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(23/04/2010 09:46:37)
Alcatel-Lucent teste le 300 Mbit/s sur le xDSL
Selon Stefaan Vanhastel, directeur marketing chez Alcatel-Lucent Wireline Network, les chercheurs des Bell Labs ont présenté une technologie permettant de transférer des données à 300 Mbit/s sur une distance de 400 mètres en utilisant la technologie VDSL2 (Very high bitrate Digital Subscriber Line). Le responsable précise que selon le test, le débit peut même atteindre 100 Mbit/s sur 1000 mètres.
En soi, le VDSL2 plafonne à 100 Mbit/s sur une distance de 400 mètres. Donc pour obtenir un débit trois fois plus important, l'équipementier associe un certain nombre de technologies différentes. Il a ainsi recours à une première astuce, à savoir utiliser deux paires de cuivre simultanément. Une autre possibilité consiste à utiliser ce qu'il appelle le « mode fantôme ». Cette technologie s'emploie à créer virtuellement une troisième paire de cuivre qui envoie des données sur la combinaison des deux lignes physiques. Malgré tout un problème se pose. Lorsque l'on utilise ces deux technologies, on s'expose à beaucoup de diaphonie, une forme de bruit qui dégrade la qualité du signal et réduit la bande passante. Donc au lieu d'avoir 300 Mbit/s, on n'a plus que 200 Mbit/s.
Pour résoudre ce problème, Alcatel-Lucent utilise la vectorisation, un procédé technique qui s'apparente aux casques anti-bruit. Ce système analyse en continu les conditions de bruit sur les lignes de cuivre et envoie ensuite un nouveau signal pour supprimer ce bruit. Stefaan Vanhastel annonce que « c'est une technologie vraiment complexe qui nécessite le traitement de Go de données sur le signal uniquement pour calculer les modèles de perturbation. »
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A long terme, placer de la fibre-optique jusqu'aux foyers est la meilleure solution pour avoir une bande passante élevée. Et selon le dirigeant, dans 15 ou 20 ans, tous les foyers en seront équipés. Mais en attendant, les opérateurs doivent être capable d'optimiser les réseaux de cuivre existants.
Une technologie en voie de normalisation
Une étude marketing du cabinet Point Topic dévoile qu'actuellement, le cuivre est le moyen le plus répandu pour délivrer du haut-débit. Environ 65% des abonnés ont une connexion haut-débit basée sur le DSL (Digital Susbscriber Line), alors que 20% sont câblés et 12% bénéficient de la fibre optique.D'après cette étude, aujourd'hui, la vitesse moyenne de l'ADSL pour les ménages varie de 9,2 Mbit/s en Europe de l'Ouest et en Asie-Pacifique à 1,9 Mbit/s en Asie du Sud-Est.
Le recours à la vectorisation sur VDSL2 est actuellement en cours de normalisation par l'Union Internationale des Télécommunications. La dernière révision de la normalisation s'achève aujourd'hui et s'il n'y a pas d'autres commentaires, Alcatel-Lucent précise qu'elle sera ratifiée à la fin du mois d'avril. Pour Ericsson, qui travaille aussi sur des produits qui utiliseront la vectorisation, tout sera finalisé au plus tard au mois de juillet. Les deux sociétés pensent débuter cette année les essais sur le terrain de la vectorisation pour commercialiser cette technologie dès 2011.
Des débits qui dépassent les 300 Mbit/s peuvent être atteints en utilisant plus d'une paire de lignes de cuivre. Néanmoins, Alcatel-Lucent opte pour deux paires de cuivre car ce sera selon eux le scénario le plus réaliste au moment où cette technologie sera déployée dans les foyers. Stefaan Vanhastel estime que l'on pourrait utiliser six paires, mais ce serait fait uniquement pour raccorder les entreprises et peut-être pour un usage dans les réseaux de collecte des réseaux télécoms mobiles. Il ajoute : « nous aurions pu annoncer 1 Gbit/s ou 2 Gbit/s, mais nous avons volontairement choisi de ne pas le faire car ce n'est pas un scénario réaliste ». (...)
