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(16/11/2005 18:25:36)
SMSI : Les Etats-Unis ne lâchent rien sur le contrôle d'Internet
A défaut d'aboutir à une réelle réforme, les participants aux discussions préalables au SMSI (Sommet mondial sur la Société de l'Information du 16 au 18 novembre à Tunis) ont débouché sur un compromis boiteux contentant surtout les américains. Les revendications contenues dans les différents projets ont ainsi été synthétisées pour donner naissance à un forum international. Les Etats-Unis respirent : l'Icann et son rôle central sont épargnés. L'Europe sourit : le forum oriente la gestion du web vers plus de coopération internationale. Au final, l'annonce de la création de ce forum donne l'image d'une solution a minima, pensée davantage pour ménager les susceptibilités que pour véritablement changer l'ordre des choses. En dépit d'une composition légitime - représentants de gouvernements, membres de la société civile et du secteur privé - ce nouveau "machin" ne possèdera cependant pas de mission précise. On sait simplement qu'il sera chargé de dossiers comme la lutte contre le spam ou la cybercriminalité. Surtout, l'autorité du forum international ne prévaudra pas sur celle de l'Icann qui restera, de fait, sous l'égide de l'administration américaine, l'organe de gouvernance par excellence du réseau mondial. Un compromis satisfaisant tout le monde, une réforme en trompe-l'oeil En marge du SMSI, tous les observateurs et la grande majorité des participants s'interrogeaient et débattaient sur la pertinence du modèle actuel de gouvernance du web. Près d'une dizaine de projets prévoyant la réforme, l'aménagement ou la révolution du schéma axé autour de la toute puissance de l'Icann ont été déposés et âprement discutés par les 170 pays représentés au Sommet. Si tous ces projets avaient leurs caractéristiques propres et leurs particularités, on peut néanmoins établir une simple dichotomie : d'un côté les Etats-Unis, soutenus par les géants du secteur IT, entendent conserver leur gestion exclusive du web ; de l'autre, le reste du monde souhaite une internationalisation de la gouvernance. Et a une nouvelle fois échoué, les Etats-Unis - via le département du commerce, administration de tutelle de l'Icann - conservant toute ses prérogatives. (...)
(15/11/2005 17:32:06)CAWorld 2005 : Unicenter reste la pièce maîtresse du nouveau CA
John Swainson a utilisé son discours d'ouverture de CAWorld 2005 pour annoncer la mise à la trappe officielle de Computer Associates au profit d'une nouvelle marque, "ca" et d'un nouveau logo. Le CEO de CA a aussi confirmé sa stratégie de concentration sur quelques secteurs clés comme l'administration, le stockage ou la sécurité, dans le cadre de sa nouvelle stratégie baptisée EITM (Entreprise IT management), littéralement gestion des systèmes d'information d'entreprises... Cette décision devrait se traduire par la mise en sommeil ou la cession progressive de près de 600 produits sur les plus de 1200 actuellement au catalogue de l'éditeur. Prudent, CA est toutefois resté vague sur le sort de ces produits. Jeff Clarke, le COO, se contentant de dire que CA continuerait à assurer le support des produits matures afin de protéger l'investissement de ses clients, mais en précisant toutefois que l'essentiel des investissements iraient désormais aux produits jugés clés. Unicenter, clé de voûte de la stratégie d'intégration de CA Dans le Sands Convention Center de Las Vegas, CA a réuni cette année près de 6000 visiteurs, contre plus de 10 000 au sommet de la gloire de CAWorld. Ce recul de la fréquentation est sans doute lié aux turbulences qu'a connues la société mais aussi au délai qui s'est écoulé depuis le dernier CAWorld (à l'origine l'éditeur n'avait pas prévu de salon avant le printemps 2006). Ces participants ont pu découvrir près de 26 nouveaux produits entrant dans le cadre de la nouvelle stratégie EITM, dont la plupart liée à ce qui reste le produit phare de CA, Unicenter. Pour le lancement de la version 11 du framework d'administration, CA a mis l'accent sur l'intégration de ses différents composants, mais aussi sur des points clés comme la centralisation des événements et informations dans une base CMDB unique, la gestion des services, le reporting... Unicenter 11 est fourni avec ce que CA appelle des EITM accelerators, en fait des plans types dont l'objectif est d'aider les clients à déployer le logiciel selon des pratiques établies. Le catalogue d'accélérateurs devrait s'enrichir au fil du temps. Quelques produits ont été mis en avant par la firme comme l'outil de BI et de reporting Asset Intelligence qui permet aux dirigeants d'obtenir des rapports