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(04/05/2011 10:14:15)

Les Français séduits doucement par les livres électroniques

Le papier demeure très apprécié. Seuls 7% des lecteurs de livres numériques se contente de la forme électronique des ouvrages. En moyenne, le papier occupe 54% du temps de lecture global. Le marché du livre électronique semble en outre susciter l'intérêt car 20% de l'ensemble des internautes sondés déclarent prévoir de télécharger ou consulter du contenu livre numérique.

Au sujet de nombre de livres téléchargés ou consultés, la retenue domine. Ainsi, 82% des personnes interrogées se sont contentées de moins de dix fichiers téléchargés ou consultés au trimestre dernier. 60% n'ont téléchargé ou consulté que moins de cinq livres électroniques. Les libraires en ligne dominent le marché (39%) devant les applications spécialisées (34%). Les sites d'éditeurs représentent 30% des consultations lors de la recherche de livres numériques. 29% se tournent vers le marché illégal. 34% des consommateurs ne choisissent ainsi que des contenus gratuits contre 2% pour le payant. La dépense moyenne trimestrielle pour ces contenus atteint 12 euros.

Les amateurs de livres électroniques se tournent en majorité vers la littérature (68% devant la catégorie pratique (34%) et les livres pour adultes (12%). Les auteurs contemporains ont la préférence avec 59% des téléchargements ou consultations numériques. En termes d'écran principal, l'ordinateur (56%) domine devant le téléphone mobile (19%) et la tablette (15%). En moyenne, les lecteurs adeptes de livres numériques utilisent 1,88 écran.

Etude analytique des comportements des internautes vis-à-vis des contenus numériques, REC a été réalisée grâce à mille interviews auprès d'un échantillon représentatif de la population internaute française âgée de 15 à 65 ans.

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(02/05/2011 14:59:17)

Forte croissance des livres électroniques prévue en 2011

D'ici la fin 2011, le marché mondial du livre électronique devrait compter 27 millions de liseuses électroniques, selon les pronostics de Digitimes.com. Pour parvenir à ce chiffre, le site s'est basé sur les résultats du premier trimestre de cette année qui a connu un bond des livraisons des liseuses de 236%.

Entre janvier et mars derniers, 4,8 millions de supports ont été livrés à travers le monde, soit une hausse de 236% en un an. Le secteur des « e-readers » est principalement boosté par le continent nord-américain qui devrait recevoir 72% des livraisons prévus en 2011. Avec un démarrage plus lent, l'Europe rentre progressivement dans l'ère numérique et devrait s'approprier 16% des liseuses fabriquées, devant l'Asie (10%).

Le Kindle d'Amazon demeure le grand leader du marché avec 60% des ventes de readers. Aux Etats-Unis, son prix devrait d'ailleurs passer en dessous des 99 dollars au cours de l'année. Digitimes.com estime que 63 millions de e-readers devraient trouver preneurs dans le monde d'ici 2014.

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(29/04/2011 14:33:50)

La CNIL va enquêter sur le piratage chez Sony

Sony a du souci à se faire. Le groupe électronique japonais, qui a reconnu  le vol  de données personnelles des quelque 77 millions de membres du service PSN (PlayStation Sony  Network) devra faire face aux plaintes des particuliers et des organisations. « Les joueurs sont furieux que le PDG de Sony n'ait pas tenté d'expliquer la situation et les investisseurs sont déçus par la gouvernance de la firme », a déclaré Michael Wang, directeur des fonds étrangers chez  Prudential Financials, une société qui détient des actions Sony, à l'agence de presse Reuters. Les abonnés au service PSN ont effectivement de quoi être en colère. Ainsi, Kevin Stevens, expert en sécurité chez TrendMicro, explique que des pirates chercheraient à vendre pas moins de 2,2 millions de cartes de crédit avec leur code de sécurité.

En France, la Commission nationale de l'informatique et des libertés lancera, dans les jours qui viennent, une enquête, rapporte le journal Les Echos. Son président Alex Türk a indiqué au quotidien économique qu'il allait se rapprocher de Sony pour analyser différents éléments afin de déterminer combien de personnes sont concernées en France, connaître le type de données touchées et la nature exacte de la faille sécurité. Le président de la CNIL souhaite également savoir si les données étaient suffisamment chiffrées et quelles informations ont été envoyées aux victimes. Interrogé sur d'éventuelles sanctions au terme de l'enquête, Alex Türk a répondu aux Echos « qu'il  ne préjugeait de rien, mais qu'on ne pouvait  pas continuer  sur ces questions à faire comme si de rien n'était. »

Le service Playstation Network de Sony, qui fournit un accès en ligne à des jeux, des films et des émissions de télévision, génère un chiffre d'affaires annuel d'environ 500 millions de dollars. Neuf utilisateurs de PlayStation sur dix sont basés aux Etats-Unis et en Europe.

