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Recrutement

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(05/12/2006 17:19:46)
L'embauche branchée direct sur les cursus universitaires: 49% donnent suite
L'opération Universyntec, en trois journées d'embauche ciblant les masters (bac+5) des campus de Nanterre, Créteil et Villetaneuse, a permis à onze employeurs du secteur ingénierie-conseil-informatique (listés ci-dessous) d'effectuer sur place 683 entretiens de prise de contact, dont 332 ouvrant sur un second rendez-vous. La quatrième et dernière journée de représentation de la Fédération Syntec au coeur des campus franciliens, avec pour argument 3000 emplois et stages ouverts, se tient ce mercredi 6 décembre à Marne-la-Vallée. Il est donc bien trop tôt pour en tirer quelque conclusion sur l'efficacité de cette démarche quant aux embauches en instance. Mais déjà le taux de transformation (49%) du premier contact satisfait les organisateurs de cette première. Ne serait-ce qu'en termes d'image. "Beaucoup de nos entreprises ont signé la Charte de la diversité. Nous sommes discrets, mais le moment est venu de parler plus haut", souligne Pierre Nanterme, président de Syntec et d'Accenture. "Les chargés de recrutement nous disent avoir rencontré des candidats très intéressants qu'ils ne seraient pas allé chercher par ailleurs", ajoute Anne-Marie Bjornson-Langen, directrice du développement de Syntec et coordinatrice de cette opération. Le défrichage préalable, afin de cibler les invitations vers les étudiants de masters concernés (gestion, économie, math appliquée, informatique, cursus banque-finances), ne restera probablement pas sans suite. Tant il est vrai que rapprocher l'université du monde de l'entreprise est dans l'air du temps. "Entre deux entretiens de recrutement, une discussion de couloir avec les étudiants nous a conforté dans l'idée qu'une bonne part d'entre eux n'a qu'une vague connaissance du fonctionnement de l'entreprise", note Saïd Hammouche, dirigeant de l'association APCR (cabinet de recrutement spécialisé dans la promotion de la diversité). Du côté du Syntec, l'on considère que la rapidité avec laquelle s'est montée cette opération, avec le soutien des présidents des quatre universités, "pour un résultat en rapport avec la logistique mobilisée" (logistique qui, en effet, ne peut guère se comparer avec celle des forums d'embauche dont les étudiants des grandes écoles sont familiers), montre que la volonté d'ouverture, de part et d'autre, est bien réciproque. (...)
(01/12/2006 17:35:28)Le salon Mobile Office ouvre ses portes
La mobilité est plus que jamais à l'ordre du jour, à la fois sur le plan du réseau, via les rencontres qui seront faites au Mobile Office (plus de 200 exposants) pendant 3 jours (5-7 décembre), et sur celui des perspectives qui s'offrent aux concepteurs des technologies du secteur. « L'intelligence mobile à l'heure européenne » est le thème choisi cette année pour ce sixième rendez-vous, qui se fera entre exposants, distributeurs et visiteurs intéressés par la mobilité, et rassemblés pour nouer des relations d'affaires ou de travail. Ce secteur continue en effet à recruter les talents. Faire un tour en choisissant sa conférence et en découvrant les stratégies des entreprises présentes, est l'un des moyens astucieux pour se faire une idée de la bonne santé d'une SSII ou d'un grand compte et des projets à venir. (...)
