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(22/01/2009 11:57:43)
Trimestriels Logitech : revenu et bénéfice en berne
Comme prévu, les résultats du fabricant d'accessoires pour le compte du troisième trimestre de son exercice 2008-2009 sont décevants. Durant cette période, Logitech a vu son bénéfice net fondre de 70% à 40 M€ comparé à la même période de l'exercice précédent. Ce recul doit être pondéré par le fait que la vente pour 27,8 millions de dollars d'actifs à court terme avait gonflé les profits de l'entreprise lors du T3 2008-2009. Il n'en reste pas moins que les derniers résultats sont d'autant plus décevants que le chiffre d'affaires de la société ne recule « que » de 16% à 627 millions de dollars. Le contraste tient notamment au fait que les enseignes de la grande distribution, particulièrement sur le continent américain, ont organisé de nombreuses opérations promotionnelles influant logiquement à la baisse sur les prix. Logitech explique également sa situation par l'impact négatif de la hausse du dollars et, plus globalement, par les difficultés qui secouent actuellement l'économie mondiale. La conjoncture n'a d'ailleurs pas fini de peser sur l'activité de l'entreprise qui prévoit une baisse de son chiffre d'affaires, de sa marge brute et de son résultat opérationnel au moins équivalente, voire pire, que celle qu'elle vient d'enregistrer. (...)
(22/01/2009 11:44:33)Trimestriels Apple : Chiffre d'affaires historique
Alors que le marché des PC souffre d'un point de côté, Apple, lui, trotte allègrement. Porté par le succès de ses ordinateurs mais aussi celui de ses iPhone, le Californien publie des résultats trimestriels qui dépassent les attentes des analystes. Ces chiffres, qui illustrent une juteuse période des fêtes de fin d'année, éloigneront peut-être les craintes liées à la santé déclinante de Steve Jobs, le patron et gourou du groupe. Ils contribueront aussi à stabiliser provisoirement le cours de l'action Apple, qui tangue au gré des rumeurs sur l'état de forme du PDG. Le résultat net pour le premier trimestre fiscal 2009, clos le 27 décembre, atteint 1,61 Md$, à peine plus qu'il y a un an (1,58 Md$) mais au-delà des espérances des analystes (1,27 Md$). Le chiffre d'affaires, quant à lui, gagne 6%, à 10,17 Md$. 2,5 millions d'ordinateurs vendus pendant le trimestre Il s'agit là « du meilleur trimestre de l'histoire d'Apple, dépassant pour la première fois le cap des 10 Md$ de revenu », peut-on lire sur le communiqué de presse. Curieusement, la phrase est attribuée à Steve Jobs, qui a pourtant annoncé, la semaine dernière, son retrait des affaires jusqu'en juin. Mais, hormis cette citation, nulle autre trace du co-fondateur d'Apple à l'occasion de la présentation de ces résultats. C'est Tim Cook - le PDG par intérim - et Peter Oppenheimer - le directeur financier - qui ont animé la conférence de presse. Au cours du trimestre, Apple a écoulé 2,5 millions d'ordinateurs, soit 9% de plus qu'un an auparavant. Si les 22,7 millions d'iPod vendus ne représentent qu'une croissance annuelle de 3%, les iPhone, de leur côté, se sont arrachés. Le constructeur en a livré 4,4 millions, un chiffre qui bondit de 88%. Au deuxième trimestre, Apple table sur un chiffre d'affaires compris dans une fourchette de 7,6 Md$ à 8 Md$. (...)
