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Recrutement
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(07/03/2007 17:33:21)
Bill Gates inquiet sur l'avenir des Etats-Unis en matière de performance IT
Bill Gates se dit "profondément inquiet" quant à la capacité des Etats-Unis à conserver dans le futur leur leadership en matière de technologies de l'information. En cause : le système de formation, des investissements erronés en matière de R&D et une politique d'immigration inadéquate. C'est la conclusion d'un témoignage écrit envoyé à la commission sénatoriale américaine pour la santé, la formation, le travail et les retraites dans le cadre d'une enquête sur "la compétitivité américaine pour le 21ème siècle". Selon le président de Microsoft, les Etats-Unis rencontrent de sérieux problèmes de main d'oeuvre qualifiée susceptible de les aider à maintenir leur rang. Bill Gates - devenu la première fortune mondiale en seulement deux décennies - estime que la société sacrifie trop souvent le bien sur le long terme pour des gains sur le court terme. En tête des propositions de Gates : l'objectif d'un nombre plus élevé de diplômés de grandes écoles avec une prééminence qui doit être accordée aux mathématiques et aux sciences. Côté immigration il aborde surtout le cas des étrangers en fin d'étude. Selon lui le système américain actuel conduit plutôt à pousser dehors de bons éléments, avec un nombre de cartes vertes (visa de travail) trop peu important. Dur avec le système éducatif de son pays il affirme que "au regard de l'état de l'enseignement américain il n'est pas étonnant que les sociétés américaines soient confrontées à une pénurie de compétences". Et de citer une étude du ministère de l'enseignement datant de 2005 selon laquelle "seuls 13% des américains d'âge adulte ont le niveau et les compétences nécessaires à une bonne compréhension de la manière de rechercher, d'appréhender et d'utiliser des information dans un cadre informatique". (...)
(07/03/2007 15:30:01)Plus de femmes dans l'informatique mais peu avec des responsabilités
La société a donné une journée aux femmes, le 8 mars, dont la présence au sein de la population française se monte à 51%. Une étude de la WWWICT (Widening Women's Work in Information and Communication Technology) parue en 2004, montre cependant que la féminisation dans l'informatique est en constants progrès, puisqu'elles occupent des postes dans toute la chaîne. Il est de moins en moins rare de voir des femmes faire du développement, être chef de projet ou occuper un poste lié aux activités en ligne. Reste que les postes à responsabilité semblent leur être toujours fermés. Selon une étude de la Darès (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) datant de 2002, elles occuperaient dans l'informatique 20% des postes de cadres. Ainsi, à la question : "Pensez-vous que les femmes ont les mêmes chances d'occuper un poste à responsabilité que les hommes ?", posée sur le sites Monster.fr et feminin.monster.fr, 76% de femmes ont répondu par la négative ! De même, pour un tiers des femmes qui ont accepté de répondre à ce sondage, il est difficile de concilier vie professionnelle et vie privée. Enfin, Monster indique qu'elles sont 51% à répondre qu'il existe un écart de salaire de 20% entre elles et les hommes, une internaute sur quatre estimant même que "dans le contexte actuel, l'écart se creuse à 25%". Quant à la journée de la femme, 15% des femmes répondent que cela permet une prise de conscience des inégalités hommes/femmes. (...)
(21/02/2007 17:42:14)Java, J2EE, .Net et... Cobol ont la cote
De nombreuses entreprises continuent sur la lancée de 2006 et annoncent des recrutements pour honorer leurs carnets de commande. Parmi elles, Akio, éditeur de solutions « gestion de relations clients sur Internet », recherche 30 candidats et RWD Technologies, spécialiste SAP, annonce « 20 recrutements immédiats ». De leur côté, Cegid, éditeur de progiciels de gestion, et Softeam (technologies objets et nouvelles architectures logicielles) veulent recruter 100 nouveaux collaborateurs chacun. Enfin, Ajilon IT Consulting ouvre 350 postes disponibles. Si les profils les plus recherchés sont ceux d'IED (ingénieurs études et développement) avec, comme en 2006, le recrutement d'experts en Java, J2EE ou .Net (à tel point que Microsoft a intensifié ses formations), il est intéressant de constater qu'Ajilon recherche également des spécialistes en Cobol/MVS. Après des années de disette, dépassés par les solutions éditeur et Open Source, le temps du retour en grâce des Cobolistes serait-il venu ? « Le recrutement est significatif et il est surtout destiné au secteur banque-finance », indique-t-on chez Ajilon qui précise également que de nombreux Cobolistes étant en poste, les experts se font rares et qu'ils sont désormais recherchés ! (...)
