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(22/11/2010 17:40:54)
Interview Bruno Vanryb : "Syntec Numérique veut représenter toute la profession"
Didier Barathon : Vous voulez rassembler l'écosystème des éditeurs, au sein du Syntec Numérique, vous recrutez, mais dans quel but ?
Bruno Vanryb : « Les éditeurs représentent 450 des 1 100 adhérents du Syntec Numérique. Une catégorie très bien représentée, mais qui reste en majorité concentrée sur le marché BtoB et professionnel. Or, le monde des éditeurs s'adresse à un marché beaucoup plus vaste que celui des entreprises, comme le monde des portails online ou celui des jeux vidéo, pour prendre des exemples très différents. Nous voulons donc être représentatifs de l'ensemble du monde des éditeurs et créateurs de logiciels, indépendamment du secteur d'activité.
Deuxième aspect, les éditeurs de logiciels, qu'ils s'adressent aux entreprises ou au grand public, ont en commun les mêmes caractéristiques : ils font de la R&D, créent leurs propres produits, innovent et génèrent de nouveaux emplois. Nous voulons rassembler ces entreprises qui tout simplement exercent le même métier.
D'autres associations se développent dans le monde des éditeurs, comme l'Afdel dans le BtoB, ou le SELL, votre démarche est-elle un appel à la fusion ?
Il existe effectivement plusieurs associations. Mais un syndicat comme le Syntec Numérique et une association professionnelle ont des rôles différents. En tant que syndicat professionnel, nous sommes au coeur des négociations sur la formation professionnelle, la convention collective et les salaires. Le syndicat reste donc un lieu unique. Ce qui ne nous empêche pas d'exercer efficacement, comme les associations professionnelles, des fonctions de lobbying et d'animation de réseaux.
Pour poursuivre la lecture de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien. (...)
Smartcamp 2010 : le PDG de Streetline élu entrepreneur de l'année par IBM
L'incubateur de start-ups d'IBM, Global Entrepreneur, a dévoilé, à Dublin, les résultats de la finale mondiale de son programme d'aide aux start-up baptisé SmartCamp. La rédaction du Monde Informatique a choisi de mettre l'accent sur le lauréat de cette édition 2010, ainsi que sur cinq des neuf finalistes retenus dans le cadre de cet évènement. Cette année, c'est Streetline, une jeune pousse installée à San-Francisco, qui été retenue parmi plus de 600 projets et qui remporte la compétition. La société a remporté le prix de l'entrepreneur de l'année grâce à une solution à base de capteurs qui permet aux habitants de pouvoir se garer à moindre coût et qui aide les villes à gérer rapidement les places disponibles. Parmi les finalistes, on retiendra la start-up israëlienne Panoramic Power et son service cloud qui fournit des données précises sur la consommation électrique, réduit la facture énergétique, anticipe les défaillances et assure la maintenance.
La France finaliste grâce à une solution de gestion des images destinée au monde scientifique
A ses côtés, la société suisse Predect concourait pour avoir développé un outil de surveillance de la qualité des eaux utilisé pour envoyer des alertes afin d'éviter tout risque d'infection dans les populations. Egalement présente en finale, la start-up espagnole WorldSensing a été retenue pour ses capteurs industriels sans fil à destination du génie civil, des villes intelligentes et également des champs de pétrole. Autre candidat arrivé en finale, la société française VisioHost pour avoir développé, en collaboration avec la communauté scientifique et médicale, une technologie qui fournit des informations et qui stocke des images, en y autorisant l'accès depuis n'importe quel lieu.
Les gagnants de Smartcamp pourront bénéficier de conseils, rencontrer des experts des secteurs de l'industrie et des technologies et également profiter de partenariats avec IBM, des capitaux risqueurs et d'autres partenaires industriels.
Illustration : Jim Corgel responsable de la relation avec les éditeurs indépendants chez IBM, Zia Yusef PDG de Streetline et Mark Noworolski, directeur technique de Streetline
Crédit photo : IBM/Streetline
(...)
iOS 4.2 enfin disponible
Disponible à partir de 19 heures (heure française), cette version d'iOS vient corriger certains bugs sur le smartphone et le baladeur tactile, et apporte la gestion du multitâche préemptif sur la tablette Internet. C'était le principal défaut de l'ardoise d'Apple, à savoir l'impossibilité de laisser une application travailler en tâche de fond - télécharger l'édition du jour de Libération ou du Parisien par exemple - tout en surfant ou consultant ses mails. C'est bien l'iPad qui bénéficie le plus de cette mise à jour logicielle avec le multitâche, les dossiers pour rassembler des applications sur le bureau, Game Center, une boite de réception unifiée, AirPlay et Airprint.
