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(29/11/2011 16:17:07)
Pour rafraîchir ses résultats, Google a revu son algorithme avec Caffeine
« Les résultats de recherche sont meilleurs quand ils sont frais », admettait Google au début du mois sur l'un de ses blogs officiels, insidesearch.blogspot.com, avant d'expliquer qu'il avait modifié l'algorithme de classement des résultats de son moteur de recherche s'appuyant sur Caffeine, son système d'indexation du web.
Même si ce n'est pas spécifié dans leur requête, les internautes s'attendent à obtenir des résultats pertinents se rapportant à des informations récentes. Une recherche sur le mot-clé « Olympics » porte plus probablement sur les prochains JO d'été de Londres plutôt que sur ceux de l'année 1900, indiquait sur le blog Amit Singhal, collaborateur de Google, avant d'expliquer que l'algorithme désormais à l'oeuvre dans Google Search avait été conçu pour donner les résultats les plus à jour. « Ainsi, si je tape simplement 'Olympics', sans spécifier 2012, je trouverai néanmoins ce que je cherche ».
Au rythme auquel les données s'échangent actuellement entre les internautes, l'information la plus récemment publiée, sur un sujet donné, peut dater de la semaine précédente, de la veille ou de la minute écoulée. Sur ce terrain, Google se mesure à des concurrents comme Facebook ou Twitter, en perpétuel mouvement. Suivant les termes de la requête faite sur Google Search, l'algorithme doit donc pouvoir déterminer la fraîcheur d'un résultat, selon la nature du sujet recherché.
Un peu plus d'un tiers des recherches impactées
A l'été 2010, Google avait annoncé la mise en service de Caffeine, un système d'indexation qui permet de parcourir et d'indexer le web pour récupérer du contenu rapidement à très grande échelle. C'est donc l'algorithme de classement des résultats s'appuyant sur Caffeine qui vient de bénéficier d'une amélioration significative. Cette dernière impacte plus d'un tiers des recherches, selon Google, et l'aide à déterminer les situations dans lesquelles les résultats les plus récents sont les plus pertinents.
Pour les sujets les plus discutés du moment sur la toile ou les événements les plus récemment mis à jour, les internautes veulent la toute dernière information et le moteur de Google leur propose davantage de résultats récents. Pour les événements récurrents, comme les conférences annuelles, le moteur retourne les renseignements sur la date la plus proche, sans qu'il soit nécessaire de la mentionner. Ces améliorations concernent aussi les domaines susceptibles d'être fréquemment mis à jour : une recherche sur des produits, par exemple, retournera les données les plus fraîches.
En revanche, certaines données plus anciennes peuvent avoir davantage d'intérêt. Une vieille recette de cuisine, par exemple. En améliorant son algorithme, Google a cherché à mieux comprendre comment faire la distinction entre les différentes catégories de recherche et le niveau de fraîcheur qu'elles impliquaient.
Les professionnels du web s'adaptent
Les acteurs du web et du e-commerce ont commencé à prendre en compte ces modifications. En France, l'agence de marketing web Awe, par exemple, met en avant plusieurs axes à exploiter pour les sites de e-commerce. Selon Alexandre Garnier, fondateur de la société, il faut notamment « créer des contenus 'chauds' actualisés, inédits et optimisés sur les mots-clés stratégiques », « proposer des fiches produit uniques avec des descriptifs spécifiques », « socialiser son site avec le bouton +1 de Google et le Like de Facebook » ou, encore, « obtenir le plus grand nombre de liens vers son site ».
Plug-in pour navigateurs: les entreprises pas très à jour
Dans un rapport basé sur les propres outils de l'entreprise, Zscaler a comptabilisé le nombre d'ordinateurs où les plug-in pour navigateur ne sont plus à jour : dans son classement, la place de cancre revient au plug-in Shockwave d'Adobe, obsolète pour 94,2% des ordinateurs sur lesquels il est installé, suivi par Java avec 70%, puis par Adobe Reader avec 65,8%, Quicktime avec 42,5%, et les add-ons du navigateur Outlook avec 19,8%.
