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Recrutement
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(30/12/2011 14:35:08)
Le nombre d'inscrits à Pôle Emploi dans la IT n'a pas augmenté en novembre
Les statistiques mensuelles sur le nombre de personnes inscrites à Pôle Emploi comportent une répartition par qualification professionnelle. Celle-ci est publiée par la Dares(*) sous la forme de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables (**).
Pour le mois de novembre 2011, dans les métiers rattachés aux « Systèmes d'information et de telécommunication », les chiffres publiés ne font pas apparaître de hausse du nombre d'inscrits. Sur le décompte de la catégorie A, regroupant les personnes n'ayant déclaré aucune activité dans le mois, ce nombre est revenu à son niveau de septembre, soit 25 900 (contre 26 300 en octobre 2011). En y ajoutant les personnes en recherche d'emploi ayant eu une activité sur la période, même réduite (catégories B et C), on retrouve aussi le nombre d'inscrits publié en septembre pour les métiers de la IT : 32 200 (contre 32 400 en octobre 2011).
La Dares avait communiqué au début de la semaine le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi. De façon globale, tous métiers confondus, celui-ci a augmenté de 1,1% par rapport à la fin octobre 2011 dans la catégorie A (sans activité dans le mois) et de 1,2% pour les catégories A/B/C, incluant les personnes ayant eu une activité dans le mois, même réduite. Au total, sur un an, l'augmentation est de 5,6%.
(*) Dares : Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique.
(**) cf Séries mensuelles nationales brutes
Défi H : Tremplin accorde handicap et études supérieures
L'association Tremplin Entreprises a vocation à guider les étudiants handicapés vers leur insertion professionnelle. Elle est soutenue par un réseau de près de 180 partenaires et administrée par cinq d'entre eux, dont IBM et Capgemini (*). « Nous avons, en fait, un double rôle qui consiste à accompagner les étudiants vers les entreprises, mais aussi à aider celles-ci à accueillir les jeunes », explique Christian Grapin, directeur de Tremplin. L'objet de notre création, avant même de parler de l'intégration dans l'emploi, c'est l'accès aux études. Il faut que les personnes acquièrent les niveaux de qualification demandés ».
Pour que les entreprises puissent répondre à l'obligation d'emploi qui leur est faite, elles doivent pouvoir trouver les profils qu'elles recherchent, souligne le responsable. Or, le manque de qualification les pénalise et notamment dans le secteur IT, en quête de diplômés de niveau Bac+2 et au-delà. « Tremplin veut y remédier en encourageant les jeunes à aller vers les études supérieures », pointe Christian Grapin.
S'orienter, communiquer, se former
L'association Tremplin est, avec l'Adapt, partenaire du Défi H, élaboré par Sogeti avec Le Monde Informatique. Dans le cadre de ce 1er Trophée des Grandes Ecoles et Universités au service du handicap, sept équipes d'étudiants concourent autour d'innovations technologiques facilitant l'insertion professionnelle des personnes handicapées. Chaque groupe est accompagné par un coach Sogeti et par une association. Tremplin soutient le dossier SimpaH, présenté par l'équipe de la MIAGE de Grenoble (**). L'objectif est ici de développer une application pour tablette qui aidera les étudiants en situation de handicap moteur et visuel à disposer des informations pour s'orienter, communiquer et se former (supports de cours, suggestion d'itinéraires adaptés ...).
Dans ce projet, « il ne s'agit pas de maintien dans l'emploi mais d'accès aux études supérieures. Une solution informatisée pour le faciliter, c'est excessivement utile », apprécie Christian Grapin. « Les étudiants utilisent beaucoup l'ordinateur. Encore faut-il qu'ils aient accès aux discours du professeur, s'ils ont une déficience auditive par exemple, ou à ce qui est projeté, s'ils ont une déficience visuelle, ou encore aux bâtiments. »
Le déficit de qualifications parmi les personnes handicapées s'explique non seulement par la difficulté à disposer d'équipements adaptés (le coût des outils représente un obstacle majeur pour certains), mais aussi parce que les jeunes s'autocensurent. Il arrive également que leurs proches les découragent en craignant que les études supérieures ne représentent un parcours trop difficile à surmonter, regrette le directeur de Tremplin. Il rappelle qu'environ 80% des personnes handicapées en âge de travailler, en poste ou à la recherche d'un emploi, ont un niveau inférieur au baccalauréat.
