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Virtualisation
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(09/02/2011 14:12:02)
Datacore dévoile SanSymphony-V
Pour le CEO de Datacore Software, Georges S.Texeira « la montée en puissance de la virtualisation au sein des entreprises pose trois questions de management, les capacités, les performances et la protection des données ». Pour répondre à ces problématiques spécifiques à la virtualisation des environnements serveurs et poste de travail, le spécialiste des solutions logicielles pour le stockage propose depuis le 31 janvier dernier, une évolution de son offre phare SanSymphony-V. Le dirigeant explique « lorsqu'on parle de virtualisation des serveurs, tout le monde entend VMware, Citrix, etc. pour autant il arrive souvent que des projets soient arrêtés car la question du stockage n'a pas été prise en compte » et d'ajouter « à la différence de nos concurrents comme 3Par ou Compellent, nous ne fournissons pas des box, mais uniquement du logiciel, nous sommes ainsi compatibles avec beaucoup d'environnements».
Plusieurs fonctionnalités
SANsymphony-V donne aux utilisateurs la possibilité de créer des disques virtuels partagés dans les environnements virtuels de VMware, Microsoft et Citrix. Parmi les autres fonctionnalités, la solution intègre la protection continue des données (CDP), la copie inverse rapide, une sélection automatique de port (pour réduire l'erreur humaine) et une planification des tâches comme la réplication et les snapshot. L'objectif de ce service est par exemple « de simplifier le processus de migration du monde physique à l'univers virtuel, il ne sera plus nécessaire de faire une copie lors de ce transfert » souligne Georges S.Texeira. Ce dernier rappelle que la dernière solution garde les fonctionnalités de l'offre d'origine, comme le pooling de disques virtuels, le mirroring, la mise en cache des I / O, des captures d'état en ligne, du thin provisioning et de gestion des charges de travail. En matière de prix, SanSymphony-V sera proposé à 10 000 euros comprenant 2 licences pour 2 serveurs, avec une maintenance d'un an.
IBM propose une offre VDI à destination des PME
L'offre Virtual Desktop For Smart Business devrait contribuer à alléger les coûts élevés normalement associés aux déploiements de solutions de virtualisation de poste de travail, a déclaré Dan Cerutti, directeur général de l'unité d'IBM Smart Business Solutions. Dans de nombreux cas, les petites entreprises n'ont pas les compétences de faire face à la complexité de la VDI. Ce plan va permettre aux intégrateurs de proposer une solution facile d'installation, explique-t-il. « Nous avons considérablement simplifié la commande et l'achat de ce type de solutions. Tout est inclus dans le service Virtual Desktop » précise Dan Cerutti.
Le package VDI permettra aux collaborateurs d'accéder à leur environnement bureau sur une grande variété de dispositifs, y compris iPad et clients légers. Ils pourront au choix disposer à la fois des OS Windows (XP, Seven) et Linux (Ubuntu,Red Hat, Novell). L'accès au bureau pourra se faire aussi sans connectivité, par l'utilisation d'une clé USB.
Big Blue ne proposera pas directement cette offre aux clients. Des revendeurs et des intégrateurs spécialisés auprès des petites et moyennes entreprises seront en charge de la commercialisation. Jusqu'à présent, IBM a recruté environ 100 partenaires à travers le monde pour vendre ces produits, explique Dan Cerruti. Les partenaires pourraient installer le matériel et les logiciels sur site du client, ou de le gérer en interne comme un service hébergé. IBM pourrait offrir prochainement le package lui-même comme un service hébergé, indique le responsable.
Hyperviseur serveur et bare metal
La souscription ne nécessite pas de nombre minimum d'utilisateur, mais la durée du contrat est d'un an. Les ordinateurs de bureau sont gérés de manière centralisée, sur les serveurs IBM System X sous SUSE Linux. La virtualisation des postes se fait par le logiciel Verde (Virtual Enterprise Remote Desktop Environment), proposé par Virtual Bridges. Ce système repose sur l'hyperviseur KVM pour le serveur et d'un hyperviseur de type 1 installé sur le client (probablement Xen Client). Le package comprend également Smart Business Foundation, une collection d'outils de gestion de paramétrage et de maintenance.
La configuration standard pour l'utilisateur final consiste à établir quelques « Gold Master » ou instances du système d'exploitation, comprenant plusieurs applications nécessaires pour un ensemble de salariés. Chaque employé aura par ailleurs accès à ses données à caractère personnel, ainsi que ses préférences personnelles comme les signets de leur navigateur. IBM estime que 200 postes de travail peuvent être gérés depuis un de ses serveurs. Le prix de ce service débute à partir de 150 dollars par utilisateur et par an.