Pour ce qui est du contexte, le trafic d'entreprise http/https est toujours dominé par Internet Explorer qui en tient 58% des parts, suivi par Firefox, avec près de 11%, et Safari, qui fait une entrée inattendue, avec 7%. Les plug-in eux-mêmes génèrent 23% de ce trafic. Et c'est là où commencent certains ennuis. Parmi les plug-in les plus populaires, Flash, que l'on trouve installé sur 94,4% des PC, occupe la première place, suivi par Windows Media Player avec 87%, Adobe Reader avec 84,7% et Outlook avec 84,2%. « Au vu de ces statistiques, il est clair que la plupart des entreprises ont peu de contrôle sur le type de plug-in et la version en cours d'utilisation par leurs salariés, » déclarent les auteurs. Les navigateurs Internet eux-mêmes ne sont pas nécessairement mis souvent à jour. L'étude montre que 24,2% des utilisateurs d'IE utilisent encore les version 6.x et 7.x du navigateur de Microsoft, et moins de 2% utilisent la dernière version, 9.x.
D'autres études confortent ces chiffres
Bien que l'évaluation n'a porté que sur une seule entreprise, ces chiffres sont corroborés avec d'autres statistiques qui se sont intéressées à la question des plug-in intégrés aux navigateurs Internet des entreprises. Par exemple, en juillet dernier, Qualys, une entreprise qui travaille sur la vulnérabilité, a constaté que Java était un maillon faible particulier de la chaîne, établissant que le plug-in était obsolète sur 40% des ordinateurs. Comparé au dernier rapport Q2 2011 sur l'état du web de Zscaler, les chiffres établis cette fois semblent marquer une forte fluctuation pour certains plug-in. Au second trimestre, Shockwave était obsolète sur seulement un tiers des ordinateurs sur lesquels il avait été installé, contre plus de 90% aujourd'hui. Compte tenu du cycle de mise à jour rapide adopté par certains éditeurs comme Adobe, on peut penser, à tort, que ces ordinateurs sont plus vulnérables en données absolues, puisque les entreprises qui mettent à jour leurs plug-in moins souvent ont, par définition, plus de chances d'avoir des versions périmées.
Dans un autre chapitre de son rapport, Zscaler enregistre un bond dans l'usage d'Android en entreprise. La plate-forme représente désormais 40,3% des transactions du client Internet dans le Cloud de l'entreprise, devançant BlackBerry, jusque là favori du secteur professionnel, qui occupe 37,2% des transactions et iOS, 22,3% seulement. Mais, sur la période, l'application la plus utilisée du Web 2 .0 a été Facebook, qui a capté près de 50% des usages. « Malgré cette popularité, la tendance à long terme de l'usage de Facebook au sein des entreprises semble être à la baisse, » estime néanmoins Zscaler dans son rapport.
(...)(25/11/2011 12:24:52)Google propose la recherche d'applications mobiles
Google vient d'ajouter une fonction dans les résultats de son moteur de recherche Google.com. Sur son blog GoogleSystem, la firme indique qu'une section, baptisée Applications, qui n'est pour l'instant disponible que sur la version américaine du moteur, permettra de rechercher exclusivement des applications mobiles.
Pour cela, il faudra cliquer sur «More» dans la barre d'outils de Google, puis sélectionner « Applications » pour obtenir des liens pointant vers le kiosque d'Apple, l'Android Market ou d'autres sites d'applications et de jeux pour Android comme AppBrain ou AndroidZoom.
Ce service était déjà disponible sur la version mobile du moteur de recherche. Google n'a pas communiqué de date de disponibilité de cette fonction pour le reste du monde.
(...)
EBG se penche sur l'impact de la mobilité et des réseaux sociaux sur le marketing
L'Electronic Business Group (EBG) est une communauté professionnelle de 550 entreprises (dont tout le SBF 120) qui organise de nombreux événements. Les 22 et 23 novembre 2011, sa conférence Mobile & Social Media a réuni plusieurs centaines de responsables à l'Espace Grande Arche à La Défense. Il a permis aux responsables marketing de découvrir les opportunités liées aux outils mobiles et sociaux. Pas d'annonce fracassante ou de grande innovation durant ces deux jours mais bien un petit cours de rattrapage pour qui n'est pas familier du « 2.0 », au fil de nombreuses interventions, souvent prestigieuses. Pour accueillir des intervenants de toute l'Europe, la manifestation était entièrement en anglais, y compris pour les interventions d'acteurs français.
« Le marché mondial du marketing et de la communication se déplace : géographiquement, la Chine est désormais quatrième, juste devant la France et derrière l'Allemagne ; en termes de médias, cela change autant au profit des nouveaux médias » a martelé Sir Martin Sorrell CEO de WPP, le premier groupe d'agences de communication au monde (Grey Global Group, Ogilvy & Mather, Young & Rubicam, Hill & Knowlton, Burson-Marsteller, Cohn & Wolfe...). Pour celui-ci, le développement du « social » et du « mobile » passera nécessairement par une consolidation des multiples plates-formes incompatibles entre elles qui existent aujourd'hui. Une telle consolidation est en effet nécessaire pour éviter la multiplication des développements technologiques pour un même service. Sir Martin Sorrell a notamment applaudi à la pénétration fracassante d'Android sur le marché du mobile.
