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(04/02/2009 14:29:59)

Les services informatiques ne sont pas incompatibles avec le développement durable (interview D2-SI)

Quand Laurent Hinault a créé sa société de services en informatique D2-SI en 2006, il a souhaité le faire dans l'esprit du développement durable. Une alliance étonnante pour un milieu, les services informatiques, peu réputé pour son intérêt pour ce type démarche. Encore plus étonnant, la SSII décline le développement durable sous tous ses aspects : environnemental, social, économique et même sociétal. Dans un entretien qu'il a accordé au MondeInformatique.fr, Laurent Hinault raconte sa société d'un nouveau genre. Pour commencer, le jeune dirigeant rappelle que le métier de D2-SI est bel et bien le service informatique. Mais simplement, avec Marc Roudier, co-fondateur, ils ont souhaité lui donner du sens. D'abord en accompagnant les ingénieurs recrutés dans leurs projets professionnels. Comme les deux fondateurs, les employés de la SSII cherchent à la fois à exercer leur métier dans les meilleures conditions et à lui trouver un sens au-delà de la seule compétence technologique ou commerciale. Mais D2-SI réserve aussi une partie de ses revenus et du temps de ses employés pour des projets à vocation sociétale comme l'accompagnement des enfants malades, par exemple. Pour ce qui est de l'environnement, outre que D2-SI le respecte au quotidien, la SSII aide aussi ses employés à le préserver durant leur temps libre. (...)

(30/01/2009 17:37:30)

174 000 emplois informatiques supprimés dans le monde en 2008

Crise financière oblige, le secteur informatique et télécoms est sous pression et depuis début 2008, les annonces de plans de restructurations se multiplient. Le tableau des entreprises contributrices aux plans sociaux en France et dans le monde en 2008 est plutôt noir (voir le tableau ci-dessous). On comptabilise un peu plus de 174 000 postes supprimés dans le secteur de la high-tech dans le monde. La liste des entreprises qui mènent à bien des plans sociaux est édifiante et rassemble des acteurs de tout bord : des entreprises en souffrance mais également celles qui ont dégagé des bénéfices. Au total, on compte plus d'une trentaine de groupes, constructeurs, SSII, éditeurs, opérateurs télécoms ou portails. La palme revient à HP et EDS avec 24 000 postes supprimés dans le monde, dont près de 600 en France. Autant de raisons qu ont conduit les informaticiens français à battre le pavé lors de la manifestation interprofessionnelle du jeudi 29 janvier (vidéo).
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(...)

(30/01/2009 08:05:27)

Mobilisation du 29 janvier : l'informatique aussi était dans la rue (vidéo)

C'est assez rare pour le noter. Hier, jeudi 29 janvier, les informaticiens étaient dans la rue aux côtés des électriciens, des postiers, des instituteurs ou des salariés d'EADS et de la Redoute. Notre journaliste Véronique Arène est allée à leur rencontre sous l'oeil de la caméra de Marien Ziller (vidéo). Les salariés de HP et EDS battaient le pavé côte à côte pour contester les conséquences de la fusion de leurs deux entreprises. Le secteur des télécoms était représenté par Alcatel Lucent, Neuf Cegetel et France Télécom. Tous ont pu croiser leurs collègues d'IBM ou de Cap Gemini. Autant de manifestants du monde des TIC qui protestaient contre des suppressions de postes massives, des transferts de personnels, des délocalisations et des conditions de travail et de rémunération qui se dégradent. Il faut dire que depuis quelques mois, la crise n'a pas épargné le secteur high tech et les réductions d'effectifs s'y succèdent. En ce mois de janvier 2009, il ne se passe quasiment plus une seule journée sans l'annonce de centaines, voire de milliers de suppressions de postes. Parmi les derniers en date : rien moins que SAP et Microsoft. (...)

