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(08/02/2012 09:17:27)

Avaloq ouvre un centre de développement aux Philippines avec Sofgen

L'éditeur de solutions bancaires Avaloq et son partenaire dans l'implémentation et le sourcing Sofgen ont annoncé avoir ouvert ensemble un centre de support au développement de logiciels à Manille aux Philippines. Les deux entreprises bénéficient pour cela de la présence de Sofgen et de son centre de développement Avaloq dans cette region. Ce centre permettra de soutenir les deux principaux centres de développement d'Avaloq basés en Suisse et au Royaume-Uni. Il se consacrera à ce titre aux tâches standardisées que sont le testing, la certification et les services de développement. Trente spécialistes y travaillent déjà et ce chiffre devrait atteindre les 80 d'ici un an. L'objectif pour Avaloq est de réduire le coût total d'acquisition pour l'ensemble des utilisateurs de ses services.

«Bien que les développements principaux de notre système bancaire Avaloq resteront basé à Zurich et à Edimbourg, nous pouvons désormais également compter sur le soutien des équipes basées aux Philippines, pour toutes les tâches de développement standard que sont les tests de construction, l'entretien des adaptateurs et les services de certification», a précisé Francisco Fernandez, CEO d'Avaloq dans le communiqué.

Le centre de développement Avaloq en Asie a été construit en 2009 pour faire face aux besoins d'assistance importants dus à un nombre croissant d'utilisateurs dans la région Asie-Pacifique.

ICTjournal.ch (...)

(03/02/2012 13:03:39)

Alfresco 4.0 en route pour le Cloud

Anticipant son offre SaaS de gestion de contenu sur la base de son logiciel Open Source, Alfresco a amélioré son produit éponyme de façon à permettre la collaboration entre plusieurs clients et l'interaction avec un large éventail de facteurs de forme, comme l'a annoncé l'éditeur. « Alfresco Enterprise 4.0 est l'élément fondamental de notre stratégie cloud, » a déclaré Todd Barr, responsable marketing de l'entreprise. Le vendeur se prépare à offrir son système de gestion de contenu (SGC) ou Content Management Software (CMS) en mode SaaS (Software as a Service) en avril ou, mai de cette année.

Disponible depuis hier, la version 4.0 d'Alfresco offre un certain nombre de fonctionnalités et d'améliorations destinées à rendre le logiciel plus convivial dans le cloud. « Notamment, le logiciel est accessible depuis les terminaux mobiles, il comporte une interface de type navigateur plus souple, plus des améliorations de performance dans le back-end, » a déclaré le responsable marketing. Désormais, Alfresco est accessible avec les clients pour iPhone et iPad. Les utilisateurs peuvent lancer un processus, annoter, éditer et enregistrer des documents qui se trouvent dans un référentiel Alfresco. Les entreprises peuvent aussi développer des connecteurs pour d'autres clients mobiles.

Plus de liens vers les réseaux sociaux

L'interface utilisateur a été améliorée et affiche un design plus « Web 2.0 ». Comme sur Facebook, les utilisateurs peuvent désormais cliquer sur un bouton pour dire qu'ils approuvent ou qu'ils aiment tel ou tel contenu particulier. Et comme sur Twitter, il est possible de suivre d'autres utilisateurs. Ils peuvent désormais publier directement du contenu sur des sites de réseautage social comme YouTube, LinkedIn, Flickr et Facebook. Le vendeur prévoit également une intégration avec le service de stockage en ligne DropBox un peu plus tard cette année. L'interface, qui est accessible via un navigateur Internet, permet désormais de déplacer les fichiers par glisser-déposer à l'endroit souhaité. Il est aussi possible d'afficher l'aperçu d'un plus grand nombre de types de fichiers.