Illustration : Alex Türk, président de la CNIL (crédit photo : D.R.)
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(28/04/2011 17:17:49)

De plus en plus d'utilisateurs d'Internet mobile

La progression de l'Internet mobile dans les usages des Français est à relier au nombre croissant de smartphones en circulation. Ces terminaux multimédia équipent désormais 31,4% des possesseurs de téléphones portables. La mobilité internaute ne semble pas réservée aux utilisateurs de smartphones toutefois. Ainsi, 37% des 43,5 millions de propriétaires de portables consultent la Toile. Une large majorité des mobinautes n'hésitent pas à se connecter (94,1%). Près de la moitié d'entre eux (48,5%) ont au moins utiliser une application au cours de la période janvier-mars 2011.

Google passage obligé


Renforcé par sa position de leader de la recherche Web et à l'expansion des terminaux Android, Google domine largement le secteur de l'Internet via mobile avec 11,52 millions de visites uniques enregistrées au premier trimestre 2011. Facebook suit de près avec 11,11 millions. Orange occupe le troisième rang devant YouTube et SFR avec respectivement 9,25, 7,89 et 7,50 millions de visites uniques. iTunes, la plateforme de contenus d'Apple, termine sixième.

Médiamétrie réalise l'étude L'audience de l'Internet mobile en France grâce à la collecte exhaustive et anonyme des connexions des téléphones mobiles des opérateurs historiques, SFR, Orange et Bouygues.

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(28/04/2011 09:27:41)

La réservation des voyages en ligne progresse dans le monde

LinkedIn et Twitter touchent respectivement 26,1% et 26,8% de la population des internautes aux Pays-Bas. Hyves, le réseau social local, affiche un taux d'adoption encore plus élevé, mais il pourrait bientôt être dépassé par Facebook, puisque le géant américain a enregistré une hausse de 76% d'utilisateurs locaux en seulement un an. « Le marché des réseaux sociaux aux Pays-Bas est vraiment unique en son genre », explique Mike Read, directeur chez ComScore Europe, dans une enquête publiée le 26 avril. « C'est l'un des derniers marchés au monde où un réseau social local (Hyves) continue de devancer Facebook, mais cette avance est de plus en plus fragile. Autre facette intéressante de ce marché: les Pays-Bas ont le plus fort taux d'adoption de deux des réseaux sociaux les plus importants, Twitter et LinkedIn ».

96% des internautes des Pays-Bas (soit environ 11,5 millions) ont visité un réseau social au mois de mars, un chiffre en hausse de 18% par rapport au même mois l'année dernière (9,7 millions de visiteurs). Environ 7,6 millions de Néerlandais visitent le site Hyves chaque mois, contre seulement 6,6 millions pour son concurrent Facebook.

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(28/04/2011 10:49:18)

Développeurs, sur Facebook, n'utilisez plus «Share» mais «Like» !

La deuxième édition française du Facebook Developer Garage s'est tenue mardi soir dans les locaux de Microsoft, animée par Julien Cordorniou, un ancien de la maison, désormais directeur des partenariats pour Facebook en France et au Benelux. En un mois, l'appétence des développeurs s'est confirmée. A la Cantine, en mars, 420 personnes avaient manifesté leur intérêt pour l'invitation. Elles ont été 620 à le faire cette fois-ci, selon les chiffres communiqués. L'exercice doit être renouvelé chaque mois, promet l'équipe du réseau social.

Le but des Developer Garage, c'est d'expliquer aux développeurs comment ils peuvent tirer parti de Facebook, rappelle Julien Codorniou. Il souligne que l'un des paradoxes de cette plateforme où se retrouvent plus de 600 millions de personnes, pour beaucoup quotidiennement, c'est d'offrir des possibilités de distribution extraordinaires et un fort potentiel de monétisation (cf ce qu'en fait Zynga dans le domaine du social gaming), mais de n'être « pas facile à maîtriser ». Jusqu'à présent, il n'y avait personne en Europe pour donner le mode d'emploi sur ces questions. Facebook y remédie. Outre la constitution d'équipes internes pour s'adresser aux développeurs, la société certifie des partenaires pour l'épauler dans cette mission (en France, KRDS, Sociabliz, 909C...).

Facebook, un apporteur de trafic


Mardi, l'antenne française du réseau social a d'abord fait le point sur les nouveautés (le bouton Send, Facebook Deals...), avant de revenir sur les moyens qui, bien utilisés, permettront aux sites web (e-marchands, médias, jeux...) de booster le trafic que leur envoie la plateforme. Comment, par exemple, bien utiliser le bouton « Like » pour aller chercher « les amis des gens qui aiment vos produits et vos sites web », comment les tagger correctement, au bon endroit sur la page web. « C'est important de bien le comprendre », avertit Julien Codorniou en engageant à se servir désormais de ce bouton en lieu et place du bouton « Share », moins efficace pour récupérer des visiteurs sur les sites.

