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(29/01/2009 17:24:41)
EMC France nomme son Monsieur Green IT
De plus en plus, le green IT entre concrètement dans la stratégie des grands acteurs de l'IT. Pour preuve, la nomination de responsables du sujet dans leurs maisons mères. Et, bien que plus rarement, la fonction est même relayée dans les filiales françaises qui se voient alors dotées de leur propre M. ou Mme Green. Chez EMC France, c'est Jean-Paul Bembaron, directeur des services et des solutions techniques depuis octobre 2007, qui prend la charge de ce que le constructeur appelle « l'efficient IT », en plus de sa fonction actuelle. Si le constructeur mène à bien sa stratégie durable, c'est l'accompagnement des clients dans leur propre démarche green IT qu'EMC lui confie. « On m'a demandé de réfléchir à cette mission il y a déjà plusieurs mois, raconte Jean-Paul Bembaron, et j'ai commencé par consulter nos clients, nos partenaires, pour savoir ce que le green IT représentait pour eux. Ma conclusion ? La motivation est écologique mais la justification reste économique. » Et pour le nouveau responsable green IT, EMC doit aider ses clients à combiner les deux. Et les aider à s'orienter dans un concept où ils sont souvent perdus. Pour ce faire, Jean-Paul Bembaron va travailler sur de nouvelles offres de services. Au delà des solutions technologiques, déjà en marche si l'on en croit EMC, avec des matériels moins volumineux, moins gourmands, etc., ce sont des prestations de conseil auxquelles Jean-Paul Bembaron souhaite réfléchir. « Nous allons essayer de proposer aux entreprises de définir des règles et des processus et ainsi leur donner une meilleure visibilité sur le green IT. Mais nous devons aussi leur enseigner la façon d'intégrer ce type de changements. » De véritables missions de consulting. Les moyens de justifier économiquement les investissements 'green' « Je suis parti d'un postulat, détaille Jean-Paul Bembaron. Aujourd'hui, les utilisateurs se posent des questions sur les émissions de chaleur des infrastructures, la consommation électrique, l'augmentation du montant des factures, leurs datacenters installés dans des endroits inadaptés, trop petits et trop chers... Par ailleurs, pour ce qui est de notre activité [le stockage], la quantité de données est de plus en plus importante et bon nombre ne sont pas utilisées, beaucoup sont redondantes. Rien n'est optimisé... » EMC veut réfléchir avec ses clients sur une meilleure gestion des gros volumes avec, en sus, une consommation énergétique et un impact environnemental moindres. Par ailleurs, EMC a déjà des offres de service green IT au niveau international. Mais la France, comme les autres pays, présente certaines différences qui imposent un travail local. Alors que, par exemple, l'Ouest américain souffre de la pénurie et du prix élevé de son courant électrique, l'Hexagone reste préservé - pour l'instant. En France, réduire la consommation énergétique des infrastructures informatiques ne signifie pas encore systématiquement diminuer la facture d'électricité, en particulier dans l'esprit de responsables informatiques à qui ces frais n'incombent pas. (...)
(29/01/2009 16:41:41)La crise augmenterait les risques pesant sur la sécurité des entreprises
La crise ne doit pas inciter les entreprises à amoindrir leurs efforts en matière de sécurité. Ce qui s'apparente à une banalité vient de McAfee, un éditeur spécialiste dans... la sécurité. Le groupe étaye néanmoins sa recommandation d'une étude conduite par l'Université américaine de Purdue auprès de 800 DSI du monde entier. Ces travaux doivent être présentés à l'occasion du Forum économique de Davos. Les responsables interrogées estiment que la crise qui affecte l'économie mondiale accroit les risques pesant sur la sécurité informatique des entreprises. Les réductions de coûts et licenciements en nombre, que les groupes multiplient pour répondre au marasme économique, contribueraient à affaiblir les mesures de sécurité mises en place. Et inciteraient les criminels à multiplier les initiatives visant à dérober des données sensibles. Si le recours croissant à l'externalisation est un autre facteur de risque, la menace ne vient pas forcément de l'extérieur. Ainsi, pour 42% des participants, les salariés licenciés représentent la principale menace de vol de données. Un autre dommage collatéral de la crise... Les auteurs de l'étude estiment que la valeur des atteintes à la propriété intellectuelle des entreprises et les sommes nécessaires à renforcer le système informatique pour que les failles soient comblées ont représenté un total de 1 000 Md$ en 2008 dans le monde. Les obligations légales en termes de sécurité et de respect de la propriété intellectuelle sont autant de facteurs différenciant les régions du monde et, surtout, la perception que les uns ont des autres. Ainsi, le quart des personnes interrogées estime qu'il est risqué de stocker des données en Chine. Les Chinois, eux, sont 47% à considérer que la dernière chose à faire serait d'aller entreposer des données sensibles aux Etats-Unis... (...)