Un consensus pour une révolution en devenir
Hugues Pietrini, président d'Orangina Schweppes, a confirmé l'évidence : l'émergence du digital transforme les pratiques du marketing. Au delà, pour Patrick Hoffstetter, « chief digital officer » de Renault rattaché au directeur du marketing, la révolution bouleverse les méthodes même de travail de toute l'entreprise.Les pratiques restent cependant en général basiques : Coca Cola anime, grâce à des community managers, une écosystème autour de pages de fans (avec une rentabilité annoncée comme supérieure à celle de publicités audiovisuelles), le fabriquant de jouets Lego incite ses clients à échanger des photos de leurs plus belles réalisations avec les briques en plastique...µ
Une des leçons de ces pratiques est, pour une fois, très morale : si on peut tromper un client plusieurs fois, si on peut tromper de multiples clients une seule fois, on ne peut pas tromper de multiples clients reliés dans une communauté de nombreuses fois. La clé de départ d'un bon marketing en ligne est donc... un bon produit. Sinon, le retour de bâton est vite terrible.
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La recommandation et la viralité
Le développement du chiffre d'affaires passe ainsi de plus en plus par la recommandation de son service ou de son produit par des consommateurs. Or les médias sociaux permettent justement d'industrialiser à très grande échelle la recommandation. Un usage publicitaire des réseaux sociaux doit s'appuyer sur la viralité, donc l'envie des internautes de partager votre contenu avec leurs amis, ce qui implique que celui-ci doit être drôle et leur offrir un avantage.
Enrico Castellani, directeur marketing de Kimberly Clark, a ainsi présenté en détail la campagne pour la marque de couches-culottes Huggies en Italie. Pour se distinguer de ses concurrents, cette marque a misé sur la « réalité ». Au premier trimestre 2010, elle a travaillé sur les concepts de la campagne avec une série de blogueuses. Puis une publicité de lancement a été diffusée au cinéma pour amener le public sur le réseau social utilisé. Durant les deuxièmes et troisièmes trimestres, les clientes ont été incités à expliquer la véritable vie avec un bébé (autrement dit : l'enfer), au contraire des grands sourires de la plupart des publicités. En votant pour les meilleures histoires, les internautes gagnaient des bons de réduction. Ce dernier avantage reste en effet indispensable comme toutes les études le montre.
Le pilotage des actions sur les médias sociaux et notamment la mesure d'efficacité reste un problème. L'utilisation de tels coupons de réduction repérés comme venant de tel site à telle date est un bon moyen de tracer l'efficacité d'une campagne. « Compter les fans est insuffisant, il faut d'autres mesures clés de performances » a jugé Marion Bauer, directrice marketing de Vueling.
Faire venir en magasin
Mais la transformation de la « sympathie » en ligne en acte d'achat reste un grand problème récurrent. Or seul cet acte d'achat importe au final pour l'entreprise. Le commerce en ligne ne représentant que 15 à 20% du total, l'un des moyens d'y parvenir est d'amener les prospects en magasins à proximité de leur localisation (notamment en utilisant la géolocalisation du consommateur disponible sur les smartphones). Njara Zafimehy, COO de Scroon, a ainsi loué le site français « LaFourchette.com » comme un outil particulièrement précieux pour les restaurants : il permet de recommander des établissements et aussi de réserver une bonne table ainsi repérée. Pour lui, la somme des chiffres d'affaires des petites enseignes de proximité est et va rester supérieur au cumul de chiffres d'affaires des grands groupes de distribution. Et ce sont ces petites enseignes qui vont le plus bénéficier de la recommandation comme moyen de se promouvoir auprès de clients potentiels.
Mais, pour la plupart des directeurs marketing, l'usage des réseaux sociaux se résument bien souvent à lancer une vidéo virale. Un vrai travail comme celui de Voyages-SNCF reste l'exception.
Google abandonne 7 services
Ce n'est pas le printemps et pourtant Google procède à un grand nettoyage de ses tiroirs. Sur son blog officiel, elle annonce par la voix d'Urs Hölzle, Senior Vice President, Operations & Google Fellow, la fermeture prochaine de sept de ses services : Bookmarks Lists, Friend Connect, Gears, Search Timeline, Wave, Knol et RE. Le premier, qui permet de partager des signets et de collaborer avec des amis, sera fermé le 19 décembre prochain. Ce service expérimental était disponible uniquement en langue anglaise.