En back-end, plusieurs aspects d'Alfresco 4.0 ont été repensés pour rendre la collaboration plus efficace dans un environnement multitenant. Les administrateurs peuvent désormais sortir de l'application les outils de collaboration Alfresco Share et Alfresco Index Server, et les exécuter sur des serveurs séparés, ce qui peut augmenter la vitesse d'exécution en cas de déploiements importants. Ou encore, les administrateurs peuvent configurer plusieurs instances d'Alfresco et les exécuter côte à côte. Le vendeur a aussi revu une partie du code, ce qui apporte selon lui des améliorations en terme de performance. Le contenu peut être aussi téléchargé trois fois plus vite. Selon le vendeur, les requêtes du tableau de bord sont accélérées d'un facteur 10, et les bibliothèques de documents sont chargées 25 à 50 fois plus rapidement. « Cette version du logiciel va servir de base pour faire tourner le service SGC d'Alfresco dans le cloud, » a déclaré Todd Barr. A l'heure actuelle, l'offre hébergée d'Alfresco tourne sous forme de bêta privée et le vendeur prévoit de commercialiser son offre dans les mois à venir.

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Parmi les utilisateurs possibles du service cloud, Afresco vise les entreprises qui utilisent déjà son logiciel en interne, mais ont besoin de rendre certains documents disponibles à l'extérieur de leur pare-feu pour faciliter la collaboration entre les salariés, et pour ses employés travaillant à l'extérieur de l'entreprise, » a déclaré le responsable marketing. Le vendeur va aussi lancer un service de synchronisation qui permettra aux entreprises de faire circuler leurs contenus entre les déploiements en interne et l'offre hébergée.

Introduit en 2005, Alfresco est un SGC Open Source. Alfresco Enterprise est la version commerciale d'Alfresco Community, téléchargeable gratuitement, et dont la version 4.0 est sortie en octobre dernier. L'édition Enterprise offre toutes les fonctionnalités de l'édition communautaire, plus un certain nombre d'outils de gestion supplémentaires, » a expliqué Todd Barr.

Le prix d'Alfresco 4.0 démarre à 20 000 dollars environ. Il augmente en fonction du nombre de processeurs utilisés.

(...)

(03/02/2012 10:01:55)

Air Liquide choisit BravoSolution pour gérer ses achats

Créé en 1902, Air Liquide est un spécialiste des gaz pour l'industrie, la santé et l'environnement. Avec ses 43600 collaborateurs dans 80 pays, il génère un chiffre d'affaires de 13,5 milliards d'euros. Pour cela, il réalise 6 milliards d'euros d'achats par an, soit pratiquement la moitié du chiffre d'affaires. Pour accroître la performance globale de l'entreprise, l'optimisation des achats est donc une nécessité. Celle-ci passe par une gestion attentive des fournisseurs et des risques associés à ceux-ci, cela au niveau groupe afin de profiter des synergies entre entités de divers pays.

En 2010, un appel d'offres est donc lancé pour que le groupe se dote d'une solution de gestion des relations et des risques avec les fournisseurs. Après un pilote installé en Asie et aux Etats-Unis, Air Liquide choisit de déployer la solution de Supply Management proposée par BravoSolution. Le projet a été piloté par l'équipe groupe responsable des achats en collaborations avec des représentants des différentes branches du groupe au niveau mondial. La solution a été choisie parce qu'elle était en mesure de faciliter le travail des acheteurs en termes de suivi des dépenses, de qualification des fournisseurs, de suivi des contrats et d'évaluation de la performance de chaque fournisseur.

Le déploiement dans l'ensemble du groupe est en cours et s'achèvera au deuxième trimestre 2012. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

(02/02/2012 16:52:57)

Attention au prix des outils BI en mode SaaS

Le développement des demandes de cloud ou de SaaS n'est pas une surprise. De plus en plus de responsables financiers ou informatiques sont tentés de faire appel à ce type d'offres pour répondre à une augmentation des besoins en Business Intelligence. Deux raisons à cela, les faibles couts de démarrage ou de déploiement et l'absence de compétences nécessaires en interne pour construire leurs propres solutions analytiques.