(29/01/2009 15:29:20)Microsoft fusionne PerformancePoint dans le portail SharePoint
Grandes manoeuvres autour de PerformancePoint Server (PPS) 2007, l'offre de gestion de la performance et d'analyse prévisionnelle de Microsoft. L'éditeur cesse d'en faire un produit autonome et l'intègre dans SharePoint Server 2007, sa solution de portail d'entreprise. A partir du 1er avril, les modules de tableaux de bord, les outils de planification budgétaire et de mesure de la profitabilité seront vendus sous le nom de PerformancePoint Services au sein de SharePoint, explique la filiale française de Microsoft. A la mi-2009, la sortie d'un « Service Pack 3 » proposera une dernière mise à jour aux utilisateurs ayant acquis une licence d'accès client (CAL) de PerformancePoint Server 2007 et bénéficiant d'une « Software Assurance ». A l'issue de ce SP3, qui concernera surtout la partie planification, il ne faudra « plus attendre d'évolution pour le produit indépendant », indique Nic Smith, chef de produit senior, sur le blog interne de Microsoft consacré à la stratégie BI (Business Intelligence). Néanmoins, le support leur sera assuré pendant les dix prochaines années, selon Kurt DelBene, vice-président senior de la division Office Business Platform. Faciliter l'accès à PerformancePoint à ceux qui ont déjà SharePoint Ce n'est pas surprenant de voir Microsoft intégrer ses outils de gestion de performance dans son portail. SharePoint Server est une offre sur laquelle l'éditeur s'appuie très largement pour les produits de sa division Business. Cette dernière gère également les progiciels de gestion de sa gamme Dynamics (CRM et ERP), ses logiciels bureautiques, son serveur de messagerie Exchange et ses produits de communication unifiée (OCS). Or la stratégie d'approche de Microsoft en entreprise mise justement sur une étroite intégration entre ses solutions de gestion, ses logiciels bureautiques et son portail de collaboration. A la faveur d'interfaces utilisateurs calquées les unes sur les autres, il table sur une adoption naturelle de ses produits. Par exemple, l'outil de planification de PPS utilise un add-in à Excel pour faciliter la saisie des prévisions. Le portail SharePoint par ailleurs, a été l'une des progressions les plus rapides de son catalogue. L'intégration de PerformancePoint devrait continuer à en favoriser l'adoption. Les licences pour Sharepoint bien moins chères que celles de PPS [[page]] Cela dit, Microsoft dit avoir réalisé cette intégration avant tout pour faciliter le déploiement de ses outils de gestion de performance à ses clients qui utilisent déjà SharePoint Server 2007. Sans compter que, de toutes façons, il fallait déjà installer le portail si l'on voulait partager les outils d'analyse et les tableaux de bord de PerformancePoint. Microsoft avance aussi un argument économique pour les clients. Kurt DelBene, vice-président senior, souligne que pour démarrer avec PerformancePoint Server, il fallait débourser 50 000 $ - 20 000 $ pour la licence et 30 000 $ pour créer les indicateurs de mesure - et 195 $ pour chaque utilisateur. Alors que la licence pour Office SharePoint Server 2007 revient à 4 424 $ et que les licences donnant accès à d'autres fonctions que celles de PerformancePoint coûteront 169 $ par personne. Un marché très convoité et par les plus grands Comme souvent, l'un des principaux arguments de Microsoft réside dans l'accessibilité de son offre : facilité de l'utilisation en raison d'interfaces familières, mais aussi coût réduit par rapport à d'autres produits. L'enjeu est important pour lui. Le marché des logiciels de gestion de la performance devrait continuer à croître, même en temps de crise économique, car ces outils permettent justement aux entreprises de contrôler leurs coûts. Forrester prévoit qu'il augmentera de 13% par an pour atteindre 3,24 Md$ en 2012. Ce secteur a été au coeur des grands mouvements de rachats qui ont eu lieu courant 2007 (Oracle/Hyperion, BO/Cartesis, SAP/OutlookSoft, SAP/BO, IBM/Cognos). Microsoft y rencontre donc l'âpre concurrence de SAP, Oracle, IBM, SAS et Infor, notamment, car ce sont ces offres qui tirent actuellement les ventes. (...)
