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(10/04/2008 16:43:44)

Microsoft et Yahoo multiplient les alliances chacun de leur côté

Yahoo et AOL (propriété de TimeWarner) seraient en pourparlers pour nouer un partenariat afin de contrecarrer l'OPA hostile lancée par Microsoft en janvier dernier, selon le Wall Street Journal. Ces dernières semaines, Yahoo a redoublé d'imagination pour échapper à Microsoft, s'adressant à ses actionnaires, ou modifiant les conditions de départ de ses salariés en cas de réussite de l'OPA. Hier, Yahoo trouvait également le soutien de son deuxième plus gros actionnaire, la société Legg Mason. Yahoo estime en effet que la proposition de Microsoft (44,6 Md$) sous-évalue le potentiel de la société. Selon le New York Times, Microsoft pourrait de son côté s'adosser à News Corp pour donner plus de poids à son offre. On ignore en revanche si cette alliance inciterait Microsoft à revoir le prix proposé, ni de quelle manière les deux sociétés se partageraient le butin. Ces deux derniers retournements de situation sont pour le moins surprenants. Rupert Murdoch, patron de News Corp, avait pourtant clairement déclaré que Yahoo ne représentait aucun intérêt pour lui. AOL (propriété de Time Warner) quant à lui s'est récemment payé le réseau social Bebo pour 850 M$. Il doit par ailleurs faire face à des turbulences internes depuis que Jeffrey Bewkes, responsable exécutif de Time Warner, a déclaré lors de la 21e édition de la Bear Sterns Media Conference (qui réunit les grands noms des médias américains) que la société envisageait de se défaire d'AOL. Yahoo n'en est pas à une provocation près pour repousser les avances de Microsoft. Le pionner de la recherche en ligne a annoncé dans la foulée qu'il allait tester le service AdSense de Google, ennemi juré de Microsoft. Durant deux semaines, et aux Etats-Unis exclusivement, les publicités contextuelles de Google s'afficheront ainsi dans 3% des pages de résultats de Yahoo. Yahoo a précisé que ces essais ne signifiaient pas qu'il allait rejoindre le programme AdSense, et qu'ils n'aboutiraient pas forcément à une relation commerciale avec Google. Il s'agit en tout cas d'un énième pied de nez fait à Microsoft, qui s'est empressé de commenter ce partenariat, en le qualifiant « d'anti-concurrentiel sur le marché de la publicité en ligne ». (...)

(02/04/2008 17:41:08)

Firefox double sa part de marché dans les entreprises

La part de marché du navigateur Firefox de la Fondation Mozilla, a quasiment doublé en l'espace d'un an dans les entreprises, pour atteindre les 18%, d'après le cabinet Forrester. L'étude, réalisée auprès de 50 000 salariés (en Europe, en Amérique du Nord et en Asie), révèle que si Internet Explorer (toutes versions confondues) de Microsoft reste majoritairement utilisé (78,7%), son dauphin n'a cessé de grappiller des points au courant de l'année. Un bémol toutefois dans les grandes entreprises, plus lentes à adopter Firefox. Les deux leaders sont suivis de très loin par les navigateurs Safari (2,4%), Opera (0,5%), Mozilla (0,2%) et Netscape (0,1%). L'étude précise par ailleurs que moins de 30% des entreprises ont basculé vers IE 7.0, les autres se contentant de la version précédente... une frilosité qui n'est pas sans rappeler celle concernant Windows Vista. (...)

