le secteur, Gartner comptabilisant 85 rachats en trois ans, parmi lesquels 25 acquisitions importantes en 2007. i2 Technologies, fondé en 1988 par Sanjiv Sidhu et Ken Sharma, considérés comme visionnaires, apporte une expérience de vingt ans sur les outils de gestion de la chaîne logistique (supply chain management). L'éditeur vient renforcer les capacités de son acquéreur sur le secteur de la distribution, qui représentait déjà l'un des points forts de JDA. Mais il apporte aussi l'expertise acquise dans le transport et l'industrie manufacturière (fabrication par assemblage, dite discrète). De son côté, JDA Software dispose, outre ses offres pour la distribution, de solutions pour les industries de process (fabrication par mélange), comme la chimie/pharmacie ou encore l'agro-alimentaire. On trouve en particulier Procter & Gamble parmi les clients de JDA, tandis qu'i2 Technologies lui apporte par exemple IBM. En troisième position derrière IBM et Oracle En rassemblant leurs forces, JDA Software et i2 Technologies constituent un groupe qui pèse 635 M$ de chiffre d'affaires et rassemble environ 6 000 clients autour des applications de SCM. La nouvelle entité se rapproche ainsi de ses deux grands concurrents, SAP et Oracle, numéro 1 et 2 du marché mondial des solutions de SCM. Selon Gartner, SAP détenait en 2007 22,4% de ce marché, avec des ventes de 1,3 Md$ dans ce secteur, devant Oracle, 16% avec des ventes de 955 M$, et JDA qui, alors, ne possédait que 3,9% du marché, avec 230 M$ de chiffre d'affaires. Des accords croisés avec SAP A la suite d'un différend avec SAP relatif à la propriété intellectuelle, i2 a récemment reçu 83,3 M$ de l'éditeur allemand. i2 estimait en effet que l'éditeur allemand avait enfreint sept de ses brevets, notamment sur le suivi des ventes et la coordination des systèmes de planification d'usines. Les deux éditeurs ont finalement conclu des accords croisés. (...)

(07/08/2008 08:26:15)

LinuxWorld : IBM veut préinstaller Lotus sur les serveurs et appliances Linux

Une alternative au Small Business Server de Microsoft se dessine. IBM a annoncé lors de la conférence LinuxWorld de San Francisco un accord avec Red Hat, Ubuntu et Suse pour embarquer dans leurs distributions ses outils de collaboration et de communication de la gamme Lotus : Notes, Sametime et Symphony. Jeff Smith, vice-président middleware Linux et Open Source d'IBM, a expliqué que le but était de concurrencer, à moindre prix, la prédominance de Microsoft sur le marché des petites et moyennes entreprises, en fournissant un système très simple à installer. En outre, a-t-il ajouté, cela pourrait aider Linux à développer sa présence sur les postes de travail. Pour IBM - jamais avare d'une amabilité à l'égard de Microsoft -, vu le peu d'empressement des entreprises à adopter Vista, la présence d'outils de collaboration sur Linux pourrait inciter ces dernières à se tourner vers l'OS libre. Dans le même mouvement, IBM s'est tourné vers les revendeurs à valeur ajoutée (VAR) et les fabricants de matériels, afin d'inclure sa suite Lotus au sein d'appliances. Ces serveurs spécialisés requièrent en effet un minimum d'intervention humaine, un plus pour vendre à des PME. Les VAR pourront aussi adapter la suite Open Collaboration Client Solution (OCCS) selon les besoins de leurs clients. En revanche, il restera des coûts liés aux logiciels d'IBM : seuls quelques éléments de la suite sont en Open Source. (...)