Un usage plus intensif grâce au multitâche
Comme sur l'iPhone, il est donc possible de basculer d'une application à l'autre tout en la laissant fonctionner en tâche de fond. Google Maps peut ainsi continuer à enregistrer le déplacement d'un utilisateur pendant la vérification d'une adresse sur le web. Également bienvenue, la possibilité de regrouper des applications ou des signets dans un dossier. Vu le nombre impressionnant de logiciels et de jeux vidéos utilisables sur l'iPad, on commençait à se perdre dans ses pages. On peut désormais créer des dossiers Voyages, Utilitaires, GPS, Jeux ou encore Actus pour retrouver plus vite ses applications préférées. Apple met également en avant la refonte de son logiciel de messagerie désormais mieux adaptée à la gestion de multiples comptes. Comme il existe très peu d'applications de courrier électronique sur l'App Store (GroupEmail ou MailPro), cette mise à jour est opportune.
Impression sans fil
Pour faciliter l'impression de documents depuis sa tablette, la compagnie de Cupertino livre AirPrint qui recherche automatiquement les imprimantes WiFi compatibles (les HP Photosmart, LaserJet Pro ou Officejet) disponibles sur le réseau. Les iPhone et iPod Touch peuvent également imprimer des photos ou des pages web sur les périphériques supportant AirPrint. Enfin, tous les étourdis seront contents d'apprendre que l'application « Localiser mon iPhone » est désormais intégrée à iOS 4.2. Désormais utilisable sans abonnement au service MobileMe d'Apple, cet utilitaire permet de localiser un appareil sur une carte et de déclencher une sonnerie ou d'afficher un message sur l'écran.
Novell se fait racheter par Attachmate pour 2,2 milliards de dollars
C'est finalement Attachmate qui emporte Novell. Pour s'offrir son compatriote et ses logiciels d'infrastructure (l'OS Suse, les outils de sécurité, de virtualisation et de gestion des datacenters) l'éditeur américain débourse 6,10 dollars par action. Il met ainsi sur la table, en numéraire, la coquette somme de 2,2 milliards de dollars.
Attachmate est détenu par un groupe d'investissement mené par Francisco Partners, Golden Gate Capital et Thoma Bravo. En mars dernier, Elliott Management Corporation avait cherché à s'approprier Novell qui avait refusé sa proposition.
Attachmate, acteur historique des outils de connectivité avec les mainframes et, plus largement, d'intégration entre différents environnements, se retrouve donc à la tête d'un portefeuille de produits comptant, outre ses propres solutions, les marques NetIQ, Novell et Suse. Le PDG de la société, Jeff Hawn, a indiqué dans un communiqué qu'il comptait maintenir et renforcer les solutions Novell et Suse de façon à répondre à la demande des différents marchés. Quant à Ron Hovsepian, PDG de Novell, il estime de son côté que les quatre marques disposent de produits complémentaires et de nombreux clients en commun.
La transaction, soumise aux procédures habituelles (accord des actionnaires, vérification des dispositions anticoncurrentielles) devrait être effective au premier trimestre 2011. Le rachat est aussi conditionné à la réalisation d'une cession déjà engagée de certains actifs de propriété intellectuelle à CPTN Holdings LLC, un consortium technologique conduit par Microsoft.
L'iPad 2.0 attendu au printemps 2011
Fin septembre, Apple affichait un total de 7,46 millions d'iPad vendus, et l'entreprise escompte encore une fin d'année chargée pour sa tablette version 1.0. Disponible via les réseaux Apple, l'iPad est également vendu aux États-Unis par l'intermédiaire de partenaires importants comme Best Buy, Fry's et Wal-Mart. Et, selon certaines informations, il n'est pas impossible que le détaillant TJ Maxx dispose d'un stock limité de tablettes pour terminer l'année. Si bien qu'il y aura peut-être des affaires à faire, surtout si Apple a dans l'idée de réduire ses stocks en prévision d'un iPad 2 .0. Si l'on se fie à ces rumeurs, on commencera sans doute à entendre parler d'un iPad de prochaine génération à partir de janvier. Selon Digitimes, une agence basée à Taiwan, Apple aurait également demandé à ses fournisseurs de composants de se préparer pour l'iPad 2, et de prévoir de démarrer un calendrier de production en février. Pourtant, même si la plupart des observateurs et des analystes s'attendent à voir un iPad remanié début 2011, soit un an après le lancement de la première version de la tablette d'Apple, les rumeurs concernant ce périphérique restent très limitées. En prévision, voici ce qui se dit aujourd'hui au sujet de cette version 2.0 de la tablette d'Apple.