(29/11/2006 17:26:39)Rennes-Atalante met les pleins feux sur la TV numérique et mobile
Près de 750 ingénieurs et informaticiens de niveau bac+5 sortent chaque année des universités et écoles rennaises. Un facteur d'attractivité pour les employeurs du secteur informatique et télécom (TIC) qui, cette année, assure à la technopole Rennes-Atalante une croissance de l'emploi de 7,3%, soit 972 emplois nouveaux, dont plus de 90% dans les entreprises relevant du secteur TIC. Le bilan 2006 est d'autant plus encourageant que, mise à part la cessation d'activité de huit entreprises (48 emplois), une bonne moitié des employeurs installés sur la technopole affiche un effectif en croissance. Sans surprise, les implantations locales des grandes SSII (Atos Origin, Cap gemini, Alten Ouest, NéoSoft) assurent à elles seules près de deux tiers des emplois TIC créés (555 postes nouveaux). L'agence rennaise d'Atos Origin compte aujourd'hui 400 salariés (100 de plus dans l'année). Les investissements des grands donneurs d'ordre des domaines de la télévision numérique, des télécommunications et de la défense (France Télécom, Orange, Motorola, Thomson, Alcatel) y sont pour beaucoup. Dans leur sillage, des PME fournisseurs de technologie à forte croissance, comme Envivio (encodage de formats videos destinés aux mobiles), Enensys Technologies (équipement de video sur IP, TV sur mobile), Teamcast, Streamezzo font également fleurir les collaborations sources de projets pour les petites et grandes SSII. En vitrine, Mobim@ges et Mobim@gine L'image en mobilité est l'un des axes forts d'activité du pôle de compétitivité "Images & Réseaux", qui fédère et catalyse des projets innovants autour des enjeux des futurs services multimedia interactifs mobiles. Mobim@ages est ainsi le premier grand projet labellisé du pôle qui associe 18 partenaires, (de France Télévisions à TDF jusqu'aux équipes de recherche de l'ENST Bretagne). Les PME ne sont pas en reste associées dans le projet Mobim@gine qui illustre la complémentarité entre six PME sises à Rennes (Envivio, Teamcast, Siradel, Iwedia, Silicon Labs) sur une chaîne de valeur bien ciblée (la DVB-H, de l'émission jusqu'à la réception). Autant de travaux en cours, forts des interconnections avec les centres de recherche publics (Irisa/Inria, Centre électronique de l'armement, Institut d'électronique et de télécoms de Rennes) et des centres de recherche privés (plus de 1500 ingénieurs R&D), qui portent en germe des nouvelles créations d'emploi hautement qualifiés. (...)
(23/11/2006 16:34:55)T-Systems anticipe ses réductions d'effectif avec 500 embauches
T-Systems, SSII filiale de Deutsche Telekom, affiche, en France, son ambition de recruter 500 ingénieurs informaticiens d'ici à l'été 2007. Du consultant en assistance à maîtrise d'ouvrage, en intégration SAP ou en informatique décisionnelle jusqu'au jeune scientifique formé au développement, en passant par le chef de projet connaissant les secteurs de la banque, de l'assurance et des caisses de retraite, la palette des profils recherchés est classique. Ce qui l'est moins, c'est que ce plan d'embauche s'insère dans une redistribution des forces, induite notamment par la fusion T-Systems (1200 personnes en France) et Gedas (600 personnes). Fusion qui sera légalement entérinée au 1er janvier 2007. Sachant que Gedas (née en 1983 de l'externalisation de l'informatique de Volkswagen) reste essentiellement positionnée sur les marchés d'infogérance (ingénierie de services, production). Cette fusion déjà bien amorcée n'est pas sans effet de concentration/réduction: des trois sites en région parisienne, les équipes de Saint-Germain (une centaine de personnes dédiées aux activités d'infogérance) sont amenées à se regrouper sur les sites de La Défense et de Villepinte. De source syndicale, et implicite dans l'annonce du plan d'embauche de la DRH, les 500 embauches devraient aboutir à une augmentation d'effectif de 250 salariés, compte tenu des démissions; mais aussi des départs en retraite face auxquels "le plan ambitieux de T-Systems prend les devants" (dixit la DRH France). Sans compter la cession (en voie de régularisation) de certaines activités par transfert (article L122-3) de l'équipe de Strasbourg de T-Systems à Osiatis. (...)