Les datacenters se préparent au 40 et 100 Gbits Ethernet
Les annonces publiées indiquent que la problématique de commutation des datacenters continue à être importante, à mesure que la demande en virtualisation s'étend. Les centres de données et leurs milliers de serveurs, chacun hébergeant des machines virtuelles, nécessitent plus de bande passante et une gestion plus fine de la répartition de la charge de travail.
Avec son commutateur AN 7500, Arista apporte une première réponse à la demande croissante en bande passante. Son commutateur sur châssis vient compléter les racks 1/10Gbits existants pour connecter des serveurs au coeur de réseau des centres de données. Le switch 7500 à huit ports se présente comme un empilement de 11 racks avec une capacité de commutation 10Tbits et 384 ports Ethernet L2/L3 de 10 Gbits. Il surpasse ainsi l'ExaScale E1200 de Force10 et ses 140 ports de densité 10Gbits. Ce produit affiche une consommation de 13 watts par port - soit 25% de la consommation de son concurrent le plus « vert » - et un débit de 5,76 milliards de paquets par seconde par châssis. Ce type de performance, de même que la capacité de commutation à 10Tbits, devrait permettre au switch de supporter les interfaces Ethernet 40 et 100Gbits destinées à voir le jour dans le futur.
Des réponses techniques et logicielles
Jayshree Ullal, PDG d'Arista, ne sait pas si ces interfaces seront disponibles dans un futur proche ou plus lointain, mais il explique que ses laboratoires travaillent déjà au développement de modules 40 Gbits et qu'ils supporteront « plus d'une ou deux interfaces ». Théoriquement, à 10Tbits, le 7500 pourrait soutenir 250 ports Ethernet à 40Gbits. « Si ce commutateur est tel qu'ils le présentent, il aura un impact énorme sur le marché du calcul haute performance et pourrait même changer la donne », indique Steve Schuchart de Current Analysis. A part la E-Series de Force10, les 7500 pourront concurrencer les Nexus 7010 de Cisco, les EX8216 de Juniper et les MLX-32 de Brocade. « Le prix du 7500 d'Arista se situera à 140 000 dollars en prix de départ pour un coût global de configuration estimé à moins de 1 200 dollars par port filaire » indique la société.
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Le concurrent Extreme a renforcé ses commutateurs par une méthode logicielle qui facilite la gestion de machines virtuelles de plus en plus nombreuses, et réduit le nombre de niveaux de commutation par centre de données. Le logiciel XNV d'Extreme s'intègre au système d'exploitation ExtremeXOS et au système de gestion Epicenter en apportant aux administrateurs réseau un outil pour gérer le cycle de vie des machines virtuelles. XNV assure notamment l'automatisation du réseau et gère les paramètres QoS, ACL, la limitation de bande passante, les compteurs et les statistiques à appliquer aux VM. Selon Extreme, le logiciel fournit un historique détaillé, un suivi et une traçabilité des VM au fur et à mesure qu'elles changent d'attribution au niveau du datacenter, de même qu'il conserve les préférences d'accès au réseau et les profils qui leurs correspondent. Les modules logiciels XNV seront disponibles au cours troisième trimestre, à un prix autour de 3 000 dollars pour un système de 20 noeuds.
Extreme doit également dévoiler un logiciel conçu pour alléger la commutation virtuelle des serveurs en la réintégrant au réseau physique. Direct Attach réduit le nombre de couches de commutation au sein d'un datacenter, simplifiant la gestion, la surveillance et le dépannage, et améliore les performances. L'équipementier indique que son logiciel Direct Attach peut interagir avec les nouveaux standards « VEPA » 802.1Qbg IEEE qui permettent aux commutateurs externes de réaliser des opérations que les bridges ou les switchs au standard 802.1Q ne savent pas faire. Direct Attach sera également disponible au troisième trimestre, à un prix fixé à 995 dollars par commutateur Ethernet.