Jusqu'au niveau Bac+5
Sur une année, Tremplin accompagne durablement de 300 à 350 jeunes dans leur cursus d'étude et suit leur entrée dans le monde professionnel. Cela se traduit par plus de 760 actions menées en entreprise : parfois de simples rencontres ou des stages, des jobs d'étudiants, de l'alternance et jusqu'au premier emploi. « Nous les aidons à développer leur niveau de qualification si un métier les intéresse et que leur handicap ne représente pas un obstacle rédhibitoire pour l'exercer. Il arrive que ce ne soit pas possible », indique Christian Grapin. Parmi les jeunes suivis par Tremplin ayant un bac ou allant le passer, « certains ressortent définitivement de l'accompagnement avec un niveau Bac+5 ». Le dirigeant évoque le cas récent d'un jeune homme, détenteur d'un bac S, qui a choisi les carrières de l'informatique à dominante scientifique, un handicap moteur l'empêchant, d'après ses expériences, de s'orienter vers des métiers en laboratoire. « Il s'agit là d'une stratégie professionnelle orientée par le handicap ».
Tremplin a un double rôle. Il lui faut aussi mobiliser les acteurs de l'entreprise (managers, tuteurs, équipes de travail) pour qu'ils accueillent les jeunes et mettent le handicap à sa juste place. Les métiers évoluent techniquement. Ce qui pouvait être pour les personnes handicapées une réelle limite à leur pratique ne l'est parfois plus grâce à l'avancée de la technologie, comme en médecine, avec les capacités d'intervention à distance et de visualisation avancées. Au passage, le dirigeant évoque aussi d'autres solutions informatiques adaptées au monde de l'entreprise, présentées notamment par IBM, telles qu'un clavier pour les personnes ne pouvant utiliser qu'une seule main. Ou encore la plateforme Tadeo qui met en relation collaborateurs sourds ou malentendants avec des interlocuteurs qui entendent, notamment par l'intermédiaire d'un opérateur connaissant le langage des signes.
Utiliser l'informatique pour les études supérieures, puis accéder au système d'information avec des outils adaptés, peut faire évoluer l'insertion professionnelle des personnes handicapées. « Souvent, s'intéresser à l'amont permet de régler, voire d'éliminer, les problèmes en aval », rappelle Christian Grapin.
Bilan emploi 2011 : Le secteur informatique sous tension
Selon le Syntec Numérique, tous les indicateurs de diffusion d'offres d'emploi, d'intentions d'embauches et d'insertion des jeunes diplômés sont restés positifs tout au long de l'année. Le secteur IT reste toujours le plus important recruteurs de cadres, avec 40 000 recrutements réalisés en 2011 et 10 000 créations nettes d'emplois.
L'Apec confirme, dans la troisième édition de son baromètre réalisé avec Syntec Numérique, que l'emploi des cadres de la high-tech a été particulièrement dynamique cette année. Deux tiers des entreprises ont indiqué que leurs recrutements étaient plus nombreux qu'il y a un an, et trois entreprises sur quatre ont mentionné maintenir leurs embauches dans les six prochains mois. Effet de la reprise de l'activité et de la forte progression des offres, les recruteurs éprouvent des difficultés à trouver des candidats adaptés aux postes à pourvoir. L'enquête « Besoins en main d'oeuvre » conduite par Pôle Emploi et le Credoc montre en effet que les informaticiens font partie des 10 spécialités les plus difficiles à trouver. Les tensions concernent les cadres et les ingénieurs d'études et développement, les spécialistes de la R&D et les responsables informatiques, les techniciens de maintenance informatique et les ingénieurs télécoms.
