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(17/11/2011 14:19:09)
Aerohive simplifie et sécurise les connexions sans fil des succursales
Aerohive a présenté une offre à destination des petites structures, succursales ou télétravailleur, nommée « Branch on demand ». Elle comprend une paire de routeurs WiFi, avec en option la connectivité 3G/4G WAN, un service cloud de terminaison VPN s'exécutant sur VMware et la capacité d'intégrer des offres de sécurité du cloud proposées par Websense (filtrage anti-malware, inspection du trafic SSL) et Baracuda. Le résultat, selon les dirigeants d'entreprise, est une couche réseau de niveau 3 complète avec DHCP en local et des services DNS, via le « proxy cloud » d'Areohive.
Aerohive propose ainsi deux routeurs pour les succursales. Le premier a être commercialisé sera le BR100, un routeur low cost fonctionnant en 2,4 GHz et compatible avec le standard 801.11n. Il comprend 5 ports Fast Ethernet et un port USB et intègre en option la connectivité 3G/4G. Les prix commencent à 99 $ par année par site et sera disponible à la mi-décembre. Le BR200 est un routeur haut de gamme comprenant un port USB pour une option 3G/4G WAN, mais il offre des antennes radio 3x3 MIMO (Multiple in-Multiple out) qui peuvent fonctionner soit en 2,4 GHz ou 5 GHz, 5 ports Gigabit Ethernet, dont deux sont en PoE. Le BR200 sera disponible au « début 2012 » pour un prix non encore annoncé.
Les deux routeurs fonctionneront sur la version 5.0 de HiveOS. Elle intègre notamment différentes fonctionnalités cloud comme les terminaisons VPN ou la gestion des des WLAN avec une version rénovée de HiveManager 5.0. Une fois l'installation faite, les administrateurs IT peuvent suivre l'identité des utilisateurs et le type d'appareil utilisé, les autorisations attribuées automatiquement, les paramètres réseaux au sein des succursales. Le tout est géré par HiveManager via une page web, contrôle et modification à distance des routeurs et des points d'accès.
Un gain de temps dans la prise en charge des VPN
Par ailleurs, l'offre « Branch on demand » comprend Cloud VPN Gateway (CVG) est une application logicielle pour la terminaison VPN. Elle est conçue pour fonctionner sur des serveurs virtuels sous VMware, de sorte qu'elle peut rapidement évoluer pour gérer de nombreux clients. Une fois les routeurs branchés, un tunnel est automatiquement établi vers le CVG.
« Une constante des difficultés avec les VPN quand on a de nombreux sites, en particulier des bureaux distants, est la nécessité d'allouer et de mapper des adresses IP et des sous-réseaux en configurant des routes pour garder le trafic en local, tandis que le tunneling oriente les autres trafics vers le VPN » , explique Lisa Phifer, consultante en réseaux chez Core Competence . « De ce que j'ai vu dans la démo Aerohive, ils auto-génèrent les sous-réseaux et le routage à partir de simples curseurs comme, par exemple,« J'ai 10 utilisateurs au bureau X ». Cela pourrait être un gain de temps énorme si vous avez des centaines ou des milliers de bureaux à traiter », ajoute la consultante.
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Huawei en passe de racheter sa co-entreprise avec Symantec
Huawei et Symantec ont annoncé avoir conclu un accord permettant à Huawei de racheter les 49% détenus par Symantec dans une joint-venture conclue en 2008 afin de proposer des solutions de sécurité, de stockage et d'administration système. Prix de la transaction: 530 millions de dollars. Les deux entreprises relèvent avoir été en discussion au sujet de l'avenir de cette joint-venture, actuellement déficitaire, depuis plusieurs mois, et être parvenues à la conclusion qu'il était préférable de ne conserver qu'un seul propriétaire.
