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Société

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(27/03/2008 15:16:42)
Supinfo délivre gratuitement des certifications Microsoft
Jusqu'à présent, les certifications délivrées par les grandes écoles d'ingénieurs étaient de type académiques. L'école d'informatique Supinfo déroge à la règle en annonçant l'intégration de certifications professionnelles à son cursus. Dès 2008, la plupart des technologies et produits Microsoft seront proposés gratuitement aux étudiants de l'école d'informatique Supinfo [NDLR : le coût d'une certification revient à 70 € environ] et ce, à partir de la première année d'études. L'intégration des certifications Microsoft a été rendue possible grâce à la signature d'un accord mondial passé avec l'éditeur, qui s'étendra à une quarantaine d'établissements Supinfo dans le monde : en France, mais aussi en Chine, au Royaume-Uni, au Canada, et tout prochainement aux Etats-Unis, en Belgique, Maroc, Espagne, Italie et Emirats Arabes Unis. « Supinfo proposait une formation très complète sur les technologies Microsoft, mais le passage des certifications était optionnel, a rappelé Alick Mouriesse, président de l'école d'informatique, à l'occasion d'une conférence de presse. En intégrant des programmes qualifiants de façon obligatoire, nous permettons à 6 500 élèves de valider leurs connaissances des environnements Microsoft, et, ainsi d'augmenter leur employabilité. » Désormais, plus de 10 000 certifications Microsoft sont prévues au programme d'études 2008-2009 proposé par Supinfo. Les étudiants passeront, au minimum, deux certifications par an, ce qui devrait leur permettre d'obtenir au moins une dizaine de diplômes qualifiants, durant les cinq années du cycle ingénieur. Pour Eric Boustouller, président de Microsoft France, les formations labellisées permettent aux jeunes de se différencier, sur un marché de l'emploi actuellement dynamique et tendu : « Les qualifications professionnelles sont des gages de sérieux et de crédibilité au yeux des recruteurs, souligne t-il. Nous souhaitions donc accompagner les étudiants de Supinfo, sur le plan de la formation et de l'emploi, dans un contexte où la demande en spécialistes des technologies Microsoft - tant sur l'administration des systèmes, que sur le développement - ne cesse d'augmenter. » (...)
(27/03/2008 14:47:19)Annuels Aubay : chiffre d'affaires en hausse, mais moins bon que prévu
Aubay, société de services, de conseil et d'intégration, a publié un chiffre d'affaires de 165,6 M€ (+43%), légèrement en deçà de ses prévisions. La SSII tablait en août dernier sur 167 M€. Le bénéfice net grappille 4 points et s'établit à 8,1 M€, et le résultat opérationnel courant gagne 43%, pour atteindre les 15,7 M€ (soit 9,5% du chiffre d'affaires). Ces résultats - dans l'ensemble positifs - sont toutefois moins bons que ceux réalisés au courant du premier semestre de l'année. La SSII avait alors affiché un chiffre d'affaires en hausse de 65,1%. Cette différence est en partie due à la cession des activités de trois filiales d'Aubay (Toulouse, Grenoble et Strasbourg), jugées déficitaires. Aubay a par ailleurs du renoncer à ses projets d'acquisition de petites SSII, comme annoncé en août dernier. La société s'estime toutefois satisfaite de ces résultats, étant donné qu'elle a du faire face à une déconsolidation coûteuse. Rappelons que la SSII toulousaine est également connue pour être l'actionnaire majoritaire d'Octo Technology. Aubay avait toutefois décidé en juillet dernier de se défaire d'une partie de ses actions (15,1%) Octo en les revendant à ses fondateurs. A l'époque, la direction d'Aubay avait expliqué ce choix stratégique par sa volonté de se concentrer sur son activité principale, à savoir l'intégration de solutions complexes (SOA, EAI...) pour une clientèle transversale (banques, assurances, télécoms et énergie). « Octo Technology ne véhicule pas tout à fait la même image que Aubay », avait précisé Philippe Rabasse, directeur général de la société. Pour 2008, le groupe se fixe un objectif de croissance interne de 10 à 12%, et une marge opérationnelle de 10%. La SSII compte 2194 collaborateurs, contre 2016 un an plus tôt, répartis dans six pays (France, Belgique, Luxembourg, Italie, Espagne et Portugal). (...)