Virtual Desktop For Smart Business est la première déclinaison de ce qu'IBM souhaite développer comme offre pré-configurée. D'autres packages seront bientôt proposés pour couvrir la gestion de documents, l'analyse, la collaboration et les applications de CRM, conclut Dan Cerutti.
Bilan virtualisation 2010 : Après les serveurs les postes de travail
Après le stockage et les serveurs en 2010, la virtualisation est appelée à se renforcer sur les postes de travail en 2011. Hyperviseurs de type 1 ou 2, VDI... les éditeurs et les constructeurs développent des solutions pour toutes les plates-formes : PC de bureau, portables, smartphones ou tablettes tactiles. Si les technologies de virtualisation des postes de travail sont aujourd'hui bien maitrisées, les utilisateurs se plaignent toujours de certains désagréments qui sont principalement liés aux capacités réseau, énormément sollicitées dans le cadre d'une infrastructure de bureau virtualisés. Reste la question du coût qui est généralement de 9 à 11% plus élevé que l'environnement PC classique selon une responsable de Microsoft, Gabriella Schuster. D'autres estiment au contraire que la VDI entrainerait une baisse des coûts de 20%, principalement en maintenance. Quoi qu'il en soit, avec la montée en puissance du cloud qui concentre son lot d'applications virtualisées, les départements informatiques sont naturellement amenés à reconsidérer la place des postes de travail dans l'entreprise. Mais ici encore les questions liées à la reprise en cas d'incidents et à la sécurité des données interpellent les responsables informatiques.
Nous vous proposerons le 6 janvier prochain un dossier complet sur la supervision des machines virtuelles qui se sont multipliées sur les serveurs avec la consolidation.
Les articles publiés en 2010 sur le sujet :
Le 28 mars 2010 : Pour la NSA, la virtualisation crée de nouvelles menaces
Le 8 avril 2010 : La virtualisation des postes de travail dans les starting-block
Le 4 mai 2010 : Bureaux virtuels, abondance et différences laissent perplexes
Le 11 mai 2010 : Microsoft minimise les avantages du VDI
Le 18 mai 2010 : Michael Dell, apôtre du VDI et du multi-équipement
Le 23 juillet 2010 : La virtualisation plus concrète et plus attractive que le cloud
Le 2 aout 2010 : VDI, Citrix reprend l'avantage sur VMware estime le Burton Group
Le 27 aout 2010 : Avant VMworld, Microsoft vante Hyper-V avec son client CH2M
Le 6 septembre 2010 : Les clients de VMware restent méfiants vis à vis de Hyper-V
Le 8 septembre 2010 : VMware travaille sur un VDI pour iPad
Le 30 septembre 2010 : La virtualisation s'invite sur les tablettes et les smartphones
Le 30 septembre 2010 : Fedora 14 teste la virtualisation de bureau
Le 12 octobre 2010 : VMworld 2010 : La virtualisation en route pour les clouds
Le 27 octobre 2010 : Avec le SP1, Microsoft dope la virtualisation sur Windows Server
Le 10 novembre : Microsoft pousse Hyper-V pour combler son retard dans le cloud
Le 8 décembre 2010 : VMware et LG dévoilent un smartphone virtualisé sous Android
Le 17 décembre 2010 : Plus de RAM pour améliorer la virtualisation sur serveurs
Amazon et VMware déplacent les VM vers le cloud
VM Import est adaptée à un certain nombre de scénarios de migration et de récupération en cas de désastre, selon un post du blog d'AWS. Cette fonctionnalité s'appuie sur VMware VMDK (Virtual Machine Disk Format) capable de gérer notamment les images de Windows Server 2008 SP2.
Pour importer des images, les services informatiques utiliseront des API d'Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) pour pointer vers une image de machine virtuelle dans leur environnement existant. Ensuite, ils préciseront le montant de la capacité de travail dont ils ont besoin et où ils veulent exécuter l'image sur la plateforme de cloud d'Amazon. VM Import transfèrera automatiquement le fichier image et créera une instance dans le cloud, souligne l'éditeur.
Pour déplacer la production, la machine virtuelle devra être arrêtée avant de générer l'image VMDK, selon une FAQ sur le site d'AWS. Par contre, la VM ne peut pas être mis simplement en pause. De plus, les disques et fichiers image chiffrés ne sont pas pris en charge. La durée pour importer une machine virtuelle dépend de la taille de l'image disque et du débit de la connexion réseau. Par exemple, l'importation d'une image de 10 Go prend environ deux heures à l'importation sur une connexion haut débit à 10Mbit/s. Le processus de conversion est gratuite. Mais les utilisateurs doivent payer pour la bande passante nécessaire pour le téléchargement ainsi que pour la capacité de stockage et de calcul, qui sont facturés au tarif habituel d'Amazon.