«L'intégration des solutions de sécurité et de stockage de Huawei Symantec avec les produits de Huawei va renforcer la position de leader de Huawei dans le domaine du cloud computing», s'est réjoui Guo Ping, président adjoint de Huawei. «Symantec a atteint les objectifs fixés il y a quatre ans, et sort de cette joint venture avec un bon retour sur investissement et une meilleure pénétration du marché chinois» a pour sa part relevé Enrique Salem, président et CEO de Symantec.
Préoccupations sécuritaires aux Etats-UnisL'accord doit encore être approuvé par les autorités américaines, et devrait être finalisé au premier trimestre 2012. Selon certains analystes, les autorités américaines ne devraient pas s'opposer à cette transaction au vu du fait que la joint venture est établie à Hong Kong et non sur sol chinois. Les médias américains se font néanmoins l'écho de préoccupations sécuritaires et relèvent que Huawei a par le passé déjà dû renoncer à plusieurs acquisitions sur sol américain au vu de pressions exercées par les autorités américaines.
ICTJournal.ch
La vidéoconférence au secours des réunions de CE
En l'occurrence, un représentant du personnel ne se trouvait pas dans l'établissement où avait lieu la réunion et s'est donc joint à celle-ci en utilisant la vidéoconférence. Or cette possibilité n'avait pas été prévue au règlement intérieur et pouvait donc entacher les décisions prises lors de cette réunion. La Cour vient de rejeter cette contestation. Cependant, une limite a été fixée de manière ferme au nom de la confidentialité : il ne faut pas qu'il soit nécessaire de procéder à un vote à bulletin secret.
Recap IT : Les Anonymous et Duqu super stars, Google + s'ouvre aux entreprises, Adobe tue Flash pour mobile
Encore une semaine amputée d'un jour, mais l'actualité IT est toujours aussi dense. Sur le plan de la sécurité, les projecteurs se sont tournés vers le collectif de hackers Anonymous. A chaque piratage de grande envergure, sites gouvernementaux, grandes entreprises ou sectes, ils sont pointés du doigt. Là en l'occurrence, ils sont fortement soupçonnés d'avoir bloqué des sites militaires israéliens, mais également d'avoir fait plier un cartel de drogue mexicain. Autre star de la semaine, Duqu qui n'en finit pas de faire parler de lui. D'un côté, Microsoft annonce un correctif partiel sur ce trojan. De l'autre, F-Secure détaille les risques liés à Duqu, alors que NSS Labs se targue d'avoir créé un outil Open Source pour détecter le malware qui est contesté par plusieurs éditeurs de solutions de sécurité.
Toujours sur la sécurité, la CIA s'intéresse aux tweets en analysant quotidiennement 5 millions de messages pour trouver des éléments criminels ou terroristes. La société Palo Alto a présenté Wildfire, un outil capable de détecter et bloquer le trafic suspect.
SAP, Fujitsu tiennent forum et Google + s'ouvre aux entreprises
Si Gartner annonce une deuxième récession dans les dépenses IT, plusieurs acteurs de l'IT ont montré lors de différents évènements qu'ils étaient dynamiques sur le plan des produits et des services. Ainsi, Fujitsu Forum se positionne clairement dans le cloud comme un acteur de bout en bout, du hardware jusqu'au logiciel en proposant en propre une solution de CRM Open Source en mode SaaS. De son côté, SAP lors de son évènement à Madrid Sapphire cible l'analyse des données à travers sa solution in memory HANA, mais reste aussi vigilant et innovant sur son coeur de métier. EMC tenait aussi son Forum à Paris avec un focus bien évidement sur le big data, mais aussi sur sa volonté d'étoffer son écosystème de partenaires.
Dans un autre registre, Google a annoncé l'ouverture de son réseau social, Google +, aux entreprises. Cela été très attendu et certains comme la Caisse d'Epargne ont rapidement annoncé leur présence. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a dénigré son concurrent en indiquant qu'avec Google +, la firme de Moutain View s'était créé un petit Facebook.