La migration des entreprises vers le cloud pour le décisionnel se fait très vite. Selon une étude Gartner, un tiers des personnes interrogées (1 364 responsables IT) prévoient d'utiliser des offres SaaS en matière de BI dans les 12 prochains mois pour certaines divisions métiers. Cependant, les directeurs financiers ont un peu de mal à savoir combien leur coutera au final l'utilisation de ces offres. Les logiciels achetés comme un service peuvent généralement être passés comme un investissement, plutôt qu'un achat d'actif dans les bilans financiers. Les acheteurs pensent souvent que le SaaS est cher, mais la réalité est plus compliquée. Le modèle de coûts de Gartner montre que le SaaS peut être moins cher au cours des cinq premières années, mais pas par la suite. Les avantages à long terme se trouvent ailleurs - notamment dans le flux de trésorerie et la réduction des coûts de support, indique l'étude.

« Les professionnels sont souvent frustrés par la longueur des cycles de déploiement, les coûts, la complexité des processus de mise à niveau des infrastructures informatiques demandés par les solutions de BI  sur site » a déclaré James Richardson, directeur de recherche chez Gartner. « La BI dans le cloud est perçue comme offrant une vitesse de déploiement à faible cout, même si cela reste à prouver ». précise l'analyste. Il constate également que « si l'intérêt est croissant, le marché reste confus sur ce que sont les solutions SaaS et cloud dans le BI et ce qu'elles apportent ».

(...)

(02/02/2012 12:32:08)

Décisionnel : Salesforce.com ne facturera pas de suppléments

Suite au fort mécontentement manifesté par ses clients, Salesforce.com a finalement décidé d'inclure, dans les versions Enterprise et Unlimited de son logiciel CRM (Customer Relationship Management), et ce sans coûts supplémentaires, certaines des nouvelles fonctionnalités de l'Analytics Edition annoncées par le vendeur. Les clients avaient fait valoir que ces outils décisionnels (voir article précédemment publié par lemondeinformatique.fr) venaient combler des lacunes constatées de longue date sur le produit, et qu'elles ne justifiaient pas une augmentation de tarif.

C'est George Hu, directeur opérationnel (CTO) de Salesforce.com, qui a annoncé cette décision dans un blog mardi soir. « Nous avons eu tort, et nous présentons nos sincères excuses à nos clients, » a-t-il écrit dans son billet. Salesforce.com a estimé initialement que les capacités d'analyse décisionnelle apportées par Analytics Edition en faisaient un produit entièrement nouveau. « Or, les commentaires de nos clients montrent clairement qu'ils considèrent ces nouveautés comme des améliorations à notre produit actuel. » Si bien que « ces fonctionnalités rassemblées dans un premier temps dans une édition distincte ne seront pas vendues séparément, » a indiqué le CTO de Salesforce.com dans une interview. Salesforce.com avait prévu de faire payer 40 dollars de plus par utilisateur et par mois pour accéder à ces fonctionnalités. Le vendeur fait payer 125 dollars par utilisateur et par mois pour l'édition Enterprise, et 250 dollars pour l'édition Unlimited de sa suite CRM.

La force des réseaux sociaux mise en avant

Un utilisateur qui avait exprimé son mécontentement s'est dit satisfait de la décision de Salesforce.com. « Voilà une entreprise qui est à l'écoute de ses clients et qui leur apporte une répondre rapide, » a déclaré Jeremy Farber, le client de Salesforce.com à l'origine de la campagne de communication. Ce dernier avait alerté la semaine dernière sur les réseaux sociaux cette hausse de tarif envisagée par le vendeur. Il faut dire que la promotion des médias sociaux dans les entreprises est un axe central de la stratégie marketing et produit du vendeur. Selon Jeremy Farber, la volte-face de Salesforce montre clairement le « pouvoir des médias sociaux. » Celui-ci estime que Salesforce « aurait certainement pu ignorer le mécontentement exprimé par ses clients. » Ajoutant que «s'il avait été confronté à la même situation il y a dix ans, il n'aurait eu comme seul recours que de râler tout seul dans son bureau. »