FaceTime comme sur les Mac, l'iPhone et l'iPod Touch
Il est assez clair que le futur iPad sera doté de FaceTime, le standard d'Apple en matière de chat vidéo mobile, lequel a fait ses débuts avec l'iPhone 4, avant d'apparaître sur l'iPod Touch en septembre. Il serait donc assez logique de le voir sur le futur iPad. D'après les nombreux avis émis à ce sujet, on sait depuis le mois de février qu'il y a de la place dans la structure interne de l'iPad actuel pour ajouter une caméra. En septembre, une source anonyme disant «être informée au sujet des futurs produits d'Apple » a même déclaré au site Apple Insider que le constructeur testait activement une version de FaceTime pour l'iPad.
Une ou deux caméras ?
Si l'iPad de prochaine génération est livré avec FaceTime, le dispositif aura forcément besoin d'une caméra frontale. Mais le débat actuel repose plus sur l'ajout ou non d'une autre caméra à l'arrière du dispositif. Fin octobre, des analystes de la société d'investissement Detwiler Fenton on déclaré que, suite à une enquête menée auprès des fournisseurs d'Apple, ils sont en mesure d'affirmer que le futur iPad aura aussi une caméra de 5 mégapixels à l'arrière. Reste que l'on peut se demander si une telle caméra a vraiment son une utilité sur la tablette ? Sur la Galaxy Tab de Samsung lancée récemment, de nombreux tests montrent que l'utilisation de l'appareil photo de 3,2 mégapixels présent sur ce dispositif, reste très maladroite. Si la prise de photos avec un appareil doté d'un écran de 7 pouces donne des résultats aussi médiocres, on peut imaginer ce que cela pourrait donner avec un appareil doté d'un écran de 10 pouces...
Du mini USB à la place du connecteur pour le dock
En septembre, des analystes de Goldman Sachs, cités par Bloomberg, avaient émis l'hypothèse que l'iPad à venir, en plus d'être plus mince et plus léger, serait doté d'un mini port USB, lequel remplacerait le connecteur à 30 broches, utilisé pour le dock, dans la version actuelle de l'iPad. Une mise à jour bien improbable quand on sait que la solution du connecteur propriétaire permet de dicter sa loi aux partenaires de l'écosystème accessoires.
(...)(22/11/2010 14:50:47)Reader X : une sandbox pour sécuriser le lecteur PDF d'Adobe
Le logiciel Reader X inclut un mode protégé basé sur un contrôle de sécurité de type sandboxing, conçu pour prévenir les attaques de logiciels malveillants contre l'application. Sur le blog de l'Adobe Secure Software Engineering Team (ASSET) on peut notamment lire : «Au cours des derniers mois, l'équipe d'ingénierie d'Adobe Reader, en collaboration avec celle de l'Adobe Secure Software Engineering, en partenariat avec la communauté des développeurs de logiciels - dont l'équipe de sécurité de Microsoft Office et les ingénieurs travaillant pour Chrome de Google, avec également des utilisateurs, des consultants dans le domaine de la sécurité informatique, et d'autres intervenants externes, ont travaillé d'arrache-pied pour faire en sorte que la mise en oeuvre de la sandbox apporte une solution aussi solide que possible. Le concept de la sandbox n'est pas exclusif à Adobe. Ainsi que le font remarquer ses ingénieurs, Microsoft, Google, et d'autres éditeurs ont déjà intégré dans leurs produits des contrôles de sécurité mettant en oeuvre le sandboxing. Celui-ci fonctionne comme une zone de stockage tampon dans laquelle les applications sont exécutées, sans la capacité d'affecter les principales fonctionnalités du logiciel ou d'autres éléments de l'ordinateur. Ce système permet de filtrer les processus malveillants, tout en laissant par ailleurs les opérations légitimes s'effectuer sans entrave.
Un outil délicat à calibrer
Kyle Randolph, ingénieur chez Adobe, explique la difficulté de développer une sandbox bien calibrée. « Une sandbox parfaite, c'est comme un ordinateur totalement protégé - ... elle doit ressembler à une machine figée dans le béton, privée d'électricité et déconnectée de tout réseau ! » Une sandbox est caractérisée par les restrictions qu'elle impose à une portion de code en cours d'exécution. À l'inverse, le logiciel doit pouvoir continuer à fonctionner de manière efficace. Il faut donc équilibrer ces objectifs antagonistes : empêcher les mauvais logiciels à faire de mauvaises choses, tout en permettant au bon logiciel de servir ce pour quoi il est fait. Voilà l'impossible équation à laquelle l'ingénieur doit faire face. « La Sandbox n'est pas la solution parfaite. Elle apporte un contrôle de sécurité supplémentaire, en introduisant une surcouche de protection, et pourra empêcher de nombreuses attaques. » Cela ne signifie pas que le Reader d'Adobe est devenu invulnérable ! Adobe explique que « le mode protégé d'Adobe Reader représente un progrès certain en terme d'impact sur les tentatives d'attaque. » Et si la sandbox n'est pas la panacée en matière de sécurité, elle apporte assurément un niveau de défense supplémentaire. « Si les attaquants découvrent des failles de sécurité exploitables, le mode protégé d'Adobe Reader pourra empêcher l'attaquant d'écrire des fichiers ou d'introduire des malwares sur les ordinateurs des victimes potentielles.
