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Recrutement

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(19/12/2006 18:03:04)
Laval fait rimer la 3D avec création d'emploi
Dix ans de fonctionnement en technopole, avec les ingrédients habituels de la recherche associée à l'enseignement supérieur et au développement des entreprises, font de Laval Mayenne Technopole un site créateur d'un emploi par semaine (500 emplois au total). Un site catalyseur d'activité par ses trois piliers : une structure de technopole (incubateur, pépinière d'entreprises, etc.), un laboratoire (Clarté, centre de ressources technologiques, oeuvrant pour le transfert de technologies vers l'entreprise), un centre culturel (pour la diffusion des technologies auprès du grand public). De plus, par les trois spécialités qui s'y combinent - à savoir : la réalité virtuelle, la compatibilité électromagnétique, la sécurité alimentaire -, le chef-lieu de la Mayenne se voit également impliqué dans l'activité de trois pôles de compétitivité (Images et réseaux, Ensembles mécaniques et composites complexes ou EMC2, Automobile haut de gamme avec des projets auxquels est aussi associée l'antenne de Laval de l'Estaca (école d'ingénieur des transports)). C'est donc en Mayenne que les textiles Mulliez (la pure tradition textile du nord) invente le prêt-à-porter virtuel. Et que l'aménagement urbain et paysager, ou l'industrie automobile ou encore l'industrie militaire, trouvent des ressources (compétences et équipement) pour des « manip » de modélisation sur-mesure. (...)
(15/12/2006 16:03:12)Steria, Resadia, Viseo, mc2i: diverses façons de mettre les bouchées doubles pour appâter les jeunes ingénieurs
D'une opération porte-ouverte mensuelle instaurée depuis avril en direction des jeunes ingénieurs, Steria est passée depuis la rentrée universitaire d'octobre 2006, à un rythme hebdomadaire de rencontres. Les "Jeun'dis' (clin d'oeil aux "jeudis de l'informatique") qui se tiennent tous les jeudis matins au siège de Steria à Issy-les-Moulineaux, permettent aux débutants intéressés de rencontrer des anciens pour s'informer sur l'entreprise, ses projets, sa démarche industrielle, ses modalités de gestion, etc. Un premier contact qui peut donner lieu dans la foulée à des entretiens complémentaires avec, éventuellement, déclenchement de la procédure d'embauche dans la semaine qui suit. Depuis l'ouverture des opérations portes-ouvertes au printemps dernier, 195 candidats ont ainsi été reçus au siège de Steria, dont 117 ont été embauchés. Ayant mis le cap sur 1800 embauches (en France) pour l'exercice en cours, soit 35 embauches par semaine, la SSII compte poursuivre cette fréquence hebdomadaire d'accueil au premier semestre 2007. Pour Viseo et mc2i, jeunes sociétés (nées en 1999) positionnées sur le créneau de la mise en oeuvre d'ERP et de systèmes d'information métiers, la croissance de 30% enregistrée en 2006 se traduit par l'ouverture de 40 postes (pour Viseo) et de 60 postes (pour mc2i). Dont 40% concernant des profils d'informaticiens juniors (première expérience significative). Les postes ouverts aux confirmés ciblent des profils de consultants fonctionnels et techniques ayant la double compétence "métiers" et connaissance des progiciels. Dans les deux cas, débutants ou confirmés, l'accent est mis sur la gestion de la connaissance et la capitalisation du savoir. Ce qui est censé instaurer de fait, entre profils juniors et seniors, des pratiques de complémentarité et d'accompagnement personnalisé (constitution de binômes notamment). Pour Resadia, intégrateur positionné sur les chantiers de convergence IP (informatique et télécoms), à mi-parcours de ses prévisions d'embauche 2006-2007 (sur les 800 embauches prévues, 450 sont finalisées), la relance du plan de recrutement vise à s'appuyer plus encore sur la structure en réseau de la firme (43 sociétés associées réparties dans l'Hexagone). Pour les 235 ingénieurs, chefs de projets et techniciens recherchés, spécialistes de la convergence IP, comme pour les 110 ingénieurs d'affaires, commerciaux et avant-vente, le centre de formation interne Resadia Campus est chargé d'assurer le complément de bagage, avec possibilité de certification. (...)