(19/02/2007 12:35:28)Dell débauche chez Motorola pour renouveler ses élites
Dell poursuit sa campagne de renouvellement des dirigeants en débauchant Ron Garriques de Motorola pour en faire le patron de sa branche grand public. Et ce, deux jours après avoir annoncé le recrutement de Michael Cannon à la tête des activités opérationnelles. Depuis que Michael Dell a repris la tête, le 31 janvier, du groupe qu'il a créé, les changements majeurs s'enchaînent. L'objectif : faire face aux nombreux soubresauts qui frappent l'entreprise, à commencer par la perte de sa première place mondiale au classement des vendeurs d'ordinateurs au profit de HP, mais aussi le rappel de millions de batteries de portables, l'enquête menée par la SEC (le gendarme de la Bourse américaine) sur les pratiques comptables douteuses ou les soupçons de marge arrière payées par Intel. Motorola a confirmé la démission immédiate de Ron Garriques, dont l'intérim sera assuré par les vice-présidents Ray Roman et Terry Vega. La nouvelle recrue de Dell dirigera une nouvelle entité chargée de superviser l'ensemble des produits grand public des portables aux périphériques, en passant par les logiciels. L'accent que compte mettre Dell sur le marché grand public vise en particulier les marchés émergents, là où, selon Michael Dell, se trouve la majorité des futurs consommateurs d'IT. « Nous demandons à Ron de créer une organisation grand public mondiale qui mettra en place les nouveaux standards en termes d'innovation [et] apportera de la flexibilité dans la façon dont nous construisons et distribuons nos produits et nos services », explique le fondateur du groupe (...)
(16/02/2007 11:16:07)Le Pacte PME revu par ses initiateurs, version campagne électorale
« Ce n'est pas avec une politique égalitariste de soutien aux PME que peuvent émerger des champions nationaux ». En présentant le nouveau livre blanc du Comité Richelieu, d'emblée, Emmanuel Leprince, son délégué général, met en exergue l'apport mais aussi les limites du Pacte PME, et autre plan « gazelles » visant à soutenir la croissance des petites structures. Le premier retour d'expérience du Pacte, avec treize organisations professionnelles signataires (dont le Cigref et la fédération Syntec), onze pôles de compétitivité, une trentaine de grands comptes et près d'un millier de PME, indique déjà un fort intérêt pour un tel dispositif d'intensification des contacts entre grands donneurs d'ordre et PME. Mais « il faut aller plus loin », martèle ce représentant du Comité initiateur de ce Pacte avec Oseo-Anvar. Aller plus directement vers un « Small Business Act » à l'échelle européenne. Car suivre l'indicateur achat (part des PME dans les achats des grands comptes) comme le veut le Pacte à la française, n'amène pas forcément à reconnaître le rôle-clé de la R&D de ces structures. « Il suffirait qu'une centaine d'entreprises accède au rang de leaders mondiaux, jugés au poids de leur investissement en R&D, en cinq ans, pour que la France rattrape son retard », résume Emmanuel Leprince. Ce raisonnement part du constat d'un tissu économique, porteur de R&D, beaucoup plus clairsemé en Europe (0,72 entreprise par million d'habitants, parmi le Top 1000 des acteurs R&D établi par le ministère de l'industrie britannique), qu'aux Etats-Unis (le taux est de 1,44) ou au Japon (1,62). Mobilisation positive Un objectif à cinq ans ! C'est la durée d'un mandat présidentiel et, donc, la borne d'étape suggérée pour une politique qui viserait à faire grimper dans le classement mondial une poignée de champions nationaux. Une politique qui miserait sur une « mobilisation positive » de tout l'écosystème autour des meilleures PME innovantes. Car mobilisation ne signifie pas discrimination positive (un point particulièrement sensible pour l'accès des PME aux marchés publics) qui serait contraire au principe de l'OMC. L'Europe des 27 prend d'ailleurs la voie d'un traitement privilégié pour les PME, les ministres des Affaires étrangères de l'Union ayant adopté ce lundi 12 février un texte dit « de compromis » à cet égard, entre les pays favorables et les pays opposés à ce type de dispositif (selon Le Monde, 14/02/07). Sur cette même ligne, les sept étapes préconisées par le Livre Blanc du Comité Richelieu visent autant l'élargissement du Pacte PME à d'autres acteurs (banques, investisseurs, laboratoires publics) que la part prise (ou à prendre) par les pouvoirs publics dans cette mobilisation positive. Tout en insistant sur la nécessité d'une sélection plus stricte des PME concernées, pour mieux cibler et éviter l'écueil du saupoudrage. Le label d'entreprises gazelles, sur la base de deux années successives de croissance, est déjà un signe de volonté de croissance de la part de l'entreprise. Mais ce critère reste fort limité pour cerner un potentiel de « champion national » fondé sur l'investissement en R&D. La dynamique des pôles de compétitivité, associant des PME à des projets, parfois en chefs de file, peut être un des mécanismes de repérage de ces graines de champions. Avec Oseo, comme acteur central, « naturel puisque déjà organisme porteur du Pacte PME », suggère le livre blanc. (...)