Une solution à adopter rapidement
Le mode protégé d'Adobe Reader est construit sur la base du modèle de sécurité de Windows et offre une protection similaire. Une faille dans le système d'exploitation Windows identifiée par un pirate peut servir pour mettre au point une attaque utilisant des fichiers PDF et Adobe Reader comme vecteur. Reste que, comparé aux versions antérieures d'Adobe Reader, ce Reader X devrait apporter une amélioration significative en matière de sécurité et il faut plutôt féliciter l'éditeur de prendre de telles mesures et d'investir pour développer une version plus sûre de son logiciel. Il est recommandé de télécharger cette version sans hésiter et de commencer à l'utiliser dès aujourd'hui sans oublier de rester vigilant.
Pour télécharger Reader X : http://get.adobe.com/reader/
(...)(22/11/2010 12:20:18)IBM en tête du Green500
Tandis que la Chine a pris la tête de la liste mondiale des supercalculateurs les plus puissants, l'Américain IBM s'est de son côté distingué dans la catégorie des systèmes présentant la consommation d'énergie la plus efficace par rapport à leur puissance de calcul. La prochaine génération de Blue Gene d'IBM, le supercalculateur Blue Gene/Q, arrive à la première place du Green500 publié la semaine dernière.
Le Blue Gene/Q est 165% plus efficace que le supercalculateur chinois Tianhe-1A qui occupe la première place du Top500 publié mi novembre. Et il est 77% plus efficace que le système qui le suit immédiatement au Green500, le Tsubame 2.0 de l'institut de technologie de Tokyo. En termes de données brutes, il a été constaté que le Blue Gene/Q exécutait 1,684 megaflops par watt, alors que le Tsubame 2.0 affiche 948 megaflops par watt. A la troisième place du classement figure encore un système américain. Il s'agit de l'EcoG du NCSA (National Center for Supercomputing Applications), avec 933 megaflops par watt.
1 milliard de watt d'ici dix ans si rien n'est fait
Cette liste fait apparaître que les supercalculateurs les plus puissants ne font pas nécessairement le meilleur usage de l'énergie consommée. Au chapitre des performances pures, le pic de performance atteint par le Blue Gene/Q, par exemple, plafonne à 653 teraflops en comparaison des 2,57 petaflops du Chinois Tianhe-1A. En revanche, l'efficacité énergétique de ce dernier ne dépasse pas les 635 megaflops par watt, ce qui le place à la onzième place du Green500.
L'idée de ce classement a pris forme en 2005, à l'instigation du chercheur en informatique, Wu-chun Feng, directeur du laboratoire Synergy de l'Université Virginia Tech. Deux ans plus tard, la première liste sortait, avec l'objectif d'attirer l'attention sur l'augmentation de la consommation d'énergie des supercalculateurs. Wu-chun Feng considère que l'efficacité énergétique doit être prise en compte dans les contraintes de conception des systèmes. Dans une interview accordée à nos confrères d'IDG News Service, le chercheur signale qu'à la fin de la décennie, si la conception des systèmes ne change pas de trajectoire, le supercalculateur de pointe consommera un gigawatt (un milliard de watts). Par ordre de comparaison, l'état de New-York a lui seul consomme une moyenne de 62 gigawatts par an.
IBM exploite sa puce PowerXCell
Le Green500 est mis à jour deux fois par an. La participation des candidats est volontaire et le classement repose sur le nombre d'opération en virgule flottante exécutées par watt d'électricité. Seuls les ordinateurs figurant dans le Top500 sont pris en compte.
La dernière liste montre que l'utilisation des processeurs graphiques (GPU) constitue une façon d'augmenter la puissance qui se trouve être relativement peu gourmande en énergie. Ainsi, quatre des dix premiers utilisent des GPU Nvidia, ce qui aurait été impensable il y a quelques années.
Le Blue Gene/Q d'IBM n'intègre pas de GPU. Il s'appuie sur un autre type de carte d'accélération, basée sur sa puce PowerXCell. Pour le professeur Wu-chun Feng, 2010 peut être considérée comme 'l'année de l'accélérateur'. « C'est une plateforme informatique alternative qui convient bien à des tâches différentes. L'autre avantage, c'est qu'il se trouve qu'elle présente un très bon rendement énergétique ».
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