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Société
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(07/03/2008 17:17:36)
Neurones recrute 800 collaborateurs
A l'instar de nombreuses SSII, Neurones intensifie sa politique de recrutement en 2008. Le groupe spécialisé dans le conseil, l'intégration et l'infogérance, prévoit d'embaucher 800 personnes (elle compte actuellement 2100 salariés), essentiellement en Ile-de-France. Les profils recherchés sont à la fois des jeunes diplômés (30%), des jeunes expérimentés (20%) et des seniors confirmés (50%). Neurones a également mis en place un programme de formation et de spécialisation pour faciliter l'intégration et la progression de ses futurs collaborateurs. Les postes à pourvoir sont très variés : ingénieurs (experts dans le développement applicatif .Net / Java / J2EE, systèmes et réseaux), chefs et directeurs de projet (infrastructures et applicatifs), consultants (spécialisés dans le décisionnel et les PGI), architectes (réseaux, sécurité), administrateurs de bases de données et de systèmes et réseaux, techniciens, responsables opérationnels de comptes infogérance, ingénieurs d'affaires, ingénieurs avant-vente, directeurs commerciaux et généraux. Neurones a réalisé un chiffre d'affaires de 156 M€ en 2007 (+20%), pour une marge opérationnelle avoisinant les 9%. La SSII a également réalisé deux acquisitions au courant de l'année (ID Factory en avril dernier, puis Pragma Team au mois de novembre). (...)
(07/03/2008 11:32:48)Bill Gates, 3e homme le plus riche du monde
Les technologies informatique et télécoms sont encore à l'honneur dans le classement Forbes des premières fortunes mondiales même si elles descendent d'un rang. En 2006, Carlos Slim, le richissime opérateur télécoms mexicain, devenait l'homme le plus riche du monde. En 2007, il se voit ravir la première place par Warren Buffett, opiniâtre financier. En troisième position, on trouve Bill Gates. Buffet mentor de Gates Forbes estime la fortune personnelle de Warren Buffet à 62 Md$. C'est une surprise, elle a progressé de 10 Md$ en 2007. Or, Buffet avait signé une entente avec Bill Gates, qui prévoit que sa fortune sera reversée à la fondation du second, ce qui laissait penser que le premier conseiller et mentor du créateur de Microsoft se retirait de la course. Carlos Slim occupe la seconde place, avec 60 Md$. Bill Gates est repoussé à la troisième place. Les 2 Md$ qu'il a amassés au cours de l'année 2007 n'ont pas suffit à le replacer au sommet, qu'il a quand même occupé durant treize années consécutives. La fortune de Bill Gates est désormais estimée à 58 Md$. Les technologies et les français en bonne place Dans la famille des technos, on notera la quatorzième place de Larry Ellison, le patron et fondateur d'Oracle, avec 25 Md$. Les deux fondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page, reculent aux trente deuxième et trente troisième places, avec respectivement 18,7 et 18,6 Md$. Quant aux français, Bernard Arnault occupe la treizième place, avec 25,5 Md$ ; Liliane Bettencourt, dix septième place avec 22,9 Md$, est la première femme du classement. La montée des indiens et des russes Le classement Forbes confirme enfin la montée en fortune des portefeuilles des nouveaux riches indiens, avec Lakshmi Mittal qui occupe la quatrième place, et russes. De quoi confirmer la chute lente des challengers historiques Walton, la famille qui possède les magasins Wall Mart, et Mars, les fabricants des célèbres barres chocolatées, longtemps challengers de Bill Gates. (...)