(29/01/2009 15:21:55)Intel pourrait bientôt montrer son premier octo-coeurs
Les visiteurs de la prochaine ISSCC (International Solid-State Circuits Conference) qui ouvrira ses portes le 8 février prochain à San Francisco pourraient bien découvrir le premier octo-coeurs d'Intel. L'architecture de ce processeur, qui embarquerait deux fois plus de coeurs que les modèles actuels, serait la Nehalem-EP, évolution de Nehalem sur laquelle repose les processeurs pour machines de bureau Core i7, annoncé en novembre dernier. Destiné à des environnements serveurs, l'octo-coeurs pourrait conserver le nom de Xeon. Cette annonce permettrait à Intel de creuser l'écart technologique qui le sépare d'AMD et de combler celui avec Sun qui propose son T2 octo-coeurs depuis l'été 2007. Au même moment, le Gartner Group s'inquiète de la capacité des logiciels à suivre de telles évolutions des processeurs. Selon l'analyste Carl Claunch, les performances ne seront à la hauteur des nouveaux silicium qui hébergent de plus en plus de coeurs que lorsque les logiciels seront capables de les exploiter. Ce qui n'est pas encore le cas. (...)
(29/01/2009 15:12:58)Un militant du Libre veut se présenter aux Européennes
Une des listes socialistes pour les prochaines élections européennes, en juin, comptera peut-être parmi ses membres un défenseur du Libre. C'est du moins ce qu'espère François Pellegrini, docteur en informatique au CV bien garni, qui se présente comme le « candidat numérique ». Militant socialiste et maître de conférences en informatique, il a ainsi récemment annoncé sur son blog sa volonté de rejoindre une liste du Parti socialiste. Une décision saluée par la communauté du Libre, qui souligne l'engagement de François Pellegrini dans ce secteur. Co-fondateur, aux côtés de Pierre Jarillon, des Rencontres mondiales du logiciel libre, il s'est également impliqué sur le dossier des brevets logiciels, trouvant chez Michel Rocard une oreille attentive. Pierre Jarillon, sur le site communautaire Linuxfr.org, voit même en François Pellegrini la possible relève de l'ancien Premier ministre sur les bancs du Parlement de Strasbourg pour porter la parole du Libre sur le plan politique. « Pas juste le héraut des geeks » S'il fait part de ses combats contre Hadopi, la Dadvsi, la cyber-surveillance ou les machines à voter, le candidat à la candidature n'entend « pas juste être le héraut des geeks ». Sur le manifeste qu'il a mis en ligne, il détaille ainsi une batterie d'idées ancrées à gauche de l'échiquier politique. Néanmoins, à la lecture des messages de soutien publiés sur son site, c'est le thème de l'IT qui mobilise les premiers renforts. Parmi les signataires, on retrouve ainsi Frédéric Couchet et Benoît Sibaud, fondateur et président de l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre). Comme plusieurs dizaines d'autres internautes, ils ont répondu à l'appel lancé par François Pellegrini « aux militants et citoyens pour faire émerger sa 'candidature 2.0' ». Son site héberge également un forum, à travers lequel le candidat invite les internautes à le questionner sur ses engagements. Pour l'heure, seuls cinq messages ont été échangés. (...)