(02/04/2008 16:30:27)

Google lorgnerait toujours sur Skype

Google envisagerait de nouer un partenariat avec Skype (service de téléphonie sur IP), voire de le racheter à son propriétaire actuel eBay, selon le blog spécialisé TechCrunch. La rumeur d'un éventuel rapprochement courait depuis le mois de novembre dernier, suite à un article publié par le Guardian. Google dispose déjà de son propre service de voix sur IP gratuit GTalk, lancé en août 2005, et qui se base sur un protocole Jabber. GTalk est toutefois beaucoup moins populaire que Skype. Autre défaut de GTalk, il est propriétaire et n'est utilisable que par les internautes disposant d'un compte GMail. Le possible rachat de Skype par Google s'inscrit en outre parfaitement dans la stratégie gloutonne du géant du Web qui consiste à multiplier les services, notamment en avalant d'autres sociétés. Skype a plombé les résultats de eBay en 2007 Du côté d'eBay, qui a déboursé 2,6 Md$ en septembre 2005 pour se payer Skype, l'opération - si elle se réalise - pourrait se révéler positive. Ebay a certes publié un chiffre d'affaires annuel satisfaisant, mais un bénéfice net en baisse de 69%, plombé par la dépréciation de Skype, qui avait entraîné une charge exceptionnelle de 1,4 Md$ au troisième trimestre 2007. Ebay est par ailleurs en proie à des turbulences internes. Meg Whitman, ancienne CEO de la société, a par exemple quitté ses fonctions en janvier dernier. (...)

(01/04/2008 17:12:40)

3% du trafic Internet servirait aux attaques en dénis de service

Entre 1 et 3% des données circulant sur Internet sont dénuées d'information, et sont utilisées dans les attaques par déni de service distribué (DDOS), selon une étude d'Arbor Networks. Cette société, spécialisée dans l'analyse des trafics réseaux, a surveillé pendant 18 mois les données transitant entre 68 fournisseurs d'accès Internet dans le monde. Arbor Networks a dénombré 1300 attaques par jour en moyenne, avec des pics de 6% et une baisse sensible au moment des fêtes. Dans la majorité des cas, ce sont des serveurs IRC (Internet relay chat, autrement dit de messagerie instantanée) qui sont la cible de ce type d'attaques. Le déni de service distribué est une technique qui consiste à submerger les serveurs Internet de requêtes (en se dissimulant derrière des machines-rebonds, à l'insu de leur propriétaire) afin de réduire les performances des sites Web (temps d'affichage des pages ou d'envoi d'un e-mail), voire de les paralyser pendant quelques minutes. C'est ce qui est par exemple arrivé à Wordpress en février dernier. L'étude souligne en outre que ces attaques sont de plus en plus répétées et difficiles à endiguer. (...)

(21/03/2008 17:46:41)

Bain ne veut plus racheter 3Com, qui s'indigne

Trop compliquée. La vente de l'équipementier américain 3Com au fonds d'investissement Bain Capital n'aura pas lieu, a indiqué ce dernier. Cela ne se passera pas ainsi, a aussitôt répliqué 3Com, qui estime que Bain n'a pas de raison valable de revenir sur l'accord conclu en octobre dernier, qui valorisait le fabricant de produits réseaux à 2,2 Md$. L'accord prévoyait l'acquisition par Bain Capital de 83,5% du capital, le reste allant à l'équipementier chinois Huawei. C'est justement cette prise de participation minoritaire qui pose problème. Les sociétés avaient pris soin de déposer un dossier auprès de l'administration américaine chargée de valider les investissements d'entreprises étrangères (U.S. Committee on Foreign Investment in the United States, ou CFIUS), et visiblement cette dernière a montré des signes de réticence. Un membre du Congrès a résumé la situation, en expliquant publiquement que le DoD (Department of Defense, ministère américain de la Défense) utilise des outils de détection d'intrusion de 3Com, et que dans le même temps il est la cible de hackers chinois. Persuadées que le CFIUS refuserait la transaction pour des raisons de sécurité, les deux sociétés ont préféré, il y a un mois, retirer le dossier. Mais 3Com gardait visiblement espoir, à en juger par sa réaction à l'annonce de Bain Capital. Dans un communiqué, l'équipementier indique qu'il « ne croit pas que la tentative de Bain Capital Partners LLC de mettre fin à l'accord de fusion avec 3Com [...] soit valide ». Pour le constructeur, « les raisons évoquées dans le communiqué de presse de Bain Capital ne constituent pas un base [légale] pour mettre fin à l'accord ». 3Com dit encore vouloir agir selon les clauses de l'accord, mais réclame tout de même les 66 M$ de dédommagement prévus en cas de rupture (somme qu'il pourra réclamer si les actionnaires, réunis justement aujourd'hui, approuvent l'accord). (...)