Friend Connect, qui permet aux webmasters d'ajouter des fonctionnalités sociales à leurs sites, en intégrant quelques extraits de code, sera retiré pour tous les sites hors Blogger. Pour contrer cette suppression, Google invite les utilisateurs à migrer sur Google +.
Cessation pour manque d'intérêt ou plus grandes compétences ailleurs
Gears, qui permet de continuer à utiliser des services en ligne tout en étant déconnecté et dont le développement était stoppé en mars pour tous les nouveaux navigateurs, va cesser de fonctionner. Pour remplacer la frise chronologique de Search Timeline montrant les volumes de requêtes associées à une recherche, l'éditeur rappelle qu'on peut toujours affiner une recherche par dates en utilisant les options de la marge de gauche, faire des analyses temporelles dans Trends ou Insights for Search. Le service Wave, protocole et outil qui n'a pas vraiment réussi à convaincre (trop compliqué ?), va également fermer.
De son côté, Knol, lancé en 2008 comme alternative à l'encyclopédie participative Wikipedia, a toujours eu du mal à fédérer et à rassembler des contributeurs. Il s'est éteint en octobre. Enfin l'initiative « Renewable Energy Cheaper than Coal » dont l'objectif était d'établir des pistes de réflexion afin de réduire les coûts des énergies renouvelables sera également arrêté. Google estime en effet que d'autres sociétés sont mieux placées qu'elle pour mener cette réflexion.
ICTjournal.ch
Piana HR Group créé un réseau social dédié au recrutement
Aujourd'hui, les réseaux professionnels sont devenus incontournables dans les processus de recrutement. Pourtant, ils ne répondent pas toujours aux attentes des candidats en termes de recherche d'emploi : une étude conduite auprès de 600 000 postulants par le cabinet français de recrutement Piana HR Group montre que 69,2 % s'y sont inscrits dans ce but mais que 80 % d'entre eux n'y trouvent pas de travail. Les raisons ? L'aspect onéreux de fonctionnalités même basiques, le manque de confidentialité et également le fait d'être contacté par des personnes non sollicitées. Ainsi, pour répondre aux attentes des candidats et des recruteurs, Piana HR Group lance PianeoJobs, un réseau social gratuit exclusivement dédié à la carrière. Alors qu'une annonce sur un site d'emploi classique coûte au minimum 500€, PianeoJobs permet de recruter à partir de 0,50 centimes d'euro par CV.
10 millions de candidats d'ici 2012
Grâce au système de cotation des CV, le coût de chaque profil est évalué en fonction de son niveau d'étude, sa formation, son expérience, et sa disponibilité. Plus un CV est consulté par des recruteurs, plus sa cote augmente (sachant que le plafond s'élève à 49 euros). « Ce système peut aider les recruteurs à cibler les profils qui leurs correspondent à moindre coût », a souligné Christophe Le Feuvre, président de Piana HR Group, lors d'un point presse. « Les entreprises bénéficient d'un accès illimité et gratuit (sans abonnement) à une base de données de 600 000 candidats et, chaque jour, 3 000 membres sont intégrés au réseau. Nous avons ainsi estimé à 3 millions le nombre de candidats présents sur le site d'ici fin 2011, chiffre qui devrait atteindre les 10 millions d'ici fin 2012 ».
PianeoJobs possède également une messagerie interne et une autre instantanée. Des forums et de groupes thématiques liés aux problématiques de chacun peuvent y être créés, de même qu'une spamlist personnalisée. Des paramètres de confidentialité permettent aux candidats de rendre leur profil invisible à une liste d'entreprises qu'ils auront sélectionnées, Il leur suffit d'un clic pour déposer leur CV grâce à une technologie qui implémente automatiquement les différentes rubriques du document. Enfin, PianeoJobs permet à ses membres, qu'ils soient candidats ou recruteurs, de développer leur réseau en Europe, mais également aux Etats-Unis, au Maroc, et bientôt en Chine.
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Pour Mark Zuckerberg, Google + est une « petite version » de Facebook
Alors que chez Google, tout le monde s'agite autour de Google+, en commençant par Larry Page, Mark Zuckerberg voit de son côté le site social comme « leur petite version de Facebook ». C'est du moins ce qu'il a déclaré au journaliste Charlie Rose lundi soir au cours de l'émission de télévision américaine PBS Show. Lorsque le journaliste a demandé si Facebook avait prévu de s'engager dans une guerre de plates-formes avec Google, Apple et Amazon au cours des 10 prochaines années, le fondateur du célèbre réseau social a répondu qu'il considérait Apple et Amazon comme des partenaires, tout en reconnaissant que Google était davantage qu'un concurrent.