La fronde des clients a permis à Salesforce.com de montrer qu'il était capable d'être à l'écoute de ses clients, et peut-être aussi de profiter d'un bon coup de publicité. « Voilà un certain temps déjà que nous prêchons en faveur du pouvoir de l'entreprise sociale, » a déclaré George Hu. « Nous voulons mettre en pratique ce que nous prêchons. Cela ne signifie pas que Salesforce.com se laissera convaincre dans tous les cas. Mais le mécontentement exprimé ici n'est pas habituel, » a ajouté le CTO de Salesforce.com. « Ces dernières années, nous avons sorti plusieurs produits avec des prix différents sans susciter beaucoup de réactions. C'est la première fois que nous assistons à cela et nous nous devions de prendre en compte ce message envoyé par nos clients. »

Une brique nécessaire pour les clients

Ray Wang, analyste de l'industrie et PDG de Constellation Research, a un point de vue plus mesuré pour expliquer ce retournement. « Analytics est la dernière frontière pour Salesforce.com. Ils ont le social, ils ont la mobilité. Leur maillon faible, ce sont les fonctions analytiques, » a-t-il déclaré. « La bonne nouvelle, c'est que ces fonctionnalités sont désormais comprises dans le tarif. La mauvaise, c'est qu'il y a probablement des outils tiers plus performants. » Cela dit, « ce que demandent les utilisateurs, à part exporter vers Excel, c'est de pouvoir utiliser les outils décisionnels dans l'environnement dans lequel ils travaillent. »

(...)

(01/02/2012 16:00:18)

Salon des entrepreneurs : quels créneaux pour le numérique ?

Dans le cadre du Salon des Entrepreneurs Paris 2012 qui se tient jusqu'au jeudi 2 février au Palais des Congrès (Porte Maillot), deux conférences abordent le domaine des technologies de l'information. « Révolution numérique & nouveaux business » se penchera jeudi à 11 h sur l'infiltration des usages web au quotidien et les applications qui peuvent se concrétiser en projets. Parmi les intervenants sont notamment annoncés Julien Codorniou, directeur des partenariats de Facebook en France, Axel Dauchez, directeur général de Deezer, ainsi que le fondateur de Seesmic.

Dans l'après-midi, le salon a programmé à 14 h une conférence intitulée « Innovez, devenez entrepreneur social ». Parallèlement se tiendra une session sur le financement d'une jeune entreprise. A 16 h 30, une conférence au titre évocateur , « Born global », portera sur la génération d'entrepreneurs qui se projette d'emblée à l'international et qui y réussit, avec notamment le président fondateur d'Emailvision, Nick Heys, ou encore la fondatrice de WebMediaGroup.

ITvite, solution de comptabilité en Open Source

L'espace d'exposition consacre son village 4 à l'économie numérique, ainsi qu'à l'équipement et à la gestion d'entreprise. Parmi les éditeurs de logiciels pour petites entreprises figurent notamment 8 Sens, Innomatix, Ciel, EBP, Evoliz, Oxatis (solutions de e-commerce) ou encore, Microsoft. La société Audaxis, intégrateur de l'ERP Compiere, y présentera ITvite, une solution de comptabilité en mode SaaS basée sur cette offre de gestion Open Source. Le salon accueille aussi des hébergeurs de sites web.

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(01/02/2012 15:00:05)

SAP France met l'accent sur les régions, les métiers et l'indirect

Quelques jours après l'annonce par SAP de ventes de logiciels en hausse de 22% sur 2011 au niveau mondial, à 3,97 milliards d'euros (sur un chiffre d'affaires total de 14,2 Md€), la filiale française de l'éditeur a présenté ses résultats et perspectives. Ces dernières années, le groupe allemand a diversifié et étendu son catalogue autour de l'ERP et de ses applications périphériques (relation clients et fournisseurs, PLM, etc.), tant sur le fonctionnel que sur les logiciels d'infrastructure : décisionnel, SaaS, mobilité, base de données... « L'agenda de SAP est basé sur l'innovation depuis trois ans, avec une rapidité de mise en oeuvre », a redit hier matin Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France, en rappelant que l'offre HANA d'analyse en mémoire était rétrocompatible avec les applications installées. Pour le groupe, c'est le « lancement de produit le plus réussi », avec une courbe d'adoption supérieure à celle de SAP R/3, a-t-il souligné.