(06/03/2008 16:45:26)Cebit 2008 : Les produits high-tech sous la férule de Greenpeace
Greenpeace a décidé de porter la bonne parole écolo au milieu des constructeurs informatiques installés au Cebit. L'organisation, en plein de coeur de l'événement informatique n°1 en Europe, a distribué des points, bons ou mauvais, dans un rapport intitulé « Searching for green electronics », et qui note la nature écologique de certains produits référencés au catalogue des plus influents du marché. Le résultat? Peu atteignent la moyenne de 5 sur 10. Mais dans un élan d'optimisme, Greenpeace présage qu'un « mieux » peut toujours arriver. Le rapport est ainsi censé représenté un instantané de quelques produits commercialisés entre août et novembre 2007. Les valeurs écologiques et respectueuses de l'environnement sont évaluées selon quatre critères : l'utilisation de produits toxiques, l'optimisation énergétique, la capacité de recyclage et le marketing dispensé par la société autour de sa politique verte. Un téléphone et un PDA de Sony-Ericsson (le T650i et le P1i) ainsi qu'un ordinateur portable de Sony (Vaio TZ11). Seuls ces trois produits obtiennent les notes les plus élevées du rapport - respectivement 5,30, 5,10 et 5,29. Les notes données aux autres téléphones portables (comme le Nokia N95) s'échelonnent de 3,6 à 4,4. Celles attribuées aux ordinateurs portables de 3,49 à 4,82 (pour le HP Compaq 2710p). Côté station de travail, Dell et HP, cote à cote, obtiennent un pénible 4,71 sur 10 avec un Optiplex 755 et un HP dc5750. Ne se hissant pas au delà de la moyenne Greenpeace. Les notes courent de 3,66 à 4,65. Sur son site Internet, l'organisation affirme avoir publié cette liste pour démontrer que « quelques sociétés parviennent à développer des produits qui ne nuisent pas à l'environnement et pour encourager les autres à faire de même ». Si cette opération « coup de poing », car réalisée au milieu des stands rutilants des constructeurs informatiques installés à la Messe, reste louable au regard de la somme de déchets que rejette l'industrie informatique, la méthode n'en est pas moins contestable. L'organisation a en effet reposé les résultats de sa liste sur les seuls spécifications soumises par les constructeurs. Soit sur une démarche volontaire des principaux intéressés. Au total, seuls 14 constructeurs ont exposé 37 produits aux tests de l'ONG. Dans son rapport, Greenpeace explique ainsi que parmi les « invités », beaucoup, comme le monde de la console de jeux, n'ont pas répondu ou trop tard. C'est le cas également de Microsoft, Acer, Apple, Asus, Creative, Nintendo, Palm et Sharp. Soit un pan important du marché, dont certains ont été épinglés par la même ONG dans son classement mensuel. Le rapport complet de Greenpeace (...)
(06/03/2008 13:13:49)Annuels SAS France : + de 40% du CA réalisé dans la banque/assurance
Sur son exercice fiscal 2007, la filiale française de l'éditeur américain SAS, spécialiste de l'informatique décisionnelle, a vu son chiffre d'affaires progresser de 17,2% par rapport à 2006, à 75,6 M€ (104,8 M$). Soit une performance légèrement supérieure à la progression mondiale des revenus de l'éditeur, qui s'est établie à +15%, à 2,15 Md$. Rappelons que SAS, fondé et toujours dirigé par Jim Goodnight, reste un groupe privé, ce qui ne l'oblige pas à communiquer le détail de ses résultats financiers. Sur l'Hexagone, une part importante des revenus de SAS (40,5%) provient toujours du secteur de la banque/finance et de l'assurance. La filiale a notamment signé des contrats avec le Crédit Agricole, BNP Paribas, la Barclays Bank ou Generali France. Autre marché important pour SAS France dans l'Hexagone, le secteur public, qui a pesé 17,8% du chiffre d'affaires en 2007 avec des clients comme le CHRU de Tours, la DGCP, l'ANPE ou la CNAMTS. Parallèlement, la filiale a développé ses activités dans le domaine de la distribution en signant avec des acteurs comme Virgin, Brico-Dépôt et la Fnac. Parmi les solutions décisionnelles ayant enregistré une croissance significative en 2007 figurent les produits appliqués à la gestion des relations clients. Cette tendance avait déjà été mise en évidence en 2006 sur le marché français par une étude du cabinet PAC. Chez SAS France, cela s'est traduit par des ventes autour des logiciels de gestion et d'optimisation de campagnes marketing, notamment auprès de Barclays, GIE Comète (Crédit Agricole) ou Danone. Ces deux dernières sociétés figurent au nombre des nouveaux clients gagnés par SAS France en 2007, avec des références comme Sanofi Aventis, Arcelor Mittal, GDF, Groupe Malakoff, HSBC France, La Banque Postale, Louis Dreyfus Négoce ou encore Pierre Fabre. Au niveau mondial, 1 100 nouvelles sociétés ont rejoint la base installée de SAS au niveau mondial l'an dernier. (...)