(21/01/2009 17:26:34)Annuels IBM : Big Blue termine l'année en grande forme
Excellente année pour IBM. Et bon quatrième trimestre. Ses résultats montrent que la crise d'abord financière, qui impacte désormais les consommateurs, n'affecte pas pour l'instant le BtoB. Comme le revendique ses dirigeants, le groupe a su se recentrer sur les marchés les plus rentables. Le matériel, qui représentait 24% du bénéfice avant impôt en 2000, se résume à 8% en 2008. A l'inverse, le logiciel qui concourrait à hauteur de 25% à la rentabilité de 2000, s'est hissé à 43%, la part du service restant stable autour de 40%. Cette bascule du matériel vers l'immatériel s'est traduite par un doublement de la marge brute entre 2002 et 2008. A la fin de cette année, les liquidités disponibles, bon indice de la situation financière du groupe, s'élèvent à près de 13 Md$. IBM, focalisé sur le système d'information des entreprises, continue de profiter des efforts de ses clients pour l'optimiser. Toutefois, le mutisme de la société sur ses prévisions sur les trois prochains mois alimentent les rumeurs de licenciements qui courent actuellement. Le détail des résultats du quatrième trimestre par divisions est, par ailleurs, riche d'enseignement. A l'exception des ventes de matériels, toutes les activités d'IBM ont généré une marge brute supérieure à celle du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Les services arrivent en tête en terme de CA. La somme des activités de Global technology services (GTS : externalisation, intégration de systèmes, maintenance et "business technology optimization") et de Global business services (GBS : prestations intellectuelles, conseil) représentent plus de 52% du CA total. GTS réalise un CA de 9,6 Md$ en chute de 4% et GBS 4,7 Md$ (-5%). Les carnets de commande baissent dans les mêmes proportions. Paradoxalement, tant GTS que GBS ont généré une marge brute trimestrielle de deux points supérieure à celle de l'année. Si le CA de ces deux divisions est en chute pour le trimestre, il a progressé de 9% sur tout 2008. Les deux activités améliorent aussi leur rentabilité. Celle de GTS passe de 30% à 32,6% et celle de GBS de 23,5% à 26,7%. La division logiciel est la seule à voir son CA trimestriel progresser : +2,6 % à 6,4 Md$. Ce sont les ventes de middleware (WebSphere, Information Management, Tivoli, Lotus et Rational) qui tirent vers le haut avec un CA de 5,2 Md$ (+4 %), plus précisément, l'Information management avec une hausse de 18% du CA, les autres lignes de produits présentant des performances étales ou en baisse. Les ventes d'OS baissent, quant à elles, de 6%. Sur l'année, le CA de cette division atteint un CA de 22,1 Md$ (+11%) et génère une marge brute de 85%, identique à l'année précédente. Ce sont les ventes de systèmes qui pâtissent le plus du climat de crise du dernier trimestre 2008 : -20 % à 5,4 Md$. Les ventes de serveurs x64 sont en baisse de 32% et celle des System i (ex AS/400) en chute libre de 92%. Même les serveurs lame BladeCenter baissent de 27%. Les System z voient leur CA faiblir de 6%. Seuls les System p (Unix) progresse (+ 8%). Le stockage n'est pas non plus à la fête avec un CA en recul de 20%. Les bandes (-31%) baissent plus que les disques (-16%). Quant à l'activité microelectronics (composants) chute de 34%. Sur le trimestre, la marge brute s'est effondrée par rapport à l'an dernier. Elle passe de 45,7% à 40%. Sur l'année, le CA de cette division enregistre une baisse de 10% à 19,3 Md$ et conserve une marge brute de 38%. (...)
(16/01/2009 17:58:05)Trimestriels : Dassault Systèmes en dessous de ses prévisions
La crise financière est telle que même le champion français du logiciel n'a pas réussi à y échapper. Outre la situation économique difficile, Dassault Systèmes a subi le report de la signature de certaines commandes qui expliquerait un quatrième trimestre décevant. En attendant l'annonce officielle de ses résultats annuels le 11 février, l'éditeur publie des chiffres préliminaires non Gaap pour son quatrième trimestre, moins bons que prévu. Il annonce ainsi un chiffre d'affaires estimé à 382 millions d'euros (+3% par rapport au dernier trimestre 2007, -5% à taux de change constant) alors qu'il s'était fixé un objectif situé entre 385 et 395 millions d'euros. Mais sur l'ensemble de l'année, l'éditeur devrait réaliser 1,34 milliard d'euros. Il s'agit, certes, de la valeur basse de la fourchette que Dassault Systèmes visait, mais cela représente néanmoins une hausse de 5 à 6% par rapport à 2007. Qui plus est, la part récurrente du chiffre d'affaires logiciel dans ces résultats a augmenté d'environ 12%, à taux de change constant. L'éditeur continuera ainsi de mener la danse du logiciel en France et devrait également conserver la tête du marché du PLM (Product Lifecycle Management) dans le monde, devant Siemens PLM Software et PTC. Ce dernier a néanmoins réalisé le meilleur trimestre de son histoire à l'automne dernier. Les dirigeants de l'éditeur n'avaient pas manqué de faire remarquer que, contrairement à leur grand rival, PTC avait pris garde à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. Alors que Dassault Systèmes commence seulement à investir ailleurs que dans les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique, PTC réalise un CA réparti entre aéronautique (20%), high-tech (25%), automobile (15%), équipement industriel (20%), etc. « Des incertitudes pesant sur les décisions d'investissement » Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes, s'est exprimé sur ces résultats préliminaires dans un communiqué dans lequel il précise : « Nos résultats préliminaires du quatrième trimestre reflètent un environnement économique qui a continué à se détériorer à la fin de l'année. En conséquence, le chiffre d'affaires du quatrième trimestre est inférieur d'environ 3 millions d'euros à notre objectif en monnaie courante, ou environ 30 millions d'euros à taux de change constant, principalement en raison de reports de contrats prêts à être signés en décembre. [...] Nous regrettons de ne pas atteindre nos objectifs en raison des incertitudes pesant sur les décisions d'investissement, mais nos discussions avec un nombre important de clients ayant reporté leurs commandes ce dernier trimestre confirment clairement leur besoin et leur intention d'acheter nos solutions logicielles. » (...)