Adobe liquide Flash sur mobile et Juniper plante le web
Il aura fallu 6 minutes de panne à cause d'une mise à jour sur des routeurs edge de Juniper pour que le web américain et européen soit ralentit pendant plusieurs heures. Pour Adobe, la décision a été prise de cesser le développement de Flash Player sur les mobiles pour se focaliser sur le HTML5. Ce recentrage entraîne la suppression de 750 emplois. Steve Jobs peut sourire d'outre-tombe, lui qui avait refusé l'intégration de Flash sur les terminaux mobiles Apple. La firme de Cupertino ferraille toujours avec Samsung sur les brevets, même si la Commission européenne pourrait pousser les deux protagonistes à un compromis.
5,8 millions de hotspots WiFi dans le monde d'ici 2015
Une étude de la Wireless Broadband Alliance (WBA) révèle que le nombre de hotspots WiFi pourrait passer de 1,3 million en 2011 à 5,8 d'ici à 2015, soit une hausse de 350%. Ce nombre n'inclut de surcroît pas les points d'accès communautaires, qui permettent aux utilisateurs de partager leur propre connexion WiFi avec d'autres. Certains pays sont particulièrement à la pointe de ces projets de développement, comme la Chine. A lui seul, le fournisseur d'accès China Mobile prévoit d'y déployer un million de nouveaux hotspots.
L'étude a révélé que cette croissance se concentrera sur trois types de lieux : les espaces extérieurs avec accès étendu (les parcs) ou accès local (les attractions touristiques) et les antennes de transport (les gares, les aéroports). Il apparaît que le nombre de connexions WiFi effectuées à partir de smartphones va bientôt dépasser celui des ordinateurs portables à l'échelle mondiale. Les ordinateurs représentent aujourd'hui 48% des connexions aux hotspots, contre 36% aux smartphones et 10% aux tablettes.
Chris Bruce, le Président de la WBA évoque un "âge d'or du WiFi" dans les années à venir.
Un bug dans les routeurs de Juniper Networks ralentit le web
Hier, il a été difficile de surfer sur le web aux Etats-Unis et en Europe. La cause de ce ralentissement est à chercher auprès des routeurs de périphérie de Juniper Networks. L'équipementier a d'ailleurs confirmé l'information par la voix de Mark Bauhaus, son vice-président exécutif en charge des services, du support et des opérations : « ce matin, nous avons appris un problème de Border Gateway Protocol [NDLR : protocole de base de routage] sur les routeurs de périphérie qui a touché un petit pourcentage de clients». Il ajoute « un correctif logiciel est disponible et nous avons travaillé avec nos clients pour le déployer immédiatement ». La panne a duré 6 minutes, mais avec l'effet cascade, le trafic web a été fortement ralenti en Amérique du Nord et en Europe. L'opérateur Level 3 a été le plus touché en indiquant très tôt que le blocage provenait de ses routeurs, sans dévoiler le nom de la marque en cause.
Le plantage est dû à la mise à jour des routeurs Juniper. En cause, une cohabitation difficile entre deux versions de JunOS, système d'exploitation de l'équipementier et la réinitialisation des connexions BGP. Ce protocole sert de table de routage pour différents équipements réseaux.
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L'Internet mobile toujours en forte croissance selon Ericsson
Le trafic Internet mobile généré par les smartphones et les tablettes pourrait être multiplié par 10 entre 2011 et 2016, selon une étude de l'équipementier Ericsson. Alors que le nombre d'abonnements mobiles devrait s'établir à 900 millions fin 2011, il pourrait atteindre les cinq milliards à l'horizon 2016.
Ericsson table sur une croissance de 60% par an du trafic mobile de données, principalement dopée par la consultation de vidéos (enregistrées ou en streaming). Au final, cela correspondrait en 2016 à échanger dix fois plus de données qu'aujourd'hui, soit entre 4 000 et 5 000 petabytes (10 puissance 15 bytes) par mois. Le seul trafic lié aux smartphones pourrait tripler en 2011, par rapport à l'an dernier.