Des évolutions déjà anticipées
Amazon prévoit de rendre Import VM compatible avec d'autres systèmes d'exploitation (différentes versions de Windows ou Linux) et d'autres plates-formes de virtualisation (comme Hyper V ou Xen). L'éditeur prévoit aussi d'intégrer, dans les prochains mois, son service via un plugin au sein de la console de gestion de VMware vSphere. Les gens qui souhaitent tester cette solution en bêta privée doivent envoyer un mail à toec2-vm-import-plugin-preview@amazon.com. Les entreprises qui souhaitent importer des instances Windows sur Amazon EC2 vers leur environnement virtualisé VMware pourront le faire via vCenter Converter.
Juniper se renforce dans la sécurisation de la virtualisation avec Altor
Il y a quelques semaines, Juniper avait racheté Trapeze Networks, aujourd'hui le spécialiste réseaux et sécurité a déboursé 95 millions de dollars en cash, pour acquérir Altor. Cette dernière a développé un pare-feu basé au niveau de l'hyperviseur, une détection des intrusions (IDS), des outils de visibilité et de surveillance du réseau, ainsi qu'un reporting pour la mise en conformité.
La solution d'Altor vise à vérifier et contrôler la sécurité à travers l'infrastructure de machines virtuelles. L'objectif est de comprendre comment s'effectue l'échange d'applications, de services et de trafic entre les VM. Altor Networks avait été fondée en 2007 par des spécialistes de la sécurité et des réseaux venus de Check Point Software, Cisco, et Oracle. Au début de 2010, Juniper Networks avait investi via son fonds d'investissement, Junos Innovation Found. (...)
VMware et LG dévoilent un smartphone virtualisé sous Android
Selon VMware, la virtualisation pourrait être à même de réaliser la séparation entre les applications professionnelles et personnelles et les données, souhaitées par les entreprises confrontées aux problèmes de gestion de Smartphone. Les utilisateurs souhaitent aujourd'hui connecter leurs terminaux mobiles au système d'information de l'entreprise pour relever leur email ou accéder à leurs données professionnelles. La technologie de VMware repose sur un hyperviseur très léger semblable à celui d'un PC de bureau ou d'un serveur fonctionne comme un serveur ou un hyperviseur de bureau. Le mail et les applications personnelles de l'utilisateur peuvent tourner en mode natif sur le téléphone sous Android, l'environnement de travail étant géré par un système d'exploitation client. Les mobiles peuvent aussi posséder deux numéros de téléphone. « L'environnement informatique de l'utilisateur final est en pleine mutation. De plus en plus d'appareils s'invitent dans l'entreprise », a déclaré Srinivas Krishnamurti, responsable de la technologie mobile chez VMware. « Les directeurs des systèmes d'informations se plaignent de cette diversité très problématique et déclarent qu'il leur est difficile de savoir comment mieux accompagner les employés. Beaucoup d'entreprises sont prêtes à accepter de travailler avec les téléphones de leurs salariés, mais elles sont préoccupées par la sécurité et les questions de gestion de contenu qui utilise les données de l'entreprise.
Un hyperviseur pour mobiles développé à l'origine par une start-up grenobloise
« VMware Virtualization Platform Mobile vient de l'acquisition de la société française Trango Systems en 2008, laquelle travaillait sur le développement d'un hyperviseur pour Smartphones. L'annonce faite cette semaine se rapporte spécifiquement à un partenariat avec LG pour introduire sur le marché courant 2011 des smartphones virtualisés sous Android. » Le communiqué de VMware mentionne uniquement les smartphones, mais les tablettes sous Android pourraient aussi probablement accéder à cette technologie de virtualisation. Quant à savoir si les iPhone et les appareils BlackBerry en bénéficieront également, VMware répond qu'elle veut voir l'hyperviseur sur autant de systèmes d'exploitation mobiles possibles. Le fait que Google Android soit Open Source a motivé ce premier choix. Srinivas Krishnamurti ajoute que « les partenaires OEM ont fait part de leur très grand intérêt pour la plate-forme Android. C'est un système ouvert. C'est pour cela que nous l'avons choisi en premier. » Les utilisateurs qui achèteront un téléphone compatible avec la virtualisation ne sentiront même pas la présence de l'hyperviseur. « C'est juste une autre application, » a indiqué le responsable de VMware. Les utilisateurs plus expérimentés, qui souhaitent pouvoir accéder à leurs applications professionnelles depuis leurs appareils personnels, considéreront certainement la virtualisation comme un élément prescripteur.