(13/12/2006 17:20:45)Des concours-étudiants qui mènent indirectement à l'emploi
Financer des compétitions estudiantines en tous genres, pour repérer au passage les jeunes talents qu'ils pourraient embaucher, est loin d'être une nouveauté pour les employeurs. Ce qui l'est plus, c'est la dimension de projet (collectif ou individuel) que tendent à valoriser les organisateurs de ces compétitions. C'est le cas avec Solucommunity, Imagine Cup ou Todevone, trois de ces compétitions ouvertes actuellement ou prochainement aux inscriptions. La première, organisée par l'intégrateur Solucom (450 salariés), en est à sa deuxième édition (réception des dossiers du 22 décembre). Tous types de projets étudiants sont bienvenus (humanitaires, défis techno, culturels, etc) à condition de s'inscrire dans un contexte associatif (au sein d'une liste d'écoles définie par Solucom) qui, du coup, donne au projet une dimension pédagogique. En 2007, comme en avril 2006, 25000 euros seront ainsi attribués aux cinq meilleurs projets. Pour Imagine Cup (4ème édition), la compétition est internationale, encadrée par les équipes R&D de Microsoft, d'abord au niveau national, puis par continent. Le coup d'envoi, en France, est donné ce 14 décembre. Avec, cette année, neuf catégories de compétition: conception logicielle, système embarqué et mobilité, développement web, jeu (projet Hoshimi) algorithmes, administration de système (IT Challenge), photographie, film court, conception d'interfaces. Parmi les lauréats des années précédentes, six équipes bénéficient depuis l'été 2006 du parrainage conjoint de Microsoft et de British Telecom pour poursuivre leurs projets éventuellement jusqu'à la création d'une entreprise (Imagine Cup Innovation Accelerator Program). Pas de français parmi eux, bien que, sur les 18 équipes lauréates de l'édition 2006 (pour six catégories, ayant fait concourir 65000 étudiants de cent pays), trois étaient françaises. Les diverses étapes de sélection (nationale, puis internationale) s'étalent jusqu'à août 2007 avec compétition finale à Séoul. Quant au défi national Topdev 2007, concours de programmation multi-langages, multi-environnement (Java, PHP, .Net) qui se veut totalement indépendant de tous éditeurs, sa troisième édition est prévue pour le week-end du 24-25 mars 2007. Inscription en ligne dès janvier. En 2006, plus de 700 candidats de 65 pays y ont participé. Ce défi, sous parrainage ministériel (recherche et enseignement supérieur), sur sujet fixe et sous durée limitée (60 heures) se veut avant tout une rencontre (en ligne) mettant en exergue les compétences personnelles (développeurs indépendants ou en entreprise, ou étudiants) et, éventuellement, la qualité de leur environnement pédagogique (pour les étudiants). Avec, en prime et au delà des 4000 euros de récompense, une labellisation des savoir-faire et une valorisation du CV au regard des recruteurs, soulignent les organiseurs. (...)