(15/02/2007 17:03:09)600 000 informaticiens en 2015 (selon CAS/Darés)
Le rapport « Les métiers en 2015 » co-écrit par le CAS (Centre d'analyse stratégiques) et la Darés (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) examine en détail une vingtaine de domaines professionnels sous l'angle de la demande et de l'offre de travail. Sans réelle surprise si l'on s'en réfère aux dernières analyses d'emploi dans l'informatique, qui montrent d'excellents chiffres en 2006 et des perspectives sur des bases semblables voire meilleures en 2007, cette étude indique que dans huit ans, la France devrait compter un peu plus de 600 000 informaticiens, alors qu'ils n'étaient que 200 000 en 1985, près de 300 000 dix ans plus tard et que la barre des 500 000 devrait être franchie en 2010. Ces chiffres sont très encourageants pour les collégiens et étudiants qui cherchent une carrière aux perspectives florissantes. Moins de cadres et plus de techniciens Sur l'ensemble du secteur, 224 000 créations nettes d'emplois seraient faites, réparties en 149 000 pour les « informaticiens », 60 000 dans la filière « personnels études et recherche » et 15 000 seulement dans celle « ingénieurs et cadres de l'industrie ». A noter toutefois qu'il n'y a pas de grands projets créateurs d'emplois de cadres en vue, comme ce fut le cas il y a quelques années avec le passage à l'an 2000 ou à l'euro. De plus, beaucoup d'entreprises sont maintenant équipées en informatique : on s'orienterait plutôt vers des activités de maintenance et moins vers du développement. Et contrairement à la tendance actuelle, on pourrait avoir à l'avenir moins de cadres et davantage de techniciens. A court terme cependant, le rapport souligne que les recrutements se focalisent « sur les jeunes diplômés de niveau Bac+5 et parfois uniquement les diplômés de certaines écoles d'ingénieurs. Si les employeurs ne diversifient pas leurs profils de recrutement, des difficultés à recruter pourraient surgir. » Enfin, si ce rapport montre explicitement que l'informatique continuera de recruter, il indique également que seules les personnes dotées d'un excellent bagage universitaire ou sortant des meilleures écoles pourront prétendre aux fonctions de cadres. La promotion pourrait être beaucoup plus difficile qu'aujourd'hui. Et la sélection, conditionnant ensuite la carrière, pourrait se faire dès le départ, à la fois par le choix des études et par l'obtention d'un bon diplôme d'une grande école. (...)
(20/12/2006 17:18:23)Wanted : docteurs, universitaires et chercheurs
Le CNRS recrute plus de 400 chercheurs dans tous les domaines scientifiques. Deux sections directement liées au monde informatique sont ouverte : « sciences et technologies de l'information (informatique, automatique, signal et communication) » et « micro et nano-technologies, électronique, photonique, électromagnétisme, énergie électrique ». « Convaincu que la créativité se nourrit de la diversité des approches, de la confrontation des idées et de l'enrichissement mutuel, le CNRS va poursuivre en 2007 l'ouverture de son recrutement à des chercheuses et chercheurs français ou étrangers, formés à l'extérieur de ses laboratoires, en France ou à l'étranger, qu'il s'agisse de jeunes docteurs ou de chercheurs déjà confirmés », indique le DG du CNRS, Arnold Migus. C'est une réponse à peine voilée à la fuite des cerveaux. La volonté désormais affichée de montrer la préoccupation des pouvoirs publics au sujet du recrutement des diplômés de très haut niveau est palpable : effet d'annonce ? Stratégie présidentielle ou prise de conscience (tardive) du réservoir des talents français ? Dans le même temps en effet, le Cas (Centre d'analyse stratégique, créé en mars dernier pour succéder au Commissariat Général du Plan, institution directement rattachée au Premier ministre) communique sur une opération exceptionnelle : il accueillera des universitaires pour un an au sein de ses différents départements d'expertise. L'idée est de mettre en pratique leurs recherches par une participation aux travaux d'un important organisme public d'expertise et d'aide à la décision. Les profils recherchés : les jeunes Bac+5 en économie, droit public, sociologie, histoire contemporaine et sciences politique. Qui a dit que les pouvoirs publics se désintéressaient de l'avenir des hauts diplômés français ? (...)
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