En 2016, plus de 30% de la population mondiale vivra dans des métropoles d'une densité supérieure à 1 000 habitants au km². Cela ne représente qu'environ 1% de la surface de la Terre mais générera, selon Ericsson, plus de 60% du trafic mobile global.
Cisco veut démocratiser la téléprésence
Il y a quelques semaines, lors d'un évènement à San José en Californie, Cisco a fêté le 5ème anniversaire de son offre de téléprésence qui se constitue de trois grands écrans et d'une expérience vidéo immersive en taille réelle. Il y a 5 ans, le prix d'entrée d'une salle de téléprésence était de 300 000 dollars. Aujourd'hui, Cisco veut démocratiser la téléprésence au plus grand nombre. François Moïse, responsable de l'activité collaboration et communications unifiées chez Cisco France explique « l'usage de la vidéo et de la téléprésence devient plus mature et le phénomène de consumérisation de l'IT pousse à adapter ses usages aux différents espaces de travail ». Concrètement cette démocratisation passe par le lancement d'une application nommée Jabber Video for TelePresence, qui est un client qui se télécharge sur PC ou Mac, mais aussi sur une tablette ou un smartphone. « Il est essentiel d'être multi-support, notamment dans le cadre de la mobilité » souligne François Moïse. L'application est pour l'instant en démonstration chez Cisco et devrait arriver en version beta au premier trimestre 2012. A noter que côté concurrence, il existe déjà des solutions similaires comme Vidyo par exemple.
L'application proposée par Cisco montre aussi le travail du constructeur dans l'intégration des différentes briques collaboratives, la HD a par exemple été implantée il y a 6 mois dans Webex, l'outil de webconferencing de Cisco. John Chambers, PDG de Cisco avait résumé cette orientation « Video is new voice ».
Des idées dans les cartons
La R&D n'est pas en reste pour aller plus loin dans l'expérience vidéo. D'ores et déjà, il est possible d'enregistrer une réunion en téléprésence et repasser les interventions sur n'importe quels supports. La prochaine étape est de trouver des mots clés dits pendant la réunion ou la session vidéo et de les indexer dans une base de données mises à disposition pour les collaborateurs. « Il existe une prolifération d'informations importantes lors des réunions organisées en téléprésence et la demande est forte de pouvoir les analyser, valoriser et les partager sur des outils comme un réseau social d'entreprise par exemple » souligne François Moïse. Il existe d'autres éléments de recherches comme la réalité augmentée ou la traduction en temps réel, mais ils restent pour l'instant au stade de concept. A suivre...
Brocade est-il encore à vendre ?
Selon le Wall Street Journal, Brocade, l'entreprise de la Silicon Valley qui conçoit et réalise des systèmes de communication pour les réseaux de stockage, essayerait encore de trouver un acheteur via Qatalyst Partners. Il s'agit de la même banque d'investissement vers laquelle elle s'était adressée une première fois il y a deux ans. Pour l'instant, Brocade n'a pas fait de commentaire relatif à cette information.
En octobre 2009, Brocade avait demandé à Qatalyst de chercher pour son compte des acheteurs possibles. A l'époque, certaines sources avaient laissé croire que Hewlett-Packard et Oracle étaient toutes deux intéressées par l'entreprise, mais sans donner suite. Pour Brian Babineau, analyste pour le cabinet d'études ESG, la publication par le Wall Street Journal d'un article sur une mise en vente possible de Brocade n'est « pas un hasard », rapportent nos confrères de Computerworld. Selon lui, tout article mentionnant ainsi la recherche possible d'un repreneur par une entreprise n'a que deux objectifs très calculés : soit recruter des repreneurs supplémentaires et susciter une guerre des enchères entre les déclarés et les nouveaux prétendants, soit remotiver les acheteurs potentiels. Une société étrangère, qui n'est peut-être pas au courant que Brocade cherche activement à se vendre, pourrait se retrouver dans la course. « Par contre, si cette information est parue par hasard, cela pourrait nuire à d'éventuelles négociations en cours », a ajouté Brian Babineau. Voilà pourquoi ce type d'informations parait rarement par accident, selon lui.