(06/03/2008 13:02:43)Yahoo est décidé à dégoûter Microsoft
Yahoo vient de présenter sa dernière tactique pour contre l'OPA hostile lancée par Microsoft en février dernier. Le pionnier de la recherche en ligne a en effet repoussé la date limite de nomination des membres de son conseil d'administration. Cette opération coupe l'herbe sous le pied du géant de Redmond qui, s'il avait voulu proposer sa propre liste de candidats, aurait dû le faire avant le 14 mars - date initialement fixée pour les nominations. Yahoo veut ainsi décourager Microsoft de se lancer une « lutte de mandats » (ou proxy fight), une procédure qui consiste à obtenir des actionnaires de la société visée leurs procurations (autrement dit leur droit de vote) et de modifier ainsi artificiellement la composition du conseil d'administration. Après avoir exposé à ses actionnaires les raisons pour lesquelles l'offre de rachat par Microsoft n'était pas une bonne idée , puis modifié les conditions de départ de ses salariés en cas de succès de l'opération et s'être tourné vers News Corp, Google ou encore Disney, il s'agit là de la énième tentative de Yahoo d'évincer Microsoft. Cette manoeuvre permet également à Yahoo de gagner du temps pour réfléchir en toute sérénité à d'autres alternatives à l'OPA de Microsoft, a indiqué dans un mail Jerry Yang, PDG de la société, à l'ensemble de ses salariés. D'après le New York Times et le Wall Street Journal, Yahoo aurait intensifié les négociations avec Time Warner, pour un éventuel rapprochement avec AOL. (...)
(05/03/2008 12:47:02)Le moteur Ask.com se réoriente et supprime 8% de ses effectifs
Difficile de se faire une place sur le marché des moteurs de recherche. Ne se sentant plus apte à lutter contre des géants tels Google, Ask.com, moteur de recherche appartenant au groupe américain IAC Search & Media, a décidé de s'engager dans une nouvelle direction. Le Californien a en effet choisi d'abandonner sa technologie de recherche à la sauce Google, pour se recentrer sur une niche : celle des femmes mariées ! Les requêtes concerneront leurs hobbies, les devoirs de leurs enfants, la santé et le divertissement. Cette orientation s'accompagnera d'un plan de restructuration qui se soldera par la suppression de 40 postes, soit 8% des effectifs du groupe. Pour Charlene Li, analyste chez Forrester Research, cette nouvelle stratégie devrait permettre à Ask.com de générer des profits : les femmes mariées - en particulier celles qui ont des enfants - sont à l'origine de nombreuses décisions d'achats, et constituent une cible idéale, en matière de publicité. «Le changement de direction est intelligent, estime-t-elle. En dépit d'une bonne technologie, Ask.com n'est tout simplement pas en mesure de batailler contre des concurrents tels que Google. » Avec une part de marché de 58,5% aux Etats-Unis, selon Comscore, Google reste le grand leader du marché des moteurs de recherche, devant Yahoo et Microsoft. Ask.com arrive en 5ème position, avec seulement 4,5% du gâteau. (...)
(04/03/2008 10:55:03)Cebit 2008 : Nicolas Sarkozy fait le service minimum sur l'IT
La sphère IT attendait un catalogue de mesures concrètes à l'occasion du discours inaugural de Nicolas Sarkozy. Le président français, qui ouvrait les festivités aux côtés d'Angela Merkel, José Manuel Barroso et Steve Ballmer, aura finalement axé son intervention sur la nécessaire coopération économique franco-allemande, reléguant le sujet des TIC au second plan. « Nos cultures économiques sont différentes, cela suscite des incompréhensions », a expliqué le chef de l'Etat pour justifier le nécessaire travail de collaboration que les deux partenaires historiques doivent s'escrimer à accentuer. Evoqué tout au long de la soirée par les différents intervenants, le succès d'Airbus (qui vient de rafler un énorme contrat aux Etats-Unis) doit servir d'exemple et illustrer les conséquences bénéfiques de ce que peuvent faire la France et l'Allemagne « qui ont su parler d'une seule voix ». « Vous êtes les plus grands exportateurs du monde, vous êtes fiers et vous avez raison », a lancé le président français à un auditoire encravaté. « On va faire tout comme vous », a-t-il poursuivi, s'attirant les rires et les applaudissements des spectateurs, réunis dans l'amphithéâtre du Centre des Congrès