(23/11/2006 16:20:41)Les étudiants préoccupés de « management éthique »
La coïncidence, ce prochain week-end, à Caen, de deux manifestations mettant en exergue l'égalité de l'accès à l'emploi et à la formation supérieure, illustre l'amorce de prise de conscience qui semble se généraliser vis-à-vis de la responsabilité sociale (des entreprises, des écoles et universités) en tant qu'ingrédient essentiel de l'économie. Ainsi, les 24-25 novembre au centre de congrès de Caen, se tient une agora sur l'égalité des chances hommes/femmes, co-organisée et financée par la région Basse-Normandie, l'Etat et le fonds social européen. Ouverte au public, cette rencontre met l'accent sur l'interactivité avec un espace forum, des jeux de rôles et présentations d'actions (articulation des temps de vie). Ces mêmes vendredi 24 et samedi 25, l'Ecole de management de Normandie (Caen et Le Havre) s'associe à l'Aphec (association des professeurs de classes préparatoires économiques et commerciales qui regroupe les enseignants de 144 lycées). Ce groupement d'enseignant place son colloque annuel sous le signe des relations entre "Territoires et enseignement supérieur". Un thème qui couvre aussi bien l'égalité des chances, l'internationalisation des cursus, la mobilité, le regroupement des cursus dans un but de visibilité. Autant d'évolutions qui remettent en cause les rapports traditionnels entre l'enseignement supérieur et les bassins d'emploi (territoires et entreprises). Un constat qui fait, par ailleurs écho à l'attente des étudiants qui plébiscitent l'utilité au sein de leur formation, de faire une place à la préparation au management éthique et à la responsabilité sociale. Ainsi que le relevait une enquête réalisée par l'UGEI (union des grandes écoles indépendantes) auprès de 2000 étudiants (72% d'écoles d'ingénieurs, 28% d'écoles de commerce) présentée lors du congrès de la Conférence des grandes écoles (5-6 octobre à Brest), la "quête du sens" vient en tête des principes moteurs de leur recherche d'emploi. 75% d'entre eux estiment que rentabilité, éthique et responsabilité sociale sont des notions compatibles, alors que, constatent-ils, "le discours des entreprises et leurs actes dans ce sens ne concordent pas". Ils sont autant à considérer que leur préparation sur ce volet doit prendre la forme d'études de cas et peut constituer un atout, un "argument de vente" de leur CV. Rapprocher durablement université et emploi Toujours en Normandie, les 15-17 décembre, l'IAE de Caen fête, au nom de ses 14000 diplômés, ses cinquante ans d'activité, en mettant implicitement l'accent sur le "réseautage" et des liens entretenus avec les milieux professionnels qui fait aussi partie de la responsabilité sociale des futurs cadres et de leurs enseignants. En prélude des débats qui se tiendront à Deauville, un défi original est lancé aux anciens de l'institut normand via un site Web ouvert pour la circonstance, avec l'organisation du "trophée de la promo la plus connectée". Pour rappel: le réseau des IAE (Institut d'administration des entreprises, 29 établissements, 30 000 étudiants) est cité en exemple dans le rapport Hetzel "Université-Emploi" comme la filière "qui affiche les taux d'insertion professionnelle les plus élevés parmi les universités françaises", et qui, par son "marketing", contribue à "rapprocher durablement université et emploi". En témoignent notamment les conditions d'insertion, avec un délai moyen de six mois avant un placement en CDI, une bonne moitié des diplômés embauchés à la suite de leur stage et un salaire moyen d'embauche situé entre 30 400 E et 35 300 E pour un diplômé de master en gestion, management ou administration des affaires. (...)
(22/11/2006 18:22:44)Rencontres Développeur Adobe au sommet
C'est au 56ème étage la Tour Montparnasse que s'est tenue la première Rencontre Développeur Adobe ce lundi 20 novembre destinée aux développeurs Java. L'objectif était de présenter le développement d'applications Internet Riches (RIA) avec Adobe Flex. Près de 200 développeurs ont pu assister à une après-midi de présentations autour des technologies Flex, plus particulièrement de Flex 2, annoncé cet été. Thinbault Imbert, développeur, a présenté les fondements d'ActionScript 3 et les nouveautés du langage. Florent Pajani d'Adobe a montré les principes du SDK Flex, les avantages de l'environnement Flex Builder à travers le développement d'une application Flex. Jean-Luc Esser, développeur, est venu parler de Cairngorm, un framework issu des labs d'Adobe permettant de mettre en oeuvre des design patterns pour le développement de RIA. Conçu par l'équipe Adobe Consulting à partir de leur expérience en développement d'application en entreprise (J2EE et .NET), CairnGorm est disponible pour Flex 1.5 et Flex 2. Christophe Coenrats, évangéliste produit Adobe Flex, a, quant à lui, présenté le développement d'applications d'entreprise avec les Flex Data Services, avec notamment l'intégration de J2EE et d'AJAX. Enfin Emmanuel Levi-Valensi de People In Action a conclu l'après-midi en présentant la gestion d'un projet RIA, avec des recommandations pour la réussite d'un projet. En marge des présentations, nous avons pu nous entretenir avec Christophe Coenrats. Apollo, le futur client desktop multiplateforme compatible Flash, PDF et HTML est un enjeu stratégique important. Flex constitue évidemment l'environnement de choix pour développer et déployer des applications Apollo. Actuellement en version alpha privée, on attend une première version ouverte aux développeurs en début d'année 2007. (...)
