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(21/04/2011 17:28:59)

Trimestriels EMC : Un peu plus près des nuages...

EMC a présenté les résultats du 1er trimestre 2011 et on peut constater que la stratégie du géant du stockage est la bonne. Le chiffre d'affaires progresse de 18% à 4,6 milliards de dollars et le bénéfice net croît encore plus rapidement (+28%) pour atteindre 477 millions de dollars, un free cash-flow pour ce trimestre de 1,1 milliard de dollars. Pour expliquer ces bons résultats, EMC insiste sur les bonnes performances de certaines régions comme l'Europe et la zone Asie. Son coeur de métier reste très solide, l'activité stockage a augmenté de 16% et son offre Symmetrix a progressé de 25%. Le constructeur indique aussi la bonne tenue de sa dernière acquisition dans le domaine du stockage Isilon. Le groupe confirme donc ses prévisions pour le prochain trimestre. Sur l'exercice 2011, EMC table sur un chiffre d'affaires de 20 milliards de dollars et un bénéfice net de 2,5 milliards de dollars. Joe Tucci, CEO d'EMC met l'accent sur deux axes stratégiques, le cloud computing et les big data.

VMware à la fête aussi

La filiale, spécialiste des solutions de virtualisation a annoncé un chiffre d'affaires en hausse de 33%, à 844 millions de dollars. Le bénéfice net pour ce premier trimestre atteint 126 millions de dollars contre 78 millions en 2010. Les revenus de l'éditeur sont portés par les ventes de licences qui ont progressé de 34% à 419 millions de dollars, ainsi que de l'activité support et maintenance à 364 millions de dollars en croissance de +36%. Les prévisions pour le deuxième trimestre sont donc au beau fixe, un CA compris entre 860 et 880 millions de dollars.

 

Illustration: Joe Tucci

Crédit Photo: EMC

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(06/04/2011 16:30:29)

Au coeur de la Silicon Valley : Dédup et backup plus rapide avec Arkeia Software (Part 4)

Pour gagner du temps avant la sauvegarde et les couches incrémentales, Arkeia propose depuis plus d'un an une solution de déduplication (suite au rachat de Kadena Systems en 2009) avant la phase compression. Pour la version 9 de son outil de backup, disponible pour les principales plates-formes physiques et virtualisées (WMware, Citrix et Microsoft), l'éditeur propose la déduplication progressive. Trois technologies de déduplication de blocs de données se partagent le marché : fixe, variable et progressive. Avec la déduplication progressive, le très francophile Bill Evans nous a expliqué réduire les fenêtres de sauvegarde et diminue le volume des données stockées, car les tailles des blocs sont optimisées pour chaque type de fichiers. 

À l'aide sa base utilisateurs, l'éditeur a scanné plusieurs millions de fichiers et mesuré les taux de déduplication afin de déterminer la taille de bloc optimale pour chaque type de fichier. Grâce à cette base, la dédup s'adapte au contenu. « Et à la différence des solutions spécialisées, nous pouvons sauvegarder à la fois des serveurs physiques et virtuels », nous a expliqué le CEO. La déduplication progressive est en outre idéale pour les environnements virtuels puisque chaque VM conserve sa propre copie du système d'exploitation et ses applications. En éliminant ces informations redondantes au sein des images de VM, les sauvegardes peuvent être plus rapides et moins volumineuses.

Two faces backup

Deuxième innovation, la sauvegarde en deux phases. À la différence des méthodes de backup traditionnel en une phase, « la solution d'Arkeia commence par déplacer les fichiers « A » avant de mettre à jour le catalogue. Cela prend un peu plus de temps, mais la fenêtre de sauvegarde peut se fermer une fois au temps « A » pour terminer la création du nouvel index. On gagne ainsi du temps pour le client sur le poste de travail et si, le serveur tombe, les données sont sauvegardées. Il suffit de récréer un inventaire pour lancer la restauration. L'essentiel, les données, sont ainsi bien protégées dans un laps de temps plus court », précise Bill Evans.

D'autres solutions permettent également de réduire le temps de sauvegarde en une phase. Le recours à des disques SSD ou le partitionnement de serveurs qui permettent d'accélérer la sauvegarde des petits fichiers et de réduire les goulets d'étranglement. L'inconvénient, c'est qu'après le déplacement des fichiers, l'index est mis à jour et la sauvegarde ralentit.