Pour tous les professionnels misant sur la fréquentation de leurs pages web pour développer leur activité, Facebook doit être vu comme un apporteur de trafic. C'est sur ce message essentiel que s'est principalement déclinée la soirée « Garage ».  Parmi les derniers outils contribuant à ce but figure le bouton « Send », annoncé en début de semaine. Si le bouton Like sert à communiquer une information à tous ses amis sur son fil d'actualité Facebook (« news feed »), Send va au contraire l'envoyer à un nombre restreint d'utilisateurs : deux ou trois amis, un groupe. Il se met en oeuvre de la même façon. « C'est une fonctionnalité qui nous a été suggérée par les sites d'e-commerce, notamment dans la vente privée, pour prévenir d'un bon plan exclusif que l'on n'a pas envie de partager avec tout le monde, explique Julien Codorniou. Cette fonction, qui intéresse aussi les acteurs du « dating » et des médias, peut être utilisée pour « bookmarquer » des sites web. En France, certains partenaires l'ont déjà adopté, par exemple le site du Monde.fr qui l'a installé en moins de trois jours, ou encore LePost et Web.tv.

Accroître l'effet viral des opérations


Déjà évoquée mais officialisée cette semaine, Facebook Deals se présente un peu comme un concurrent de Groupon (site d'achats groupés), à la différence près qu'il s'agit aussi d'une plateforme et que les marchands pourront y pousser leurs propres deals à travers Facebook. « Il faudra faire un opt-in, par ville, précise Julien Codorniou. Aujourd'hui, c'est disponible dans cinq villes aux Etats-Unis et cela va arriver en France avant la fin de l'année. » Par rapport aux acteurs du coupening qui envoient le même e-mail à chacun, l'objectif est de proposer des « deals sociaux » assortis de réductions lorsque l'on se met à plusieurs. « Le grand intérêt de la plateforme, c'est la distribution, insiste le directeur des partenariats de Facebook France. L'information apparaîtra dans les fils d'actualité des personnes qui feront l'achat et il sera possible de payer avec des Credits. « C'est un peu la version super sociale de cette nouvelle vague dans l'industrie du coupening. Il y a déjà beaucoup de partenaires qui sont intéressés ». Il y a peu, le réseau avait également lancé les « check-in deals ». Ces derniers permettent, à proximité d'une boutique jouant le jeu,  de se signaler à partir de son portable (sous Windows Phone 7, Android ou iPhone) pour bénéficier d'une promotion, dans l'instant ou plus tard, en cumulant les check-in deals, seul ou avec des amis. Maintenant, cela sert aussi à prévenir que l'on participe à un événement (un concert, une soirée, une vente flash sur site de vente privée...). « Cela a été demandé par nos partenaires, mentionne encore Julien Codorniou. C'est encore une manière pour nous d'accroître l'effet viral de certaines opérations. »

Un bouton Like sur tous les produits du site Wallmart


Il y a un mois, le Social plug-in Facebook Comments a été mis à jour. Par son intermédiaire, un membre du réseau social utilisera son identité Facebook lorsqu'il fait un commentaire sur un site. A la manière d'un Like. Cela augmente la visibilité du commentaire. « Encore une fois, c'est une manière d'aller chercher du trafic auprès des amis de ceux qui aiment le contenu qui se trouve sur vos sites », explique le directeur des partenariats.

Illustration : Julien Codorniou, directeur des développements partenaires chez Facebook France et Benelux (à droite sur la photo) interroge Alban Peltier, CEO de la société de développement de jeux Antvoice (à gauche) lors du deuxième Facebook Developer Garage, le 26 avril 2011 à Issy-les-Moulineaux.
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Parmi les exemples récents de mises en oeuvre des outils de Facebook, la chaîne de distribution américaine Wallmart a placé le bouton Like sur tous les produits de son site web. « Cela va rajouter des milliers d'objets dans l'Open Graph », souligne Julien Codorniou. En France, il cite « 60 secondes », une série développée sur Arte, uniquement sur le réseau social. La chaîne de télévision mise sur l'effet viral en livrant un contenu exclusif pour toucher les plus de 20 millions de Français présents sur Facebook.