«Les gens aiment parler de guerre », a ajouté Mark Zuckerberg « Mais il existe différentes façons de travailler ensemble pour des entreprises. Il y a de vrais domaines de concurrence. Toutefois, je ne pense pas que cela puisse se transformer en situation où une seule société rafle la mise. »
Le patron de Facebook a également déclaré que Google était d'une certaine façon plus compétitif et qu'il tentait certainement de construire sa propre petite version de Facebook. « Quand je regarde Amazon et Apple, je vois des entreprises qui sont extrêmement alignées avec notre modèle », a exposé Mark Zuckerberg. « Nous conversons beaucoup avec des personnes et avec des entreprises pour tenter de trouver des façons de collaborer davantage ensemble ».
Se concentrer sur un seul et même volet
La directrice générale de Facebook, Sheryl Sandberg, qui participait également à l'interview, a pour sa part indiqué que la firme avait développé une importante stratégie de partenariat axée sur la fourniture de technologie collaborative à de nombreux autres médias et également à des entreprises IT. Elle a précisé que Facebook avait choisi de se concentrer sur une seule et même chose, et que l'entreprise continuerait à croître selon ce modèle.
Google a lancé Google+ fin juin pour que l'entreprise dispose d'une position plus forte sur le marché des réseaux sociaux grâce à un outil unifiant les produits Google, qui possède des fonctions de partage social et qui propose une identité commune à tous les utilisateurs du moteur de recherche.
Toutefois, Google+, qui compte environ 40 millions de membres, a un long chemin à parcourir pour rattraper Facebook (800 millions de membres) qui règne actuellement sur le marché des réseaux sociaux au niveau mondial.
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L'Asie, fortement consommatrice d'Internet mobile selon Forrester
Selon une récente étude publiée par le cabinet Forrester Research, la France est un pays où la consommation d'Internet mobile est très faible par rapport à d'autres pays, notamment d'Asie. Ainsi, la moitié de la population urbaine japonaise et chinoise accède à l'Internet mobile au moins une fois par mois contre 28 à 36% pour la plupart des pays occidentaux (Etats-Unis, Australie, Suède, Royaume-Uni, Pays-Bas). La France est en queue de peloton avec 18%.
Assez logiquement, l'accès aux médias sociaux via mobile est beaucoup plus développé dans les métropoles de Chine (34%) qu'en France (11%) ou même aux Etats-Unis (25%) ou au Royaume Uni (22%).
Les applications téléchargées sur mobiles sont très populaires partout dans le monde mais il y a cependant de véritables différences selon les pays. Si la météo est en tête aux Etats-Unis, les jeux constituent la catégorie la plus fréquente en Europe comme en Asie. L'Europe privilégie ensuite la navigation/cartographie alors que l'Asie préfère la musique. Quantitativement, 90% des utilisateurs d'Internet mobile ont téléchargé une application aux Etats-Unis durant les trois derniers mois contre 61% en Europe (62% en France).
L'étude publiée ne met malheureusement pas en corrélation ces différences avec
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Google aide à porter des sites web sur mobiles
En lançant GoMo, Google souhaite aider les entreprises à basculer leurs sites web vers des applications mobiles. Grâce à une fonctionnalité baptisée GoMoMeter, les utilisateurs peuvent entrer l'adresse de leur portail et obtenir une analyse gratuite pour savoir s'ils sont en mesure de passer au format mobile. L'outil permet également de connaître le temps de chargement des sites sur mobiles, de savoir si les images s'affichent correctement, si le texte peut être lu sans réduction ni zoom et si les liens et onglets sont facilement accessibles. Il livre également une image visuelle sur la façon dont les utilisateurs de mobiles voient actuellement leur site.
Nos confrères d'IDG News Service ont toutefois relevé des lenteurs dans l'application. Il leur a fallu plus de 40 minutes pour télécharger le site d'actualités de la BBC avec l'outil GoMoMeter.
Après avoir pris connaissance des plus et des moins de la version mobile de leurs sites web, les utilisateurs ont accès à une liste d'éditeurs spécialisés dans le développement de sites web mobiles, comme Netbiscuits, Mobify, Unbound Commerce et... Google Site Builder. GomoMeter propose aussi d'utiliser plusieurs options pour savoir quel montant on est prêt à engager pour maintenir la version mobile du site, combien de temps on prévoit d'attendre pour qu'il soit construit, si l'on souhaite le développer soi-même ou passer par une autre entreprise.
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