Arrivée des commandes en ligne

Troisième point, l'éditeur a ajouté une solution de chiffrement AES-256 et repensé son interface web suite à une étude réalisée auprès de ses clients. « Nos clients aimaient bien notre précédente interface web, mais certains sont très familiers des plates-formes Linux et demandaient des commandes en ligne. Ils utilisent encore beaucoup les commandes pour leurs déploiements. Nous avons changé l'interface pour répondre à cette demande spécifique. Les clients peuvent donc choisir d'utiliser l'interface web ou recourir à un outil plus technique ».

Arkeia Network Backup 9.0 est commercialisé à partir de 600 € HT pour une licence permanente et à partir de 240 €HT pour une souscription d'un an. Le prix de l'Option Déduplication est de 1 500 € HT par serveur dans le cas d'une licence permanente et de 600 € HT pour une souscription d'un an. Tous les produits incluent un an de maintenance avec mises à jour gratuites et accès illimité au support technique de l'éditeur.

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(31/03/2011 10:58:26)

Joyent choisit Neurones IT pour intégrer son offre Paas en Europe

Neurones IT est l'entité chargée de l'infogérance des infrastructures dans le groupe Neurones. Elle est donc directement préparée au Paas (platform as a service). « Nous travaillons depuis un an sur le sujet », nous explique Rémy Dumenil, en charge de l'offre cloud computing pour Neurones-IT. Les choix sont aujourd'hui très avancés.

Neurones IT vient d'opter en faveur de la société californienne Joyent comme partenaire technologique pour, d'une part, vendre les solutions de celle-ci, distribuées totalement en indirect, et, d'autre part, élaborer ses propres offres cloud de type Paas.  Au préalable, la SSII a procédé à une étude technique et commerciale.  Le choix de Joyent s'est imposé car leur produit est apparu plus mature que les autres. « Nous aurons moins d'efforts à fournir sur les offres Joyent que sur les autres qui ont encore des retards en matière d'interfaces, de suivi de la consommation en temps réel, d'auto-administration », souligne Rémy Dumenil.

Plusieurs clients sont en maquette

D'autres éléments ont fait pencher la balance. Joyent présente des retours d'expérience probants en Amérique du nord. Son offre est basée sur des web services et sur une consommation réelle. Joyent est certes encore peu présent en Europe, mais ce n'est visiblement pas un frein pour Neurones. L'intégrateur va bénéficier en Amérique du nord du support de Joyent qui lui enverra des clients. Plusieurs d'entre eux sont en maquette. Neurones-IT met d'ailleurs en place un centre de démonstration autour des solutions Joyent.

« Pour nous c'est d'abord une reconnaissance par un grand acteur du marché et une reconnaissance technique de nos solutions », nous explique Philippe Weppe, directeur général EMEA de Joyent qui recherche une quinzaine de partenaires, deux pour chacun des grands pays européens et quelques transnationaux.

Par ailleurs, Joyent Corp va revendre son activité d'hébergement, ses partenaires seront directement positionnés pour l'exercer. De grands clients américains de la société californienne -on parle d'un grand spécialiste mondial du e-commerce- souhaitent trouver en Europe des structures pour leur hébergement. Les partenaires intégrateurs européens de Joyent seront très bien placés.

Source illustration : Joyent (...)

(30/03/2011 11:21:57)

Au coeur de la Silicon Valley : Petit détour en Floride chez Datacore (Part 1)

Fondée en 1998 et bien connue pour ses solutions de virtualisation de stockage, Datacore, qui réalise aujourd'hui un chiffre d'affaires de 50 millions de dollars environ n'est plus vraiment une start-up avec 600 employés dans le monde. L'esprit reste toutefois toujours axé sur l'innovation et sur le développement technologique comme nous l'a confirmé la rencontre avec le lumineux Ziya Aral (voir illustration ci-dessous), chairman et co-fondateur de la compagnie avec George S. Teixeira et John Bocskor.