Au cours du second semestre, Force10 dévoilera ses commutateurs Ethernet 40 Gbits conçus pour les environnements de calcul haute performance, le cloud computing et les datacenters virtuels. Force10, qui ne souhaite pas divulguer de détails précis sur ses produits, a néanmoins déclaré qu'ils seront « end-to-end» et «edge-to-core », et qu'ils répondront aux besoins de liaison montante des commutateurs Ethernet 10 Gbits. La société a également indiqué que ses commutateurs E-Series et C-Série sont « compatibles 40Gbits ».
« Depuis qu'elle est sur ce secteur, Force10 a voulu être le leader en matière de performance, » explique Zeus Kerravala du Yankee Group. «Ils vont vouloir être les premiers à proposer du 40Gbits et les premiers à maîtriser le 100Gbits. Il y a des débouchées pour cela, et c'est important en matière de financement. » Force10 pense que le 40Gbits correspond bien aux besoins des datacenters, comparativement au 100Gbits, qui fait aujourd'hui son apparition sur certains routeurs, mais encore trop cher pour être déployé dans les fermes de serveurs. Paradoxalement, Force10 ne donne aucune indication sur les tarifs par port de son 40Gbits, même si elle a indiqué qu'au départ, son prix serait six à huit fois celui du 10Gbits mais qu'il se normaliserait à 4 fois avec le temps. A noter que c'est en juin que l'IEEE ratifiera la norme Ethernet 40G/100G.
HP/3Com rationnalise sa gamme de produits
Fruit de l'union entre 3Com et HP, l'offre HP Networking a été présentée comme la combinaison du meilleur des deux mondes. Cette offre se décompose en plusieurs types de famille, les séries A (haute performance), V (pour les petites entreprises), E (pour les entreprises moyennes) et S (Security), qui se distinguent par le segment de marché adressé. Pour l'ensemble de ces produits, l'équipementier souligne que l'infrastructure réseau est jusqu'à deux fois plus rapide avec une consommation énergétique réduite de moitié. A noter que sur le plan de la sécurité, HP a étendu sa gamme HP Secure Advantage avec l'outil de sécurité de 3Com, Tipping Point.
L'offre HP Networking est pilotée par Marius Haas, Vice-Président Senior et Directeur Général. Elle est rattachée à la division entreprise, serveurs, stockage et Networking d'HP, dirigée par David Donatelli.
3Com, une marque en péril ?
Lors de cette présentation, les deux responsables ont indiqué qu'il y avait très peu de chevauchement entre les produits HP Pro Curve et 3Com. David Donatelli a précisé qu'il n'y avait pas de plan pour faire disparaître les produits 3Com.
Mark Fabbi, analyste au Gartner, estime que ces propos relèvent du « politiquement correct » en ajoutant : « il est évident qu'ils rassurent la base installée de clients, mais en regardant de plus près, on constate un début de changement notamment à travers les investissements sur les plateformes ». Par exemple, les commutateurs 3Com WLAN disposent d'un outil de gestion plus performant que ceux proposés par HP Pro Curve. Il y a donc des chances que ces derniers disparaissent. Autre signe plus parlant, pointé par l'analyste, le produit phare de 3Com, le commutateur de coeur de réseau H3C S12500, concurrent direct de Cisco, devient le A 12500.
S'inscrivant dans la stratégie HP Converged Infrastructure, l'offre HP Networking ressemble à un inventaire optimisé avant la réunion des différents produits et marques sous la même bannière.