d'Hanovre. Le haut débit pour 100% des Français Celui qui s'est présenté comme « le premier à avoir mené une vraie cyber-campagne électorale en 2007 » n'a pas cependant totalement éludé le sujet des TIC, se fendant d'une « intention de renforcer l'usage et la production des nouvelles technologies » dans l'Hexagone. Mais, alors que d'aucuns rêvaient d'une annonce venant concrétiser l'idée d'un ministre de l'IT, le locataire de l'Elysée s'est contenté de ce que certains qualifieront de mesurettes. En premier lieu, Nicolas Sarkozy a posé l'objectif de 70% des ménages équipés d'ordinateurs personnels d'ici à deux ans. En parallèle de cette ambition, le président a souhaité que « 100% des Français aient accès au débit fixe ou mobile » avant la fin de son mandat. Dans cette optique, le premier édile s'est félicité de l'ouverture d'une partie des fréquences GSM allouées aux opérateurs mobiles pour une utilisation 3G. [[page]] Les deux rives du Rhin unies pour les TIC Le couple franco-allemand doit également servir de pivot au développement des TIC, qui sont « à l'origine de 25% de la croissance mondiale ». Pour cela, les deux pays voisins « doivent se mobiliser sur des projets concrets ». Mais, là encore, point d'annonce tonitruante. Nicolas Sarkozy s'est ainsi contenté d'évoquer « l'intégration régionale des réseaux électriques » permettant à la France et l'Allemagne de mutualiser leur production d'énergie et « l'association franco-allemande dans un programme de calculateurs géants qui feraient un million de milliards d'opérations par seconde ». Rappelons au président de la République que le CNRS s'est récemment doté d'un supercalculateur affichant une puissance de 207 teraflops, soit 207 millions de milliards d'opérations par seconde. Le renforcement de la coopération des deux côtés du Rhin doit aussi se traduire la formation des scientifiques : « il faut plus d'Allemands en France, plus de Français en Allemagne », a clamé Nicolas Sarkozy. En s'adressant à celle qu'il a appelée à plusieurs reprise sa « chère Angela » - marquant ainsi une volonté manifeste de réchauffer des relations quelque peu glaciales depuis son projet d'union méditerranéenne -, Nicolas Sarkozy s'est dit impatient d'accueillir les étudiants allemands dans les universités de l'Hexagone. Et a laissé la porte ouverte à d'autres initiatives, souhaitant « construire ensemble une ambition commune dans un secteur et montrer au monde qu'en travaillant ensemble, on peut gagner ». Avant de se réunir autour de Surface, le prototype de table interactive et tactile de Microsoft, pour une démonstration peu spectaculaire orchestrée par Steve Ballmer, Nicolas Sarkozy a conclu son allocution en rappelant, une dernière fois, l'importance de la complicité franco-allemande : « Pour moi, venir au Cebit ce n'était pas une mondanité mais un engagement du coeur pour vous dire, amis allemands, que nous voulons travailler avec vous. » (...)
(03/03/2008 17:29:18)Cebit 2008 : La Deutsche Messe tente de se réinventer
Cebit J-1. Dans quelques heures, le Cebit 2008, le plus grand salon IT d'Europe, ouvrira ses portes à Hanovre. Comme chaque année, les centaines de milliers de mètres carrés de la Deutsche Messe accueilleront serveurs et GPS, CEO et élèves ingénieurs, baladeurs MP3 et PGI. Un immense éventail de tout ce que peuvent présenter les acteurs de l'industrie IT, un gigantesque fourre-tout, où les annonces majeurs côtoient les gadgets les plus futiles. Endiguer la fuite des exposants Soucieux d'éviter de transformer le rendez-vous obligé des grands noms des TIC en salon grand public, les organisateurs de l'évènement ont entendu lui redonner ses lettres de noblesse en le réorientant vers les professionnels. Objectif : endiguer une chute de la fréquentation. Ainsi, en 2007, si davantage de visiteurs avaient foulé les allées du Cebit, le nombre d'exposants avait reculé par rapport à l'édition précédente, de même que la surface totale de l'exposition. Une tendance qui se confirme cette année, avec 5845 emplacements réservés, contre 6153 l'année dernière, et une superficie ramenée à 241 000 m² (280 000 m² en 2007, 300 000 m² en 2006). [[page]] Pour se réinventer, le Cebit commence par réorganiser les thèmes abordés autour de quatre pôles : Business solutions, Public sector