(29/01/2009 14:49:49)Plus de 300 postes supprimés chez Texas Instruments à Villeneuve-Loubet
En ce début 2009, chaque jour apporte son lot de réductions d'effectifs dans l'industrie high tech. Et la France n'est pas épargnée. Aujourd'hui, c'est au tour de Texas Instruments à Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes). Le site de la Côte d'Azur supprimerait plus de 300 postes, selon Christian Tordo, son directeur, cité dans une dépêche de l'AFP. Cette restructuration devrait ainsi concerner presque la moitié des employés (650 au total selon SophiaNet), mais le patron du site n'envisage pas de fermeture complète « dans l'immédiat ». SophiaNet, site d'information de Sophia Antipolis, précise que ces suppressions de postes, annoncées en novembre, sont confirmées malgré la tentative du CE et des syndicats de l'entreprise, ainsi que des politiques régionaux, de sauver en particulier l'activité de téléphonie mobile et ainsi environ 240 emplois. Le préfet des Alpes-Maritimes, cité par SophiaNet, a confirmé « l'élaboration d'un Plan de sauvegarde de l'emploi » par Texas Instruments pour le site local et a rappelé que « cette restructuration affecte, par son ampleur, l'équilibre du bassin d'emploi auquel elle appartient. » En conséquence, le préfet a « notifié à l'entreprise son obligation de revitaliser le bassin d'emploi. » De très mauvais résultats au quatrième trimestre 2008 A l'occasion de la présentation le 26 janvier dernier des résultats de son quatrième trimestre 2008, le Texan avait annoncé une réduction de 12% de ses effectifs liée, selon lui, à un affaiblissement de la demande. Il prévoyait 3 400 départs au total, une opération provisionnée pour un montant de 300 M$. Le CA de Texas Instruments a fondu de 30% entre le dernier trimestre 2007 et la même période en 2008, passant de 3,556 Md$ à 2,491 Md$. Que dire du résultat net qui s'est écroulé de 86%, passant de 753 M$ à 107 M$. Les pertes affichées dans le sans fil et l'électronique embarquée ont respectivement augmenté de 134% et 102%. Dans le communiqué d'annonce des résultats de TI, Rich Templeton, président et CEO, a précisé que « la plupart de ces réductions [d'effectifs] interviendront dans nos fonctions de support interne et dans les lignes de produits qui ne sont pas fondamentaux pour qu'un plus grand pourcentage des dollars que nous dépensons aille directement au développement et au support de nos produits analogiques et embarqués. Nous pensons que ce sont les domaines qui guideront la croissance future de TI et nous permettront d'atteindre nos objectifs financiers. » (...)
(29/01/2009 14:36:57)Dell annonce une charge exceptionnelle de 285 M$ sur son dernier trimestre 2008
A un mois de la publication des résultats de son année fiscale, Dell prévient qu'il va inscrire 280 M$ de charges exceptionnelles sur son dernier trimestre. Cette somme provient, pour 135 M$, des coûts de réorganisation de son outil de production et de distribution ainsi que, pour 145 M$, du coût de rémunérations à base d'actions. Début janvier, le constructeur avait annoncé la délocalisation d'une usine d'Irlande vers la Pologne. Selon Dell, ces 280 M$ inscrits en perte sur ses comptes vont contribuer à atteindre les 3 Md$ d'économie promis dans un plan annoncé en mars 2008 . Sans surprise, le constructeur a aussi prévenu qu'il continuerait de se réorganiser au cours de son année fiscale qui débute en février prochain. (...)
(29/01/2009 12:47:08)Tribune libre : la micro-formation, avenir de la formation en entreprise
Et si l'avenir de la formation en entreprise reposait sur l'iPhone ? Dans une tribune libre publiée sur notre blog Experts, Frédéric Soussin, consultant indépendant, revient sur le problème de la formation, ou plutôt du manque de formation. Pour lui, une solution simple existe : profiter des outils de communication mobiles comme les smartphones pour prévoir des séances d'auto-formation courtes (ou micro-formation), et tenant dans la poche. Autrement dit, il préconise le « pocket-training ». (...)