(19/03/2008 18:15:24)

L'April, dubitative sur le rôle du secrétariat d'Etat au numérique

Si certains, comme l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), se réjouissent de l'entrée du numérique au gouvernement, d'autres émettent certaines réserves sur cette initiative. C'est le cas de l'April, qui déplore la réduction des problématiques du numérique aux seuls aspects économiques. L'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre estime que « l'État doit également considérer les bénéfices des technologies numériques pour les citoyens, notamment en termes de disponibilité, d'échanges et de partage des savoirs, pour tous et par les citoyens eux-mêmes ». Elle s'inquiète également de cette nomination en raison des opinions exprimées par Éric Besson à l'automne 2007. L'April rappelle que le secrétaire d'État avait déclaré vouloir « renforcer énergiquement la protection de la propriété intellectuelle, qui demeure aujourd'hui trop timorée ». En préconisant pour cela de « s'inspirer de l'attitude beaucoup plus offensive des USA ». Or pour l'association libriste, la politique américaine dans ce domaine a conduit à l'adoption par de nombreux pays de lois qui se révèlent étouffantes pour les libertés et le développement économique et social. « La riposte graduée, les brevets logiciels et les atteintes à la neutralité d'Internet ne sont pas des perspectives d'avenir, d'innovation, ni de progrès, estime Frédéric Couchet, délégué général de l'April. L'histoire démontre que le modèle outre-Atlantique sert principalement les industries américaines, et en aucun cas l'économie française et européenne. » Avant tout nouveau chantier, l'April demande que ce secrétariat d'État ait comme première mission de dresser un bilan de la législation existante. En amont des projets de loi, il devra également procéder à des études d'impact, en particulier en termes de coût pour la compétitivité dans l'économie numérique, mais aussi pour les libertés publiques et la participation démocratique des citoyens à l'ère du numérique. (...)

(19/03/2008 18:01:50)

FalconStor met son offre à jour pour WS Server 2008

Alors que le très attendu Windows Server 2008 - et surtout son hyperviseur Hyper-V, sorti aujourd'hui en version RC (release candidate) - est enfin disponible, FalconStor annonce la certification Windows Server 2008 de l'ensemble de ses produits. Il s'agit par exemple de la plateforme IPStor de NNS (Network Storage Server), qui fournit des espaces de stockage virtuels via Infiniband, iSCSI ou Fibre Channel aux systèmes hôtes (qu'ils soient sous Windows, Linux ou Unix), ainsi que des solutions de protection et de récupération de données Message Recovery pour Microsoft Exchange, Snapshot Agent pour Exchange, SQL Server et Dynapath. Bien que 90% des clients de FalconStor utilisent principalement ESX de VMWare comme outil de virtualisation serveur, la société se veut complètement neutre. Son offre supporte également les hyperviseurs Xen et Virtual Iron, en plus d'Hyper-V. Alexandre Delcayre, directeur architecture stockage pour FalconStor EMEA, reconnaît toutefois : « Pour l'instant, peu de nos clients veulent migrer vers Windows Server 2008. Ils l'évaluent, et s'ils se décident à basculer, ce sera en raison des applications associées, comme SQL Server 2008. Je pense qu'Hyper-V pourra également être un élément déclencheur pour les sociétés qui veulent entamer la virtualisation et la consolidation de leurs infrastructures. » En plus de cette certification, FalconStor s'apprête à sortir mi-avril IPStor 6 avec deux nouvelles fonctionnalités pour s'adapter à l'accroissement des données stockées. Sparse Dissk permet de créer un disque virtuel plus gros que la baie réellement attachée pour faire du « surbooking » temporaire de données, et autorise le support physique et virtuel d'espaces de stockage à partir de 2 téra-octets et jusqu'à 9 exa-octets (soit 9 millions de téra-octets). (...)