+14,5% sur les licences en France en 2011

La progression annuelle de 22% des ventes mondiales de licences (+25% à taux de change constant) tient compte de l'éditeur Sybase. Depuis son rachat en 2010, ce dernier fonctionne comme une entité indépendante, mais il va maintenant être intégré à SAP, en France aussi. Pour l'instant, Nicolas Sekkaki n'inclut pas cette activité dans ses chiffres. En 2011, la filiale qu'il dirige a enregistré une croissance de 14,5% sur ses ventes de licences (hors Sybase donc) et de 6,5% sur son chiffre d'affaires total (+8% sur les revenus combinés des licences et de la maintenance).

Si le 3e trimestre avait été remarquable sur les ventes de licences en France (+63%), le 4e  affiche une croissance inférieure à 1% dans ce domaine. Néanmoins, « le volume s'est extrêmement bien tenu », insiste Nicolas Sekkaki en évoquant à l'appui «  une dizaine de deals supérieurs à 1 million d'euros » sur les trois derniers mois de l'année. Il souligne de très bonnes performances sur le secteur Banque/Assurance (+76%), sur lequel SAP entend poursuivre fermement sa progression. « Nous commençons à entrer dans le 'core banking', mais c'est encore un long parcours en France pour SAP », reconnaît-il. Bons résultats aussi sur le Manufacturing (+56%), secteur historique de l'éditeur, et sur les biens de production et sciences de la vie (+24%).

+22% en région et davantage d'indirect

Le dirigeant français signale aussi une progression des ventes en région (+22%) avec « de nombreux winbacks en direct et en indirect ». L'an dernier, SAP France a remporté un à deux contrats supérieurs à 1 M€ par trimestre en région et réuni un millier de clients lors de son « world tour ».

La filiale veut augmenter la part de l'indirect dans ses ventes. Elle a atteint 100% sur les PME au 4e trimestre (à noter sur ce marché les bons résultats de l'offre Business One en 2011). Mais SAP veut aussi des partenaires sur le segment grands comptes. La progression de l'indirect y a été de 39,7% en 2011. « Nous avons vu revenir des intégrateurs se demandant comment ils pourraient travailler sur l'agenda innovation de SAP », note Nicolas Sekkaki. « Nous voudrions réaliser 30 à 40% en indirect en 2015 contre 10 à 20% actuellement ». 

Installer HANA en deux à trois semaines

Pour mieux vendre les différentes applications (Lines of business), le dirigeant avait créé « de toutes pièces un département l'an dernier avec des commerciaux qui comprenaient les métiers ». Cette organisation a offert de très bons retours sur les solutions de manufacturing, de gestion du capital humain, du CRM et du procurement.

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Parmi les axes de progression, la filiale note la mobilité (2 M€ de chiffre d'affaires en 2011) et la partie Business Analytics, un peu en retrait l'an dernier. Trois affaires ont néanmoins été rapportées sur HANA qui a glané un chiffre d'affaires de 2 M€. Nicolas Sekkaki indique que 25 modules SAP pourront progressivement fonctionner avec l'appliance d'analyse en mémoire au cours de l'année. Les intégrateurs vont pouvoir exploiter HANA dans leurs appels d'offres « avec des facteurs disruptifs pour les clients », insiste le directeur général. Une offre qui pourra de surcroît être installée « en quinze jours à trois semaines chez nos clients », ajoute-t-il, SAP tablant sur un nombre croissant de mises en oeuvre rapide, en particulier via les offres de déploiement RDS (rapid deployment solutions) élaborées par ses équipes. En 2012, l'éditeur compte doubler son chiffre d'affaires sur les innovations HANA et mobiles dans le monde (160 et 110 M€ en 2011).