Un OS hôte "perso" et un second client "pro"
D'un point de vue pratique, l'utilisateur pourra basculer entre les environnements personnels et professionnels en appuyant simplement sur une icône. L'environnement privé et l'environnement de travail auront chacun leur propre pool d'applications. Cependant, les appels téléphoniques ou les alertes, professionnels ou personnels, pourront passer à tout moment. « Faire en sorte que l'utilisateur puisse jongler entre les numéros de téléphone personnels et professionnels en toute transparence, y compris permettre la mise en attente d'un appel quelle que soit sa nature, a été l'un des défis techniques les plus épineux à résoudre, » ont confiés des responsables de VMware. Pour l'administration informatique, VMware proposera des outils de gestion et fournira également un kit de développement logiciel pour réaliser la connexion des plates-formes de gestion existantes au système VMware. L'un des avantages potentiels pour les administrateurs d'un parc de téléphones virtualisés, c'est qu'ils pourront crypter les données ou effectuer une maintenance à distance sans affecter les données personnelles de l'utilisateur. Pour le système d'exploitation client, VMware et LG ont parlé d'une deuxième couche Android tournant au-dessus de l'OS hôte Android. Reste à savoir si des problèmes techniques ou des questions de licence pourraient empêcher l'installation d'autres systèmes d'exploitation mobiles en surcouche des appareils sous Android virtualisés. VMware a dit à ce propos qu'« en matière de téléphonie mobile sa stratégie sera très similaire à celle qu'elle a adopté dans le monde du PC où les utilisateurs ont la possibilité d'exécuter n'importe quel système d'exploitation Client pris en charge aussi longtemps qu'il se conforme aux directives des licences. »
Pas encore de prix public
Pour l'instant, VMWare et LG n'ont pas mentionné de prix pour ces téléphones Android avec virtualisation, ni indiqué à quel moment en 2011 les premiers appareils arriveront sur le marché. «Nous voulons mettre cette technologie dans autant de téléphones que possible,» a déclaré James Park, directeur de la stratégie et du développement commercial chez LG. Si le constructeur sud-coréen est le premier fabricant de téléphones à se positionner sur ce marché, VMware « est aussi en contact avec de nombreux partenaires OEM et opérateurs, » a indiqué Srinivas Krishnamurti. Selon Ian Song, analyste chez IDC, VMware va probablement battre son rival Citrix sur le marché de l'hyperviseur mobile, même s'il estime par ailleurs que LG n'est pas le partenaire idéal. « LG n'a virtuellement aucune présence sur le marché Android, » a-t-il fait remarquer. « Il est probable que VMware essaye d'associer d'autres fabricants, comme Samsung, » a-t-il dit.
Datacenters : Nextiraone renforce sa collaboration avec Cisco
Premier intégrateur européen à obtenir la certification DCUC (Data center unified computing) sortie cet été, Nextiraone muscle son offre Cisco. « Elle se traduit pour nous par un niveau de formation et d'engagement renforcé avec Cisco, nous explique Philippe Hedde, directeur général de Nextiraone France, nous avons formé 60 personnes, 40 commerciaux et 20 architectes réseaux à ce nouveau programme en France». Cet accord, négocié au plus haut niveau entre les deux entreprises s'applique dans six pays : Allemagne, Autriche, Belgique et Luxembourg, France, Grande-Bretagne, Suisse. Il sera étendu en 2011 à tous les pays où Nextiraone est présent, 16 au total.
L'intégrateur est engagé depuis des années aux côtés de Cisco. Il propose par exemple UCS, unified computing system, qui concerne notamment la virtualisation des serveurs, et compte avec lui plusieurs clients en France, dont la CNAV, la mairie de Drancy, Euratechnologies à Lille et le CHU d'Amiens. Le nouvel accord est un engagement supplémentaire. « Nous allons mettre le datacenter sur le réseau » résume Philippe Hedde. C'est ce nouvel axe que vise Nextiraone grâce aux technologies Cisco. Jusqu'alors spécialiste des architectures réseaux et de leur maintenance, Nextiraone s'ouvre au monde de la virtualisation grâce aux technologies Cisco, UCS d'abord et maintenant DCUC. « C'est l'expression d'une transformation majeure de Nextiraone », explique Philippe Hedde.
Nextiraone, lié historiquement à Alcatel-Lucent rééquilibre un peu plus ses relations avec ses deux grands partenaires. Avec Cisco, l'intégrateur est certifié : Data center networking infrastructure, Data center storage networking, Unified communications, Unified communications managed services. Il est également Authorized technology provider, ATP. L'accord est d'autant plus marquant que Cisco est d'abord passé par des intégrateurs informatiques, comme APX ou SCC pour déployer UCS et qu'un intégrateur réseau comme Nextiraone gagne aujourd'hui une place de choix à ses côtés pour la virtualisation.
Illustration : Datacenter avec équipements Cisco UCS et Nexus, crédit D.R.
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