(27/03/2008 11:50:43)Yahoo, Google et MySpace créent une fondation de soutien à OpenSocial
Yahoo, Google et MySpace ont annoncé mardi la création d'une fondation pour promouvoir OpenSocial, la plateforme de widgets et d'API ouverte aux développeurs d'applications tierces, lancée en octobre dernier par Google. Comme nous l'annoncions il y a quelques jours, Yahoo rejoint ainsi officiellement une alliance d'interopérabilité qui compte déjà dans ses rangs des sites comme MySpace, iLike, LinkedIn, Slide, Ning, Friendster, SalseForce, Bebo ou encore Plaxo. Wade Chambers, vice-président de Yahoo, a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il était « très impressionné » par les progrès et le succès rencontrés par OpenSocial. La fondation à but non lucratif (qui sera officiellement lancée le 1er juillet prochain) dispose d'un site Web, OpenSocial.org, où les développeurs et éditeurs de sites peuvent trouver des liens vers d'autres ressources ainsi qu'une liste des bonnes pratiques liées à la création de nouvelles applications. Google, Yahoo et MySpace espèrent par ailleurs que d'autres sites rejoindront la fondation. L'adhésion de Yahoo à OpenSocial est aussi une manière de montrer pour la énième fois à Microsoft qu'il est décidé à refuser l'OPA hostile lancée le 31 janvier dernier. Le pionnier de la recherche en ligne s'adosse à en effet indirectement à Google, éternel ennemi de Microsoft. Le géant de Redmond a d'ailleurs annoncé le même jour avoir noué un partenariat avec cinq réseaux sociaux (Facebook, Bebo, Hi5, Tagged et LinkedIn) afin de faciliter les échanges d'API. Quant à un rapprochement en termes d'interopérabilité entre les deux mastodontes du Web - Microsoft et Google -, il n'en est pas question pour le moment, même si d'après certains analystes une telle évolution paraît inévitable. « Nous nous dirigeons immanquablement vers une standardisation de l'offre, car il s'agit d'un véritable besoin chez les internautes », explique par exemple Mary Beth Kemp, analyste senior chez le cabinet d'études Forrester. (...)
(26/03/2008 14:12:22)Steria : nouveau profil, nouveaux profits
La SSII Stéria publie ses résultats audités, ils confirment un chiffre d'affaires de 1416,2 ME en hausse de 12,7% par rapport aux 1250,6 de l'exercice précédente. Derrière les chiffres, Stéria affiche son nouveau profil. Après le rachat de la SSII britannique Xansa plc, à l'automne 2007, Stéria affirme être la 10ème SSII en Europe (selon Gartner et hors SSII captives), la 9ème en Grande-Bretagne et surtout celle qui a la plus grande proportion de ressources en Inde par rapport à son effectif total (justement depuis le rachat de Xansa). Cette acquisition lui permettra également « d'économiser » 23 ME en 2008. Elle lui permet d'avoir des positions significatives sur le marché anglais et de disposer de forces offshore importantes. En termes de profitabilité, Stéria affiche sa cinquième année consécutive de rentabilité opérationnelle : une marge opérationnelle de 15,7% à 103,6 ME, un taux de marge opérationnel de 7,3% (en hausse de 0,2% par rapport à 2006). Ce taux de marge est de 7,2% sur le périmètre historique de la SSII et de 8,3% sur Xansa. En termes géographiques, le taux de marge opérationnel est de 9,7% en France (+0,4), e 9,8 au Royaume-Uni (+0,2), de 8,3 en Allemagne et de 4,3 sur le reste de l'Europe. Les autres résultats indiquent des voyants au vert : résultat net part du groupe en hausse de 0,4, résultat net courant de 7,6%. Steria peut préparer d'autres développements, son cash flow libre d'exploitation se monte à 85,8 ME (contre 33,9) en hausse de 153,1 %. Sa dette financière, fin 2007 s'élevait à 306,9 ME. La SSII affiche également un gearing (ratio de dette financière nette sur capitaux propres) de 43%. (...)
(26/03/2008 10:51:17)Osiatis s'apprête à réaliser deux acquisitions
A l'occasion de la publication de ses comptes consolidés, Osiatis annonce l'acquisition en cours de deux sociétés. Elles seraient situées dans le domaine des services aux applications (l'un de ses deux pôles d'activité avec les services aux infrastructures) et repésenteraient un CA supplémentaire de 10 M€. Les comptes consolidés 2007 d'Osiatis font état d'un CA de 236,2 ME en croissance de 5,5% et d'une marge opérationnelle de 28,3 M€ en hausse de 13,8%. Cette marge représente 5,8% du CA 2007, elle représentait 4,8% du CA en 2006. Toujours côté marge opérationnelle, Osiatis annonce 12,3 M€ dans les services aux infrastructures et 1,5 ME dans les services aux applications. Le bénéfice net se monte à 7 M€ en 2007 (contre 4 M€, en 2006), en croissance donc de 73,7 %. La société souligne sa bonne maîtrise de la masse salariale et ses gains de productivité. Elle terminalise également la reprise de Focal. En terme d'activité, le « book to bill », qui mesure le ratio de prise de commandes sur facturation, s'élève à 1,16 en 2007. Dans les services aux infrastructures, Osiatis a lancé trois initiatives l'an dernier : la création d'une direction de l'infogérance systèmes, la mise sur pied d'un partenariat majeur avec Microsoft et, enfin, les premiers développements d'une infogérance d'impression. (...)