Dell et Oracle peuvent être intéressés
Cette fois-ci, HP devrait être beaucoup moins intéressé par Brocade. Fin 2009, l'entreprise a en effet racheté le fabricant de switches et de routeurs 3Com. IBM, un autre prétendant possible, a de son côté acquis Blade Network Technologies en 2010, ce qui rend également Brocade beaucoup moins attractif pour lui.
Dans la liste des candidats les plus susceptibles d'être intéressés par Brocade, Dell et Oracle auraient aussi leur place. Dell a récemment annoncé la fin d'un accord de revente passé avec EMC il y a 10 ans. Ce partenariat avait permis à Dell de développer sa propre offre de stockage professionnelle et à EMC de se hisser sur le marché des entreprises de taille moyenne. Oracle, de son côté, fait partie des groupes qui procèdent le plus à des acquisitions (il y a quelques jours, il a encore déboursé 1,5 milliard de dollars pour racheter l'éditeur RightNow) « S'ils achètent Brocade, je pense que Brocade réussira » a déclaré pour sa part Jon Olstik, un autre analyste d'ESG. « Oracle sait conserver le meilleur dans une ligne de produits et les packager de façon avantageuse. » Mais Brocade n'est pas le seul enjeu du moment. Oracle pourrait choisir d'acheter Enterasys Networks, Extreme Networks ou Arista Networks, pour ne citer que ces entreprises-là.
En 2010, Dell a acheté Force10 Networks, fabricant de routeurs pour datacenters et cloud. Mais il pourrait encore être intéressé par les commutateurs Fiber Channel et Ethernet pour réseaux de stockage.
Brocade est valorisé 2,2 milliards de dollars
Afin d'élargir sa propre position sur le marché, Brocade avait acheté Foundry Networks en 2008, pour avoir accès à la technologie de réseau IP. Ce rachat lui avait permis de mettre un pied dans le marché des serveurs de réseaux et de renforcer sa position concurrentielle face à Cisco Systems. Au cours des dix dernières années, Cisco a ajouté à sa gamme de produits une ligne de commutateurs de stockage et de routeurs et est devenu un acteur important sur le marché du stockage. Il y a deux ans, en créant conjointement la filiale Virtual Computing Environment (VCE), Cisco et EMC ont renforcé leur alliance et ont élaboré en commun un système de stockage serveur et réseau du nom de vBlock. Depuis, l'alliance d'EMC et de Cisco au sein de VCE n'a cessé de se renforcer.
Ces dernières années, le cours des actions de Brocade a fait plusieurs plongeons mémorables. Ainsi, entre septembre et octobre 2008, le cours par action est passé de 7,49 à 3,09 dollars pour finir à 2,16 dollars par action en mars 2009 avant de rebondir à 9,41 dollars en octobre 2009. Puis, cet été, en un à mois à peine, le cours de l'action a de nouveau chuté quasiment de moitié, passant de 6,75 dollars par action en juillet, à 3,42 dollars en août. Depuis, le cours est remonté de manière régulière pour dépasser un peu les 4,50 dollars par action.
Dans tous les cas, le prétendant potentiel devra avoir une taille importante. Brocade affiche en effet une capitalisation boursière d'environ 2,2 milliards de dollars. Sans compter que, selon Jon Oltsik, Brocade a aussi une dette importante résultant de son acquisition de Foundry. De sorte que tout acquéreur devra également supporter cette dette. « EMC pourrait être intéressé par Brocade, mais dans ce cas, les tractations risquent d'être longues et serrées », selon l'analyste. EMC n'a pas à son catalogue de logiciel serveur, et la partie Foundry de Brocade leur serait inutile. « Un rachat de Brocade par EMC pourrait également gêner sa relation avec Cisco », a ajouté l'analyste d'ESG. « Non, je ne vois vraiment pas qui pourrait racheter Brocade », considère finalement Jon Olstik.
Crédit illustration : Brocade
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