(19/03/2008 14:44:15)

L'économie numérique fait son entrée au gouvernement

L'entrée du numérique au gouvernement était attendue depuis longtemps par les représentants de l'IT. C'est désormais chose faite, grâce à la nomination d'un « Monsieur » économie numérique. Hier matin, à l'occasion d'un réajustement gouvernemental, le président de la République Nicolas Sarkozy a en effet confié à Eric Besson le poste de secrétaire d'Etat au numérique. Une mission qu'il cumulera avec ses fonctions actuelles de secrétaire d'Etat chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques. Si le contenu de sa mission reste encore à préciser, il devrait s'inspirer du rapport de la Commission Attali, qui, dans sa décision 63, préconisait la création d'un haut-commissaire au Développement numérique, rattaché au cabinet du Premier ministre. Dans le rapport, il était question de « disposer d'une autorité sur toutes les structures ministérielles chargées du numérique, et de fusionner les multiples structures et instances à vocation interministérielle ». Renforcer l'équipement informatique des PME françaises Le nouveau secrétaire d'Etat devra s'attaquer à deux chantiers prioritaires. Le premier est l'accès à Internet très haut débit pour tous, un sujet déjà évoqué par Nicolas Sarkozy, en mars dernier, lors du Cebit de Hanovre. Dans l'intention de renforcer l'usage et la production des nouvelles technologies dans l'Hexagone, le chef de l'Etat avait alors poser l'objectif de 70% des ménages équipés d'ordinateurs personnels d'ici à deux ans. En parallèle de cette ambition, il avait souhaité que « 100% des Français aient accès au débit fixe ou mobile » avant la fin de son mandat. [[page]] Du côté des associations professionnelles, on ne peut que se réjouir de cette initiative. « La nomination d'un secrétaire d'Etat à l'économie numérique permettra en premier lieu de pallier au manque de coordination et de vision des politiques en la matière, estime Loïc Rivière, délégué général de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels). Elle devrait également permettre de faire face à une situation pour le moins contrastée, en matière de capacité française à l'innovation, comme la pénurie de compétences dans la IT, la faiblesse des passerelles R&D entre le public et les industriels, ou le retard pris par la France en matière de propriété intellectuelle. » Le délégué de l'Afdel, qui avait d'ailleurs critiqué ce même rapport Attali jugé trop favorable au Libre, considère par ailleurs que le développement numérique ne doit pas uniquement se focaliser sur le retard pris dans l'équipement des ménages français : « Il faut également encourager les PME à investir dans les outils informatiques, à augmenter les investissements en R&D, et à renforcer la propriété intellectuelle. » Dans ce domaine, les universités françaises sont clairement à la traîne, comme l'a récemment montré le dernier classement mondial de Shanghai. (...)

(19/03/2008 12:21:52)

Nanochip développe une mémoire rivalisant avec les disques SSD

Comme les processeurs, les mémoires flash sont soumises à la loi de Moore. Elles arrivent également à leurs limites, en atteignant des finesses de gravure de l'ordre de 32 ou 45 nanomètres. Pour contourner le problème, une start-up californienne, Nanochip, vient de développer un nouveau prototype de mémoires basé sur des "micro-electro-mechanical systems" (MEMS) qui pourraient dépasser les 100 Go de données stockées par puce, loin devant les capacités des disques SSD (Solid State Disk) actuels. Pour arriver à ce résultat, la société mise tout sur des sondes chargées d'écrire et de lire les informations stockées dans la mémoire MEMS. Ces sondes, d'une taille n'excédant pas les 15 nanomètres dans les prototypes, mais qui devraient se réduire à moins de 10 nanomètres dans les versions commerciales, sont mobiles (au sein d'une grille intercalée entre les deux couches de stockage proprement dite). Elles peuvent ainsi accéder à 100 fois plus de données que dans une mémoire flash. Nanochip prévoit de passer à la commercialisation de ses produits en 2009, et voudrait atteindre les 1 To de stockage d'ici à 2012. (...)

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