solutions, Home and mobile solutions, Technology and infrastructure. Une classification plus claire et d'évidence tournée vers les professionnels. Deuxième changement d'ampleur, la Deutsche Messe se met à la diète : elle ne s'étalera que sur six jours, contre sept les années précédentes. Et ouvrira ses portes un mardi, alors que le jeudi était historiquement le jour choisi pour lancer les festivités. A cela, deux raisons. En démarrant le mardi, le salon offre quatre jours consécutifs en semaine aux exposants, des journées majoritairement fréquentées par des visiteurs professionnels. En réduisant la durée de la manifestation, le maître de cérémonie allège la facture présentée aux locataires des stands. Incontournable Green IT Pour attirer chalands et camelots, les organisateurs misent également sur les thèmes en vogue. Et parmi eux, il était inconcevable de passer à côté de l'ouragan Green IT. La Deutsche Messe ne s'y est pas trompée, qui a mis en place un Village vert pour offrir une vitrine aux technologies respectueuses de l'environnement. Proclamant la Green IT « thème central du Cebit », elle s'associe en outre au Climate Savers Computing Initiative pour l'occasion. Le groupement, qui réunit des géants comme Dell, HP et Lenovo, a fait de l'économie d'énergie son cheval de bataille et s'est notamment fixé pour objectif la diminution par deux d'ici à 2010 de l'émission de CO2 provoquée par la fabrication d'ordinateurs. Notons également la présence, dans les coursives de Hanovre, de Greenpeace. Un premier déplacement qui sonne comme un « on vous a à l'oeil » adressé à l'ensemble de la sphère IT. LeMondeinformatique.fr se fera l'écho des principales nouveautés en matière d'IT verte dévoilées pendant la durée du salon. Hanovre-sur-Seine Les visiteurs français ayant choisi de faire le déplacement jusqu'à Hanovre pourront humer un parfum d'Hexagone dans les allées du Cebit. Cette année, la France est en effet le pays partenaire de l'événement, après la Russie en 2007. Réunies par Ubifrance, l'organisme chargé d'aider les PME nationales à se développer à l'international, 103 entreprises traverseront le Rhin pour se montrer en Basse-Saxe. Parmi elles, 35 représenteront neuf pôles de compétitivité et tâcheront de mettre sur pied des projets de développements franco-allemands dans des domaines comme la fibre optique ou la télévision mobile. En point d'orgue de cette démonstration d'amour entre Paris et Berlin, Nicolas Sarkozy et Angela Merckel participeront ce soir à la cérémonie d'inauguration. Un exploit au regard de la tiédeur des relations qu'entretiennent le président français et la chancelière allemande, notamment opposés sur le projet d'union méditerranéenne défendu par l'Elysée. A leurs côtés prendront place d'autres huiles, dont le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso et son débiteur, le CEO de Microsoft, Steve Ballmer. (...)
(28/02/2008 13:01:38)Bill Gates quitte Facebook pour LinkedIn
Quelques jours à peine après avoir supprimé sa fiche Facebook, Bill Gates, fondateur de Microsoft, s'est inscrit sur LinkedIn, le célèbre réseau social pour les professionnels. Et cette fois, c'est vraiment lui : des dizaines de faux profils ont jusqu'alors été effacés. L'anecdote peut faire sourire quand on sait que Microsoft n'a pas hésité à débourser 240 M$ l'an dernier pour acquérir 1,6% de... Facebook, justement. Bill Gates se serait désinscrit de Facebook car il était envahi d'invitations d'internautes désireux de devenir son « ami » (8000 requêtes par jour, d'après le Sun). Sur son profil LinkedIn très épuré, Bill Gates se définit comme « technologue philanthrope ». Il décrit brièvement la fondation qu'il a créé il y a huit ans avec sa femme Melinda, et dont le but est de « réduire les inégalités à travers le monde ». On apprend également qu'il est fan de tennis, de bridge et de lecture. Bill Gates serait la personne la plus recherchée sur le site par les internautes, devant Barack Obama et Hillary Clinton. Bill Gates fera par ailleurs aujourd'hui une apparition sur LinkedIn, pour interpeller les 19 millions de membres que compte le site avec une question : « de quelle manière la technologie peut-elle mieux servir les causes caritatives ? » (...)
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