(11/12/2006 17:50:27)Cisco place ses pions dans la R&D européenne
A sa liste de sites de R&D implantés en Europe, Cisco vient d'ajouter un site irlandais, à Galway. Le plan de développement de ce site dédié à la convergence (équipement de communications unifiées), qui emploie actuellement une cinquantaine d'ingénieurs de recherche, prévoit de monter les effectifs à 200 ingénieurs d'ici à trois ans. En France, le centre de R&D de Sophia Antipolis compte de même une cinquantaine de personnes, dont vingt dédiées à la recherche autour des technologies IPV6, sans fil, mesh, MPLS (qualité de service des réseaux IP) et routeur mobile. Selon la tactique vue à l'oeuvre à Sophia Antipolis, chacun de ces sites est aussi considéré comme centre productif en matière de propriété intellectuelle. Les équipes de l'antenne Cisco de la Côte d'Azur sont à l'origine de 25 standards, 70 brevets et 3 ouvrages, et s'impliquent activement dans les initiatives du pôle de compétitivité (SCS) et dans la collaboration avec les établissements d'enseignement supérieur (Groupement des écoles télécoms, dont ENST Paris et l'institut Eurécom). C'est, d'ailleurs, une des raisons essentielles pour lesquelles, dans sa politique d'implantations et d'acquisitions (116 à ce jour, 7 depuis le mois d'août) qui prend une place croissante dans sa stratégie d'investissements R&D (13% du chiffre d'affaires), le géant des technologies réseaux porte une attention particulière aux opportunités européennes. "Aux USA, il est beaucoup plus ardu, coûteux et long de faire valoir ses droits sur la propriété intellectuelle", soulignait notamment Graham Holmes, directeur de l'initiative ARTI (Academin Resarch Technology Initiative) de Cisco, lors d'un récent forum sur le développement international des pôles de compétitivité à la française (Sophia Antipolis, 17 novembre). De même, le centre de recherche implanté en Israël a constitué une tête de pont pour l'acquisition d'une vingtaine d'entreprises de R&D sur place. Tout est relatif, puisque plus à l'Est, après un investissement de 50 millions de dollars sur un campus R&D à Bangalore, Cisco confirme et signe son intention d'investir massivement en Inde (1,1 milliard prévu au plan d'octobre 2005), en annonçant un investissement de 750 millions de dollars pour les trois ans à venir. Le cap est mis sur un triplement des effectifs (2000 personnes aujourd'hui, R&D et hors R&D) sur le sous-continent indien. (...)
(08/12/2006 17:34:50)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(08/12/2006 16:58:08)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(07/12/2006 17:50:52)En 25 ans, 1500 docteurs ont fait leurs premières armes en SSII
Le sait-on assez ? Près de mille thèses sont soutenues chaque année en France dans les disciplines relevant des sciences et technologies de l'information. A en croire le bilan d'un quart de siècle de fonctionnement des contrats Cifre (convention industrielle de formation par la recherche), les SSII et les cabinets de conseil absorberaient environ 10% de ce flux. En effet, parmi les 15000 thésards bénéficiaires depuis 1981 de cette modalité d'accueil dans l'entreprise, environ 10% de ces diplômés bac+8, soit environ 1500 docteurs (ou PhD) en puissance, ont pu ainsi financer les trois années de préparation de la thèse en travaillant en SSII. Les cabinets de conseil et les bureaux d'études techniques ont accueilli respectivement près de 4 % et 3 % du flux. Au total, le secteur informatique (éditeurs, SSII et autres entreprises) compte pour 15% de l'ensemble des contrats Cifre. Toutes disciplines confondues, 40% de ces thésards sous contrat poursuivent dans la même entreprise, contre 38% qui se font embaucher ailleurs, 12% qui décrochent un poste dans la recherche publique et 4% qui effectuent un post-doc (à l'étranger). « Le dispositif Cifre fait partie de nos meilleurs outils pour rapprocher entreprises et établissements publics de recherche et pour favoriser l'embauche des docteurs. Sa longévité en témoigne. C'est pourquoi le Pacte pour la Recherche prévoit de faire croître de 10% par an d'ici 2010 les moyens qui y sont consacrés. », a souligné François Goulard, Ministre délégué à l'Enseignement Supérieur et à la Recherche, ce 7 novembre, pour saluer ce 25ème anniversaire. 