Une entité Database & Technology

Au sein des clients, la colère déclenchée il y a 3 ans par les tarifs majorés de la maintenance semble s'être tassée. Nicolas Sekkaki indique que l'enquête de satisfaction régulièrement menée donne pour la France 94% de clients satisfaits, avec le meilleur taux de rétention d'Europe pour l'Enterprise Support (près de 100%). 

En 2012, la filiale française va se renforcer dans les trois à six mois avec les équipes de Sybase et créer une entité Database et Technology, aux côtés de l'activité Business & Analytics. « J'avais déjà préparé un département technologie avec une quinzaine de commerciaux [pour l'anticiper] », précise le dirigeant. « C'est important pour nos partenaires. Les spécialistes des bases de donnés ne sont pas les mêmes que ceux de l'ERP », insiste-t-il en rappelant l'ambition de SAP d'être 2e en termes de base de données d'ici 2015 au niveau mondial. Nicolas Sekkaki signale par ailleurs l'embauche de jeunes talents en 2011 et note que « beaucoup de gens frappent  la porte de SAP », ce qui n'a pas été toujours le cas.

Réduire le ratio coût des licences/services

Sur la partie cloud, une organisation va regrouper les forces commerciales de Business ByDesign (*) et des offres « On Demand » dont StreamWorks, l'application collaborative. Rappelons que SAP est en cours de rachat de l'éditeur SuccessFactors, spécialisé sur la gestion des ressources humaines en mode SaaS.

En 2012, SAP France mise aussi beaucoup sur les offres applicatives (Lines of business). « Nous allons doubler la taille de ce département qui valorise la richesse latente des ERP de nos clients ». Des efforts supplémentaires seront de nouveau faits sur les régions. Enfin, dans le domaine des services, la filiale veut accompagner l'innovation au coût le plus réduit, en s'appuyant en particulier sur ses offres de déploiement RDS. Celles-ci sont développées par les équipes SAP, sous forme de propriété intellectuelle réplicable. Il en existe 57 pour l'instant au niveau mondial. « Cela fait bouger le ratio licences/services », souligne Nicolas Sekkaki (**). Nous voulons apporter de la valeur ». Avec un objectif clair : faire baisser le coût des solutions SAP. 

Le dirigeant français rappelle par ailleurs que le support de la version ECC 6 de l'offre phare de SAP a été étendu jusqu'en 2020. Cette version s'appuie sur une technologie de web services qui permet ensuite aux clients d'évoluer à leur convenance en s'épargnant de lourds chantiers de migration.

En résumé, pour 2012, « le pipeline est bon, même s'il y a une incertitude sur l'avenir », estime Nicolas Sekkaki. Les clients font très attention à leurs dépenses mais « ils veulent dégager de l'efficacité opérationnelle ».


(*) Sur Business ByDesign, son offre de gestion en mode SaaS, SAP a atteint le mille et unième client au niveau mondial. Avec cette solution, l'éditeur cible désormais des PME un peu plus grosses qu'avant. Il vise 2 milliards d'euros sur ses activités 'On demand' en 2015.

(**) Le ratio coût des licences/coût du service est couramment de 1 pour 6 ou 7.

(...)

(31/01/2012 17:26:46)

Salesforce.com lance un service de help desk en mode SaaS

Desk.com, l'application mobile d'assistance en mode SaaS proposée par Salesforce.com, s'appuie sur l'acquisition en septembre dernier de Assistly. Elle peut être déployée en quelques jours, même par des entreprises qui ne disposent pas de spécialistes informatiques. L'application établit le lien avec les utilisateurs en détresse via les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter. Alex Bard, ancien PDG d'Assistly et maintenant en charge de Desk.com chez Salesforce.com, explique « les clients sont maintenant mobiles, connectés et dans un contexte international » et d'ajouter « il est donc essentiel d'adapter les logiciels de help desk aux réseaux sociaux ». La solution Desk.com permet donc aux entreprises d'intégrer Facebook et Twitter à leur service d'assistance pour répondre directement aux clients ou à l'utilisateur.