détaillés sur les performances, la conformité de leur infrastructure. CA a aussi mis en avant le support des environnements virtualisés. Dans une interview avec Lemondeinformatique.fr, Yogesh Gupta, le CTO de la firme a expliqué que ce support devrait s'enrichir au fil du temps pour prendre en compte les nouveaux environnements de virtualisation x86 comme les hyperviseurs. Selon lui, ces nouveaux environnements devraient ouvrir des possibilités originales en matière d'administration des performances, mais aussi de gestion de la sécurité. La sécurité et le stockage restent des points clés pour l'éditeur CA a aussi profité de CAWorld 2005 pour faire le point sur l'intégration de Netegrity. L'éditeur a notamment annoncé CA Identity Manager, le résultat de la fusion d'IdentityMinder de Netegrity et de eTrust Admin. Selon Bilhar Mann, le directeur de la division eTrust de CA, cette intégration devrait permettre de simplifier la gestion des identités au sein des grands comptes. Notons enfin que CA est aussi revenu sur sa participation dans Aperi, le nouveau consortium d'administration open source du stockage annoncé en fanfare avec IBM lors du dernier salon Storage Networking World Aperi. Samuel GreenBlatt, le monsieur open source de CA, nous a ainsi expliqué dans un entretien que CA est l'un des trois éditeurs qui ont lancé l'initiative Aperi. Selon Greenblatt, l'immaturité des standards dans le monde du stockage forçait CA à dépenser un quart de son budget R&D dans des agents de bas niveau, une situation qui devenait intenable. Aperi devrait résoudre ce problème, tout en accélérant l'adoption et l'évolution du standard d'administration ouvert SMI-S de la SNIA... Selon Greenblatt, d'importantes contributions de code source seront effectuées par trois membres clés au cours du premier trimestre 2006. Le consortium dévoilera alors ses plans produits pour les années à venir... (...)
(15/11/2005 17:36:55)Les experts toujours pas d'accord sur la pertinence d'IPv6
Depuis la fin des années 90, de nombreux experts claironnent l'urgence d'une vaste adoption d'IPv6. Néanmoins, les divergences persistent entre promoteurs de la nouvelle version d'IP, et défenseurs de l'actuel IPv4. Interrogé par Computerworld, Geoff Huston, chercheur à l'Apnic, estime qu'IPv4 peut encore servir jusqu'en 2050 et même participer au développement économique : "la mort d'IPv4 n'a pas entraîné celle d'Internet. Une industrie s'est même développée autour." Selon lui, "tout ce qui s'appuie sur http fonctionne parfaitement, NAT pourrait être un succès parfait. [...] Un financier futé achètera et revendra des adresses. Tous ceux qui disposent d'adresses de classe B vont se rendre compte qu'ils peuvent organiser leur réseau derrière du NAT et vendre leurs adresses en surplus." Pour Geoff Huston, un nouveau marché va apparaître qui va permettre à IPv4 de tenir la dragée haute à IPv6 pendant quelques dizaines d'années. Tony Hain, directeur technique chez Cisco, estime en revanche que le NAT "a fait son boulot a apporté les deux ans nécessaires au développement des standards et produits IPv6." Selon lui, "il est temps de passer [à IPv6]", et urgemment : les niveaux actuels de consommation d'adresses IPv4 ne sont pas soutenables au-delà de 2010. (...)
(14/11/2005 17:20:23)La réforme de l'Icann au centre du SMSI
Alors que s'ouvre (*) le Sommet Mondial sur la Société de l'Information (SMSI), les débats devraient porter davantage sur la réforme de la gouvernance d'Internet que sur la réduction de la fracture numérique entre pays riches et pauvres. Le web est actuellement géré par l'Icann (Internet corporation for Assigned Names and Numbers), un organisme contrôlé par les seuls Etats-Unis. Une main-mise que dénoncent nombre d'Etats, au premier rang desquels les membres de l'Union européenne qui souhaitent voir mise en place une gestion internationale. "Ce serait comme avoir plus de cent conducteurs pour un seul bus. A l'heure actuelle nous avons un seul conducteur et jusqu'ici il a fait du bon boulot", rétorque Michael Gallagher, vice-secrétaire américain au commerce. Sept propositions seront défendues par leurs dépositaires au cours du sommet. A la volonté américaine, le statu quo, s'opposeront ainsi le projet européen basé sur une organisation inter-gouvernementale, ou l'idée soutenue par de nombreux pays souhaitant une gestion assurée par l'ONU. Inenvisageable, allèguent les Etats-Unis pour lesquels cela reviendrait à donner à des Etats non-démocratiques le pouvoir d'influer sur le réseau. Reste que ce débat risque d'occulter la véritable raison d'être du SMSI : réduire la fracture numérique et partant les inégalités nord-sud. (*) le 16 novembre à Tunis (...)