Les SSII présentes sur les salons de l'emploi peinent toujours à recruter des profils de niveau expérimenté dans différents domaines, comme celui des infrastructures ou du développement applicatif.
90% des jeunes de la promotion 2010 en poste
Après une année 2010 difficile, l'emploi des jeunes diplômés issus de la filière IT est à nouveau sur une tendance favorable , note encore une fois l'Apec C'est en effet dans les disciplines à forte dominante technologique que le taux d'accès au premier emploi a le plus progressé. Dans l'informatique, les télécommunications, et les technologies multimédia, il a gagné 18 points par rapport à la promotion de 2009 pour atteindre 90%. Les jeunes diplômés de l'informatique ne sont plus que 10% en recherche d'emploi, ce qui représente un taux deux fois moins élevé par rapport aux autres secteurs.
Reste que la filière continue d'attirer moins de femmes que d'hommes. Selon l'étude « Mutationelles 2011 » d'Orange sur la situation des femmes ingénieurs en France. seules 14% des ingénieurs de sexe féminin ont un poste dans le secteur numérique, A l'occasion du 100ème anniversaire de la journée internationale de la femme, Neelie Kroes, commissaire européenne en charge de la société numérique a fait remarquer que les femmes étaient sous-représentées dans l'IT surtout dans les fonctions de management.
Cette situation s'accompagne d'un développement du chômage. D'après les derniers chiffres de Pôle-Emploi, l'informatique comptait 32 400 inscrits à la fin du mois d'octobre. Entre temps, le climat économique difficile a commencé à faire ses premières victimes. Cet été Cisco annonçait la suppression de 10 000 emplois dans le monde, soit14% de ses effectifs, dans le cadre d'un vaste plan d'économies .L'établissement bancaire britannique HSBC
coupait 30 000 emplois au niveau mondial, dont des fonctions IT liées au back office. Il y a quelques jours, Logica indiquait procéder à 1 300 coupes en Europe, tandis que 360 salariés de la filiale française d'Alcatel Lucent (ALF) apprenaient qu'il devraient changer de métier en 2012, au sein du groupe, faute d'activité.
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Alter Way recrute et forme aux logiciels libres
Pour faire face au besoin croissant de recruter des profils spécialisés dans son secteur, Alter Way, société de services spécialisée dans les logiciels libres, annonce la mise en place d'un programme de formation et de recrutement dédié aux passionnés de l'Open Source. A partir de janvier prochain, La Libre Académie accueillera des jeunes diplômés, des personnes en reconversion, ou des informaticiens seniors adeptes du logiciel libre.
Administration, développement, contribution
La formation, qui s'étale sur 4 mois, mêle théorie, pratique et contribution. Elle se compose de deux parcours axés sur l'administration systèmes et réseau et sur le développement web. Encadrés par des collaborateurs seniors d'Alter Way, les participants travailleront également aux projets contributifs de l'opérateur.
La SSLL entend doubler sa taille pour atteindre environ 250 salariés fin 2013 soit un plan de recrutement de 150 personnes sur 3 ans, grâce à ce dispositif de formation. Ce parcours devrait couvrir 25 à 30 % des besoins de recrutement du groupe.
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Une solution SaaS pour piloter les recrutements chez Bolloré
Si cette décentralisation ne pouvait pas être remise en cause, il était néanmoins nécessaire d'optimiser les processus administratifs (automatisation des accusés de réception...), unifier la communication vers les candidats potentiels (notamment les interfaces avec les jobboards) et mettre en place des synergies comme la création de viviers communs de candidats.