L'application mobile a été réalisée en HTML5 pour la rendre compatible avec plusieurs terminaux et OS mobiles. L'expérience mobile propose plusieurs fonctionnalités : l'envoi des réponses individuelles, modifier le statut du cas traité, changer la priorité des demandes, etc. Desk.com donne la possibilité aux entreprises de se constituer une base de connaissances sur les questions les plus fréquemment posées. Cette base pourra être interrogée par les clients pour résoudre leur problème sans intervention humaine.

Les prix de cette solution  commencent à 49 dollars par agent et par mois (l'application mobile est incluse), avec un accès illimité. Salesforce.com propose également un tarif flexible de 1 dollar par heure et par agent. Desk.com sera disponible au cours du 1er trimestre 2012. Avec Desk.com, Salesforce.com entend concurrencer les outils de Zendesk qui intègrent aussi Facebook et Twitter. Le prix des solutions de Zendesk est de 20 dollars par an pour l'édition Starter (limitée dans les fonctionnalités) et de 99 dollars par utilisateur et par mois pour l'édition entreprise.

(...)

(31/01/2012 14:29:56)

Metaflows lance une plateforme SaaS pour unifier la sécurité réseaux

La startup Metaflows, basée à San Diego, a présenté une plateforme pour unifier la sécurité réseaux. MetaFlows Security System (MSS) comprend une partie logicielle installée en local sur des serveurs standards et un service cloud sur lequel sont stockés les résultats. Les capteurs de MSS enregistrent les événements sur le réseau local et transmettent les données correspondantes au cloud de MetaFlows où elles sont analysées et triées selon les priorités. Les clients peuvent consulter ces résultats à tout moment via une interface web sécurisée.

Les capteurs peuvent être déployées sur des matériels distincts ou être installés sur le matériel existant du client. Ils tournent sur une base Linux associant technologies propriétaire et Open Source. La partie logicielle comprend un système de détection des intrusions (Intrusion Detection System - IDS) BotHunter ; un logiciel de SRI International permettant d'éviter la prolifération de faux positif ; le système de prévention et de détection des intrusions Open Source Snort, parmi les plus utilisé à travers le monde, qui bénéficie des signatures génériques du projet Emerging Threats ; les extensions Flow, NetFlow, sFlow et cFow pour la surveillance du trafic sur le réseau ; des outils de gestion des historiques compatibles OSSEC (Open Source Security), plus les applications MetaFlows propriétaires. La startup propose également un forfait pour la mise en place d'un client « honeypot » qui agit comme un leurre pour les menaces sur le réseau interne, indispensable dans la détection et l'analyse des nouvelles menaces qui rôdent sur les réseaux informatisés. Cette fonctionnalité est optionnelle.

« Comparé aux produits IDS et IPS traditionnels, l'un des principaux avantages du système MSS est le faible coût de son déploiement et de son entretien, » a déclaré Livio Ricciulli, PDG de MetaFlows. Ces économies sont en parti dues à l'utilisation de logiciels Open Source, mais grâce également aux améliorations apportées par MetaFlows. C'est le cas par exemple des modifications réalisées sur la bibliothèque d'enregistrement des paquets PF_RING qui permet le support du multithreading sur les instances Snort intégrant plusieurs processeurs multi-coeurs. De cette façon les capteurs de MetaFlows peuvent supporter un débit soutenu de 800Mbit/s avec un processeur Intel Core i7 à huit coeurs (coût : environ 1000 dollars). Comparativement, sans la transformation de MetaFlows, cette même bibliothèque permettrait d'atteindre un débit maximum de seulement 100 Mbit/s.