(29/01/2009 12:02:06)IBM aurait déjà supprimé plus de 4000 postes
Les rumeurs sur le nombre de postes actuellement supprimés enflent chez IBM. Sur les 16000 emplois qui pourraient passer à la trappe le syndicat Alliance@IBM Communication of Workers, indique que plus de 4000 postes auraient déjà été supprimés. Des commentaires publiés par des salariés d'IBM indiquent ainsi que 1200 salariés américains d'IBM Systems technology group (ITG) auraient été informés d'une perte d'emploi, de même que 200 collaborateurs de la R&D. Des coupes seraient également survenues sur plusieurs sites américains du géant dans le Vermont, l'état de New-York, le Minnesota et la Caroline du Nord. Au final, Alliance table sur un total de 4 200 suppressions en cours. Doug Shelton, un porte-parole d'IBM aux Etats-Unis, aurait toutefois précisé que la société n'était pas en mesure de fournir des indications sur le nombre de postes supprimés, ni sur les zones concernées par des coupes. « Il s'agit d'un processus continu que nous mettrons en oeuvre tout au long de l'année pour adapter les compétences et les ressources en fonction des besoins de nos clients », aurait-il déclaré, à l'instar d'un porte-parole d'IBM Canada. La semaine dernière, le syndicat avait avancé le chiffre de 2 800 suppressions de postes en cours dans les ventes et la distribution. En France, la direction d'IBM n'a pas souhaité commenter ces informations. Rappelons que Big Blue annonçait avoir dégagé 12,33 Md$ de bénéfices nets (+18,4%) sur l'ensemble de l'année 2008 close au 31 décembre. (...)
(29/01/2009 08:43:27)Zimory crée la première place de marché du cloud
Après plus de six mois de tests techniques et plus d'un an d'existence, Zimory, qui se présente comme la première place de marché consacrée à la commercialisation de ressources de cloud, aborde sa phase promotionnelle. Né d'un essaimage des Deutsche Telekom Laboratories, Zimory, basé à Berlin, assure que la vente et l'achat de ressources de traitement par son entremise sont d'une facilité déconcertante. Son Zimory Public Cloud aurait déjà été testé par 150 sociétés et une douzaine de datacenters seraient sur le point de mettre en commun leurs ressources. Cette offre repose sur le savoir-faire de Zimory en matière d'administration de cloud qui prend la forme de ses Enterprise Cloud Tools. Deux clients les utilisent pour leur cloud interne : la Deutsche Post et T-Systems, la filiale service informatique de Deutsche Telekom. Un intérmédiaire entre les fournisseurs et leurs prospects Ce sont ces outils que Zimory met gratuitement à disposition pour permettre à chacun, fournisseur de ressources comme demandeur, d'interagir sur la place de marché. La société précise qu'elle n'est pas concurrente de fournisseurs de cloud computing comme Amazon ou IBM. Elle se place en intermédiaire entre eux et leurs prospects. Zimory se rémunère sur la facturation, la gestion des relations contractuelles, la sécurisation des opérations et la gestion des machines virtuelles. Pour l'instant, l'offre de la jeune entreprise allemande repose sur des appliances standards sous avec Linux et Windows. Elle reconnait déjà les hyperviseurs de de Citrix (Xen), de VMware et de RedHat (KVM) et bientôt ceux de Parallels et de Microsoft le seront prochainement. Zimory vient d'ailleurs de signer un accord avec l'éditeur d'Hyper-V pour que celui-ci intègre ses outils. Au dessus, différentes piles applicatives sont proposées telle Lamp (Linux, Apache, MySQL, PHP). Zimory reste en revanche très flou sur ses prix. Ceux-ci dépendent d'une multitude de facteurs qui vont de la qualité de service demandé à la localisation géographique du datacenter hébergeur. (...)
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