(28/01/2009 12:11:04)

Prodware intègrera le développement durable dans ses applications

Signe des temps, même les prestataires informatiques s'intéressent au développement durable. Ainsi, l'éditeur et intégrateur français d'environnements de gestion Prodware a-t-il décidé de mettre en oeuvre une politique globale en la matière. Pour sa propre stratégie, il vient de recruter Anne Baer au poste de chargée de mission développement durable. Mais il prépare aussi l'évolution de ses applications métiers, notamment conçues pour les PGI de Sage et de Microsoft, afin que d'ici à la fin 2009, elles génèrent des tableaux de bord pour faire le point sur la 'durabilité' des activités des entreprises. « L'une de nos actions va consister à faciliter la génération des bilans carbone. Au lieu de faire la chasse aux factures et autres tableaux Excel renfermant les informations nécessaires à leur élaboration, les entreprises pourront marquer à la base les données saisies dans leur PGI pour les exploiter le moment voulu », explique Philippe Bouaziz, président de Prodware. Certes, seules quelques entreprises ont aujourd'hui l'obligation légale de faire le point sur leur consommation énergétique et leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais la loi dite du Grenelle 1, votée en 2008, envisage déjà l'extension progressive de ce devoir à d'autres structures, notamment celles qui comptent plus de 250 collaborateurs d'ici à la fin 2013. Prodware se prépare aussi à l'explosion du marché du bilan carbone en tant que prestataire de services. Dans le courant de ce semestre, certains de ses consultants seront formés par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) à la certification de ces bilans carbone d'entreprise. Ne pas se cantonner au bilan carbone Mais Prodware ne souhaite pas se limiter au bilan carbone, ni même au volet environnemental du développement durable. Pour Philippe Bouaziz, « Le développement durable touche à de nombreux autres domaines parmi lesquels on peut citer l'équité salariale, l'égalité entre hommes et femmes ou encore les processus d'achat.» Afin de mettre à la disposition des entreprises un ensemble de critères à partir desquels elles vont pouvoir marquer leur données, Prodware se base sur la Global reporting initiative. Créé en 1997, ce référentiel, non contraignant, a été conçu pour aider les entreprises à évaluer la performance de leur activité en termes économiques, environnementaux et sociaux, à travers six grandes familles d'indicateurs : économie, environnement, droits de l'homme, emploi, relations sociales et travail, responsabilité du fait des produits, social. Les premiers tableaux de bord orientés vers le développement durable seront disponibles dans certaines applications de l'éditeur dès le mois de février prochain. Dans le courant du deuxième trimestre, ce sera au tour de la plupart des indicateurs de la GRI d'être intégrés. Et fin 2009, l'ensemble des offres verticales de l'éditeur auront leurs indicateurs sectoriels et métiers. L'une des prochaines évolutions des logiciels de Prodware dans le sens d'une meilleure prise du développement durable interviendra suite au vote de la prochaine loi sur les nouvelles régulations économiques (NRE). Selon Prodware, le nouveau volet d'obligations qu'elle comprendra devrait inclure des notions de développement durable. Toutefois, aucun agenda n'a encore été fixé par le gouvernement pour son examen. (...)

(28/01/2009 11:18:34)

Les licenciements pour motif personnel ont augmenté dans les SSII

En 2007, près de 10 000 licenciements ont été recensés dans les sociétés de services informatiques et chez les éditeurs de logiciels, soit environ 3% des effectifs de la branche. C'est ce qu'indique l'association d'informaticiens Munci, qui s'est procuré, auprès de l'Unedic, et comme à son habitude , les chiffres des motifs de ruptures de contrat de travail ayant donné lieu à une entrée en indemnisation pour les sociétés du secteur des activités de services informatiques, SSII, et éditeurs. « Ces chiffres sont relativement stables en 2007 par rapport à 2006, relève le président de l'association Régis Granarolo. Dans le détail, on note cependant une hausse des licenciements pour motif personnel et une baisse des licenciements économiques ». Les chiffres 2008 n'ont certes pas été encore publiés, mais les licenciements pour causes économiques devraient nettement augmenter sur cette période, en conséquence du nombre élevé de plans sociaux qui ont frappé le secteur IT au niveau mondial. (...)