(14/11/2005 17:18:34)La VoIP en pleine expansion en Europe centrale et de l'est
Selon IDC, le nombre de minutes de VoIP consommées en Europe centrale et de l'est devraient plus que quadrupler cette année, par rapport à 2004, et encore tripler en 2006. Le chiffre d'affaires généré devrait plus que doubler cette année et progresser de 80 % en 2006. Dans un communiqué, Emir Halilovic, analyste chez IDC en Europe, explique ce « boom » par « le déploiement rapide du haut débit en 2004 et cette année ». Selon lui, ce déploiement donne « accès aux fournisseurs de VoIP à une base installée massive de consommateurs rodés aux nouvelles technologies. » Pour aboutir à ces conclusions, IDC a conduit une étude sur les perspectives 2005-2006 du marché de la voix sur IP dans 11 pays d'Europe centrale et de l'est, à l'exception de la Russie : Bulgarie, Croatie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, République Tchèque, Slovaquie et Slovénie. Le cabinet d'analyses souligne que la Pologne reste en tête de ces 11 pays en termes de nombre de minutes de VoIP consommées, en 2005 comme en 2004. Viennent ensuite la Hongrie et la République Tchèque. A eux trois, ces pays représentent 47 % des minutes de VoIP consommées en Europe centrale et de l'est. (...)
(14/11/2005 17:15:37)Serena racheté par un fond d'investissement pour 1,2 Md$
Le fond d'investissement privé Silver Lake Partners vient d'annoncer le rachat de Serena Software, spécialiste des solutions d'administration du système d'information. Dans un communiqué, Mark Woodward, PDG de Serena Software, se félicite de l'opération, soulignant l'attention que porte Silver Lake Partners « à la performance à long terme ». Selon Mark Woodward, ce rachat doit permettre à Serena se poursuivre sa croissance, en disposant d'une « flexibilité bien plus grande pour suivre notre stratégie. » L'opération, pour un montant de 1,2 Md$ par échange d'actions, devrait être conclue au cours du premier trimestre 2006. (...)
(14/11/2005 17:17:30)Cisco lance Linksys One pour séduire les PME
Cisco vient de confier à Linksys, sa division grand public, la tâche de convaincre les PME, avec une nouvelle marque : Linksys One. Cette marque doit recouvrir une offre complète de produits et services IP administrés par des fournisseurs de services et commercialisés, installés et maintenus par des revendeurs intégrateurs. Dans un communiqué, Cisco précise que les produits voix/données de Linksys One seront commercialisés conjointement avec des services de communication intégrant sécurité, supervision, administration, gestion de la qualité de service et voix sur IP. Pour l'heure, la gamme Linksys Cisco comporte, en termes d'équipement, un routeur commutateur 16 ports, un téléphone SIP et une passerelle SIP/RTC. Cisco prévoit de lancer effectivement Linksys One en Europe au second semestre 2006. (...)
(10/11/2005 17:35:13)Trimestriels Cisco : faible en Europe, fort en Asie
L'équipementier Cisco a bouclé le premier trimestre de son année fiscale 2006 en atteignant le consensus des analystes pour son chiffre d'affaires et son résultat net. Les ventes se sont élevées à 6,5 Md$, en progression de 9,7 % par rapport à la même époque de l'année précédente. Les ventes de produits ont représenté la grande majorité des revenus, à 5,5 Md$. Les services, quant à eux, ont généré 1 Md$. Si le résultat net recule de 9,6 %, à 1,26 Md$, il inclut une charge exceptionnelle, car non prise en compte dans les normes de comptabilité des années précédentes, de 228 M$ relative à des compensations d'actions. La zone Asie-Pacifique s'est montrée particulièrement dynamique avec une croissance de 30 % des commandes et des résultats forts dans toute la région. Cisco a réalisé son meilleur trimestre depuis deux ans en Chine et voit dans l'Inde un réservoir de croissance prometteur, qui constituera un jour, selon les termes du PDG John Chambers, "un marché plus important que la Chine". En Europe, en revanche, les résultats ont été décevants, notamment en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. La part du Vieux continent dans le CA global recule ainsi à 20 %, contre 23 % un an plus tôt. "Si l'europe avait atteint nos espérances, nous aurions réalisé un sacré trimestre", regrette John Chambers, "le temps nous dira s'il s'agit d'un accident ou d'une tendance à long terme". Pour maintenir sa croissance, l'équipementier prévoit d'introduire un nouveau secteur technologique dans son développement tous les trois ou quatre mois, en plus des six domaines qui constituent aujourd'hui son catalogue : stockage, sécurité, ToIP et télécoms, réseaux optiques, WANet réseaux locaux. (...)