(21/11/2006 15:09:45)Des subventions au lieu d'exonérations pour l'emploi R&D sur les pôles de compétitivité
:"Lourd et pratiquement inopérant". De l'aveu des ministres concernés, le dispositif d'allégement de charges sociales (jusqu'à 50%) prévu pour soutenir l'emploi R&D sur les 66 pôles de compétitivité laisse place à un abondement de subvention (15% de plus) au bénéfice des PME. L'Etat porte ainsi de 30 à 45% le taux de subvention aux PME participant à un projet dûment labellisé et sélectionné par les appels à projet du fonds interministériel (45% étant le taux maximal autorisé par la Communauté européenne pour les aides à la R&D). Pour rappel : au delà des exonérations fiscales qui restent appliquées, le budget prévu pour la prise en compte de cet allégement de charges sociales était de 28,5 M€ pour 2006. A relativiser donc, en regard des 540 M€ déjà apportés par l'Etat (fonds interministériel, agences A2I, ANR, Oseo-Anvar) pour 165 des projets présentés par les pôles et retenus lors des deux premiers appels à projets (mai et septembre 2006; un 3ème appel est en cours). De plus, l'agence de financement Oseo-Anvar est mandatée pour ajouter une subvention de 15% au financement des projets des PME montés dans le cadre des pôles (40% du montant du projet en avance remboursable). "Ces PME recevront ainsi un équivalent de subvention double du régime de droit commun des aides Oséo-Anvar appliqué hors pôles", précise le ministre délégué à l'aménagement du territoire Christian Estrosi. Pour mémoire : le budget annuel d'Oseo-Anvar dédié aux pôles se monte à 210 M€ en 2006 (30 M€ au second semestre 2005). La sécurité économique en question Lors du forum qui a réuni, à Sophia Antipolis, ce 17 novembre, quelque 200 acteurs des pôles autour du thème de l'internationalisation des projets et de leur stratégie de coopération internationale (alliances entre clusters), l'accent a également été mis sur le déploiement d'un dispositif de sécurité économique à usage des pôles (financé à 80% par l'Etat). "Des menaces réelles de piratage de nos pôles existent", a souligné le ministre Estrosi, faisant écho à une mise en garde de l'ancien directeur de la DST Rémy Pautrat. Comme suite à un projet pilote mené sur cinq pôles de diverses régions (Bretagne, Pays-de-Loire, Limousin, Rhône-Alpes, Paca) avec la mission France Intelligence Innovation (association d'un acteur public, l'ADIT et de l'agence privée CEIS), un référentiel méthodologique et deux logiciels servent d'outillage aux audits de sécurité qui seront proposés systématiquement à tous les pôles à vocation mondiale dès 2007. (...)
(16/11/2006 17:02:10)Scénario hésitant entre optimisme et prudence pour l'emploi des cadres en 2007 en Europe
"Environnement favorable mais incertain" : telle est la tonalité du pronostic pour l'emploi des cadres en France en 2007 qui, tout compte fait, reflète assez bien le climat général en Europe. Dans la ligne du bilan 2006 dressé par le panel Apec (3858 entreprises de 8 pays d'Europe) qui marque une progression de 12% des embauches cadres entre juillet 2005 et juin 2006, pour un solde de 207 000 postes créés (embauches + mobilité interne - départs), les prévisions pour 2006-2007 pour l'Europe restent à un haut niveau de croissance, de l'ordre de 9% sur l'année. La situation est cependant contrastée, depuis l'Allemagne, où l'effet conjugué de la hausse de la TVA et du ralentissement économique laisse planer une incertitude, et le Royaume-Uni dont l'état de santé économique est le plus dépendant de celui des USA, jusqu'à l'Italie, plus attentiste, en passant par l'Espagne, les Pays-Bas et la Belgique, baignant résolument dans l'optimisme. Dans le juste milieu, les employeurs français oscillent entre une prévision de croissance de 6% (scénario optimiste, avec 147 000 recrutements, qui rejoindrait le niveau d'embauche de l'an 2000) et un recul de -5% (scénario pessimiste, avec 131 000 recrutements renouant avec le niveau d'embauche de 1998-99). 23% des embauches en France ont ciblé les informaticiens Fait marquant et donnant la tendance pour l'an prochain : les recrutements d'informaticiens ont plus que doublé en Europe, passant de 4% du total des embauches en 2004-2005 à 10% en 2005-2006 (comme au plus haut niveau atteint entre 1997-2000, situé entre 9 et 13% du total des embauches cadres en Europe). Et là encore, la France se distingue avec une proportion hors norme de 23% (en 2005-2006) des embauches ciblant les informaticiens. Proportion qui devrait se confirmer en 2006-2007 selon les intentions affichées par les entreprises. De même, c'est en France que la reprise a le plus bénéficié à l'embauche des cadres débutants, avec 32% des postes créés qui leur sont ouverts (contre un taux de 19% pour l'ensemble des huit pays européens). Ceci expliquant cela, puisque l'informatique se confirme comme la fonction locomotive du marché de l'emploi pour les jeunes diplômés. Mobilité inter-entreprises en hausse Si le turnover des cadres européens s'est accru de 6% du fait des licenciements, démissions et retraites (une sortie sur cinq confirmant le vieillissement de la population cadre), la mobilité inter-entreprise s'est elle aussi redynamisée. Elle atteint 5% en 2005-2006 en Europe, et 7% chez les cadres français, soit un taux de mobilité volontaire deux fois plus élevé que chez les voisins allemands ou britanniques. Le panel Apec s'est également penché sur les pratiques de contrôle des informations intégrées au processus de recrutement, sachant que 64% des entreprises européennes disent vérifier les informations contenues dans le CV. C'est le cas pour 79% des employeurs Outre-Manche, à l'opposé des Italiens, des Allemands et des Luxembourgeois (moins de 40% des employeurs vérifient systématiquement). Tandis qu'en Belgique, l'accent est mis sur l'évaluation des compétences (tests, assesment center, etc.). (...)