(25/03/2008 15:42:28)Les Big Brother Awards récompensent Google pour l'ensemble de son oeuvre
On ne peut manquer de sourire (jaune parfois) au traitement infligé par Privacy International aux élus et entreprises. Cette ONG, créée à Londres en 1990, s'est fixé pour objectif d'éveiller l'opinion sur l'érosion de la vie privée. Elle entend également lutter contre les nouvelles technologies de surveillance des individus. Dans ce contexte, l'ONG vient de décerner le prix « Orwell, Ensemble de son Oeuvre » à Google à l'occasion du « Palmarès 2007 des Big Brother Awards » (BBA) en France. La référence est claire et la condamnation sans appel : « Google, pour sa part, place sous surveillance l'ensemble des internautes "du monde entier"... ». Sous couvert d'humour avec un esprit qui s'inspire du roman 1984 de George Orwell, la cérémonie des BBA (Big Brother Awards) cherche à stigmatiser les menaces à la vie privée, Google récupérant de nombreuses données personnelles sur les internautes, notamment par l'intermédiaire de son moteur de recherche. Privacy International n'en est d'ailleurs pas à sa première remise des prix puisque l'ONG organise une dizaine de BBA par an depuis sa création, la dernière en date en France et la prochaine étant prévue pour le 10 mai en Italie. Le site des Big Brother Awards précise que Google devance de peu le fichier « Base-élèves » du ministère de l'Education, ainsi que le ministère de la Culture et de la communication. Au total, le jury de l'ONG, composé de sociologues, biologistes, journalistes, magistrats ou encore artistes français, a décerné six prix, Google ayant obtenu celui qui couronne l'ensemble d'une action. L'ONG n'épargnant personne, le président de la république français figure aussi en bonne position dans le palmarès même s'il n'a reçu aucun prix, ayant été jugé hors concours : « Nous avons le regret de vous annoncer qu'une fois de plus, Nicolas Sarkozy a été bel et bien exclu de la compétition, en raison, cette année, de sa "prédisposition génétique" aux atteintes à la vie privée et aux libertés ». (...)
(25/03/2008 15:37:22)Yahoo tente de se justifier après la publication de photos jugées embarrassantes par le gouvernement chinois
Alibaba, filiale chinoise détenue à 40% par Yahoo, aurait laissé diffuser les photos d'une vingtaine de personnes recherchées par le gouvernement, suite aux émeutes sanglantes qui ont agité Lhassa (capitale du Tibet) il y a quelques jours. Pire encore, ces images sont accompagnées d'un commentaire encourageant les internautes à avertir la police s'ils sont en possession d'indices permettant de localiser ces personnes. La direction américaine de Yahoo se défend avec force d'avoir joué un quelconque rôle dans cette campagne de dénonciation. « Yahoo n'affiche pas sur ses sites les images de personnes recherchées par les autorités chinoises en lien avec les récents troubles au Tibet », a ainsi affirmé le groupe à l'AFP. Yahoo a par ailleurs souligné qu'il comptait revoir avec précision les conditions de publication de ces photos avec Alibaba. A quelques semaines de l'ouverture des Jeux Olympiques de Pékin (en août prochain), le gouvernement chinois n'en est pas à son premier coup en matière de répression des opinions individuelles sur Internet. La plupart des grands moteurs de recherche jouent d'ailleurs le jeu, à l'instar de Google, qui dès 2006 acceptait de censurer ses résultats pour la Chine, afin de se « conformer aux régulations et lois locales ». Il y a quelques jours, Google News et YouTube ont ainsi été bloqués - de manière radicale pour les uns, de façon plus complaisante pour les autres -, afin de mettre fin à la propagation de vidéos liées à la mutinerie tibétaine, des images jugées trop compromettantes pour le gouvernement chinois. (...)
(25/03/2008 12:33:15)Trois priorités de l'Aful pour le secrétaire d'Etat à l'Economie Numérique
A son tour, l'Aful a réagi, en fin de semaine, à la nomination d'Eric Besson au poste de secrétaire d'Etat à l'Economie Numérique le 18 mars dernier. L'association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres souligne d'abord la nécessité de favoriser l'interopérabilité et les standards « réellement » ouverts, « éléments indispensables à une concurrence libre et non faussée ». Elle souhaite, dans ce domaine, que soient rapidement appliqués les textes existants autour des référentiels (RGI, RGAA et RGS) spécifiant les règles d'interopérabilité, d'accessibilité et de sécurité relatives aux échanges électroniques entre administrations et avec les usagers. Très logiquement, l'Aful demande aussi à Eric Besson de prendre une position claire contre les brevets logiciels qui « brident l'innovation », sous couvert de la protéger, en « consolidant les positions monopolistiques de certaines multinationales ». Un point sensible qu'avait également évoqué l'April, autre association de défense du logiciel libre, à l'annonce de la création du nouveau secrétariat d'Etat par Nicolas Sarkozy. [mise à jour] Enfin, l'Aful ne manque pas d'insister sur le dossier des ventes liées, un sujet qui lui tient à coeur et qui l'avait déjà amenée à réagir, en décembre dernier, avec l'April et Scideralle. Les trois associations avaient alors adressé une lettre au secrétaire d'Etat à la Consommation, Luc Chatel, [qui ne s'était pas montré favorable à l'application de la loi] réglementant les ventes liées dans le secteur de l'informatique. Sur ce dossier qu'elle juge « sensible », l'Aful demande à Eric Besson de faire « le ménage ». L'association propose également au nouveau secrétaire d'Etat de le rencontrer sur l'ensemble de ces chantiers. (...)
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