À l'origine de plusieurs brevets clefs dans l'industrie IT, Ziya Aral est toujours en charge des développements technologiques de la compagnie avec récemment la publication d'un livre blanc sur une architecture de stockage dédiée au déploiement de plusieurs centaines de postes de travail virtualisés (voir PDF).  L'ambition de ce projet était de fournir une solution performante pouvant supporter d'importantes contraintes. «  Nous ne sommes pas dans le business VDI mais dans celui du stockage », tient à préciser le charismatique chairman de la société, « mais nous sommes la clef de la concentration. Des centaines de machines virtuelles sont une charge énorme pour le stockage ». Dans cette configuration, il est devenu très important de réduire la latence et d'accélérer les échanges entre les différents hosts. « Nous ne vendons pas de VDI mais une architecture pour accélérer le VDI qui réduit de 32 dollars environ par poste de travail le coût d'acquisition du matériel. Cette plate-forme dédiée à la VDI repose sur la solution de virtualisation  SANMelody, l'hyperviseur Hyper-V et une paire de serveurs équipés de Windows Server 2008, capables de supporter jusqu'à 220 VD (virtual desktop). Mais Datacore peut aller plus loin avec une configuration Star (en étoile)  supportant plusieurs centaines de VD.

Avec une solution de ce type, Datacore se positionne comme un fournisseur de software  pour l'infrastructure et pas seulement pour le stockage. « Les solutions de stockage de classe entreprise sont très couteuses, souligne George S. Teixeira (voir ci-dessus), le CEO de la compagnie, «  et nous apportons cette technologie aux PME-PMI à un coût avantageux. » Selon une récente étude IDC publiée en 2011, parmi les freins au développement de la virtualisation de serveurs, les clients mettent en avant le surcoût lié au stockage. Datacore se fait fort de maitriser ces coûts avec son architecture virtualisée qui peut travailler au-dessus des principaux systèmes de stockage (Hitachi, EMC, IBM...). « Le matériel peut aller et venir, mais notre couche applicative reste et l'automatisation des principales tâches d'administration s'allége avec notre solution SANSymphony-V release 8 », précise le CEO de la compagnie.

Un marché qui évolue très vite

Ziya Aral, le directeur technique de la compagnie, reste toutefois circonspect face aux tendances du marché, « nous sommes une compagnie technologique, mais le monde change tous les six mois. Il n'est pas possible de travailler de manière scientifique si tout change tous les six mois. Le marché ne doit pas devenir conservateur, mais la stabilité est nécessaire ». Datacore ne propose par exemple pas encore de gestion des données de type multitiers comme chez 3Par ou EMC, « le tiring et les SSD sont difficiles à concilier en temps réel », nous proposons bientôt une progression par semaine  et une fonction de politique d'usages sera disponible ce trimestre, indique Ziya Aral.

Avec le vent en poupe, Datacore, qui n'est pas coté en bourse, suscite l'intérêt de plusieurs investisseurs du marché. Ziya Aral nous a ainsi bien volontiers avoué avoir refusé une offre de 500 millions de dollars pour le rachat de la compagnie. « La vente ou une introduction en bourse ne sont pas encore à l'ordre du jour, mais si quelqu'un vient avec une meilleure offre nous aviserons », précise George S. Teixeira. « Mais pour l'instant nous restons indépendants et comptons bien prendre avantage de cet état ».

Aujourd'hui, la compagnie américaine réalise 70% de son chiffre d'affaires à l'international et 30% seulement aux États-Unis. Dans bien des compagnies IT US, c'est exactement l'inverse.

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(25/03/2011 10:56:11)

Microsoft dévoile son outil de virtualisation de serveur d'applications

La virtualisation des  serveurs d'applications est une fonctionnalité désormais disponible en version bêta dans System Center Virtual Machine Manager, et devrait être livrée plus tard cette année en même temps que la version finale du System Center 2012. Microsoft n'est pas le premier vendeur à virtualiser les serveurs d'applications, mais, pour une fois, il le fait avant son rival VMware. Avec peut-être un avantage : les clients de VMware sont aussi des utilisateurs de Windows.

Tout comme la virtualisation serveur dissocie le système d'exploitation du serveur, la virtualisation d'applications ajoute une couche supplémentaire et dissocie le programme du système d'exploitation. Cela permet une plus grande souplesse dans la migration, la mise à jour et la restauration de certains éléments logiciels. Jusque-là, la virtualisation des applications concernait uniquement les logiciels de bureau. Comme on pouvait s'y attendre, la virtualisation de serveur d'applications, virtualise elle, le « software framework », dissociant l'application et sa configuration de l'OS sous-jacent. Autrement dit, au lieu de faire une copie virtuelle d'Outlook par exemple, on crée une copie virtuelle d'Exchange Server.