1200 boursiers Cifre en 2006 En 2006, l'Etat (par l'Agence ANRT) a financé 1200 conventions Cifre, et 1150 en 2005. Après un rapide calcul, ces deux dernières années, ce serait donc une centaine de jeunes docteurs Cifre qui auraient intégré une SSII (les 40% qui restent dans l'entreprise d'accueil). Bien peu, donc, en regard des 40000 embauches prévues pour cette année par ce secteur. Certes, le couplage d'un travail de thèse avec une activité en SSII n'est pas forcément évident à organiser. Mais le secteur peut beaucoup mieux faire. C'est du moins la conviction de Bruno Carrias, délégué général de la Fédération Syntec (un ancien de Sopra). "Alors que nous sommes confrontés à des changements majeurs dans l'orientation de nos activités, qui rendent pertinentes la recherche de personnes au profil plus spéculatif, plus aptes à gérer l'incertitude, la prise de conscience de cette réalité va sûrement s'accélérer". A l'heure de l'internationalisation du marché de l'emploi, des cursus et des diplômes, où la mention de PhD sur un CV se valorise autant qu'un MBA, et sûrement plus qu'un titre d'ingénieur, mais à l'échelle internationale, il semble bien que les jeunes ingénieurs (50% des contrats Cifre sont issus d'écoles d'ingénieurs) et leurs enseignants (les Mines, notamment, n'hésitent plus à recommander à leurs élèves la poursuite des études jusqu'à la thèse) en sont plus conscients que les employeurs. (...)
(07/12/2006 17:45:30)Un regain d'optimisme chez les cadres
"Plus de sens, dans un monde sans repère": le thème du 33e congrès électif du syndicat CFE-CGC (du 6 au 8 novembre) fait écho à l'état d'esprit actuel des cadres plutôt enclins à un regain d'optimisme. Mais il fallait bien cela. Selon le relevé de novembre du baromètre cadres, ils sont 31% à se dire plus confiants quant à l'état global économique et social du pays (contre 24% au plus bas en mars dernier) et 69% à croire en la pérennité de leur emploi (58% en mars). Même remontée du moral concernant la perception de l'équilibre entre vie privée et travail. Si 44% se plaignent d'une charge de travail trop lourde, contre 51% en juin, 73% d'entre eux notent cependant que celle-ci s'est alourdie ces dernières années. La satisfaction à l'égard des rémunérations, tant sur le niveau que sur l'équité par rapport aux collègues en interne ou en externe, remonte après la chute brutale enregistrée cet été (40% seulement de satisfaits en juin, 48% en novembre). Comme les années précédentes à la même période, le sentiment d'être informé sur les résultats de l'entreprise et sur les objectifs individuels progresse (de trois points par rapport à juin, 70% de satisfaits). Il reste que moins de la moitié des cadres se dit optimiste quant aux perspectives d'évolution de leur situation dans l'entreprise. Mais au total, le risque de grève ou de mouvement social semble repoussé (28% d'entre eux en envisagent la probabilité dans les mois à venir, niveau le plus bas atteint par cet indicateur comme en juin 2004). "Cette démobilisation suit logiquement le sentiment général d'amélioration de la situation des cadres", conclut l'analyse d'OpinionWay (pour la CFE-CGC). (...)
(06/12/2006 18:14:23)Enquête sur les besoins en main d'oeuvre en 2007: les cadres en informatique seront-ils davantage recherchés ?