(06/08/2008 12:54:26)

SAS acquiert IDeaS et ses outils d'optimisation pour le secteur du tourisme

L'éditeur américain SAS, fournisseur de solutions d'analyse de données, vient de compléter son offre métier avec l'expertise de son compatriote IDeaS, racheté pour un montant non communiqué. Société de 200 employés basée à Minneapolis, IDeaS a développé pour le secteur du tourisme (hôtellerie, transport aérien, location de voitures, parking...) des solutions d'anticipation de la demande et d'optimisation du chiffre d'affaires. SAS compte adapter celles-ci à d'autres domaines d'activité, en complément des offres du même type dont il dispose déjà -sur le secteur de la distribution, notamment. Améliorer chiffre d'affaires et profitabilité Les méthodes d'amélioration de la profitabilité (revenue management, yield management) proposées par IDeaS sont mises en oeuvre depuis plusieurs années dans le secteur du tourisme. Elles permettent de rentabiliser au mieux les offres commerciales d'un transporteur ou d'un hôtelier, en optimisant le taux de remplissage d'un avion, par exemple, ou en planifiant au plus juste les besoins en personnel dans le cas de réservations hôtelières. SAS va combiner ses technologies d'analyse et celles d'IDeaS pour proposer des solutions permettant d'adapter la tarification des offres en fonction de l'analyse en temps réel du comportement des consommateurs. Des solutions en mode SaaS IDeaS a choisi le modèle SaaS (software as a service, utilisation des logiciels en ligne) pour commercialiser ses solutions. Hyatt International et Fairmont Hotels figurent parmi ses utilisateurs. Les acquisitions réalisées par SAS se portent généralement sur de petits éditeurs qui lui permettent de compléter son offre avec des technologies spécifiques qu'il peut exploiter dans ses applications. Au premier trimestre, il a ainsi racheté Teragram pour ses outils de traitement du langage. SAS a réalisé 2,15 Md$ de chiffre d'affaires sur son année fiscale 2007. (...)

(05/08/2008 09:29:47)

L'éditeur français GL Trade reçoit une offre de rachat de SunGard

L'Américain SunGard, fournisseur de solutions pour les institutions financières et le secteur public, et spécialiste de la continuité de services, vient de proposer d'acquérir 64,51% du capital de GL Trade, 4ème éditeur français de logiciels (au classement Truffle). A la tête de 1 400 collaborateurs, GL Trade développe des logiciels destinés à la communauté financière (solutions de back-office et front-office, outils de connectivité, applications de diffusion d'informations financières...). Coté sur Euronext Paris, le Français a réalisé un chiffre d'affaires de 203,25 M€ et un bénéfice net de 23,8 M€ sur son année fiscale 2007. Il vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 108,2 M€ (+15%) sur son premier semestre 2008, échu fin juin. L'offre d'acquisition de SunGard s'établit à 41,70 euros par action. Le fournisseur américain indique que son offre fait apparaître une prime de 24% par rapport au cours de l'action de GL Trade au cours de clôture du 31 juillet dernier (+53% par rapport au cours du 05 mai, avant les rumeurs de transaction). Une complémentarité géographique SunGard compte 25 000 clients sur 50 pays, parmi lesquels les 50 plus grandes institutions financières. De son côté, GL Trade gère 1 600 clients (dont 20 grands acteurs de la finance) et dispose de bureaux dans 26 pays. Les implantations géographiques respectives des deux fournisseurs sont complémentaires. SunGard possède une forte présence en Amérique du Nord, tandis que le Français a déployé ses solutions de négociation et de connectivité en Europe et en Asie. GL Trade réalise 80% de son chiffre d'affaires hors de France : 22% en Grande-Bretagne, 27% dans les autres pays européens, 16% sur le continent américain et 15% en Asie. L'an dernier, en juillet, SunGard avait racheté la SSII française GTI Consultants. (...)

(31/07/2008 15:34:34)

Oracle achète les logiciels de formation de Global Knowledge Software

Oracle vient d'acheter Global Knowledge Software (GKS), qui édite des outils de formation personnalisables pour les applications d'entreprise. GKS est la filiale de Global Knowledge, spécialisé dans les services de formation à l'informatique. Oracle est un client de longue date de GKS et s'est servi de ses outils pour bâtir son Oracle User Productivity Kit en complément d'Oracle Tutor. Il prévoit désormais des modules de formation à base de GKS pour tout son catalogue. Les produits de GKS sont aussi disponibles pour d'autres éditeurs tels que Microsoft et SAP. Oracle annonce qu'il supportera les clients qui utilisent GKS pour se former à ces environnements concurrents. Il espère même accroître cette partie de l'activité. Les 130 employés de GKS vont rejoindre Oracle suite à ce rachat. Les détails financiers de l'opération n'ont, eux, pas été communiqués. (...)

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