Simplifier les mises à jour

Pourquoi opérer de cette façon ? Selon David Greschler, directeur de la stratégie virtualisation chez Microsoft, « les applications actuelles côté serveur sont étroitement associées à des machines virtuelles, si bien qu'il est difficile de déplacer les applications d'une machine virtuelle à une autre, ou de mettre à jour l'OS sans affecter l'application, et vice versa. » Avec des serveurs d'applications virtualisées, il devient possible de mettre à jour le système d'exploitation sans avoir à se préoccuper d'une éventuelle réinstallation du logiciel.

Avec une application virtualisée, les administrateurs peuvent créer des « images systèmes types », ou des instances génériques d'un système d'exploitation qu'ils pourront appliquer à plusieurs types d'applications. « Au lieu d'avoir une machine virtuelle Exchange, on a une VM générique avec un système d'exploitation où l'on peut introduire une application en temps réel, » explique David Greschler. De nombreuses applications utilisent une image système identique. Elles peuvent donc être plus facilement déplacées du datacenter d'un client vers un service cloud Windows Azure.

Alléger la gestion des instances

Les responsables de Microsoft ont largement fait valoir que cette approche pouvait contribuer à alléger la gestion des instances : au lieu d'avoir à gérer des milliers d'instances système spécialisées, quelques instances génériques reproduites des milliers de fois suffisent. « Lors du Patch Tuesday par exemple, cette technologie permettra aux services informatiques de traiter le système d'exploitation et l'application séparément, ce qui rendra plus facile le déploiement des mises à jour de sécurité, » a indiqué Microsoft.

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L'objectif de l'éditeur de Redmond est de mettre davantage l'accent sur l'application, plutôt que sur la machine virtuelle, ce que le directeur de la stratégie appelle la « nappe », alors que les applications représentent les plats que l'on dépose par dessus. Techniquement, la virtualisation de serveurs d'applications  peut même être utilisée sur des serveurs physiques dépourvus d'hyperviseur, mais il est peu probable que beaucoup de clients soient tentés par cette solution.

Une technologie issue du rachat de Softricity

David Greschler est le cofondateur de Softricity, une entreprise acquise par Microsoft en 2006. Au moment du rachat, Sofricity était propriétaire d'une technologie de virtualisation d'applications de bureau, prête à l'usage, et avait déjà commencé à plancher sur la virtualisation d'application côté serveur. Selon David Greschler, « la priorité de Microsoft était alors de s'assurer que App-V pour le bureau puisse être exploitée. » L'outil serveur d'applications « était en test dans les laboratoires. C'était juste un projet. Aujourd'hui, c'est une réalité. »

Mais Microsoft n'est pas le premier à être parvenu à ce stade. La start-up AppZero se vante de disposer de sa propre technologie de virtualisation d'application côté serveur, qui permet de déplacer les applications entre serveurs physiques et virtuels et à travers des déploiements VMware, Xen et Hyper-V. Mais Microsoft avance plus vite que son principal rival : VMWare sait virtualiser les serveurs et les applications de bureau, mais pas encore les serveurs d'applications. « Actuellement, VMware ne supporte pas la virtualisation des serveurs d'applications, » a confirmé AppZero.

Pas de support de Linux bien sûr

Avec System Center 2012, Microsoft étend sa capacité à gérer plusieurs hyperviseurs. System Center prenait déjà en charge la technologie Hyper-V et VMware, et la nouvelle version sera en mesure de gérer XenServer de Citrix. Avec une limitation cependant : la technologie de Microsoft ne fonctionne qu'avec Windows Server et pas avec Linux. « C'est une architecture tout à fait différente, » explique le directeur de la stratégie, à propos de Linux. « La couche de virtualisation des applications est très liée à la structure de Windows, au registre, aux fichiers, et à tous les composants dont ce système d'exploitation a besoin pour faire tourner une application. » Pour l'heure, la prise en charge de Linux n'est «  pas sur notre feuille de route, » a déclaré David Greschler.