(15/01/2009 09:09:14)Nortel, mourant, placé sous protection de la loi sur les faillites
Le géant est à terre. Après les heures de gloire du début des années 2000, Nortel vit aujourd'hui les heures les plus sombres de son histoire. L'équipementier canadien vient de demander d'être placé sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Prise à la gorge par des pertes abyssales - 3,4 Md$ au troisième trimestre 2008 - l'entreprise ne peut plus assumer le poids de sa dette. Elle était censée s'acquitter d'un paiement de 107 M$ ce jeudi, généré par les intérêts de sa dette. Le versement ne se fera donc pas, Nortel étant placé à l'abri de ses créanciers. Des procédures similaires ont été engagées au Canada et pour certaines filiales dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Cette protection juridique que demande l'équipementier ne signifie pas la fin de ses activités pour autant. Dans un communiqué, Nortel explique ainsi que la faillite est la solution la plus intéressante pour l'avenir à long terme de l'entreprise. Pendant que la justice veillera sur le Canadien, celui-ci entreprendra une « restructuration complète » de ses activités et redéfinira sa stratégie, tout en continuant de servir ses clients. Ces derniers, les grands acteurs des télécoms, pâtissent particulièrement de la crise économique. Leurs difficultés se répercutent donc directement sur les équipementiers, comme Nortel ou Alcatel-Lucent. Des effectifs trois fois moindres qu'en 2000 La restructuration sur laquelle va se pencher Nortel passera inévitablement par des cessions d'actifs et des suppressions de postes. Le groupe est habitué à cette discipline, qu'il pratique régulièrement depuis le début de son long déclin, entamé en 2001. Il y a un an, 2 100 postes étaient supprimés, puis 1 300 autres en novembre dernier, sur les quelque 32 000 que compte Nortel. Soit près de trois fois moins qu'en 2000, l'âge d'or de l'entreprise. A cette époque, la valeur de l'action Nortel dépassait 800 $ à la bourse de New York. Hier, le cours plafonnait à 0,32 $ avant que la cotation ne soit suspendue. Le mois dernier, déjà, le New York Stock Exchange, constatant l'effondrement du cours de l'action, avait menacé l'équipementier de le suspendre si la valeur du titre ne remontait pas au-dessus de 1 $. Les efforts consentis par Nortel en 2008 auront été vains, notamment la décision, prise en septembre, de céder son activité de réseaux Ethernet métropolitain. Le Canadien semble continuer d'attendre un acquéreur. Et pourra en espérer d'autres quand elle se séparera de ses activités jugées non stratégiques. Pour survivre... ou prolonger son agonie. (...)
(14/01/2009 15:39:25)Chute de plus de 50% du CA de nVidia au quatrième trimestre
nVidia, l'un des deux leaders des cartes graphiques, a vécu un quatrième trimestre désastreux. Confronté à l'effondrement de la demande grand public et à la réduction des stocks de ses revendeurs, la société annonce désormais une baisse de son chiffre d'affaires de 40% (soit un CA de 538 M$) à 50% (448 M$) par rapport au trimestre précédent. Début novembre, la société ne tablait que sur une baisse de 5%. Ces chiffres sont effectivement désastreux. Au quatrième trimestre 2007, nVidia avait généré un CA de... 1,2 Md$. D'une année sur l'autre, la baisse d'activité serait donc de l'ordre de 55% à 62% ! nVidia publiera ses résultats définitifs le 10 février prochain. (...)
(09/01/2009 16:07:45)Annuels Tibco : la part des revenus liés au service augmente
Tibco a clos son année fiscale 2008 sur un bon quatrième trimestre (185,5 M$ de CA, 32,3 M$ de bénéfice net), « malgré un environnement [économique] difficile ». L'éditeur de solutions middleware dit avoir bouclé au cours de son dernier trimestre 135 affaires de plus de 100 000 $, et 20 de plus d'un million de dollars. Tibco peut ainsi afficher sur l'année une croissance de son chiffre d'affaires de près de 12%. Toutefois, les revenus de services et maintenance croissent plus vite que les revenus de licences. La part des revenus de service et maintenance (371,1 M$) se monte ainsi en 2008 à 57,6% du chiffre d'affaires total, alors qu'elle n'était que de 55,1% en 2007 (318,1 M$ sur 577,4 M$). Sur le marché des éditeurs de middleware de taille moyenne, ces résultats permettent à Tibco de rester devant Progress (515,6 M$), les deux éditeurs étant devancés par l'Allemand Software AG (qui devrait annoncer ses résultats d'ici un mois). A noter que Tibco Software était récemment crédité par IDC de 40% du marché du Complex event processing (CEP), le segment middleware à la croissance la plus rapide. (...)