En 2009, le groupe lance un projet pour se doter d'un outil permettant une telle optimisation. La DRH groupe et trois entités pilotes rédigent un cahier des charges et recherchent une solution. Le SaaS Profils.Net de Rflex est finalement choisi. La mise en oeuvre et le paramétrage initial prennent cinq mois. Le projet passe en phase opérationnelle en février 2011 et se déploie progressivement sur le groupe, pour l'instant seulement en France. Le groupe a mis en place un référentiel métier commun (avec des filtres par activité de chaque entité). La plate-forme unique permet aussi de mutualiser les viviers de candidats avec un moteur de recherche qui inclut les pièces jointes aux e-mails (CV...) pour faciliter l'exploitation de cette base. Les technologies mises en oeuvre accélèrent les tâches chronophages et peu porteuses de valeur. Le coût du projet n'a pas été révélé.
Indicateur Apec : +53 % pour les offres IT depuis un an
D'après l'indicateur mensuel de l'Apec, qui suit les évolutions du marché de l'emploi par fonction, le volume des annonces à destination des informaticiens a de nouveau augmenté au cours du mois dernier. Ce baromètre montre en effet que dans l'IT, le volume des annonces, qui représentent 27% de l'ensemble des offres de cadres, a augmenté de 53% sur douze mois glissants*. Le nombre de propositions a progressé dans l'ensemble des filières, et c'est toujours l'Informatique de gestion qui regroupe le plus grand nombre de demandes. Dans cette catégorie, 4 067 offres ont été confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 52 511 annonces ont pu être comptabilisées sur une année (+ 33%).
Plus de 19 000 demandes pour la fonction web
La demande en directeurs de systèmes d'information a fortement progressé au cours du mois dernier (+97% et 4 318 postes). La catégorie Maîtrise d'ouvrage et fonctionnel affiche elle aussi une belle progression (+89%, soit un total de 16 392 propositions). La fonction web, sites et portails Internet enregistre également une croissance importante (+82%) avec 1 710 annonces déposées au cours du mois dernier et 19 384 postes cumulés sur douze mois.
Egalement à la hausse, les offres en Exploitation et maintenance informatique (+-61%, soit 8 546 demandes déposées sur douze mois), en Systèmes réseaux et données (+56% et 28 561 annonces comptabilisées sur un an) et également en Informatique industrielle (+51% et 18 418 postes).
* C'est à a dire sur la période de décembre 2010 à novembre 2011, par rapport à la période de décembre 2009 à novembre 2010.
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Capgemini s'engage en faveur de la parité hommes/femmes
La semaine dernière, Capgemini et sa filiale Sogeti, ont signé avec cinq organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, Force Ouvrière) un accord sur l'égalité professionnelle en France. Cet accord concerne l'ensemble des 20 000 collaborateurs du groupe dans l'Hexagone qui comprend 25% de femmes. Il prévoit un objectif de 29% de jeunes filles au bout de trois ans, grâce à des actions dans les écoles et universités pour faire connaître les métiers technologiques et les possibilités de parcours professionnel. Les cabinets de recrutement partenaires devront présenter systématiquement parmi leurs recommandations au moins une candidature féminine.
Des actions à destination des jeunes parents
La SSII entend également accroître le taux de promotion des femmes, en réduisant les freins à l'évolution (mobilité, accès à la formation, représentation des métiers). Un budget de 500 000 € a été dégagé dans le cadre de l'égalité salariale.
Une charte de la parentalité, signée par Capgemini le 13 mai 2011, recherchera les moyens pour mieux harmoniser vie professionnelle et vie privée. Il s'agira notamment de créer un environnement plus favorable aux jeunes parents et aux femmes enceintes et de briser les préjugés. Un guide de la parentalité permettra de donner à tous les salariés une information complète sur ce qui est fait pour mieux concilier l'activité professionnelle avec son rôle de parent. Une commission de suivi évaluera l'impact des mesures mises en oeuvre.