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(18/03/2011 14:20:02)

ExtremeLabs a testé vCloud Connector

Dans une configuration classique de cloud sous VMware, vous vous reposez sur des hyperviseurs ESX et vous aurez besoin d'exporter les machines virtuelles vers un emplacement temporaire, puis les importer dans un autre cloud. Vcloud Connector permet de réaliser cette démarche en une seule fois. La solution gère l'ensemble des clouds comme une appliance  et accomplit la tâche de déplacer une machine virtuelle (VM) d'un cloud à l'autre sans phase intermédiaire.

Tom Henderson et Brendan Allen, deux chercheurs de la société ExtremeLabs, ont installé une machine virtuelle dans leur infrastructure cloud VMware, puis ont ajouté le plug-in. Voici leur retour d'expérience. Sans rien faire d'autre qu'un clic droit sur « VM asset objects», nous avons déplacé plusieurs éléments des VM depuis notre NOC (Network Operation Center)de nFrame en utilisant quelques instances vCloud qui ont été allouées auprès de BlueLock, un service d'hébergement cloud basé ​​à Indianapolis. Les entreprises gardent généralement plusieurs instances et les activent en fonction de leur besoin (et du coût). Nous avons demandé aux personnels de BlueLock si nous pouvions avoir quatre vClouds distincts, chacun avec des instances capables de supporter une allocation standard de deux processeurs virtuels, quelques disques et un peu de mémoire. D'un clic droit les machines virtuelles sont transférées vers la destination cible. Dans notre cas, le déplacement s'est déroulé sans problème comme en situation de laboratoire.

Pour les besoins du test, nous nous sommes connectés à I-Land Internet Services, un autre fournisseur de vCloud, auquel nous avons acheté quelques instances. Nous l'avons provisionné de manière identique. Après avoir installé le plug-in, nous avons commencé à déplacer les machines virtuelles dans les clouds, sans problèmes comme si elles étaient à l'intérieur du laboratoire ou chez
nFrame.

Vademecum et critiques

L'installation de VCC est très simple. Il suffit d'un PC sous Windows avec au moins Internet Explorer 7 et vSphere dans une version 4.X. Deuxièmement, nous avons téléchargé un fichier OVF qui contient l'appliance virtuelle. Une fois importé dans notre infrastructure, nous avons lancé l'installation de VM, la connexion réseau, des identifiants et des mots de passe.  Ensuite, nous raccordons VCC à à vCenter via un serveur web pour l'utiliser comme un client vSphere.

Mais tout n'est pas aussi simple. L'interface graphique ne se met pas corectement à jour si des modifications extéieures ont été apportées à vCloud Director. Par exemple, nous avons créé un nouveau catalogue dans le vCloud Director de BlueLock et il ne s'est pas affiché jusqu'à ce que nous ayons redémarré le client vSphere. L'idéal aurait été un rafraîchissement des données. VMware explique que c'est sa façon de procéder, mais nous parions qu'il changera car c'est vraiment gênant. La commande Reload Data, utilisée pour mettre à jour l'état des objets, ne fonctionne pas non plus. Il est vrai que VCC est seulement en version 1.0.

Dans l'ensemble, le vCloud Connector est séduisant et pratique. Les limitations sont que vSphere nécessite IE7 + seulement, il n'y a pas actuellement d'actualisation efficace de l'état des objets et enfin il ne fonctionne pas avec d'autres outils VMware de transferts de machines virtuelles, comme High Aivailability Clustering ou VMotion. Mais c'est gratuit.

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(10/03/2011 15:14:33)

Le bureau virtuel VMWare View arrive sur l'iPad

Même s'il domine le marché de la virtualisation, VMware a pris du retard sur plusieurs fronts par rapport à ses concurrents, notamment pour porter sa solution de bureau virtuel sur tablette. Mais l'éditeur de Palo Alto est en train de rectifier le tir, puisque désormais l'entreprise propose sur l'App Store d'Apple un client VMware View pour l'iPad. « Nous travaillons sur cette solution depuis le milieu de l'année dernière, » explique Pat Lee, qui dirige le département des utilisateurs finaux chez VMware. De la même manière que Microsoft travaille dur pour adapter Windows aux tablettes construites sur le modèle de l'iPad (sur base ARM donc), VMware reconnaît avoir eu des difficultés à faire fonctionner Windows en mode virtuel sur la tablette d'Apple. « Windows n'est vraiment pas simple à manipuler, »  a confirmé Pat Lee.