Un ranking des menaces à la Google et un coût moindre

Côté serveur, la startup a développé un algorithme de prédiction des menaces qui ressemble à celui utilisé par le moteur de recherche de Google pour classer les sites dans ses pages de résultats. Cette technologie est utilisée pour hiérarchiser les événements, et accroît donc la productivité des analystes en sécurité. Selon le PDG de MetaFlows, les tests effectués par l'entreprise ont montré qu'avec une solution IDS traditionnelle, un analyste doit décortiquer entre 20 et 30 incidents avant de trouver celui qui exige une action. Cependant, parce que l'algorithme prédictif de MetaFlows utilise des statistiques anonymes de tous les clients pour identifier les événements les plus graves, un analyste aura à scruter que six ou sept incidents seulement afin de trouver celui qui demande une intervention. De fait, le fonctionnement de la plate-forme elle-même, qui traite ensemble et en un même lieu les données de tous les capteurs déployés dans les réseaux informatiques d'une seule entreprise, permet une meilleure collaboration entre les analystes.

Selon Livio Ricciulli, « un appareil IDS bas de gamme coûte 20 000 dollars, l'abonnement à un service de surveillance coute 4 000 dollars par an et l'emploi d'un administrateur affecté à ce travail de surveillance, 80 000 dollars par an. » Comparativement, l'appareil de MetaFlows coûte 2 000 dollars, l'abonnement 99 dollars par mois et le salaire de l'administrateur 50 000 dollars environ.

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(30/01/2012 17:08:40)

Des outils pour explorer les bases de brevets et mener sa veille économique

Destiné à des équipes de R&D et de veille technologique, le logiciel Matheo Patent facilite la consultation de la base de données du bureau américain des brevets, l'USPTO (United States Patent and Trademark Office), et de la base Esp@cenet, cette dernière donnant accès à 70 millions de documents sur les inventions et évolutions techniques dans le monde depuis 1836. Sa version 9.6 est compatible avec les nouvelles contraintes des services d'Esp@cenet. L'interface du logiciel a été modifiée pour améliorer son utilisation. Son éditeur Matheo Software signale un module d'interrogation plus intuitif qui propose une prévisualisation et une sélection des brevets à télécharger. Des fonctions graphiques ont par ailleurs été ajoutées pour afficher sur une mappemonde les déposants et les inventeurs par pays, ou pour visualiser les pays de dépôt. Un autre type de graphique permet de représenter les séries multiples. Le design est paramétrable. 

Logiciel Matheo Patent
(Cliquer ici pour agrandir l'image)

L'abonnement annuel au logiciel démarre à 600 euros. Le prix est dégressif en fonction du nombre de poste. Une version d'évaluation gratuite est disponible.

Cartographie d'informations structurées

Créé en 2003, l'éditeur Matheo Software développe des solutions d'aide à la décision et d'analyse de l'information. Il propose également le logiciel Matheo Analyzer conçu pour assurer une veille scientifique, stratégique, commerciale ou concurrentielle. Celui-ci convertit en information stratégique des données structurées pertinentes recueillies dans un domaine technologique. Dans sa version 4.0, le module d'importation a été simplifié. Il est possible de récupérer des données de tous fichiers structurés venant de bases telles que PubMed, Qestel-Orbit, Sialog, STN ou Esp@cenet.

Des méthodes de clustering automatique ont été ajoutées : K-Means, Dendrogramme et Propagation. Cela permet de générer une classification dynamique et de naviguer dans un volume important de données. Enfin, le logiciel propose un tableau de bord personnalisable, MyAnalyzer. Il existe une version d'évaluation gratuite du produit. La licence de la version complète coûte 3 450 € HT par poste (tarif dégressif). Elle est proposée en mono-poste pour garantir la confidentialité des données, explique son éditeur, qui ajoute que les données sont stockées localement.

Matheo Analyzer, le tableau de bord
Les fonctions de tableau de bord MyAnalyzer (cliquer ici pour agrandir l'image)

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