SFR augmente le débit de son infrastructure 3G+
En plein débat sur le faux débat de la saturation de la bande passante, SFR indique vouloir anticiper la croissance de l'utilisation de l'Internet mobile. Ce dernier, qui est un gros consommateur de bande passante, pose depuis quelques mois la question de la saturation des réseaux mobiles. SFR, qui a déjà lancé en juin 2009 des débits 3G+ à 14,4 Mbit/s couplés à la fibre optique, va doubler courant avril ces débits à 28 Mbit/s dans le cadre d'une expérimentation en France. Ce réseau, qui s'appuie sur une architecture couplant fibre optique et HSPA+, va être proposé sur les zones les plus denses du territoire.
Par ailleurs, SFR a annoncé le déploiement d'ici la fin 2010 de la norme HSPA+ à 21 Mbit/s sur trois villes françaises, à savoir Paris, Lyon et Marseille. Ce service sera proposé sous forme d'option payante dans un forfait premium sur la gamme professionnelle Global Access. Enfin, l'opérateur annonce la généralisation, dès le printemps 2010, du débit à 7,2 Mbit/s sur l'ensemble de son réseau 3G+.
Ces déploiements devraient permettre d'accélérer la vitesse d'utilisation d'un terminal connecté à l'Internet mobile. Un utilisateur de smartphone pourra par exemple télécharger une vidéo de 100 Mo en 38 secondes s'il dispose d'un débit de 21 Mbit/s, selon l'opérateur. SFR rappelle qu'il couvre désormais 87% de la population française en 3G+. Ce taux devra passer à 98% à fin 2011. (...)
La DGAC renouvelle son infrastructure réseau nationale
Pour répondre aux exigences techniques, la DGAC a choisi l'offre SFR Business Team avec la sous-traitance de Hub Telecom (filiale d'Aéroport de Paris, pour le raccordement au sein de Orly et de Roissy) et de TDF (raccordements de sécurisation à base de faisceaux hertziens). Le déploiement des nouvelles infrastructures a commencé et va se poursuivre jusqu'en 2011. Le contrat porte sur la fourniture de l'infrastructure durant une période totale de dix ans. Renar-IP comporte près de 800 kilomètres de fibres optiques dédiées. Les prestataires garantissent un service client dédié avec des délais d'intervention sur les zones aéroportuaires en moins de quatre heures, 24h/24 et 7 jours/7. Le budget du projet n'a pas été communiqué. (...)(09/04/2010 10:14:30)
ZTE aurait livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009
C'est une croissance de 30% par rapport à 2008 qu'annonce le chinois ZTE dans les terminaux sans fil, téléphones mobiles, data cards ou clés USB. Il annonce avoir livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009. Les livraisons totales se sont réparties en 40 millions de téléphones et 20 millions de data cards. Enthousiaste, ZTE parle de « croissance exceptionnelle. » Bizarrement, l'équipementier chinois s'appuie sur les chiffres de l'institut iSuppli, pour indiquer qu'il a livré 60 millions de terminaux, comme si l'institut pouvait être plus juste que lui-même sur cette comptabilité. ZTE doit bien savoir combien de terminaux il a vendu ?
Signe de l'internationalisation réussie du chinois, ZTE souligne que 70% de toutes ses livraisons ont été effectuées à l'international. Pour ZTE, les trois marchés clés de son internalisation sont l'Europe, les Etats-Unis et le Japon. L'équipementier cite Orange comme client stratégique ainsi que T-Mobile, Verizon, Telefonica, H3G, Telenor, TIM ou encore Sprint. Des opérateurs historiques qui ont cédé à son charme asiatique. Selon ZTE, les gammes de produits livrées couvrent un spectre allant des terminaux haut de gamme aux produits personnalisés, en passant par des appareils d'entrée de gamme économiques.
Photo : He Shiyou, Executive Vice President de ZTE. (D.R)
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Ce sont l'Europe et l'Amérique du Nord qui ont été les plus sensibles à ses arguments avec 40 millions d'unités livrées. ZTE est le fournisseur de smartphones en tête des ventes au Portugal avec le Bluebelt. A noter également que le ZTE X760 a été vendu, à lui seul, à 1,5 million d'unités en Europe. Les activités "data cards" de ZTE ont quant à elles étaient multipliées par trois en 2009, avec 20 millions d'unités livrées. ZTE annonce avoir mis en service ses data cards auprès de 240 opérateurs, dans 106 pays différents.