En interne, les ingénieurs de VMware se sont servis du client View iPad pour corriger les bugs, et les développeurs produits se sont donnés beaucoup de mal pour adapter l'expérience utilisateur de l'iPad à Windows. « Nous avons passé beaucoup de temps à développer les modalités d'usages pour être sûr de retrouver la saveur d'iOS, » a ajouté le responsable de VMWare. Un écran aide les utilisateurs et montre comment effectuer un clic droit (il faut utiliser deux doigts) et comment faire une cliquer-glisser. Pour ceux qui préfèreraient utiliser un pavé tactile de type PC, VMware fournit un trackpad virtuel qui peut s'afficher sur l'écran. « Nous avons souhaité offrir un environnement aussi logique que possible, » explique encore Pat Lee.

Des solutions déjà disponibles chez les concurrents

VMware utilise le protocole PCoIP pour déployer les bureaux distants et affirme que le View Client assurera une connexion sécurisée avec les bureaux hébergés sur des serveurs distants. VMware estime que, pour l'instant, la demande en bureau virtuel n'est pas assez importante sur les tablettes tournant sous Android pour motiver le développement rapide d'un client pour le système d'exploitation mobile de Google. L'éditeur indique que l'application View pour iPad est gratuite pour les clients qui payent déjà 150 ou 250 dollars par licence.

L'annonce de VMware arrive presque un an après la disponibilité du Receiver de Citrix pour iPad, qui donne accès aux applications Windows et à des postes de travail virtuels aux clients se connectant avec la tablette d'Apple. Parallels, avec son application de bureau pour iPad, a aussi largement devancé VMware. Et Citrix Receiver est déjà disponible pour les smartphones Android et iPhone. Cependant, pour VMware, les smartphones ne disposent pas d'écrans suffisamment larges pour offrir un espace de travail adéquat. « Avec un écran de 3,5 pouces, on passe son temps à pincer et à zoomer pour faire les choses les plus simples, » commente Pat Lee. « Le bon facteur de forme, c'est la tablette ! » VMware promet par exemple un accès instantané aux bureaux Windows depuis l'iPad, ainsi que le support des claviers Bluetooth.

Un hyperviseur pour smartphones à venir

Si VMware a pris du retard dans son offre de bureaux virtuels pour l'iPad, et se retrouve derrière Citrix pour proposer un hyperviseur client bare-metal, l'éditeur a peut-être une longueur d'avance dans la fourniture d'hyperviseurs pour smartphones. VMware met au point une solution de virtualisation pour les terminaux Android qui pourront faire tourner simultanément deux OS, l'un pour une utilisation professionnelle et l'autre pour un usage personnel par exemple. LG a déjà annoncé qu'elle proposerait le premier smartphone Android supportant VMware dans le courant de 2011.

Mais le domaine où l'éditeur californien réussit le mieux, c'est, bien sûr, celui des produits de virtualisation pour serveurs virtuels et des logiciels de gestion et d'optimisation des ressources informatiques. Cette semaine VMware a annoncé un outil de gestion de virtualisation serveurs, vCenter Operations, qui, selon l'éditeur, doit simplifier la gestion des machines virtuelles en offrant aux équipes opérationnelles plus de visibilité sur l'environnement virtuel. « Les précédents outils de gestion ciblaient plutôt les équipes chargées de l'infrastructure, » a déclaré Rob Smoot, directeur du marketing pour les produits de gestion. Les clients risquent d'être un peu perdus face à l'offre d'outils de gestion offerts par VMware et des vendeurs tiers, mais, selon Chris Wolf, analyste chez Gartner, « c'est justement la raison pour laquelle vCenter Operations est si important. C'est la première étape vers la création d'une plate-forme de gestion consolidée, » explique-t-il. « VMware accomplit un travail difficile qui est celui de construire une offre véritablement intégrée, et il faut s'attendre à ce que ce produit, quand il sera prêt, soit rapidement adopté par la base d'utilisateurs de VMware. »

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(08/03/2011 17:26:57)

VMware lance vCenter Operation, outils de contrôle et de gestion de la virtualisation