Sur l'ensemble des statistiques qui paraissent régulièrement dans le domaine de l'emploi, l'enquête annuelle sur les BMO est l'une des références essentielles, scrutée de près par les pouvoirs publics et les acteurs sociaux. Initiative de l'Unedic, réalisée avec l'ensemble des institutions de l'assurance chômage sur la France entière, elle est ensuite traitée par le Credoc qui remettra ses premières conclusions à la mi-février 2007, avant un résultat complet qui sera communiqué, comme tous les ans, au début du mois d'avril. Seule nuance cette année : dans une période prè-électorale, les résultats détaillés par bassin d'emploi prendront une dimension particulière et devraient être exploités par les candidats en lice. L'enjeu de cette enquête est la fiabilité, liée au nombre de retours. Le Garp Ile-de-France indique qu'en 2005 « les données de l'emploi salarié concernant les activités informatiques dans les départements franciliens ont été établies à partir de 29 818 établissements et 688 874 salariés au total, mais ne concernent que les activités informatiques (conseils, réalisation de logiciels, traitement de données). Elles excluent les activités de reproduction d'enregistrement informatique, fabrication d'ordinateurs et d'autres équipements informatiques, commerce de gros d'ordinateurs, d'équipements informatiques périphériques et de progiciels et location de machines de bureau et de matériel informatique. » Cette année, après l'envoi le 6 novembre d'un questionnaire aux 300 000 entreprises réparties en Ile-de-France, la coordination régionale de l'assurance chômage (Assedic, Garp et ANPE) est passée à la phase suivante. Elle collecte désormais les premiers retours et attend, pendant quelques jours encore, ceux des retardataires. 21 285 cadres en informatique devaient être recrutés cette année en région parisienne (enquête BMO 2006) En 2005, une extrapolation sur les perspectives d'emploi avait été possible à partir de 25% de réponses. Le principal résultat de l'enquête BMO 2006 indiquait que les « métiers les plus recherchés en Ile-de-France demeuraient inchangés par rapport à 2005 » et comprenaient deux catégories de cadres : commerciaux et informaticiens. En effet, les entreprises situées en Ile-de-France estimaient qu'elles allaient recruter de manière permanente 21 285 ingénieurs et cadres en informatique (hors technico-commerciaux) dont plus de la moitié dans les Hauts-de-Seine. Autre information : elles projetaient également d'embaucher 897 opérateurs de saisie. En 2005, les perspectives d'emploi en Ile-de-France dans le domaine informatique étaient déjà tendues, puisque 48,3% ingénieurs et cadres étaient jugés comme des « cas difficiles à recruter ». A relativiser toutefois, puisque ce secteur arrivait en 10e position, loin derrière celui des infirmiers et des sages femmes (plus de 80%). On constate cependant que les entreprises de services informatiques font de plus en plus appel aux différents réseaux de recrutement et annoncent avoir des difficultés à pourvoir leurs postes de cadres informatiques. Si cette information se confirme dans les faits et non plus dans les intentions et suit la tendance de 2006, le chiffre des « cas difficiles à recruter » dans le secteur des cadres informatiques devrait dépasser allégrement les 50% et peut-être même remonter dans ce top 5 ! (...)
(06/12/2006 18:12:36)Plus d'embauches qu'en novembre 2005 mais moins qu'en octobre 2006
Le baromètre Advancers executive (cabinet de conseil en recrutement, filiale de Vedior France) est paru. Ce panorama mensuel du recrutement des cadres des cadres indique, pour novembre 2006, une hausse de 60% dans le secteur de l'informatique par rapport à l'année dernière. La croissance est néanmoins tempérée par une baisse de 8% des embauches par rapport à octobre 2006. Cette tendance contrarierait-elle les pronostics de recrutement sur l'année ? Il semblerait que non, la baisse semblant être liée à la saisonnalité, puisque tous les secteurs d'activités ont été touchés, sauf ceux de la finance (+1%) et du marketing (+3%). A l'inverse, les emplois saisonniers repartent. D'ailleurs, plutôt que de baisse de l'emploi, les analystes d'Advancers executive évoquent plutôt un « début de ralentissement » et indiquent que « ceux qui en pâtissent le plus sont ceux qui ont eu les plus grosses progressions ces derniers mois », en tête, les commerciaux et les informaticiens. A noter encore que cette baisse conjoncturelle est confirmée par les annonces qui fleurissent sur tous les sites de recrutement et la relativisent : les SSII cherchent toujours de nouveaux collaborateurs pour 2007. (...)
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