Un million d'euros chez Alcatel, 500 000 euros chez HP
D'autres entreprises de la high-tech se sont également engagées dans cette voie. En janvier 2011, Alcatel-Lucent (10 000 salariés dont 25% de femmes), annonçait la signature, en France, d'un accord sur l'égalité hommes /femmes et d'un plan s'articulant autour de trois grands volets : la féminisation de l'entreprise et des filières grâce des campagnes de sensibilisation dans les filières techniques et auprès des acteurs de l'Education nationale, la promotion des carrières et des salaires des femmes grâce à une enveloppe d'un million d'euros sur trois ans et la conciliation entre vie privée et professionnelle au sein du groupe
Chez HP France, la négociation égalité professionnelle dure depuis 2005, avec de longs moments d'interruption. Elle s'est concrétisée par la signature, en avril 2010, d'un accord visant à réduire l'écart salarial entre les femmes et les hommes. Un budget de 500 000 euros avait été alloué par la direction pour couvrir les rattrapages salariaux de 63% des femmes employées par HP, soit plus de 580 d'entre elles. Ces rattrapages collectifs ont eu lieu en juin 2010 et 2011. Une commission de suivi paritaire a également été mise en place pour traiter les cas individuels avérés d'inégalité entre les femmes et les hommes au niveau salarial, comme sur le plan de l'évolution de carrière. 2012, qui sera la 3ème et dernière année de la mise en application de l'accord, sera également celle de sa renégociation.
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Baromètre HiTechPros/CIO : le marché de la prestation informatique reste tendu
Toujours sur les compétences techniques, les demandes ont le plus augmenté sur les catégories techniques suivantes : CRM/Décisionnel/Datamining (+45 %), nouvelles technologies (+14 %) et systèmes/réseaux/sécurité (+10 %). En revanche, certaines catégories techniques ont été affectées par une baisse sensible de la demande : Informatique Industrielle et Electronique R&D (-37 %), Clients serveur : -34 % et mainframe (-13 %).
Pour consulter le baromètre : www.hitechpros.com/info/market.asp (...)(07/12/2011 12:45:54)
Pénurie de compétences mainframes, selon Compuware
Compuware a publié les résultats d'une étude réalisée par Vanson Bourne* sur l'utilisation du mainframe en entreprise. Cette enquête a été menée auprès de 520 DSI dans le monde, dont une centaine en France. Elle montre que 71 % des responsables informatiques redoutent le manque imminent de compétences mainframe qui pourrait porter préjudice à leur activité. Les DSI craignent en particulier une augmentation des risques applicatifs (58 %), une baisse de la productivité (58 %) et une multiplication des dépassements budgétaires des projets (53 %).
Erreurs et pannes applicatives
Kris Manery, vice-président et directeur général de la division des solutions mainframe de Compuware souligne, dans un communiqué, que la perte d'expertise provoquée par le départ à la retraite des spécialistes des mainframes provoquera une hausse des coûts car les développeurs inexpérimentés auront besoin de temps pour se familiariser avec ce type d'applications Pour lui, cette forte courbe d'apprentissage multipliera les risques d'erreurs et accroîtra le manque à gagner dû aux pannes applicatives.
Près de 79 % des DSI confirment que les défaillances des applications mainframe constituent un risque significatif, mais 78 % affirment que celles-ci demeureront un actif clé pour l'entreprise pendant les dix prochaines années. Les entreprises devront donc rapidement faire face au problème de la fuite des ressources mainframe pour ne pas tomber dans une multiplication des coûts et des pannes applicatives, La principale difficulté des DSI résidera donc dans la gestion des ressources. L'étude indique que les plus habiles vont chercher à rationaliser les investissements mainframe en optimisant la productivité des nouvelles recrues et des développeurs expérimentés encore en place, mais aussi en augmentant l'efficacité des services informatiques.
* Commandée par Compuware et réalisée par le cabinet d'études Vanson Bourne, l'étude a sondé 520 DSI dans des entreprises de plus de 1 000 employés : 100 en Grande-Bretagne, une proportion équivalente en en France, en Allemagne et aux États-Unis ainsi que 30 en Italie, et une même quantité au Benelux, au Japon et également en Australie.
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