« La virtualisation concerne de plus en plus les applications critiques de l'entreprise, comme les bases de données et les e-mails » indique Lionel Cavallière, responsable marketing Europe de VMware. Mais cela met la pression sur les fournisseurs de solutions de virtualisation pour fournir des plates-formes de gestion plus complète. « Aujourd'hui, les entreprises sont de plus en plus préoccupées par leur capacité à gérer leurs infrastructures virtualisées » explique le dirigeant. La réponse de VMware se nomme vCenter Operation, qui comprend des outils dédiés à la performance, à l'allocation de capacité et à la gestion de configuration. Cette solution intègre une combinaison de logiciels dont VMware a fait l'acquisition et des services développés en interne. Lionel Cavallière précise « nous disposions avant de 15 produits en matière d'administration, la stratégie est maintenant de les regrouper au sein de thématiques, vCenter Operation est le premier exemple de cette démarche ». Pour certains, c'est aussi l'occasion pour l'éditeur de monter en puissance dans l'infrastructure virtualisée et plus particulièrement dans les datacenters.

Des offres thématiques


Elle se décline en trois versions: Standard, Advanced et Enterprise. La première est basée sur le logiciel Integrien, que VMware acquis l'année dernière et a amélioré. Lionel Cavallière indique que « les administrateurs auront une meilleure granularité dans la visualisation du réseau et seront plus proactifs en fonction des données de performance analysées en temps réel » et d'ajouter « auparavant, les données étaient réparties sur plusieurs sites, et il était difficile pour les administrateurs d'obtenir une vue d'ensemble ». La version Advanced ajoute un gestionnaire de capacité, vCenter Capacity IQ. Celui-ci peut être acquis indépendamment. Enfin, la version Entreprise combine l'offre Standard et Capacity IQ avec vCenter Configuration Manager, qui ajoute la possibilité de gérer également les environnements physiques, le stockage et les périphériques réseaux.  A noter que ces solutions devraient être étroitement liées à vSphere. La version 5 de ce dernier a été dévoilée en partie lors d'un évènement partenaires récent à Orlando.

Les trois versions seront disponibles en fin de premier trimestre, avec des prix commençant à 50 dollars par machine virtuelle pour l'offre Standard, qui est plafonnée à 500 machines virtuelles. Le tarif pour les versions Advanced et Entreprise n'est pas encore connu.

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(11/02/2011 16:45:10)

Tester l'appliance de sécurité de Wallix avec 15 utilisateurs

Solution de contrôle d'accès aux équipements et applications informatiques, WAB 2.2 peut être testée dans une version de démonstration proposée sous la forme d'une machine virtuelle VMware ESX4. Cette appliance permet de déclarer cinq équipements et quinze connexions simultanées afin de savoir en temps réel quels sont les utilisateurs externes (prestataires, par exemple) ou internes qui se connectent, à quels équipements et de quelle façon. Pour les responsables sécurité, c'est un moyen de tester les différentes fonctions du produit en situation : gestion des accès et des données d'authentification, création de règles par utilisateurs et enregistrement des actions effectuées sur les équipements cibles, suivant les protocoles RDP (Windows Terminal Server) ou SSH (Secure Shell). L'un des intérêts de la solution WAB est de pouvoir tracer toutes les commandes qui ont été saisies par les utilisateurs, le tout étant conservé sous la forme de fichiers vidéo au format Flash que l'on pourra rejouer ensuite, si un problème doit être identifié.

Définir des plages horaires pour les connexions

Avec la version 2.2 du produit, l'authentification peut se faire avec un certificat X509 V3 qui peut être stocké sur une carte à puce ou un token USB. Par ailleurs, les utilisateurs sont authentifiés à partir de leur crédentiels primaires et c'est l'annuaire (LDAP ou AD) qui accepte ou pas la connexion vers les équipements afin d'éviter que les mots de passe des comptes cibles soient connus des personnes qui se connectent. Parmi les paramétrages proposés, il est possible de définir les plages horaires de la semaine et les heures pendant lesquelles les différents groupes d'utilisateurs sont autorisés à se connecter aux équipements cibles.

La VM WAB de test se télécharge, avec la documentation pour l'installer en environnement VSphere4, sur le site de l'éditeur du produit, Wallix. La configuration VM recommandée requiert un processeur virtuel, 1 Go de mémoire vive et nécessite de réserver un espace de stockage de 8 Go.

Illustration : Définition des règles d'accès sur la WAB 2.2 déterminant sur quels comptes cibles et sous quels protocoles les utilisateurs peuvent se connecter. (...)

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