(10/11/2005 17:32:16)Un « seul » triple bug graphique chez Microsoft en Novembre
Difficile de passer à côté de l'alerte 05-053 de ce mois-ci : la couche graphique de Windows -le GDI comme le nomment les techniciens- serait affecté d'un problème pouvant exposer le système à l'attaque d'un programme venant de l'extérieur. En outre, deux failles, également dans le domaine graphique, concernent l'interprétation des fichiers « Windows MetaFile Format » (WMF). A côté du bulletin Microsoft, on ne pouvait manquer le communiqué de Eeye, l'un des découvreurs de cette série de problèmes. Voir également à ce sujet l'alerte de Venustech, dont la première partie est réservée aux sinologues avertis, et la seconde -un PoC ou preuve de faisabilité- aux personnes capables de parler Assembleur dans le texte. Qui dit PoC pense probabilité de virus ou d'exploit se promenant dans la nature, l'application du correctif est donc fortement recommandée. Il ne semble pas que ces problème graphiques soient identiques à celui qui, depuis quelques 4 ou 5 jours, agite la mailing list Full Disclosure sous le titre « new IE bug (confirmed on ALL windows) ». Le nombre moyen de failles avouées par Microsoft, ces derniers mois, a tendance à fortement diminuer. Plus inquiétant, le nombre de failles déclarées sur les listes de sécurité décroît sensiblement. Sans aucun doute, la politique de sécurisation conduite par l'éditeur commence à porter ses fruits. Mais il serait téméraire, voir totalement inconscient, de ne considérer que cette vision optimiste de la chose. Certains grands découvreurs -http-equiv par exemple, mais bien d'autres encore, notamment du côté de l'ex-URSS-, sont frappés d'un mutisme assourdissant, alors que quelques uns d'entre eux « pondaient » parfois jusqu'à 3 exploits différents par mois. Internet Explorer serait-il devenu parfait ? Le noyau Windows concurrencerait-il le Premier Cadeau Bonux ? C'est statistiquement impensable. Bon nombre de professionnels du milieu craignent en fait que les « exploits » trouvent actuellement preneurs sur le marché noir de la faille. La dérive mafieuse des crimes informatiques a fini par donner une véritable valeur monnayable au plus petit trou de sécurité : Soit pour entretenir les mécanismes d'injection de spywares, à but commercial ou autre, soit pour disposer de moyens d'attaques directes qui seront utilisés dans le cadre d'opérations de racket. A cet usage noir de la découverte de faille, l'on doit ajouter la thésaurisation mercantiliste de certains. Et notamment des spécialistes de la sécurité qui « offrent » une prime à l'exploit, en théorie pour conforter leur image de marque ... puisque la publication du « trou » portera leur estampille. De l'achat de matière grise à 150 dollars pièce. Mais 150 dollars, parfois, c'est une véritable richesse ou un sérieux coup de pouce financier. Surtout pour un développeur russe ou chinois. Vient ensuite le vivier des bugs « confidentiels défense », conservés par les services de renseignements nationaux -FBI et NSA en tête-. Des bugs parfois refourgués par les professionnels de la sécurité sus-nommés, qui cherchent à s'attirer les bonnes grâces des agences gouvernementales. Toutes les agences de renseignement cultivent soigneusement le trou-surprise, ne serait-ce que pour pouvoir sous-mariner un truand quelconque, un trafiquant notoire, une actrice de cinéma ou un présentateur TV. Reste, enfin, les failles en cours de colmatage, celles qui encombrent le bureau de Stephen Toulouse, patron du Microsoft Security Response Centre. Celles qui nécessitent des tests de non-régression tellement monstrueux que, de mémoire de bug, on en perd jusqu'à la date de naissance. Des qui remonteraient à Windows 98... peut-être même à NT 3.10. D'accord, ça en fait, des dangers potentiels dans la nature. Mais ce n'est pas une raison pour franchement s'affoler. C'est vrai, quoi. Qui a peur de ces trous séquestrés ? Les truands collectionneurs de failles ne les utiliseront que pour monter des botnets ou placer des Troyens et des rootkits. Autant de programmes d'espionnage qui n'ont aucun intérêt à entraver la stabilité des noyaux. Idem pour les bugs de l'armée des ombres qui croupissent dans les répertoires de la DST ou du FSB. Ceux-là, jurés, ils ne serviront que contre les méchants. Et ceux stockés du côté de Redmond ? Aucune crainte ! Les locaux du MSRC sont aussi protégés que les coffres de Fort Knox. (...)
(10/11/2005 17:41:34)Google veut intégrer Google Earth à ses appliances d'entreprise
La division entreprise de Google devrait prochainement intégrer plus étroitement ses appliances de recherche avec les fonctionnalités des outils de cartographie Google. "Il existe un fort potentiel d'intégration entre les produits Google Earth et les appliances de recherche (...) Nous commençons à étudier celles qui présentent le plus d'intérêt" a ainsi Dave Girouard, le directeur général de la division entreprise de Google à nos confrères d'IDG News Service. Google Earth est le produit du rachat par le géant de la recherche de Keyhole. Les versions Plus et professionnelles de l'outil ont récemment été placées sous la responsabilité de la division entreprise. (...)
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