(06/01/2009 17:04:30)Annuels Progress Software : l'offre SOA tire le chiffre d'affaires
L'éditeur Progress Software a achevé son exercice fiscal 2008 sur un chiffre d'affaires de 515,56 M$ qui doit essentiellement sa progression de 4,5% à ses solutions destinées aux architectures orientées services (SOA). Sur l'année, son activité liée à ces produits d'infrastructure (gamme Apama, Sonic ESB, gamme Actional, etc.) a globalement progressé de 31,7% à 109,3 M$. Sur les lignes Apama Capital Markets et Apama Complex Event Processing, les ventes ont même enregistré +70%. Avec ces produits, l'éditeur s'est octroyé en 2007, selon IDC, 20% de parts sur le marché du « Complex event processing », derrière Tibco (40% de parts). L'ensemble de ces offres d'infrastructure ne pèse toutefois que 21% du chiffre d'affaires total de Progress Software, la part la plus importante (64%) étant toujours réalisée sur la plateforme de développement OpenEdge dont le chiffre d'affaires a reculé de 1,54% en 2008, à 331,4 M$. Le reste des revenus repose sur la gamme de composants de connectivité, Datadirect, dont les ventes ont augmenté en 2008 de 5% environ, à 77,5 M$. Iona et Xcalia pour enrichir l'offre SOA L'année 2008 a été marquée pour Progress Software par deux rachats sur le marché des produits SOA. D'une part, en avril, sa division Datadirect a mis la main sur la start-up française Xcalia, éditeur de solutions d'accès aux données. D'autre part, en juin, l'éditeur a racheté l'Irlandais Iona Software pour 149 M$, ce qui lui a permis de récupérer l'offre Artix. Sur son quatrième trimestre fiscal, malgré un bénéfice net en recul de 47% par rapport au quatrième trimestre 2007, Progress Software souligne que ses ventes de licences ont progressé de 4%, à 56,1 M$, à un moment où l'ensemble des éditeurs a subi des revers. Sur l'exercice, les ventes n'ont progressé que de 2,7%, à 192,22 M$. Elles pèsent 37% du chiffre d'affaires, alors que la part la plus importante (53%, 275,22 M$) provient des revenus de la maintenance. Les services représentent 9,8% du CA, à 50,8 M$. (...)
(06/01/2009 16:32:31)Sous le choc de la crise, Logitech réduit ses effectifs de 15%
Logitech vient d'annoncer une réduction de 15% de ses effectifs estimés à 3500 personnes (mais le groupe emploie jusqu'à 9000 personnes indirectement). La société suisse, un des acteurs majeurs du marché des périphériques de saisie, essuie de plein fouet le choc de la crise. Sa direction annonce que la demande du grand public s'est nettement dégradée au cours du mois de décembre et elle s'attend à ce que la situation empire dans les mois à venir. Dans un contexte décrit comme "un défi jamais connu auparavant", Logitech, fondée en 1981, annonce qu'elle n'atteindra pas ses prévisions pour l'exercice qui s'achève en mars prochain. Elle les avait fixés en octobre dernier à une hausse de 6 à 8% du CA et de 3 à 5% pour les bénéfices. En mars 2008, la société avait clos son exercice sur un CA en hausse de 15% à 2,3 Md$, assorti d'un bénéfice net de 231 M$ (+ 1%). (...)
(02/01/2009 16:01:29)2008-2009 : bilan et perspectives
Netbooks qui relancent un marché de la micro morose, prise de conscience écologico-économique avec le Green IT, débuts du 'cloud' et affirmation du Saas, 2008 a encore été une année riche pour tous les décideurs du monde informatique. Une année pleine de conflits, aussi, au niveau économique (tarifs SAP, fusion-hésitation avortée entre Microsoft et Yahoo...) comme au niveau social, avec une avalanche de plans d'économies et de suppressions de postes. LeMondeInformatique.fr a fait le tri pour vous, et vous propose la synthèse de tout ce qu'il faut savoir pour aborder 2009 dans les meilleures conditions. Un dossier à imprimer et à conserver - avec tous nos voeux de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année. (...)
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