Satisfecit nationaliste, ZTE souligne que - toujours selon iSuppli - les fournisseurs chinois (comprendre Huawei et lui-même) possèdent plus de 80% du marché mondial des data cards. Et de compléter que ZTE en possède lui-même 35%, dont 40% du marché national chinois (faisant implicitement de Huawei le numéro 1 du secteur). « 70% des terminaux livrés par ZTE en 2009 étaient à destination des marchés globaux, ce qui nous a aidés à devenir le 5ème fabricant mondial de combinés » se félicite He Shiyou, Executive Vice President de ZTE.
Les fabricants européens ou américains doivent continuer de s'inquiéter car il affirme : « Afin de répondre aux besoins de tous les utilisateurs, notre société reste engagée pour 2010 dans un objectif de forte croissance sur l'ensemble de ses gammes en appliquant une stratégie globale de coopération sur les marchés européen et américain. »
Les investissements télécoms en Europe en 2009 ont connu un recul de 8,9%
(Source EuroTMT ) Didier Pouillot, consultant à l'Idate, confirme cet ordre de grandeur avec une estimation de baisse des investissements dans les télécommunications qui atteint 10 %. L'ampleur de la baisse prend toute sa signification quand on la compare avec l'évolution du chiffre d'affaires de ces mêmes opérateurs. En cumulé, le chiffre d'affaire ne recule en moyenne que de 1,6 %. Les prises de participations réalisées à l'étranger, dans les pays en développement (Afrique, Amérique du Sud ou Asie), ont freiné la baisse des revenus en Europe.
Mais, la forte contraction des investissements s'explique d'abord par la volonté des opérateurs européens de préserver leur marge de manoeuvre financière (baisse de l'endettement et free cash-flow) pour maintenir inchangée leur politique de rémunération des actionnaires. Mais ce n'est pas le seul élément. « Les opérateurs arrivaient aussi à la fin d'un cycle d'investissement massif pour déployer les réseaux 3G » rappelle Didier Pouillot.
De plus, dans la téléphonie fixe, les opérateurs n'ont pas concrétisé leurs promesses d'investissement dans le très haut débit, à l'exception de Portugal Telecom qui était contraint d'investir dans la fibre optique en raison de la concurrence du câblo-opérateur Zon. Pour 2010, Didier Pouillot estime que le niveau global des investissements devrait rester stable, mais les opérateurs devraient progressivement les augmenter en fin d'année ou début de 2011 pour faire face à la croissance de la demande en téléphonie mobile.
Illustration Sony Ericsson, D.R.
(...)(02/04/2010 10:51:55)Annuels Netgear : Chiffre d'affaires 2009 en net recul
Au titre de son exercice 2009, le chiffre d'affaires du fabricant d'équipements réseaux a chuté de 8% à 686,6 M$ comparé à 2008. Dans la zone EMEA, où Netgear réalise 42% de son activité, le recul est environ deux fois supérieur avec un revenu de 292. M$ contre 354 M$ un an plus tôt. Le bénéfice net du groupe calculé selon les normes GAAP se situe quant à lui à 9,3 M$, reculant ainsi de 49% sur un an.
Les résultats du quatrième trimestre 2009 permettent néanmoins à l'entreprise d'aborder 2010 sous de bons hospices. Ses ventes au grand public et aux PME, ses cibles privilégiées, ont généré un chiffre d'affaires en hausse de 35% à 218,8 M$. De son côté, le résultat net a pratiquement doublé, passant de 7,3 M$ au quatrième trimestre 2008 à 7,9 M$ lors des trois derniers mois de 2009. Pour le premier trimestre 2010, Netgear anticipe un chiffre d'affaires compris entre 195 et 205 M$.
Illustration : Netgear ms200, D.R.
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