Enfin, pour illustrer l'intérêt d'insérer des Social plug-in sur un site, Julien Codorniou rappelle que le module de reporting, Insights, permet aux webmasters de voir, à partir des actions sociales placées sur leur site (boutons Like ou Share), combien de fois l'information s'imprime sur Facebook. Il donne l'exemple d'un site web, sans le citer. A chaque fois qu'un internaute actionne un bouton, le site récolte des visites. « Le mois dernier, 518 Share ont apporté 23 000 visites, soit environ 46 nouveaux visiteurs pour chaque Share. C'est ça la logique des Social plug-in et c'est pour cela que nous pensons que Facebook va vraiment se positionner comme un apporteur de trafic, gratuit avec la plateforme ou payant. C'est ce que nous essayons d'expliquer aux grands partenaires : vous allez faire venir sur vos sites du trafic qualifié parce qu'il vient à la suite d'une recommandation d'un ami. Et il s'agit généralement d'un trafic plus engagé que celui qui vient des algorithmes », conclut Julien Codorniou.

Les vertus du cloud public


Au cours de ce rendez-vous consacré aux développeurs, Facebook a également abordé la question de l'hébergement des sites sur les clouds publics « puisqu'il y a des gens dans la salle qui ont l'ambition de servir des millions de clients », a rappelé Julien Codorniou. L'événement se déroulant dans les locaux de Microsoft, ce dernier est venu parler de sa plateforme Azure. Néanmoins, l'interlocuteur choisi, Pierre Couzy, architecte en SI, s'est concentré sur des informations techniques sans s'égarer dans des digressions marketing. Il a dessiné l'anatomie d'une application cloud, un environnement où tout doit être redondant. A ses côtés, Laurent Letourmy, directeur technique de Weka Entertainment, spécialisé dans les jeux en ligne (1,7 million d'utilisateurs par mois dont les deux tiers jouent quotidiennement), passé sur le cloud d'Amazon en 2008. « Nous avons basculé l'application en deux heures et sommes passés en quelques semaines de milliers d'utilisateurs par jour à plusieurs millions. Grâce à Amazon, nous avons pu provisionner de la capacité. »

Plus d'un million d'euros dès la première année

A leur suite, La Redoute a témoigné de son expérience sur Facebook depuis août dernier où le groupe avait simplement 60 000 fans sur le réseau « et pas vraiment d'équipe », explique sa community manager. Avec l'aide d'une agence, la société a testé des opérations pour recruter d'autres fans en essayant de limiter ce coût d'acquisition. « Nous essayons d'être au-dessous de 1,20 euro ». Sur une opération particulière, le groupe a recruté 40 000 fans en 10 jours.

Enfin, le Facebook Developer Garage a donné la parole à trois sociétés de jeux en ligne, Kobojo, MakeMeReach et Antvoice, toutes jeunes start-up et qui pourtant, s'agissant des deux premières, ont atteint ou dépassé 1,5 million d'euros de chiffre d'affaires dès leur première année d'existence. MakeMeReach prévoit entre 6 et 8 M€ la deuxième année. Quant à Antvoice, qui n'existe que depuis trois mois, elle s'attend déjà à passer le cap du million d'euros de chiffre d'affaires sur son premier exercice. Trois sociétés dont les applications de jeux tirent parti de l'interaction sociale et qui misent sur l'effet viral  pour se développer. (...)

(27/04/2011 14:15:21)

Le Conseil National du Numérique installé par Nicolas Sarkozy

Après la nomination des 18 membres par décret en Conseil des Ministres (cf encadré), le Président de la République a officiellement installé le Conseil National du Numérique. Dans son discours, il a défini le rôle et les moyens du CNN « donner son avis et formuler des recommandations sur tout projet réglementaire ou législatif qui a un impact sur les acteurs de l'Internet ». Il n'y aura pas de sujets tabous à souligner le chef de l'Etat, de la taxe Google au dumping fiscal. Le dialogue doit permettre d'éviter les malentendus ou les erreurs. Il a pris deux exemples, Hadopi qui selon lui « n'est pas une fin en soi, mais un moyen » de respecter le droit de propriété intellectuelle des créateurs. Il se déclare « prêt à une discussion sur Hadopi 3 ». L'autre exemple est la politique de suppression de certaines niches fiscales qui ont eu un impact sur certaines aides pour les entreprises innovantes.

Réponses aux critiques et internationalisation du CNN

Nicolas Sarkozy a répondu aux critiques naissantes sur la composition du CNN, « on nous a reproché qu'il n'y avait pas de représentants des consommateurs ou des gens du contenu, ils sont déjà représentés. Le CNN donne un éclairage du monde professionnel ». Les associations de consommateurs et des ayants droits se sont émues de ne pas faire partie du Conseil et ont rebaptisé le CNN en « Medef du Numérique ».

Concernant la direction du Conseil, les membres comme convenus éliront leur président. Le chef de l'Etat a confirmé par ailleurs que l'Internet serait au menu du sommet du G8 à la fin du mois de mai prochain. En amont, il réunira le 24 et 25 mai à Paris les acteurs de l'Internet pour un forum pré G8 pour nourrir la réflexion des chefs d'Etats réunis à Deauville.

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