(16/11/2006 11:35:29)Plus de Bull à Bordeaux avec le centre de services mobilité
L'inauguration, ce 15 novembre à Bordeaux, du centre de services dédié aux projets de mobilité d'entreprises s'inscrit dans la stratégie volontariste de Bull pour réaliser, dès 2008, 50% du chiffre d'affaires dans les services. Les 150 ingénieurs, techniciens et experts du centre bordelais capitalisent sur leur historique de services auprès des opérateurs télécoms (Orange et Bouygues notamment) et autres grands projets de portails d'entreprise pour développer des services autour des solutions de mobilité (goélocalisation, vidéosurveillance embarquée) et autres services aux personnels itinérants. Comme les équipes regroupées dans les deux autres centres inaugurés en novembre 2005 à Grenoble (600 personnes) et en mai 2006 à Marseille (150 personnes) sous la bannière de l'expertise Open Source, les équipes bordelaises misent sur l'approche industrielle sous-tendue par l'atelier et la méthodologie NovaForge. "Ce dispositif, en droite ligne de la pratique Open Source de la R&D de Bull, permet de fédérer les développements, de concevoir, réaliser et maintenir industriellement des applications en mode réparti", commente Hassan Maad, directeur général de Bull Evidian, impliqué, pour sa part, dans l'offre de solutions de sécurité qui renforce d'autant la montée en puissance de Bull sur le terrain de la mobilité. Ce qui, induit-il, "présage d'ouvertures de postes pour des développeurs". Si plan d'embauche il y a pour 2007, "via des recrutements locaux", précise Jean-Pierre Barbéris, directeur général des activités services de Bull, le groupe ne l'affiche pas en clair (en nombre) pour chacun de ces trois centres de services. (...)
(15/11/2006 11:39:01)Pour l'anglais, critère de recrutement, les jeunes Français améliorent leur position
Selon le suivi annuel des scores obtenus aux tests d'anglais professionnel (TOEIC, Test of English for International Communication) effectué par la filiale française d'ETS (Educational Testing Service), le niveau d'anglais des jeunes diplômés issus des écoles d'ingénieurs et de commerce s'est nettement amélioré depuis 1997, passant de 724 points en moyenne à 755 points en 2005. Ce qui atteste de l'atteinte du niveau "opérationnel" de base selon le cadre européen commun de référence (CECR) (égal ou supérieur à 750) atteint par une majorité des étudiants (50% chez les jeunes ingénieurs, 60% chez les futurs managers issus des Sup de Co). Pour les employeurs, comme pour les salariés, parler l'anglais est devenu un critère incontournable de l'embauche de cadres. En 2005, selon une étude du même organisme ETS auprès de 26 multinationales d'obédience française, 60% de ces groupes citaient l'anglais comme langue officielle du groupe. Et 30% la désignaient comme unique langue officielle. A noter qu'à l'examen des scores TOEIC obtenus en 2002 et 2003 par plus de 2 millions d'étudiants de 29 nationalités, dont 44% d'Européens, les Français se classaient en sixième position, derrière les voisins allemands et portugais, et nettement moins bons que les Canadiens, les Libanais et les Philippins. Mais pas si mal. (...)
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