(27/01/2009 17:58:39)

Plaintes contre X pour corruption et abus de biens sociaux chez Atos Origin

Atos Origin s'apprête à vivre des moments difficiles. L'une des plus grosses SSII de l'Hexagone fait en effet l'objet d'une enquête pour corruption et abus de biens sociaux, rapporte le quotidien économique La Tribune. La brigade financière aurait été mandatée pour enquêter sur une plainte déposée au parquet de Nanterre par l'association de défense des actionnaires Les Arvernes. Dans le texte de la plainte, que LeMondeInformatique.fr s'est procuré, l'association évoque un article de La Tribune, datant d'avril 2008, citant Philippe Germond, l'ex-PDG d'Atos Origin : « Le 2 octobre [2007], Pardus a proposé aux membres du directoire 1 euro par action, soit 70 millions d'euros, s'ils acceptaient de démanteler Atos Origin... » L'avocat de l'association estime que « si monsieur Philippe Germond dit la vérité, ces faits sont constitutifs de corruption privée tels que prévus à l'article 445-1 du Code Pénal (cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende) ». Pour Atos Origin, il s'agit de faits anciens L'association met également en cause le montant des indemnités de départ versées à Philippe Germond, d' « environ 300 000 euros par mois de présence ». Pour les Arvernes, « un tel montant pour une présence à ce point limitée dans une société est source de scandale tant dans la presse qu'au sein de la société. Il s'agit en tout état de cause d'une rémunération excessive et, comme telle, susceptible de constituer un abus de biens sociaux ». Dans les deux cas, l'association a porté plainte contre X. Et c'est Philippe Courroye, ex-juge d'instruction au pôle financier, indique La Tribune, qui a décidé de donner suite. Du côté de la SSII, on explique qu'il s'agit du passé, et que cela n'a rien à voir avec sa situation actuelle. « Dans cette affaire, se justifie le service communication d'Atos Origin, les faits supposés remontent au mois d'avril 2008. De plus cette enquête fait référence à des événements antérieurs à l'actuelle direction générale d'Atos, assurée depuis par Thierry Breton. » Des mois de querelles avec les fonds d'investissement Rappelons que le conseil de surveillance avait décidé de nommer en novembre dernier l'ancien ministre de l'Economie Thierry Breton à la tête du directoire, en remplacement de Philippe Germond. Ce départ soudain avait suscité l'étonnement des analystes, bien plus que l'arrivée de Thierry Breton. Après des mois de querelle avec les deux fonds d'investissement Pardus et Centaurus, Philippe Germond était parvenu à trouver un modus vivendi, et un plan de transformation avait même été voté en octobre dernier pour aider la SSII à se repositionner. « La hache de guerre semblait être enterrée, peut-être que d'autres haches dont on ignorait l'existence ont refait surface », avançait alors Elisabeth de Maulde, analyste chez PAC interrogée sur l'éviction de Philippe Germond. (...)

(27/01/2009 13:07:40)

Manifestations du 29 janvier : vers une forte mobilisation des SSII en région

La mobilisation des entreprises du secteur des services informatiques sera-t-elle massive ce jeudi 29 janvier, jour de la manifestation interprofessionnelle nationale pour l'emploi et les salaires. Le secrétaire de la F3C-CFDT, le syndicat des métiers de la communication et du conseil, s'attend à un rassemblement plutôt modeste à Paris, mais plus important en région : « En Ile de France, nous attendons de cent à deux cents salariés, ce qui n'est pas si mal à l'échelle d'un secteur comme celui des SSII, estime Ivan Béraud. En revanche, la mobilisation devrait être plus massive en province, notamment à Toulouse, Grenoble ou Nantes, des régions où les SSII sont fortement représentées, et où le climat social n'est pas bon ». Ont notamment été appelés à participer à cette journée d'action les salariés d'HP/EDS au travers d'un mouvement européen calé sur la France pour protester contre les suppressions de postes qui découlent du nouvel ensemble. Idem chez Capgemini où il est rappelé, dans un tract, que « la crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement les salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Chez Devoteam, les organisations appellent à débrayer pendant une heure entre 13h30 et 14h30 sur la question des salaires. Seront également de la partie, les syndicats d'IBM et ceux d'Atos Origin, notamment, sur les questions de l'emploi, du pouvoir d'achat ou des garanties collectives. Du côté des opérateurs, les syndicats de France Télécom ont également déposé des préavis de grève à la direction qui préparerait, selon eux, un autre plan de suppressions d'emplois appelé "Next II". Les chercheurs du CNRS comptent eux aussi sur cette journée d'action pour protester contre la réorganisation du centre de recherches et obtenir le maintien de leur statut. (...)

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